Londres, 10/04/2010.- Plus d’une centaine de personnalités à travers le monde a exhorté le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Ban Ki-moon à « la création d’un mécanisme onusien pour la protection des droits de l’homme au Sahara occidental, regrettant l’absence des recommandations dans ce contexte dans le rapport de M. Ban Ki-moon au Conseil de sécurité, selon une lettre parvenue samedi à SPS.
Les signataires ont exprimé « leur déception après la publication de ce rapport, où ils attendent le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies de recommander dans son rapport la surveillance des droits de l’homme, invitant le Conseil de sécurité à remédier cette situation à cet échec », lors de sa réunion consacrée à l’examen du rapport, la semaine prochaine.
« La Mission des Nations Unies au Sahara occidental (Minurso) est la seule mission onusienne qui n’est pas dotée de composante chargée de surveiller la situation des droits de l’homme », ont regretté les signataires dont des députés britanniques, membres du Parlement européen, d’anciens ambassadeurs des États-Unis et des organisations non-gouvernementales.
Ils ont en outre noté que les défenseurs des droits humains au Sahara occidental « sont victimes, de façon régulière de la détention arbitraire, la violence sexuelle, la torture et les disparitions ».
Les signataires ont dénoncé l’opposition de la France, membre permanent du Conseil de sécurité, à inclure la surveillance des droits humains au Sahara Occidental et son soutien au Maroc dans ce domaine, appelant le CS à créer un mécanisme devant mener cette mission humanitaire.
Plus de 56 prisonniers politiques sahraouis des droits de l’homme se trouvent derrière les barreaux répartis dans dix prisons marocaines, dont 36 mènent une grève illimitée de la faim depuis plus de 3 semaines, dans une totale ignorance de la part des autorités marocaines de leurs revendications légitimes, appelant au respect des droits humains au Sahara Occidental et à l’exercice par le peuple sahraoui de son droit inaliénable à à l’autodétermination et à l’indépendance, rappelle-t-on. (SPS)
Les signataires ont exprimé « leur déception après la publication de ce rapport, où ils attendent le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies de recommander dans son rapport la surveillance des droits de l’homme, invitant le Conseil de sécurité à remédier cette situation à cet échec », lors de sa réunion consacrée à l’examen du rapport, la semaine prochaine.
« La Mission des Nations Unies au Sahara occidental (Minurso) est la seule mission onusienne qui n’est pas dotée de composante chargée de surveiller la situation des droits de l’homme », ont regretté les signataires dont des députés britanniques, membres du Parlement européen, d’anciens ambassadeurs des États-Unis et des organisations non-gouvernementales.
Ils ont en outre noté que les défenseurs des droits humains au Sahara occidental « sont victimes, de façon régulière de la détention arbitraire, la violence sexuelle, la torture et les disparitions ».
Les signataires ont dénoncé l’opposition de la France, membre permanent du Conseil de sécurité, à inclure la surveillance des droits humains au Sahara Occidental et son soutien au Maroc dans ce domaine, appelant le CS à créer un mécanisme devant mener cette mission humanitaire.
Plus de 56 prisonniers politiques sahraouis des droits de l’homme se trouvent derrière les barreaux répartis dans dix prisons marocaines, dont 36 mènent une grève illimitée de la faim depuis plus de 3 semaines, dans une totale ignorance de la part des autorités marocaines de leurs revendications légitimes, appelant au respect des droits humains au Sahara Occidental et à l’exercice par le peuple sahraoui de son droit inaliénable à à l’autodétermination et à l’indépendance, rappelle-t-on. (SPS)
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