« Le Maroc ne cédera pas un pouce de son Sahara », répète constamment le roi Mohamed VI dans des discours qu’il lit toujours avec difficulté. A propos de ses lectures, on peut se demander s’il n’a pas un Alzheimer précoce. Non seulement, il ne sait plus lire, mais en plus il oublie beaucoup de détails qui fondent ses arguments.
Le Maroc a déjà cédé presque la moitié du Sahara Occidental au régime de Mokhtar Ould Daddah. Mohamed VI semble oublier le cadeau que son père avait fait à la Mauritanie pour la faire sombrer dans un chaos qui lui a coûté la tête de son premier président.
Pour rappel, les Accords Tripartites de Madrid, signés par l’Espagne, la Mauritanie et le Maroc partagent l’ex-colonie espagnole entre ses deux voisins du Nord et du Sud. Ainsi, le Rio de Oro est administré par Nouakchott, entre 1975 et 1979, sous le nom de « Tiris El Gharbiya ». Suite à la décision du gouvernement mauritanien de se retirer du conflit sahraoui, les troupes marocaines ont investi la région pour empêcher le Front Polisario de s’y installer.
Mohamed VI a oublié aussi la lettre de bonnes intentions qu’il vient d’envoyer au président Bouteflika à l’occasion du 48ème anniversaire de l’indépendance de l’Algérie.
A cause de son amnésie, le roi du Maroc n’arrive pas à trouver la bonne voie pour rétablir les relations avec TOUS ses voisins. Celle fondée sur le respect de la souveraineté et l’intégrité territoriale de chaque pays.
Le langage utilisé dans son dernier discours est presque menaçant. On dirait la suite du raid franco-mauritanien en territoire malien. Les deux évènements semblent faire partie d’une offensive de la Françafrique contre l’Algérie et les sahraouis. Un coup de force pour imposer leur solution à la noix. Une dernière tentative de garder leurs intérêts dans la région, et surtout la vache laitière du Sahara Occidental.
Le ton violent du roi marocain peut être aussi une réponse franco-marocaine aux agissements des responsables américains qui ne cachent plus leur soutien aux efforts de l’Algérie en vue d’instaurer la paix dans toute la région et contrer la menace terroriste.
Le Maroc a déjà cédé presque la moitié du Sahara Occidental au régime de Mokhtar Ould Daddah. Mohamed VI semble oublier le cadeau que son père avait fait à la Mauritanie pour la faire sombrer dans un chaos qui lui a coûté la tête de son premier président.
Pour rappel, les Accords Tripartites de Madrid, signés par l’Espagne, la Mauritanie et le Maroc partagent l’ex-colonie espagnole entre ses deux voisins du Nord et du Sud. Ainsi, le Rio de Oro est administré par Nouakchott, entre 1975 et 1979, sous le nom de « Tiris El Gharbiya ». Suite à la décision du gouvernement mauritanien de se retirer du conflit sahraoui, les troupes marocaines ont investi la région pour empêcher le Front Polisario de s’y installer.
Mohamed VI a oublié aussi la lettre de bonnes intentions qu’il vient d’envoyer au président Bouteflika à l’occasion du 48ème anniversaire de l’indépendance de l’Algérie.
A cause de son amnésie, le roi du Maroc n’arrive pas à trouver la bonne voie pour rétablir les relations avec TOUS ses voisins. Celle fondée sur le respect de la souveraineté et l’intégrité territoriale de chaque pays.
Le langage utilisé dans son dernier discours est presque menaçant. On dirait la suite du raid franco-mauritanien en territoire malien. Les deux évènements semblent faire partie d’une offensive de la Françafrique contre l’Algérie et les sahraouis. Un coup de force pour imposer leur solution à la noix. Une dernière tentative de garder leurs intérêts dans la région, et surtout la vache laitière du Sahara Occidental.
Le ton violent du roi marocain peut être aussi une réponse franco-marocaine aux agissements des responsables américains qui ne cachent plus leur soutien aux efforts de l’Algérie en vue d’instaurer la paix dans toute la région et contrer la menace terroriste.
La Françafrique, résuccité par le président Mohamed Ould Abdelaziz fera encore parler d’elle. Les prochains épisodes s’annoncent pleins de mauvaises surprises auxquelles il faut se préparer.
Be the first to comment