Quand les Marocains paniquent

Le mouvement associatif mondial a clôturé avec succès ses travaux qui ont été sanctionnés par des recommandations sur le soutien des mouvements de libération, en chef les droits légitimes des peuples de la Palestine et du Sahara Occidental.
Le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), Mehrez Lamari, s’est félicité des positions « solidaires » des participants avec la lutte du peuple sahraoui pour l’application des décisions de la légalité internationale.
La Tunisie qui a accueilli, par le passé, l’Armée de libération nationale et les réfugiés algériens, a-t-il dit, « accueille aujourd’hui la délégation sahraouie venue plaider sa cause, informer l’opinion mondiale de la réalité des droits de l’homme au Sahara occidental et faire part des violations graves commises par les autorités d’occupation marocaine sur des militants sahraouis sans défense.
Comme d’habitude, les Marocains, dont la politique colonialiste et criminelle est devenue indéfendable aux yeux de l’opinion internationale, ont essayé de perturber les activités sahraouies par la provocation et l’agression verbale et physique. Une attitude qui trahit largement l’échec et la frustration du gouvernement marocain.
En lui retirant sa confiance et le mettant sous les feux de la presse marocaine, Rabat a essayé d’appliquer sa politique agressive contre l’Envoyé Personnel de l’ONU pour le Sahara Occidental, Christopher Ross. Le rappel à l’ordre de la communauté internationale a mis le gouvernement dans ses petits souliers.

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