Abdel Ait-Omar, premier adjoint à la mairie de Villeneuve-la-Garenne passé la nuit de mardi 10 mars en prison en attendant le dénouement de l’enquête conduite par la justice pour trafic d’influence, faux et usage de faux.
A l’instar de tous les marocains, il est très probable qu’il soit un collaborateur de la DGED, les services de renseignements du Maroc. C’est ce qui explique sa présence dans un débat organisé à Bruxelles, en 2017, par l’association European Observatory for Democracy and Peace sur la révolte rifaine connue sous le nom de Hirak du Rif. Il s’est présente sous une fausse identité, prétendant être un commissaire de police en France. « Le Maroc aujourd’hui avance et on a de la chance d’avoir un pays stable », c’est le message qu’il a voulu véhiculer, probablement, selon les ordres de ses mentors marocains.
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