Le roi du Maroc gouverne-t-il la France ? Ses sujets parmi les terroristes, les ministres, les trafiquants, les criminels …
Dernière mise à jour le jeudi 07/01/2016
Un marocain attaque le commissariat du 18ème à Paris. Il est neutralisé par les policiers. Il a agit pour le compte de l’Etat islamique.
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La liste des auteurs et complices des attentats du vendredi 13 février 2015 à Paris ne cesse de s’allonger. La plupart de ces criminels sont marocains même s’ils sont nés en France ou en Belgique de parents marocains, belgo-marocains ou franco-marocains car, dans les pays musulmans, conformément à la charia, on ne peut jamais quitter ni la nationalité d’origine, ni la religion musulmane.
Il serait peut-être temps pour nos autorités de revoir l’autorisation de double nationalité qui encourage le refus d’intégration. Dans un monde idéal où on ne retrouverait pas autant de bi-nationaux parmi les délinquants et les terroristes, il va de soi que chacun pourrait être libre mais les évènements tragiques qui viennent de se dérouler mettent le projecteur sur ce qui est une anomalie au regard de la sécurité du peuple de France.De gauche droite : Brahim Abdeslam, Bilal Hadfi, Abdelhamid Abaaoud, Salah Abdeslam Samy Amimour.
Permalien de l’image intégrée
Bilal Hadfi, Français de 20 ans, résidait en Belgique.
Abdelhamid Abaaoud, origine marocaine, commanditaire présumé des attentats
Salah Abdeslam né il y a 26 ans à Bruxelles
Samy Aminour est originaire de Drancy (Seine-Saint-Denis)
Ismaël Omar Mostefaï a été tué vendredi. Il est né à Courcouronnes (Essonne) et a vécu à Chartres.
Mohamed Amri
Hamza Attou
Brahim Abdeslam, Français résidant en Belgique
Ahmed Damani La Turquie a annoncé samedi l’arrestation d’Ahmed Dhamani, un homme de nationalité belge, d’origine marocaine, soupçonné d’avoir participé à des opérations de reconnaissance pour choisir les sites parisiens attaqués par les jihadistes.
Lazez Abraïmi, ressortissant marocain de 39 ans résidant à Jette- a été arrêté en même temps que trois autres personnes suspectées d’être en lien avec les attentats de Paris. Il vient d’être placé en détention pour un mois supplémentaire. http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/attentat-de-paris-l-un-des-suspects-avait-des-armes-car-il-faisait-des-brocantes_1739571.html
Mohamed Abrini, Belgomarocain, homme à tout faire actuellement recherché sous mandat international, dangereux et probablement armé.
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/artificier-complice-chauffeur-le-role-obscur-de-mohamed-abrini_1739243.html
Jawad Bendaoud, le logeur des terroristes à Saint-Denis, marchand de sommeil, truand, bête et dangereux selon la police. Jawad est condamné en 2008 à huit ans de prison pour coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
Hasna Aït Boulahcen, née en France origine marocaine
La famille d’Hasna Haït Boulahcen est arrivée en France en 1973 et s’est installée dans la région parisienne, où la future kamikaze est née, en 1989 à Clichy-la-Garenne. Le père est arrivé plus tard en Moselle, peut-être dans un premier temps avec sa famille. La dernière fois que le nom de la jeune femme apparaît sur des documents publics, c’est le 15 mai 2013, où dans une annonce légale enregistrée au tribunal de Bobigny, elle est nommée gérante de Beko Construction, une société implantée à Clichy-sous-Bois. Une entreprise inactive depuis deux ans.http://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-saint-avold-creutzwald/2015/11/19/kamikaze-de-saint-denis-des-liens-familiaux-a-creutzwald
LES PHOTOS PRISES A CREUTZWALD SONT ICI.
http://videos.lexpress.fr/actualite/societe/video-portrait-d-hasna-ait-boulahcen-premiere-kamikaze-de-france_1737798.html
Selon France Bleu, la société d’Hasna Aït Boulahcen était auparavant basée à Creutzwald (Moselle). Citant le maire de la commune, la radio révèle que le père de la jeune femme est toujours domicilié là-bas mais passe la majorité de son temps au Maroc, d’où la famille est originaire. Les gendarmes effectuent actuellement des vérifications sur place.
http://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/021492637647-qui-sont-les-auteurs-des-attentats-du-13-novembre-1176687.php
Charaffe al Mouadan
Le djihadiste français Charaffe al-Mouadan, dont les Américains ont annoncé mardi la mort en Syrie, était proche d’au moins un des kamikazes du Bataclan, Samy Amimour, sur lequel il exerçait un ascendant. Selon le Pentagone, ce Français a été tué le 24 décembre. Washington le présente comme « lié directement » à Abdelhamid Abaaoud, le djihadiste belge soupçonné d’être l’organisateur des attentats du 13 novembre à Paris, et affirme qu’il « préparait activement d’autres attaques » au nom de l’organisation État islamique (EI)…Al-Mouadan et Amimour avaient été arrêtés mi-octobre 2012 avec un troisième habitant de Drancy, Samir Bouabout : ils projetaient de partir combattre, au Yémen ou en Afghanistan, via la Somalie. Dans le trio, visé par un mandat d’arrêt depuis octobre dernier, l’ascendant était clairement exercé par al-Mouadan, se souvient une source proche de l’enquête de l’époque. Dernier d’une fratrie de huit enfants, ce fils d’un mécanicien est né à Bondy de parents marocains.
http://www.lepoint.fr/monde/syrie-un-militant-de-l-ei-lie-au-cerveau-des-attentats-de-paris-tue-29-12-2015-2005948_24.php
http://www.bvoltaire.fr/extvideo/francais-jihadiste-tue-le-profil-de-charaffe-al-mouadan
J’avais commencé cet article le 30 septembre, les événements me contraignent à le terminer.
Encore des Marocains parmi les terroristes ! Marocains parce qu’on ne quitte jamais la nationalité marocaine, c’est interdit. Les états musulmans étant des théocraties, renoncer à la nationalité d’une dictature musulmane, c’est renoncer à l’islam, donc devenir apostat, ce qui est puni de mort en Islamie. Ceci est la réalité car, en théorie, on peut renoncer à la nationalité musulmane si le roi y consent par décret royal.
Comme c’est interdit, on a droit à la double nationalité de façade. Franco-marocains, Belgo-marocains, Italo-marocains, Euro-marocains, parmi eux nombreux sont ceux qui crachent dans la soupe de leur pays d’adoption et font passer les intérêts de l’islam et de leur monarque avant tout reconnaissance et solidarité avec le pays qui les nourrit, les soigne et les instruit. Je dis bien, « nombreux » car, bien sûr, des Marocains bienveillants, éduqués et solidaires, ceux-là existent et si nous pouvons les remercier, ils peuvent se remercier eux-mêmes pour leur intelligence de coeur. Quand les Marocains sont bienveillants, ils sont terriblement chaleureux et sympathiques. Je le sais d’expérience.
Pourquoi tant de faveurs accordées aux Marocains par nos dirigeants ? Qu’ont-ils de plus que les Français ces Marocains qui ont été nourris grâce à leur diaspora implantée en France avec des avantages notables dont l’indulgence des autorités sur le trafic de cannabis, des accommodements « raisonnables » qui ne nous valent qu’ingratitude et désordre ?
14 janvier 2015 Bernard Cazeneuve promet la légion d’honneur française à Abdellatif Hammouchi, le chef marocain de la DGST et de la DGSN.
Qu’a fait le sieur Hammouchi pour la France qui mérite l’ insigne d’officier de la Légion d’honneur ?
…l’homme en question fait l’objet de trois plaintes, dont deux pour complicité de torture et faits de torture qui se seraient déroulés au centre de détention de Témara. Quel rapport avec la France, me direz-vous ? L’un des plaignants est franco-marocain. Qui plus est, la visite en France, l’année dernière, du ministre de l’Intérieur marocain accompagné, précisément, d’Abdellatif Hammouchi s’était soldée par un incident diplomatique tel qu’il avait jeté un froid polaire sur les relations franco-marocaines.
L’ACAT (Action des chrétiens pour l’abolition de la torture) avait alors demandé, dans le cadre de ces plaintes, l’audition du sieur Hammouchi devant la justice. Et, le moins que l’on puisse dire, c’est que les inspecteurs français avaient déclenché la grosse cavalerie, profitant de l’absence du ministre de l’Intérieur marocain à la résidence de l’ambassadeur du Maroc en France pour notifier au chef DGST et DGSN sa convocation devant le juge d’instruction. Vexation pour le Maroc,« incident regrettable » pour Paris… Un an plus tard, François Hollande entame une visite de « travail et d’amitié ». http://www.bvoltaire.fr/carolineartus/poursuivi-actes-de-torture-aura-meme-legion-dhonneur,207390
http://www.leparisien.fr/international/edition-a-l-origine-de-la-brouille-entre-la-france-et-le-maroc-l-ex-boxeur-s-explique-30-09-2015-5141447.php
L’homme par qui la brouille diplomatique entre Paris et Rabat est arrivée s’explique. Ce mercredi sort son livre «L’homme qui voulait parler au roi» (éd. Calmann-Lévy). Ancien champion du monde de kickboxing, Zakaria Moumni, y donne la raison de sa plainte pour torture déposée en France contre le patron du contre-espionnage marocain. «J’ai longtemps cru en Mohammed VI. Je l’aimais bien», affirme l’ancien boxeur qui a renoncé à la nationalité marocaine pour prendre la nationalité française.
Il dénonce dans l’ouvrage la corruption qui «empoisonne» selon lui lafédération sportive marocaine de kickboxing. Affirmant avoir été mis sur la touche à la suite de ces accusations, il décide d’en référer au roi. Mais toutes ses tentatives d’approcher le souverain «demeurent vaines», explique-t-il. Émigré en France en 2007, l’ex-champion du monde cherche toujours à contacter le roi… en vain. En janvier 2010, il ira manifester seul sous les grilles du château de Mohammed VI dans l’Oise, au nord de Paris.
Interpellé une première fois en 2010 à Casablanca lors d’une visite au Maroc, Zakaria Moumni est «enlevé» à l’aéroport de Rabat par des agents de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) du Maroc lors d’une seconde visite dans le royaume en septembre 2010. Durant quatre jours, avance-t-il, il sera torturé. Il est détenu au secret à Témara, siège de la DGST. Il sera finalement condamné dans une affaire d’escroquerie à 30 mois de prison au terme d’un procès qualifié d’«inéquitable» par Human Rights Watch. Ses aveux ont été arrachés sous la torture, dit-il.
«J’ai confiance dans la justice française»
Libéré en février 2012 après une grâce royale, il retourne en France. En février 2014, il dépose plainte pour torture en visant notamment Abdellatif Hammouchi, patron de la DGST, qu’il accuse d’avoir assisté aux sévices qu’il aurait subis. Rabat dénonce des «mensonges» et un «chantage» de Zakaria Moumni à l’encontre de l’État marocain. «Je rappelle que M. Moumni a fait l’objet d’une plainte pour dénonciation calomnieuse qui est à l’instruction à Paris ainsi que d’une citation directe devant le tribunal correctionnel pour diffamation à l’encontre du Maroc», a déclaré à l’AFP l’un des avocats de Rabat en France, Me Ralph Boussier.
Cette plainte et d’autres visant également le patron du Renseignement marocain Adellatif Hammouchi ont entraîné une grave crise diplomatique entre Paris et Rabat. La brouille a pris de l’ampleur en février 2014. Après la plainte de l’ex-boxeur, des policiers français s’étaient rendus à la résidence de l’ambassadeur du Maroc à Neuilly-sur-Seine pour notifier au patron de la DGST — en visite en France — une convocation d’un juge d’instruction. Rabat proteste vigoureusement et suspend sa coopération judiciaire avec Paris.
La coopération franco-marocaine a repris en 2015 à la faveur d’un accord judiciaire qui prévoit notamment d’instruire prioritairement au Maroc les plaintes des binationaux franco-marocains. Des visites ministérielles ont suivi, puis des rencontres entre le roi du Maroc et le président Hollande, pour apaiser les relations entre les deux pays.
Mais, selon Zakaria Moumni, sa plainte contre Abdellatif Hammouchi, antérieure à cet accord, demeure valable. «J’ai confiance dans l’État français et j’ai confiance dans la justice française», écrit l’ancien champion qui affirme être «revenu des ténèbres». Mercredi, une source proche du palais marocain, «dénonce vertement les objectifs» de l’ancien champion de boxe, et assure que ce livre aurait été écrit par Catherine Graciet, la journaliste mise en examen, en compagnie de son confrère Eric Laurent, pour «extorsion de fonds» et «chantage» contre Mohamed VI. Dans cette affaire rocambolesque, les deux journalistes admettent un «accord financier» pour ne pas publier leur propre enquête mais démentent catégoriquement toute forme de chantage. Ils affirment être tombés dans un «traquenard» du régime marocain.
01/10/2013 Le tribunal correctionnel de Paris a condamné, ce lundi, sept membres d’un réseau terroriste en France dédié au recrutement et à la formation de jihadistes à des peines allant de 18 mois à 8 ans. Selon l’AFP, le supposé leader du groupe, Mohamed Niaz Abdul Raseed, un Indien âgé de 24 ans, a été condamné à huit ans de prison et s’est vu refuser définitivement l’entrée sur le territoire français.
Ses deux bras droits franco-marocains de 27 et 24 ans, Charaf-Din Aberouz et Saad Rajraji, ont été condamnés à des peines de cinq ans de prison. Charaf-Din a été interpellé en 2011 à l’aéroport de Lahore au Pakistan lorsqu’il attendait un membre du réseau Al-Qaïda qui devait le conduire dans un camp d’entraînement militaire.
Durant la même opération, un français d’origine pakistanaise de 24 ans, Zohab Ifzal, a été arrêté. Il a été condamné par le même tribunal à 3 ans et demi de prison. Les tribunaux français ont condamnés les sept prévenus, dont un est en fuite, pour « association de malfaiteurs en vue de commettre des actes terroristes », précise la même source.
02/08/2014
Un jihadiste franco-marocain en provenance d’Istanbul et expulsé par les autorités turques a été interpellé samedi à l’aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle et placé en garde à vue, a annoncé le ministère de l’Intérieur.
L’homme, dont l’âge et l’identité n’ont pas été précisés, a été interpellé à son arrivée en France par des policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) dans le cadre d’une enquête préliminaire pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes », a ajouté le ministère dans un communiqué.
Source LLJ
26 août 2014 Najat Vallaud-Belkacem, franco-marocaine est nommée ministre de l’Education nationale alors qu’elle n’a ni compétence ni expérience dans ce domaine
Zacarias Moussaoui, né en France de parents marocains, Le 3 mai 2006, au terme de deux mois de procès et de sept jours de délibération, il est reconnu coupable1 par le jury du tribunal fédéral d’Alexandria en Virginie, États-Unis, de six chefs d’accusation de complot en liaison avec les attentats du 11 septembre 2001 et condamné à la prison à perpétuité, sans possibilité de remise de peine. En février 2015 a été publiée une déclaration de Moussaoui sur l’implication de l’Arabie saoudite dans le financement de Al Qaeda et la préparation des attentats du 9/11.
23 janvier 2015 Le Conseil constitutionnel a validé, ce vendredi, la déchéance de nationalité d’un jihadiste franco-marocain. Ahmed Sahnouni a été condamné pour terrorisme en 2013.
Les Sages ont donné leur verdict. Le Conseil constitutionnel a approuvé, vendredi, la déchéance de nationalité française décrétée en mai dernier par le gouvernement à Ahmed Sahnouni. Né à Casablanca en 1970 et naturalisé Français le 26 février 2003, Ahmaed Sahnaoui a écopé en 2013 de 7 ans de prison pour des faits de terrorisme. Son avocat a réfuté la validité du décret par une Question prioritaire de constitutionnalité (QPC), que le Conseil d’État a transmise au Conseil constitutionnel. Ce dernier a statué aux dépens du Franco-Marocain.
25 janvier 2015 Un Marocain interpellé avec dix kilos de cannabis
…Suite : http://www.yabiladi.com/articles/details/32923/france-marocain-interpelle-avec-kilos.html
8 février 2015 Trafic de drogue démantelé entre le Maroc et le Gard via l’Espagne
16 avril 2015 Jihadistes français d’origine marocaine arrêtés au Maroc
Une ressortissante française et son compagnon marocain ont été arrêtés, jeudi 16 avril 2015, au Maroc, dans la ville de Safi, par les éléments du Bureau Central d’Investigations Judiciaires (BCIJ) relevant de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), alors qu’ils planifiaient un « acte terroriste au Maroc ou à l’étranger, au nom de l’Etat islamique (EI) », a annoncé le ministère de l’Intérieur.
Cette ressortissante française d’origine marocaine, identifiée par ses initiales (S.H.), et son compagnon marocain (Y.C.), qui résidaient auparavant dans un pays européen, « s’apprêtaient à rejoindre les rangs de l’EI en Syrie et en Irak », selon le ministère…
Par ailleurs, plusieurs Français qui avaient des visées djihadistes ont été arrêtés au Maroc. L’un d’eux avait été interpellé, en juillet 2014, à Tanger, alors qu’il s’apprêtait à regagner son pays pour mener des opérations de recrutement au nom du Front Al-Nosra, un groupe actif en Syrie. Un Français avait été condamné à de la prison ferme, en février, au Maroc, pour des affaires en lien avec le terrorisme.
Un Marocain résidant en France, accompagné de ses deux filles, avait été interpellé à Casablanca, en octobre dernier, alors qu’il cherchait à rejoindre le groupe Etat islamique via la Turquie.
15 août 2015 Nabil Ibelati, braqueur d’une bijouterie cannoise, franco-marocain, a été interpellé au Maroc. Né en France, il avait choisi le Maroc. Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international. Il avait commis son forfait avec son frère et Najib Zebali.
21 août 2015 Attaque terroriste du Thalys Amsterdam-Paris par le Marocain Ayoub-el-khazzani
6 septembre 2015 Nomination de Myriam El Khomri, franco-marocaine comme ministre du travail alors qu’elle n’a ni compétence ni expérience en ce domaine
9 septembre 2015 Les douaniers ont intercepté un camion immatriculé en France et conduit par un Marocain de 35 ans. Ce camion frigorifique contenait une tonne de cannabis
10 septembre 2015 Sous le coup d’ une ordonnance de quitter le territoire français (OQTF), le Marocain de 24 ans harcelait des collégiennes dans l’espoir de se marier pour pouvoir rester en France
14 septembre 2015 un septuagénaire revenant du Maroc transportait 3.4kg de cannabis dans sa camionnette. Ils lui aurait été confiés par quelqu’un de son village du Maroc. Il a été interpellé à la sortie du ferry, à Sète.
21 septembre 2015 La SNCF a été condamnée à verser 200 000euros à des retraités marocains, pour discrimination.
22 septembre 2015 Ahmed Sahnouni El Yaacoubi, franco-marocain a été explusé de France après avoir été déchu de la nationalité française en 2014. Ce jihadiste marocain arrêté en 2010 pour terrorisme a été durant sa détention à l’origine de la radicalisation de plusieurs codétenus. Il avait été condamné à 7 ans de prison en 2013.
13 novembre 2015 : six attentats commis simultanément à Paris. 140 morts, 300 blessés, la population française traumatisée. Plusieurs marocains parmi les terroristes impliqués
Vendredi 04 Décembre 2015-La police espagnole a interpellé un marocain de 37 ans en vertu d’un mandat d’arrêt international, délivré par les autorités marocaines pour violence physique contre son ex-femme, comme rapporté par telquel.ma.
L’affaire remonte à mi-décembre 2014, lorsque cet homme aurait frappé et blessé safemme Rechercher femme avec un couteau, lui causant de graves blessures au visage.
16 décembre 2015 Un Marocain tente de forcer l’entrée de l’hôtel des Invalides avec sa voiture. Il est arrêté par les coups de feu des gendarmes de service. A 13 heures, l’individu, a priori inconnu de la justice, était en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie. Selon nos informations, il aurait demandé à voir sa femme et son avocat. L’homme aurait fourni une identité aux enquêteurs, affirmant être né au Maroc et être âgé de 37 ans. Il n’a encoure donné aucune explication sur son geste.
07/01/2016 un Marocain attaque le planton du commissariat du XVIIIème à Paris, il est abattu par la police
18h19. L’homme abattu par les policiers est un Marocain de 20 ans,mis en cause pour vol en 2013 à Sainte-Maxime dans le Var. A l’époque des faits, l’homme avait déclaré aux gendarmes chargés de l’enquête s’appeler Sallah Ali. Il se présentait comme un sans domicile fixe, né en 1995 à Casablanca au Maroc. Ses empreintes digitales avaient alors été entrées dans le Fichier automatisé des empreintes digitales (FAED) et correspondent à celles de l’homme tué après avoir attaqué le commissariat…17h26. L’assaillant prête allégeance à Al-Baghdadi, le leader de l’Etat islamique, dans le texte de revendication retrouvé sur lui, selon BFMTV.
16h43. Le papier retrouvé sur l’agresseur évoque «des actes pour venger les morts en Syrie» et contient un dessin d’un drapeau de l’organisation jihadiste Etat islamique (EI), a précisé une source proche de l’enquête. L’homme était vêtu d’un manteau sombre, dans lequel était dissimulée une petite pochette scotchée d’où sortait un fil. Un robot de déminage a permis de s’assurer que ce dispositif ne contenait pas d’explosifs.
La Connectrice
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