Selon les informations révélées par El Confidencial, la princesse Mozah Bint Nasser, l’une des épouses de l’émir émérite du Qatar, a essayé une fois de parler au téléphone avec la princesse Lalla Salma.
La réponse du palais royal marocain a été, ajoute la source, « que Lalla Salma n’était pas disponible ».
Dans un article paru mercredi, Ignacio Cembrero, ancien correspondant d’El País à Rabat, qui cite des sources marocaines proches de la famille royale, précise qu' »il y avait d’autres femmes, d’autres maisons royales arabes, qui ont également essayé ces derniers mois de la contacter, mais sans succès. Les appels auxquels elle n’était pas autorisée à répondre ne sont qu’une des restrictions auxquelles l’épouse du roi du Maroc est désormais soumise.
Cembrero rappelle que le magazine Hola !, celui qui a annoncé le premier divorce du couple royal marocain et a été le premier à signaler que, après la rupture, Lalla Salma « restera en dehors de la sphère publique, mais pas de la vie privée, du fait qu’elle est encore très présente dans la vie de ses enfants. « Un an après la publication de l’exclusivité, on ne sait même pas si l’ex-femme jouit encore du titre de princesse qui a été donné à la jeune informaticienne le 21 mars 2002, lorsqu’elle a épousé le souverain alaouite au Palais Royal à Rabat », a-t-il précisé.
« Le mutisme actuel de la Maison Royale Alaouite met fin à cette touche novatrice qui a donné un motif à des politiciens et commentateurs européens pour prévoir pour le Maroc une évolution ouverte qui n’a pas eu lieu. Au contraire, la monarchie alaouite a maintenant plus de traits autoritaires que lorsque Lalla Salma se préparait pour le mariage de 2002 », a-t-il indiqué.
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