L’auteur présumé de la fusillade des Champs-Elysées à Paris est loin d’être un inconnu. C’est un criminel multi-récidiviste qui aurait dû purger une peine à perpétuité en prison pour tentative d’homicide et attaques à main armée mais qui a été libéré en échange d’oeuvrer à recruter des mercenaires et les accompagner en Syrie pour participer au reversement du gouvernement syrien.
C’est un peu le scénario des « Douze Salopards » et ce n’est pas la première fois que des membres des services de renseignement français (il serait plus juste de les désigner comme des Intel Asset) impliqués jusqu’au cou dans tous les coups tordus se retournent avec violence contre leurs employeurs. Ces derniers ont du encore lâcher le dernier en date. La grosse tête (immunité judiciaire, privilèges en espèces et en nature, liberté de tuer en toute impunité en Syrie et ailleurs, etc.) et la paranoïa ont fait le reste.
Le fait que la cible soit un ou des policiers corrobore encore plus son appartenance aux services secrets.
Donc une autre attaque sous faux drapeau (false flag)? Pas vraiment. Il s’agit des conséquences d’une gestion hasardeuse et risquée d’un phénomène exploité à une fin peu glorieuse. Ce n’est pas la première fois qu’un second couteau issu du banditisme ou de la délinquance se retourne contre son officier traitant.
Ce que l’on peut retenir cette fois-ci est que les médias ont de plus en plus de mal à cacher certaines anomalies flagrantes dans le parcours de ces chiens de guerre mobilisés par les services d’Etat français au profit d’une cause fort éloignée des intérêts de la France.
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