En effet, le Maroc, au lieu de défendre les africains, il les tue, au nom de la défense des intérêts des pays européens. Maintes fois dénocé par les ONG humanitaires, le Maroc fait recours à la population pour réprimer les immigrés subsahariens. Une méthode souvent utilisé contre les opposants marocains et les activistes des droits de l’homme du Sahara Occidental
Suite à l’assassinat du jeune sénégalais Charles Ndour, ils étaient des centaines d’immigrés du Sénégal, Côte d’Ivoire, Guinée, Cameroun et d’autres pays de l’Afrique de l’Ouest à manifester contre le sort réservé à ce jeune de 26 ans dont le seul crime était de vouloir se rendre en Espagne.
Ils demandaient qu’on les laisse partir en Espagne, qu’ils ne veulent pas rester au Maroc, pays qu’ils qualifiaient d’assassin.
D’une seule voix ils criaient : Liberté ! Droits de l’homme !
« On n’est pas dans un pays de droit », disait l’un d’eux. Un autre dénonce : « Le Maroc ne veut pas de l’Afrique ».
« On n’est pas des animaux ! On en a assez, on est fatigués, on veut sortir du Maroc ! On ne veut pas rester au Maroc, laissez-nous passer au Maroc ! On est fatigués du Maroc, un pays raciste ! Marocains, assassins ! Racistes ! »
En effet, le Maroc, au lieu de défendre les africains, il les tue, au nom de la défense des intérêts des pays européens. Maintes fois dénocé par les ONG humanitaires, le Maroc fait recours à la population pour réprimer les immigrés subsahariens. Une méthode souvent utilisé contre les opposants marocains et les activistes des droits de l’homme du Sahara Occidental
Le silence des pays d’origine de ces malheureux est aussi criminel que l’acte commis contre le jeune Ndour. Cette complicité entre le régime marocain et les serviteurs de la Françafrique doit être dénoncé.
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