Le ministère des Territoires Occupés du Polisario affirme que la police – les assassins de Elgarhi étaient des militaires – n’a informé ses parents qu’une fois le sépulcre achevé. Ils dénoncent que le cadavre de l’enfant “a été séquestré” et que “la famille n’avait point donné son consentement”. En outre, ils ajoutent que “sa mère n’a pu voir une dernière fois le visage de Elgarhi”.
Le Polisario considère l’action une “ruse cruelle” et dit qu’on n’avait pas permis à ses parents, ni à ses voisins, “de lui faire leurs derniers adieux et de lui montrer leur respect”.
Du côté marocain, seul le silence a, encore une fois, répondu à nos questions sur ces faits.
Guinguinbali, 26/10/2010
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