RABAT – Les familles des prisonniers politiques sahraouis incarcérés à la prison de Salé (près de Rabat), depuis le démantèlement par les forces marocaines du camp de Gdeim Izik le 8 novembre 2010 à Al-Aaiun (capitale occupée du Sahara occidental), ont lancé mardi un appel à leur libération inconditionnelle, ou alors l’organisation d’un procès juste et équitable devant la justice civile.
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