Said Ould Sidahmed, 26 ans, connu par le nom de Dambar, employé à la maison communale d’El Aaiun, discutait avec un policier de la question du Sahara Occidental. Le policier sort son pistolet et lui incruste une balle entre les yeux, à bout portant. Said tombe par terre. Il a été transporté à l’hôpital Moulay Ben Mehdi, en vain. Il restera en état de mort cérébral jusqu’au lendemain. Son décès est inévitable à cause de la gravité de la blessure.
Le défunt est la troisième victime mortelle reconnue par les mandataires marocains. Avant lui, les forces d’occupation avaient tiré aussi sur Najem El Gareh, un jeune d’à peine 14 ans qui amenait de la nourriture à sa famille qui avait campé à Gdeym Izik pour protester contre les conditions de vie d’une grande partie des sahraouis sur le sol de leur propre terre, alors que l’occupant et ses colons profitent des richesses halieutiques et minières sahraouies.
La deuxième victime reconnue par Rabat était Boujemaa Gargar, un citoyen espagnol écrasé par une voiture de la police devant les yeux de ses amis et en plein quartier résidentiel. La ville s’était embrassée à cause de l’agression marocaine contre le camp sahraoui.
Ni Najem ni Boujemaa avaient été enterrés légalement. Leurs familles n’ont pas eu l’occasion d’accompagner les leurs dans les dernières demeures. Le Makhzen a enterré ces citoyens dans le secret total. Fera-t-il de même avec Said? Très probable. La vie des sahraouis ne vaut rien au Maroc. Ce qui a de la valeur, c’est l’argent récolté et offert à la France, les USA, l’UE, etc. Ceux-ci ne bougeront pas un doigt pour condamner ce nouvel assassinat perpétré par les forces de répression marocaines contre un civil sahraoui innocent.
Le défunt est la troisième victime mortelle reconnue par les mandataires marocains. Avant lui, les forces d’occupation avaient tiré aussi sur Najem El Gareh, un jeune d’à peine 14 ans qui amenait de la nourriture à sa famille qui avait campé à Gdeym Izik pour protester contre les conditions de vie d’une grande partie des sahraouis sur le sol de leur propre terre, alors que l’occupant et ses colons profitent des richesses halieutiques et minières sahraouies.
La deuxième victime reconnue par Rabat était Boujemaa Gargar, un citoyen espagnol écrasé par une voiture de la police devant les yeux de ses amis et en plein quartier résidentiel. La ville s’était embrassée à cause de l’agression marocaine contre le camp sahraoui.
Ni Najem ni Boujemaa avaient été enterrés légalement. Leurs familles n’ont pas eu l’occasion d’accompagner les leurs dans les dernières demeures. Le Makhzen a enterré ces citoyens dans le secret total. Fera-t-il de même avec Said? Très probable. La vie des sahraouis ne vaut rien au Maroc. Ce qui a de la valeur, c’est l’argent récolté et offert à la France, les USA, l’UE, etc. Ceux-ci ne bougeront pas un doigt pour condamner ce nouvel assassinat perpétré par les forces de répression marocaines contre un civil sahraoui innocent.
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