Le Maroc craint un changement dans le mandat de la MINURSO. Une note révélée par le hacker Chris Coleman apporte les raisons de cette crainte.
La composante civile de la mission onusienne pour le Sahara Occidental chargé du référendum et pourrait être chargée de la surveillance de la situation des droits de l’homme.
Pour le Maroc, accepter l’élargissement du mandat de la MINURSO ou la mise en place d’un mécanisme de surveillance des droits de l’homme est « synonyme de timorisation du dossier, et in fine, prélude à une indépendance programmée de cette région », selon les termes de l’ambassadeur Omar Hilale dans une note envoyée à son ministère.
Hilale rappelle que « les composantes des droits de l’homme sont intégrées dans 15 missions de maintient de la paix et missions spéciales de soutien politique et de consolidation de la paix : en Afghanistan, au Burundi, en Répulique Centrafricaine, en côte d’Ivoire, au Darfour, en RDC, en Guinée Bissau, à Haiti, en Iraq, en Libye, au Libéria, au Sierra Leone, en somalie, au Doudan et au Timor-Leste ».
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