Le festival Afrikabidon se tient du 14 juillet au 15 août dans le sud de l’Ardèche et sa programmation réunit concerts, conférences et projections de films. Ces dernières sont organisées par Asil Productions qui s’interroge tout au long du festival sur les grandes thématiques de l’Afrique d’aujourd’hui.
Le 27 juillet, la journée « No Mad » était consacrée au Sahara, à ses habitants et aux problématiques soulevées par ce territoire. APSO était l’invitée de la journée pour présenter son travail sur le Sahara Occidental au travers de la projection de plusieurs films courts. L’occasion pour certain de découvrir pour la première fois des images du Sahara et de participer à un débat sur la dernière colonie d’Afrique.
Les thématiques qui ont été abordées sont celles de l’origine du conflit, des perspectives à venir, du pillage des ressources naturelles et, bien entendu, des violations des Droits de l’Homme dans les territoires sous occupation marocaine. APSO a insisté sur la situation très préoccupante que vivent les populations sahraouies : dans les campements de réfugiés où les conditions de vie sont de plus en plus difficiles et l’aide internationale de moins en moins généreuse ; dans les territoires occupés où la répression du régime marocain condamne les sahraouis à vivre dans la terreur.
Le public s’est notamment étonné du manque d’informations relatives au Sahara Occidental dans la presse française et de l’engagement très prononcé de la France en faveur de son allié marocain, en complète contradiction avec le Droit International.
Les thématiques qui ont été abordées sont celles de l’origine du conflit, des perspectives à venir, du pillage des ressources naturelles et, bien entendu, des violations des Droits de l’Homme dans les territoires sous occupation marocaine. APSO a insisté sur la situation très préoccupante que vivent les populations sahraouies : dans les campements de réfugiés où les conditions de vie sont de plus en plus difficiles et l’aide internationale de moins en moins généreuse ; dans les territoires occupés où la répression du régime marocain condamne les sahraouis à vivre dans la terreur.
Le public s’est notamment étonné du manque d’informations relatives au Sahara Occidental dans la presse française et de l’engagement très prononcé de la France en faveur de son allié marocain, en complète contradiction avec le Droit International.
APSO, le 29 juillet 2010.
http://www.afrikabidon.com/
http://www.afrikabidon.com/
Source : APSO, Amis du Peuple du Sahara Occidental, association française loi 1901
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