Voyager au Maroc n’est plus ce que c’était. Après les incidents arrivés à El Aaiun même les touristes ne sont pas à l’abri de l’une des polices les plus corrompues de la planète. Donc, d’ici je demande un temps de réflexion pour toutes les personnes qui veulent voyager au Maroc. Faites attention, il est possible que vous vacances durent peu, très peu. Il y a déjà quelques semaines une série de protestations ont eu lieu contre l’occupation marocaine de la principale ville sahraouie qui a déchaîné une forte riposte policière de la part des autorités du Maroc. Les incidents ont eu une grande importance dans la presse espagnole et internationale malgré le fait que le Maroc a expulsé et a interdit l’entrée à tous les médias non autorisés, c’est-à-dire tout média non contrôlé par le monarque Mohamed VI, l’un des plus grands despotes – ça oui, entouré d’une fausse modernité – qui existent actuellement.
Récemment, est sortie la nouvelle que Rabat a expulsé environ trente touristes espagnols parce que soupçonnés qu’ils étaient des journalistes. La gravité du fait c’est ce que plusieurs parmi eux n’avaient rien à voir avec les médias, avec ce que l’on soupçonnait de pouvoir sortir du pays une information non autorisée. C’est ça, que si vous décidé aller au Maroc, faites gaffe, parce que peut-être que la seule chose sur laquelle tu marches dans ce pays maghrébin c’est l’aéroport. La vérité est que la situation s’est compliquée dernièrement, parce quebien que depuis le gouvernement on assure que les relations avec le pays voisin sont normales, la société espagnole a émis un jugement en forme de critique aux rôles de l’Exécutif de Zapatero. On ne peut pas permettre, quel que soi le degré de voisinage, qu’on traite ainsi les touristes.
Le conflit entre le Sahara Occidental et le Maroc remonte aux années 70, concrètement à 1976, quand l’Espagne a abandonné la dernière colonie qui lui restait dans les mains du Maroc et de la Mauritanie. Le Sahara n’a pas culminé un processus de décolonisation proprement dit, par conséquent, il n’a pas eu l’occasion d’asseoir des institutions propres. De cette façon, son voisin du nord a profité de lui une et mille fois. C’était l’une des plus scandaleuses et au Maroc ils sont devenus vigilants. Et telle, elle est, leur paranoïa que, même sans être journaliste, ils peuvent t’envoyer à la maison dans des vols non-régulliers. Les menaces policières ne sont pas la meilleure carte de présentation. Le Maroc mérite quelque chose de mieux.
Récemment, est sortie la nouvelle que Rabat a expulsé environ trente touristes espagnols parce que soupçonnés qu’ils étaient des journalistes. La gravité du fait c’est ce que plusieurs parmi eux n’avaient rien à voir avec les médias, avec ce que l’on soupçonnait de pouvoir sortir du pays une information non autorisée. C’est ça, que si vous décidé aller au Maroc, faites gaffe, parce que peut-être que la seule chose sur laquelle tu marches dans ce pays maghrébin c’est l’aéroport. La vérité est que la situation s’est compliquée dernièrement, parce quebien que depuis le gouvernement on assure que les relations avec le pays voisin sont normales, la société espagnole a émis un jugement en forme de critique aux rôles de l’Exécutif de Zapatero. On ne peut pas permettre, quel que soi le degré de voisinage, qu’on traite ainsi les touristes.
Le conflit entre le Sahara Occidental et le Maroc remonte aux années 70, concrètement à 1976, quand l’Espagne a abandonné la dernière colonie qui lui restait dans les mains du Maroc et de la Mauritanie. Le Sahara n’a pas culminé un processus de décolonisation proprement dit, par conséquent, il n’a pas eu l’occasion d’asseoir des institutions propres. De cette façon, son voisin du nord a profité de lui une et mille fois. C’était l’une des plus scandaleuses et au Maroc ils sont devenus vigilants. Et telle, elle est, leur paranoïa que, même sans être journaliste, ils peuvent t’envoyer à la maison dans des vols non-régulliers. Les menaces policières ne sont pas la meilleure carte de présentation. Le Maroc mérite quelque chose de mieux.
QDiario, 23/12/2010.
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