Nicolas Sarkozy vient d’être mis en exament par la justice de son pays. Cela veut dire que kes juges ont accumulé assez d’éléments pour l’accuser de financement illégale pendant sa campagne électorale de 2007.
Sarkozy a bien pris le soin de supprimer l’un des principaux témoins dans cette affaire: le leader libyen, Moamar Kadhafi. Dans ce but, il n’a pas hésité à manipuler la communauté internationale.
Avec l’assassinat du guide de la Jamahiriya, Sarkozy voulait tuer deux oiseaux d’une pierre: faire taire à jamais Kadhafi et mettre la main sur le pétrole libyen qui suscite tant de convoitise sans oublier le leadership africain de l’ancien Chef d’Etat libyen qui avait mis à disposition des pays africains des énormes moyens financiers pour les arracher au contrôle maléfique de l’Occident. Il avait même proposé de financer une monnaie africaine pour substituer le France CFA.
Sarkozy prétend avoir agi par humanisme. Cependant, il peine à faire preuve de son « humanisme » pour éviter une nouvelle guerre civile en côte d’Ivoire en invitant son ami, Alassane Ouattara à renoncer à un troisième mandat au détriment de ce qui est prévu par la Constitution du pays.
En vue de pérenniser son assise sur le trône ivoirien, Ouattara n’a pas hésité à accepter de jouer le rôle de Cheval de Troye et s’opposer à la suppression du Franc CFA pour mieux défendre l’intérêt de la France et maintenir le perpétuel pillage du continent africain par l’Elysée.
En 2011, Sarkozy n’a pas hésité à investir le palais présidentiel ivoirien en vue de le remettre à Ouattara, son ami. Ne dit-on pas que « qui se ressemblent s’assemblent »?. Ils se ressemblent en cruauté, manipulation et mensonge.
L’ami de Sarkozy, en tant qu’imposteur, est incapable de la grande humanité dont font preuve les peuples d’Afrique. Par contre, il excelle en arrogane, convoitise, manigance et prédation à l’image de tous ces Chefs d’Etats qui représentent la Françafrique en Guinée Conakry, au Sénégal, au Mali, au Niger, au Tchad, au Burkina Faso…
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