Selon le représentant du Maroc auprès des Nations Unies, Mohammed Loulichki, il est « de la plus haute importance de sécuriser une position ferme et combative de la France et une attitude positive de l’Espagne afin de contenir l’activisme américain ».
Les marocains ont réussi leur pari grâce, entre autres, à la décision de suspendre la coopération judiciaire avec la France.
Les français, devenant plus royalistes que le roi, ont appris à cœur les semblants d’arguments avancés par le Maroc en vue de poursuivre sa répression contre la population civile sahraouie.
Dans cette note du 18 février 2014, le représentant permanent de la France auprès de l’ONU, M. Alexis Lamek, s’expriment devant son homologue américain, Mme Rosemary DiCarlo, dans des termes qui se confondent avec le langage marocain.
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