Dans une rencontre express organisée par le roi Mohamed VI et le Premier espagnol, Rodriguez Zapatero, celui-ci avait été pris en flagrante déclaration sur cette rencontre réalisée pour faire semblant que les relations hispano-marocaines sont invulnérables. Zapatero avait dit au roi du Maroc, « l’important c’est la photo » avant de poser pour les photographes des deux pays.
Toutes les rencontres importantes sont accompagnées d’entrées médiatiques pour lever l’évènement au rang d’évènement important. Depuis 2007, plusieurs rounds de négociations indirectes, directes, formelles, informelles… ont eu lieu entre les délégations sahraoui et marocaine. Cependant, aucune n’a été accompagné de la moindre poignée de mains entre les deux adversaires. Cela relève une question non banale : Pourquoi les autorités marocaines ne veulent pas se faire photographier avec les dirigeants du Front Polisario? Pourquoi la délégation marocaine accepte de s’asseoir sur la même table et de « négocier » sans vouloir serrer les mains devant les flashes des reporters? Trouver la réponse à cette question pourrait éclairer beaucoup d’esprits qui ne connaissent suffisamment les méthodes du Makhzen, et surtout ses mensonges.
Le comportement des responsables marocains s’explique par leurs discours officiels destinés à la consommation interne. Ce discours tient que le Polisario ne sont que des marionnettes de l’Algérie, des traîtres qu’il faut juger et condamner, que les réfugiés en Algérie sont des sequestrés entourés par l’armée algérienne. Pour pouvoir garder ce discours, aucune image ne doit filtrer sur les rencontres avec les sahraouis.
Lors de la première rencontre officielle d’une délégation sahraouie avec le roi Hassan II, celui-ci avait demandé d’arrêter les attaques médiatiques contre sa personne. Le Polisario a accepté au nom de la recherche d’une solution. L’équipe de Mohamed VI non seulement ne change pas de discours, pire encore, elle mène les actions de répression les plus sanglantes contre les citoyens civils sahraouis.
Le refus de se laisser voir avec les sahraouis trahit la volonté des autorités marocaines et c’est un message dirigé au peuple marocain : « Nous allons à New York parce que nous y sommes obligés et pas pour rencontrer les mercenaires de l’Algérie ».
L’attaque contre le camp de Gdeym Izik visait à saborder les négociations onusiennes et obliger le Polisario à reprendre les armes. Mais le Makhzen ne voit pas plus loin que la longueur de son nez. La sagesse des dirigeants sahraouis a mis les gouvernants de Rabat dans des sales draps. Il n’y aura pas de retour à la guerre par la provocation. Comme il n’y aura pas d’invasion des territoires libérés de la RASD. A moins que les conseillers de Mohamed VI ne le décident autrement.
Toutes les rencontres importantes sont accompagnées d’entrées médiatiques pour lever l’évènement au rang d’évènement important. Depuis 2007, plusieurs rounds de négociations indirectes, directes, formelles, informelles… ont eu lieu entre les délégations sahraoui et marocaine. Cependant, aucune n’a été accompagné de la moindre poignée de mains entre les deux adversaires. Cela relève une question non banale : Pourquoi les autorités marocaines ne veulent pas se faire photographier avec les dirigeants du Front Polisario? Pourquoi la délégation marocaine accepte de s’asseoir sur la même table et de « négocier » sans vouloir serrer les mains devant les flashes des reporters? Trouver la réponse à cette question pourrait éclairer beaucoup d’esprits qui ne connaissent suffisamment les méthodes du Makhzen, et surtout ses mensonges.
Le comportement des responsables marocains s’explique par leurs discours officiels destinés à la consommation interne. Ce discours tient que le Polisario ne sont que des marionnettes de l’Algérie, des traîtres qu’il faut juger et condamner, que les réfugiés en Algérie sont des sequestrés entourés par l’armée algérienne. Pour pouvoir garder ce discours, aucune image ne doit filtrer sur les rencontres avec les sahraouis.
Lors de la première rencontre officielle d’une délégation sahraouie avec le roi Hassan II, celui-ci avait demandé d’arrêter les attaques médiatiques contre sa personne. Le Polisario a accepté au nom de la recherche d’une solution. L’équipe de Mohamed VI non seulement ne change pas de discours, pire encore, elle mène les actions de répression les plus sanglantes contre les citoyens civils sahraouis.
Le refus de se laisser voir avec les sahraouis trahit la volonté des autorités marocaines et c’est un message dirigé au peuple marocain : « Nous allons à New York parce que nous y sommes obligés et pas pour rencontrer les mercenaires de l’Algérie ».
L’attaque contre le camp de Gdeym Izik visait à saborder les négociations onusiennes et obliger le Polisario à reprendre les armes. Mais le Makhzen ne voit pas plus loin que la longueur de son nez. La sagesse des dirigeants sahraouis a mis les gouvernants de Rabat dans des sales draps. Il n’y aura pas de retour à la guerre par la provocation. Comme il n’y aura pas d’invasion des territoires libérés de la RASD. A moins que les conseillers de Mohamed VI ne le décident autrement.
Depuis l’intronisation de Mohamed VI, le Maroc a tourné le dos au référendum d’autodétermination au Sahara Occidental. Sa plus grande erreur? Croire que les zig-zags, les menaces, les mensonges et le soutien français vont lui rapporter les poissons et les phosphates sahraouis sur un plateau d’or. Depuis plus de 35, le Maroc et ses alliés franco-sionistes sous-estiment la détermination des sahraouis. C’est là, leur plus grosse erreur.
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