L’avenir de l’Algérie se jouera-t-elle en Suisse comme à l’accoutumée ? Les Algériens ont -ils conscience des enjeux de cette présence en Suisse, du chef de l’Etat et quel rôle auront à jouer, ces forces occultes des palais et des chancelleries occidentales, favorable à une reconduction tacite du chef de l’état. Des partenaires étrangers favorable à l’extérnalisation du régime déjà en place, contre quel profit? Contre quel cage, la communauté international a préférée le silence contre une prise de position, et ce malgrés que les évènements qui secoue l’Algérie, se deroulent face et à la porte de l’Europe ? Cependant, une multitudes de questions et beaucoups d’enjeux, qu’il faudrait d’abord en tenir compte et leurs trouver chemin !
L’Algérie, un Etat pivot du continent Africain et grand fournisseur de gaz dans le monde. Un pays riche qui ne passera pas inapercue et sans grand danger. Incontestablement, le président Algérien au pouvoir depuis 1999 et âgé de 85 ans, se trouve belle et bien depuis dimanhe passé à Genève, pour des contrôles selon la présidence Algériènne. Son état de santé réel reste un mystère, tant aux Algériens qu’aux journalistes étrangers. Autant dire,un secret d’Etat, que ce soit pour Alger que sur les abords du Lac Léman. A la question se savoir plus sur l’état de santé du président, les hopitaux universitaires de Genève, comme d’autres cliniques de la région, se refugient, selon l’éthique de la profession: « derrière le secret médical ».
Au huitième étage des hopitaux universitaires de Genève (HUG), deux paravents masquent le bout du couloir. Dérrière, un imposant garde du corps. Le président Algérien, Abdelazziz Bouteflika, s’y trouve bien là, dans cette chambre du fond! Le personnel médical se retranche dérrière le secret médical, et le service de communication, ne veut pas s’éxprimer sur le sujet. » S’il se trouve aux HUG, c’est que son état de santé est vraiment problématique » selon certains observateurs proche du dossier. Toutefois, il semble que ce même service, ne recoit que les personnes en phase critique ou finale.
De plus, nous savons que ses medecins traitants se trouvent à la Clinique Genolier, qu’il fréquente régulièrment, selon de source proche du service ou est logé actuellement le président. Cette nouvelle contredirait donc l’agence de presse officielle algérienne, selon laquelle: » le président Bouteflika est présent à Genève pour efféctuer ses contrôles médicaux périodiques ».
L’ancien ministre du trésor Algérien Monsieur Ali Benouari, aujord’hui opposant au régime et installé à Genève, pense quand à lui, que le conseil constitutionnel ne validera pas la candidature d’Abdelazziz Bouteflika. « Aucun médecin ne peut signé l’attestation de capacité du président » dit-il. Il est aujord’hui temps que son entourage comprenne, que l’heure de la retraite a sonné autant pour le president Bouteflika, que pour son chef d’etat major des armées et bien d’autres personnalités. A l’image de Bensalah endormit, recemment en pleine réunion des pays arabes.
Certes le pouvoir a peu de temps pour profiler un candidat de substitution. Mais s’il persiste à vouloir imposer une réelection du patient Genevois, c’est bien lui (pouvoir) qui sera le premier responsable du Chaos et de l’instabilité de toute la région.
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