Les baltaguias qui ont saboté la conférence de L’ASDHOM sur la liberté de la presse organisent un rassemblement contre la propagande anti Marocaine ;;
Les baltaguias n’aiment pas le Maroc – « ضربني وابكا، سبقني واشكا »
Le Makhzen se renie. Ses baltaguias nient puis se faufillent au travers les nuances des mensonges pour se déclarer au final comme concernés par le sabotage de la soirée de L’ASDHOM du 15 février 2019 sur la liberté de la presse au Maroc.
Ils manifestent pour défendre le Maroc avec un slogan de chemkara
« TOUTES ET TOUS ENSEMBLE, CONTRE LES ACTIONS DE PROPAGANDE ANTI Marocaine et حب الله الوطن الملك يجمعنا »
Dire que la presse est réprimée et sous contrainte contraire à la loi en vigueur est de la propagande anti Marocaine!
Ils (les instigateurs et les exécutants) SONT MINABLES ET ENTRE MINABLES, LE 13, en apôtres de la miseritude intellectuelle, ils se sont coalisés pour se faire une virginité.
Mais on vous a compris dirait un autre Gaulois célèbre et la compréhension du minable est toujours mieux que la pérennité du minable.
Mais revenons au sujet de ce billet.
Une conférence sur la liberté de la presse comme il y’en a plusieurs par mois sur l’ensemble du territoire français ou anglophones et qui parlent de tout, des politiques, des affaires, des états, des entreprises, de la société !
De l’investigation tout simplement !
Un sujet sur le Maroc en plein Paris. On ne peut pas dire que les organisateurs n’ont pas pris de risque quand à l’audience et la réussite.
Pas de quoi s’offusquer pour des propagandistes sûrs de leurs thèses sur les supposées libertés !
La liberté constatée ou supposée au Maroc serait-elle attaquée par une conférence ?
Serait-il nécessaire de rejoindre les bataillons du Polisario ou les agents d’Algérie pour se poser la question, non sur la liberté mais, ni sur l’origine des privations de liberté et les méthodes utilisées pour l’atteindre mais juste si les journaux et la presse n’est pas sous la censure en permanence ? Il n’y a que les esprits faibles qui pourraient se hasarder dans cette ligne de défense !
Mais bon : une conférence et tout le M6sisosphère s’embrase!
La M6sosphere embrasée c’est les serpillières du régimes qui sont de sortie !
Comme il s’agit de qui a la plus grosse en matière d’amour de son pays, aimer son pays ne requiert aucune justification.
Il s’érigent soldats de la série Kamelott d’une idée de régime en fin de règne et dont les frocs (des baltaguias) en baggy par amour délinquant!
Baltaguias de tout poil, aux main sets clochardisés portée par une institutionnelle politiquement dépravée, par un avocat aux valeurs pénalement vomitives et des faisant fonction de cairas de poulailler investits pour la cause : défendre un Maroc devenu une ultimatum de l’impuissance par invectives interposées.
Nous aimons notre Maroc et sans nous justifier.
Car peut-on demander à quelqu’un la raison de l’amour qu’il porte à sa mère ? Un pays, c’est une réalité politique, historique, géographique, démographique et culturelle communes.
Pays de lente construction, pays de nos enracinements, de nos cultures multiples, de nos espérances et de nos rêves, le Maroc porte par excellence cette mystique qui nous mobilise.
Marocains, nous avons reçu cette sève, nous la faisons vivre et elle nous fait vivre. Je dirais que la patrie charnelle de nos martyrs est la permanence d’un Maroc qui veut vivre, et qui veut vivre comme Maroc de tous les Marocains. La vie convoque l’amour.
Notre vœu éternel c’est vivre le Maroc comme une âme, une poésie, une personne, une mère, jusqu’à la sentir au cœur de son âme amoureuse, voilà une belle charité. Mais n’oublions pas que la vocation de cette charité est de s’exercer – in fine – envers des hommes et des femmes.
Aimer le Maroc dépasse l’abstraction, ou alors elle devient idéologie, idolâtrie.
Aimer le Maroc, c’est aussi aimer son peuple, ou plutôt aimer «les peuples du Maroc».
Avons-nous au cœur cet humble petit surplus d’orgueil marocain qui est comme l’aiguillon de notre responsabilité ?
Le monde respectera le Maroc, non pour le soumettre mais pour le servir, le protéger des prédations mais aussi de lui-même, adoucir ses mœurs les plus rudes, l’éclairer, l’éduquer, le faire grandir.
En un mot l’aimer.
Nos vœux d’équité et de justice portés par nos femmes et hommes partent de notre amour de ce pays.
Nos vœux ne veulent pas d’un Maroc soumis, d’un Maroc où le citoyen sert d’applaudimètre, un Maroc où le citoyen est sujet. Nos vœux veulent faire de la modernité une auto-énonciation du citoyen qui abolit le sujet.
Nos vœux veulent faire de la Constitution du «nous» communautaire l’aporie du jugement de soi-même et des autres.
Le droit se fonde sur l’insoumission et l’émancipation tire sa puissance de l’altérité. Nous sommes des insoumis aux désordre oligarchique et la trivialité nous invoque le dépassement du #Bouhatisme combien-même serait-il en hordes brutales.
Chamfort écrivit : “On a fait des livres sur les intérêts des princes ; on parle d’étudier les intérêts des princes : quelqu’un a-t-il jamais parlé d’étudier les intérêts des peuples ?”
Serait-il possible d’aimer son pays même sans étudier les origines de privations des libertés de la presse et sans être invectives ?
Un autre qui a présidé et non régné écrivit :
« Notre liberté dépend de la liberté de la presse, et elle ne saurait être limitée sans être perdue ».
C’est Thomas Jefferson lui même.
Source : Annahj Addimocrati
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