Pendant le sixième jour du 17ème Festival Mondial de la Jeunesse et des Étudiants, qui sont célébrés à Pretoria (lfrique du Sud) des membres de la délégation du Maroc, armés de matraques extensibles, ont agressé les militants d’IU, d’UJCE et du PCE qui déployaient une pancarte contre l’occupation marocaine du Sahara occidental et les violations continuelles des droits de l’homme que le peuple sahraoui subit. Depuis l’Aire de Jeunesse d’IU l’on a exprimé que « nous regrettons ces faits et dénonçons et condamnons les pratiques violentes et d’intimidation de la délégation marocaine contre tous ceux que défendons la cause du peuple sahraoui, en cohérence avec la défense des droits de l’homme ».
Le Comité d’Organisation International du Festival a considéré ces faits inadmissibles, les derniers parmi l’escalade de provocations commises par la délégation du Maroc. Jeff Cárdenas, membre du COI en représentant de l’Espagne devant les altercations vécues, a argué qu’il n’y avait d’autre solution que l’expulsion, mais le problème de base n’est pas cet incident mais le fait qu’une délégation impérialiste, sous la les ordres des services de sécurité marocains assiste à un festival pour perturber la paix et le calme qui doit caractériser un évènement solidaire et transformateur comme le Festival. Avec cette décision nous voulons mettre en clair que nous n’allons pas permettre aucun type d’attitude qui va contre les principes de la Fédération « .
Pour la majorité des délégations l’objectif de cette délégation était de faire éclater le Festival et la campagne internationale de solidarité le peuple sahraoui en collaboration étroite avec le Gouvernement du Maroc. En fait, les autorités marocaines ont empêché le voyage en Afrique du Sud de quelques délégués et déléguées originaires des territoires sahraouis occupés. Pour Esther López, coordinatrice de l’Aire de Jeunesse d’IU « la délégation marocaine n’était autre chose qu’qu’un prétexte du Gouvernement marocain, pour parquer et surveiller le mouvement de solidarité internationale avec le peuple sahraoui, et c’est la raison pour laquelle nous dénonçons que des militants d’IU ont été photographiés et identifiés ».
Depuis l’Union de Jeunesses Communistes de l’Espagne, « nous considérons que les délégués de l’État Espagnol et l’ensemble des citoyens espagnols nous avons un engagement historique avec la cause de l’autodétermination du peuple sahraoui, surtout dans les espaces qui sont supposés progressistes et anti-impérialistes ».
Malgré ces faits, le Festival Mondial a été un grand succès avec la participation de plus de 114 pays et près de 15.000 déléguées et délégués. Près de 100 colloques et séminaires ont été réalisés sur la situation des luttes d’émancipation dans le monde, et aujourd’hui le Tribunal Anti-impérialiste a travaillé. José León, secrétaire général des Jeunesses Communistes (UJCE), membre de la Fédération Mondiale de la Jeunesse Démocratique, évalue le Festival comme le plus grand évènement international anti-impérialiste de caractère juvénile, d’un espace idéal pour partager des expériences de lutte et pour connaître d’autres réalités de lutte révolutionnaire « . Dans la délégation espagnole, en plus de l’UJCE et l’Aire de Jeunesse d’IU ont participé les CJC-Juventut Comunista, CJC, Maulets et d’autres activistes sociaux et politiques.
Le Comité d’Organisation International du Festival a considéré ces faits inadmissibles, les derniers parmi l’escalade de provocations commises par la délégation du Maroc. Jeff Cárdenas, membre du COI en représentant de l’Espagne devant les altercations vécues, a argué qu’il n’y avait d’autre solution que l’expulsion, mais le problème de base n’est pas cet incident mais le fait qu’une délégation impérialiste, sous la les ordres des services de sécurité marocains assiste à un festival pour perturber la paix et le calme qui doit caractériser un évènement solidaire et transformateur comme le Festival. Avec cette décision nous voulons mettre en clair que nous n’allons pas permettre aucun type d’attitude qui va contre les principes de la Fédération « .
Pour la majorité des délégations l’objectif de cette délégation était de faire éclater le Festival et la campagne internationale de solidarité le peuple sahraoui en collaboration étroite avec le Gouvernement du Maroc. En fait, les autorités marocaines ont empêché le voyage en Afrique du Sud de quelques délégués et déléguées originaires des territoires sahraouis occupés. Pour Esther López, coordinatrice de l’Aire de Jeunesse d’IU « la délégation marocaine n’était autre chose qu’qu’un prétexte du Gouvernement marocain, pour parquer et surveiller le mouvement de solidarité internationale avec le peuple sahraoui, et c’est la raison pour laquelle nous dénonçons que des militants d’IU ont été photographiés et identifiés ».
Depuis l’Union de Jeunesses Communistes de l’Espagne, « nous considérons que les délégués de l’État Espagnol et l’ensemble des citoyens espagnols nous avons un engagement historique avec la cause de l’autodétermination du peuple sahraoui, surtout dans les espaces qui sont supposés progressistes et anti-impérialistes ».
Malgré ces faits, le Festival Mondial a été un grand succès avec la participation de plus de 114 pays et près de 15.000 déléguées et délégués. Près de 100 colloques et séminaires ont été réalisés sur la situation des luttes d’émancipation dans le monde, et aujourd’hui le Tribunal Anti-impérialiste a travaillé. José León, secrétaire général des Jeunesses Communistes (UJCE), membre de la Fédération Mondiale de la Jeunesse Démocratique, évalue le Festival comme le plus grand évènement international anti-impérialiste de caractère juvénile, d’un espace idéal pour partager des expériences de lutte et pour connaître d’autres réalités de lutte révolutionnaire « . Dans la délégation espagnole, en plus de l’UJCE et l’Aire de Jeunesse d’IU ont participé les CJC-Juventut Comunista, CJC, Maulets et d’autres activistes sociaux et politiques.
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