RESULTATS DES ELECTIONS LEGISLATIVES DU 25 NOVEMBRE 2011 / POINTS SUSCEPTIBLES D’ETRE DEVELOPPES DANS VOTRE ARGUMENTATION
Message de fond :
– Victoire pour SA MAJESTE et pour le Royaume. Examen réussi du processus démocratique.
– Mettre en exergue le taux de participation qui tranche avec les résultats des législatives de l’année 2007 :
– Aux côtés du taux de progression unanimement reconnu comme étant en large progression par rapport au scrutin de 2007.
– Ses résultats constituent un désaveu total aux spéculations des groupes gravitant autour du mouvement du 20 février qui a appelé au boycott.
– Les résultats du scrutin du 25 novembre sont la parfaite illustration de la transparence ayant entouré le processus électoral :
– Présence importante d’observateurs étrangers et nationaux ;
– Réactions de la presse internationale ;
– Réactions de la France et du Royaume Uni ;
– Déclarations des hommes politiques marocains, à commencer par le parti vainqueur.
– Le scrutin législatif est la consécration du long processus démocratique amorcé par le Royaume depuis des décennies et consolidé avec l’intronisation de SA MAJESTE LE ROI, que Dieu L’assiste. Il confirme les choix irrémédiables et inamovibles du Royaume du Maroc pour la démocratie.
– Les élections témoignent de l’adhésion totale du peuple marocain aux réformes initiées par SA MAJESTE LE ROI, que Dieu L’assiste, et de la maturité du peuple marocain et de son attachement aux valeurs intrinsèques de la démocratie.
– Le Royaume s’impose de la sorte comme un modèle démocratique et confirme, une fois de plus, son statut, pays ayant fait l’exception dans le Monde Arabe et pourrait inspirer les autres pays arabes pour lui emboîter le pas.
Les facteurs explicatifs :
Une nette poussée du PJD dont les candidats ont gagné plusieurs sièges dans des circonscriptions où le parti n’avait pas d’audience dans un passé récent. Cette poussée s’explique par ce qui suit :
Le PJD a su mobiliser ses troupes et s’est concentré sur le processus électoral au lieu d’entrer dans la polémique avec les autres formations politiques.
Le PJD a pu faire valoir sa stature de parti défendant la monarchie et s’est imposé comme une force ayant totalement marginalisé le mouvement du 20 février et son mentor, Al Adl Wal Ihsane.
Le peuple marocain a fait le choix de nouvelles figures et d’un parti qui n’a jamais gouverné jusqu’à présent.
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