Les organisations qui appuient l’autodétermination pour le Sahara occidental, y compris l’ASVDH et le Collectif Sahraoui des Défenseurs des droits de l’homme sont interdites d’association et de manifestation.
Les libertés d’expression, de presse, de réunion et d’association sont bafoués;
Le recours à la détention arbitraire et la violence physique et verbale des détenus lors des arrestations et de l’emprisonnement, sont monnaiees courantes.
L’imunité des policiers et autres fonctionnaires accusés de torture.
La corruption est érrigé comme méthode de gouvernance notamment au sein des forces de sécurité et du système judiciaire;
Les sahraouis revendiquant l’indépendance sont réguliérement arrêtés et détenus dans des centres provisoires où ils subissent des sévices corporelles.
Des traitement dégradants sont infligés aux sahraouis arrêtés lors de manifestations indépendantistes ou manifestations appelant à la libération des prisonniers politiques sahraouis.
Les activistes sahraouis des droits de l’Homme, à l’image de Aminatou Haidar, subissent au quotidien les maltraitances des services de sécurité du Maroc;
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