Le Maroc, plus beau pays du monde, est aussi le pays où la Nature est le mieux respectée.
En effet, il possède une poubelle grande d’une superficie à la base de 710 850 km² et d’une hauteur dont la seule limite est la hauteur maximale que puisse atteindre l’être humain. Le seul inconvénient c’est que cette poubelle prend tellement de place que le citoyen Marocain est obligé de marcher dessus.
Mais en tout cas, cela rend les choses bien pratiques pour ces citoyens, plus besoins de jeter les déchets dans de petites poubelles serrées, il suffit d’un geste simple pour jeter ses déchets dans la rue. Vous n’avez plus besoin de garder vos déchets dans les mains jusqu’à apercevoir une poubelle, les choses peuvent se faire instantanément, quand vous voulez où vous voulez.
Ce puissant principe enlève un poids considérable du dos du citoyen Marocain. C’est pas le paradis ? bien sûr c’est très moche à voir et ça pue comme pas possible, mais qui s’en soucie ? c’est un environnement dans lequel on grandit, on s’y habitue vite fait, et dans quelques millions d’années on sera complètement immunisés contre cela, comme l’énonce la théorie de l’évolution. On aura sûrement développés des bactéries spéciales dans nos estomacs qui nous permettrons de nous nourrir directement de ces déchets.
Autre avantage, on peut construire des monuments de déchets et se photographier à côté, car ça n’existe nulle part ailleurs. On peut donc montrer ces photos à nos amis étranger, pour leur donner envie de venir visiter ce merveilleux pays.
Voici en exclusivité des cartes postales de ce merveilleux pays (centre ville de la capital spirituelle Fes (photos prises par mes soins)) :
Un ami très heureux de pouvoir prendre la pose devant ces monuments (vous remarquerez derrière un de ces citoyens déjà immunisés) :
Pour finir, le mystère de la goutte d’essence (remarquez aussi la propreté des murs) un mystère qui se trouve dans tout le pays (serait-ce la matière noire tant recherchée en physique?
Tags : Maroc, poubelle, drapeau, déchets,
Le Maroc : Une vision critique, 6 nov 2010