L’orientation sexuelle de Mohammed VI a suscité bien des polémiques. Jusqu’à son intronisation en 1999, il est resté chaste à l’égard de l’homme qu’il a aimé depuis sa plus tendre enfance, le fils d’un ancien esclave de son père, Abderrahman Bihmane.
Par crainte de ses impulsions agréssives, les marocains n’osent pas poser la question de l’homosexualité de Mohammed VI alors que c’est un secret de polichinelle. Les témoignages à ce propos sont pourtant nombreux dont des célèbres écrivains français et Abdelilah Issou, un officier de l’armée marocaine exilé en Espagne. Ce dernier en parle dans son livre « Mémoires d’un soldat maroain ». Il affirme être l’auteur d’un rapport sur les tendances sexuelles du monarque: «Pour ma part, j’ai présenté à J.M. un rapport sur l’orientation sexuelle du prince héritier, l’actuel roi Mohamed VI, et son amitié avec Abderrahmane Alaoui, Bihmane pour ses proches, qui était mon collègue de promotion à l’Académie royale militaire ». Selon lui, l’homme de main de Hassan II a tué Bihmane dans le but de mettre fin à leur liaison sentimentale.
Pour une grande majorité des marocains, les tendances homosexuelles du souverain ne font aucun doute. Très tôt, le prince ne se complaisait que dans un groupe masculin qu’il accueillait dans son palais princier de « Les Sablons » à Salé, près de Rabat. Les plus proches sont aujourd’hui ses conseillers et adjoints. Il n’est guère possible de dire si le jeune prince a été attiré par une passion homosexuelle à l’égard de tous ceux qui sont ainsi devenus ses amis intimes, à l’exception d’Abderrahman Alaoui qui a exercé sur lui une véritable emprise, dont le fondement a été, sans aucun doute, nettement sensuel. C’est la raison pour laquelle il a été éliminé sous ordres du roi Hassan II qui s’en doutait des penchants féminis de celui qui était son prince héritier. Sinon comment on explique qu’il est resté célibataire jusqu’à son intronisation ?
Après avoir obtenu en 1985, sa licence en Droit et son diplôme en Science politique, et afin de compléter sa formation, le prince effectue en novembre 1988 un stage de quelques mois à Bruxelles dans le cabinet de Jacques Delors, alors président de la Commission européenne. Les rapports que Hassan II reçoit sur le séjours de son fils ne sont guère relouisants, il apprend que Mohammed VI fréquente les bars gays du centre de la capitale européenne.
Vis-à-vis de cette question, les marocains pratiquent la politique de l’autruche lorsqu’elle elle creuse un petit trou dans le sol pour cacher sa tête laissant le reste de son corps à découvert. Ils prétendent que c’est un sujet qui releve de la vie privée du roi et que ses pratiques sexuelles lui appartiennent. Cela est vrai dans la mesure qu’il s’agit de personnes privées mais que dans ce cas précis, il s’agit d’un personnage public, chef d’Etat de surcroit. Que les tibunaux du maroc prononcent des peines de 6 mois a 3 ans de prison pour « homosexualité » et que ces tribunaux les prononcent » Au nom du Roi ». Qu’il est également « Commandeur des Croyants » d’une religion qui condamne l’homosexualité et qu’au Maroc bon nombre de lois sont basées sur la religion. Que son homosexualité se trouve derrière ce tabou appelé divorce royal. Lalla Salma est encore jeune et revigorante dont les besoina sensuels ne peuvent pas être assurés par un conjoint qui n’a aucune attirance pour les femmes et dont le corps est meurtri par les cortisones.
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