Observateur international dénonce agression contre activistes de retour à Smara
Selon des déclarations faites à EFE par Antorrena , membre de l’Association d’Amis du Peuple Sahraoui à Aragon, la voiture dans laquelle il voyageait avec ce groupe a été entourée à l’entrée de Smara, au Sahara Occidental, par une foule de Marocains qui brindaient le drapeau du pays, ils se sont jetés sur le véhicule avec des coups et des insultes.
Cette revendication nationaliste n’a pas eu selon l’observateur « rien d’improvisée », et elle a compté, à son avis, de la « complicité totale de la Police marocaine », qui les avait « obligé à garer la voiture dans le lieu de la protestation ».
Les cinq sahraouis, parme les quels se trouvait le président du Comité de Défense du Droit d’Autodétermination du Peuple Saharaui (CODAPSO), Sidi Mohamed Dadach, faisaient partie d’un groupe de douze activistes, qui avaient atterri hier à l’aéroport d’El Aaiún.
À son arrivée au lieu, raconte à EFE la vice-présidente de l’Association Sahraouie de Victimes de Graves Violations des Droits de l’homme (ASVDH), Elghalia Djimi, des altercations se sont aussi produites entre les sahraouis qui étaient arrivés pour les accueillir et un groupe de manifestants pro-marocains qui « ont lancé des pierres sur les voitures des familles ».
Sans mentionner ces faits, l’Association Sahara Marocain (ASM), s’est félicité dans un communiqué « du patriotisme des sahraouis marocains unionistes qui, à l’arrivée à El Aaiún des séparatistes (…) se sont dirigés vers l’aéroport pour exprimer leur mécontentement et pour dénoncer fortement les tromperies et les mensonges du groupe ». EFE
Cette revendication nationaliste n’a pas eu selon l’observateur « rien d’improvisée », et elle a compté, à son avis, de la « complicité totale de la Police marocaine », qui les avait « obligé à garer la voiture dans le lieu de la protestation ».
Les cinq sahraouis, parme les quels se trouvait le président du Comité de Défense du Droit d’Autodétermination du Peuple Saharaui (CODAPSO), Sidi Mohamed Dadach, faisaient partie d’un groupe de douze activistes, qui avaient atterri hier à l’aéroport d’El Aaiún.
À son arrivée au lieu, raconte à EFE la vice-présidente de l’Association Sahraouie de Victimes de Graves Violations des Droits de l’homme (ASVDH), Elghalia Djimi, des altercations se sont aussi produites entre les sahraouis qui étaient arrivés pour les accueillir et un groupe de manifestants pro-marocains qui « ont lancé des pierres sur les voitures des familles ».
Sans mentionner ces faits, l’Association Sahara Marocain (ASM), s’est félicité dans un communiqué « du patriotisme des sahraouis marocains unionistes qui, à l’arrivée à El Aaiún des séparatistes (…) se sont dirigés vers l’aéroport pour exprimer leur mécontentement et pour dénoncer fortement les tromperies et les mensonges du groupe ». EFE
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