Le silence des élites françaises et belges sur la collusion entre djihadisme et trafic de cannabis a contribué grandement à la prolifération du terrorisme dans ces deux pays. Pour Lui, les polices du Maghreb ne peuvent ignorer cette réalité.
La Commune de Molenbeek, source des derniers horreurs qui ont secoué ces deux pays est connu pour être le fief du Makhzen compte tenu de la grande communauté marocaine qui y résident. Philippe Moureaux, celui qui pendant plus de 20 ans a présidé son Conseil Municipal est marrié à una marocaine et a jumelé sa commune avec la ville marocaine d’Oujda. Pour s’assurer les votes de l’électorat belgo-marocain, Moureaux a fermé les yeux sur tous les trafics auxquels se livraient les marocains de Molenbeek. Il y a même permis l’installation de coffee-shops, même s’il exigeait une certaine discrétion. Il a fait de sa commune une petite Amsterdam en plein coeur de Bruxelles.
Phillipe Moureaux, ce grand ami du Maroc, principal source de ce poison devenu la première source de financement des traficants devenus plus tard des terroristes.
Pourtant, les services secrets marocains sont au courant de tout ce qui se trame dans les milieux marocains. Comment peut’on expliquer le silence du Maroc sur les agissements de ses ressortissants? Est-il un moyen de pression visant à s’imposer comme partenaire inconturnable contre la mouvance terroriste.
Les citoyens marocains se trouvent derrière les plus grands attentats commis en Europe et ils ont été mobilisés au Proche Orient pour combattre le mouvement haouthie au Yémen et le gouvernement chiite en Irak. Peut-on ignorer cette réalité en Europe?
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