Le prisonnier, arrêté après le démantèlement sanglant du camp de Gdeim Izik, (dans la banlieue d’El Aaiun, capitale occupée du Sahara Occidental, ndds) le 8 octobre 2010, a refusé de répondre aux questions du juge en l’absence de ses avocats, qui n’ont pas été avisé de la date de son procès, a ajouté la même source. Le jugement sera reporté à vendredi, a-t-on indiqué.
Ils sont vingt prisonniers politiques sahraouis détenus à la prison de Salé-Rabat qui seront traduits devant un tribunal militaire à la suite de leur participation aux événements de Gdeim Izik.
Ils souffrent de mauvais traitements, des tortures, viols et privation des droits fondamentaux tels que le traitement médical en raison de leurs positions politiques sur la question du Sahara occidental. (SPS)
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