Le magazine Jeune Afrique qui roule grâce à l’argent des dictateurs du club gaulois de la Françafrique, à force de trop écouter les prétendues confidences des responsables marocains, tombent dans le mensonge et la désinformation.
En effet, les voyous de Rabat dans le cadre de la campagne menée contre la candidature de l’algérien Ramtane Lamamra au poste de président de la Commission Politique de l’Union Africaine, ont voulu salir la réputation d’Alger auprès du président de la Guinée Conakry.
Tombé dans le piège marocain, Jeune Afrique avait écrit le 28 septembre 2016 que “Le Guinéen Alpha Condé était bien parti pour succéder au Tchadien Idriss Déby Itno à la présidence de l’UA, en janvier 2017”. “Mais cela ne va plus de soi, car Alger s’inquiète de « l’alignement total » de Conakry sur les positions de Rabat à propos de la République arabe sahraouie démocratique (RASD). La diplomatie algérienne préfèrerait à Condé le Nigérien Mahamadou Issoufou, plus modéré à ses yeux”, ajoute le magazine.
Le lendemain, Jeune Afrique a écrit un cinglant démenti du chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra. Il leur a fait savoir que ni lui ni aucun membre du gouvernement auquel il appartient n’a formulé de critiques publiques (déclarations, communiqués ou interviews) à l’égard de la position de la Guinée concernant le dossier du Sahara occidental.
« Par ailleurs, ajoute le journal, l’ancien ministre guinéen des Affaires étrangères François Louncény Fall précise que, contrairement à son ancienne collègue burkinabè Minata Samaté, il n’est pas candidat au poste de commissaire aux Affaires politiques de l’UA – ce qui est exact : il était jusqu’à une date récente candidat à celui de vice-président de la Commission ».
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