Ali Anouzla est le prototype du citoyen marocain que nous avons toujours dénoncé dans nos écrits. Ce marocain qui défend avec bec et ongles le mensonge de la marocanité du Sahara Occidental. Pire encore, il embrasse, consciemment ou inconsciemment, les mensonges de la MAP sur le Front Polisario et les réfugiés sahraouis.
Il fait partie de cette couche d’intellectuels marocains qui ont décidé de soutenir le Makhzen dans la question du Sahara Occidental en vue de réaliser leurs objectifs personnels.
Dans une de ses dernières sorties, Anouzla prétend que le front Polisario continue d’imposer sa volonté sur les réfugiés sahraouis à Tindouf. Son torchon rappelle, à la nausée, les délires de la MAP pour monter le peuple marocain contre le courage d’un peuple pour défendre sa cause et le sol de sa patrie.
Anouzla ressemble étrangement ce chien qui, par peur, obéît davantage à celui qui le maltraite. Mais les chiens aboient et la caravane de la liberté passe, qu’Anouzla le veuille ou pas. Lui et son genre d’enfants de la MAP sont incapables de comprendre que seule une conviction nationale solide peut être derrière la pérennité de ce conflit qui dure déjà près de 40 ans. Le lait qu’ils ont tété de leur maître, le Makhzen, était trop toxique.
Au malheur de ces marocains, la causa sahraouie survivra tant qu’il y aura un sahraoui sur terre.
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