Dans une lettre adressée lundi au secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-moon, le président Abdelaziz, a considéré que cette inclusion est une violation « grave » du droit international. « L’inclusion du Sahara occidental dans les élections législatives marocaines est une violation grave du droit international en ce qui concerne les territoires non-autonomes contenus dans l’ordre du jour du Comité spécial des 24 et de la Quatrième Commission de l’Assemblée générale », a-t-il rappelé.
« Le gouvernement sahraoui qui est membre au sein de l’Union africaine (UA), tout comme le Front Polisario qui est une partie dans le processus de paix sous l’égide des Nations unies ne peuvent dénoncer une nouvelle forme de politique de fuite en avant du Maroc dans les territoires non-autonomes », est-il écrit à cet égard.
« La violation des droits de l’Homme par le Maroc laisse ce pays loin des médias et des observateurs internationaux », a déclaré Mohamed Abdelaziz.
S’ajoute à cela, les opérations de pillage par le Maroc des richesses naturelles du Sahara occidental.
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