Selon Orilio Bahia, un exilié marocain en Suisse, « le bizness du terrorisme islamiste rapporte bien au régime tyrannique marocain mieux que la drogue et le Sexe ». Si on y ajoute la religion, c’est le buzz assuré !, précise-t-il. « Enfin vous êtes devant une culture de barbarisme en train de préparer des » terroristes « de demain », ajoute-t-il.
D’après l’activiste marocain, « le roi du Maroc Mohamed VI se trouve derrière la création des mouvements islamistes fascistes salafistes. Il y’a un lien entre les groupes terroristes et les services des renseignements marocains du roi, comme c’est le cas avec Al-Qaïda au Maghreb islamique, et en particulier le groupe Tawhid et Jihad ».
Pour lui, le mot terrorisme émanant des idéologies radicales existe au royaume du Maroc, « parce que les mouvements salafistes Djihadistes et ‘Hijra wa Takfir’ et autres ne sont que des scénarios produites par les services secrets marocains, profitant de l’implication de quelques ralliés de la guerre d’Afghanistan, nommés par ces organes ‘les marocains afghans’ ».
M. Bahia affirme que le régime marocain uitlise la menace terroriste pour souttirer de l’argent aux pays occidentaux et monte des scénarii à travers des attentats terroristes au Maroc « pour faire croire pour faire croire aux pays touchés qu’il existe un terrorisme radicale transcontinentale ». Il est certain que la DGED, le service d’espionnage extérieur marocain « a une relation indirecte dans le financement de Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) pour reprendre son activité dans la région afin de tuer deux oiseaux d’un seul coup » : d’un côté « impliquer l’Algérie et la classifier comme un foyer et sponsor du terrorisme » et « coller au Polisario l’étiquette d’organisation terroriste », de l’autre.
« L’islamisme radical, et son corollaire la menace terroriste, ont nettement évolué sous règne du tyran le roi Mohamed VI« commandeur des croyants ! », conclue-t-il dans un article publié sur son blog en date du 17 septembre 2020.
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