Auteur/autrice : Admin

  • MAROC – Le « Makhzen » ouvertement contesté ?

    Les manifestations qui dénoncent la corruption de l’État marocain et les collusions entre le pouvoir et le monde des affaires s’amplifient dans la région du Rif.
    L’élément déclencheur a été, il y a six mois, la mort accidentelle d’un vendeur de poissons à al-Hoceima, port de pêche du Rif. Depuis lors, le mouvement de protestation a fait tache d’huile et a embrasé tous les villages de cette région défavorisée.
    À présent, les autorités marocaines redoutent que le mouvement se généralise à travers tout le pays et prenne une forme plus politique.
    Le gouvernement a dès lors accusé les émeutiers de velléités séparatistes, « financées par l’étranger », et, appuyé par les médias aux ordres qui ont lancé une campagne de discréditation des manifestants, il a prétexté de cette accusation pour déployer des troupes et tenter de réprimer la contestation.
    Contre toute attente, cependant, les manifestations ont redoublé face à la répression.
    Certains observateurs s’interrogent : est-ce l’heure du « Printemps marocain » ?
  • Le Maroc derrière l’Institut Ibn Khaldoun, en Pologne?

    L’Institut informe le ministre marocain des affaires étrtangères Saadeddine El Othmani de l’exposition tenue par l’Institut à Alger.
     
    Expositions
    ■ “Les Manuscrits de la Bibliothèque l’Institut Ibn Khaldun en Pologne”, au musée national des Antiquités (177, boulevard Krim Belkacem, Parc de la Liberté, Alger).
  • Protection de la dignité de la femme marocaine voilée au consulat de France à Casablanca

    Le consulat de France à Casablanca impose à la femme marocaine voilée, lors de la procédure d’obtention de visa, au moment de la prise de la photo, de dévoiler une bonne partie de sa tête (les oreilles entre autre).
    Selon cette citoyenne marocaine, il s’agit d’un « acte indigne et inacceptable vis-à-vis nos spécificités religieuses et identitaires et qui touche directement le droit de la femme à la liberté, à la mobilité, à la formation, à la coopération, aux soins médicaux… »
    Dans ce cadre, elle a créé une pétition sur le Site de Pétitions Citoyennes d’Avaaz — qui s’intitule « Stop à l’atteinte à la dignité de la femme marocaine voilée au consulat de France à Casablanca ».
    Maroc, consulat de France à Casablanca
  • Dissidence à l’intérieur du MAE marocain

    Protestation au sein du ministère marocain des affaires étrangères
    Le ministère marocain des affaires étrangères a reçu au mois de juillet 2013 une lettre d’un groupe qui se fait appeler « Le Groupe des 21 diplomates marocains ». Ils disent appartenir aux administrations centrales, missions diplomatiques et consulaires du Maroc à l’étranger.
    Le sujet de la lettre a trait aux dernières nominations des consuls généraux. Le groupe proteste contre, entre autres, la désignation de certains consuls basée sur des critères qui n’ont rien à voir avec la compétence et l’exprérience professionnelle. Parmi eux, les consuls du Maroc à Dusseldorf, Rotterdam, Tarragona et Bruxelles.
    Le MAE El Othmani en a reçu l’analyse suivante faite par Nasser Bourita, secrétaire général du ministère à l’époque.
    Maroc, diplomatie, consulats
  • Los territoritos ocupados del Sáhara Occidental, quedan excluido de todo tipo de financiación de la UE para proyectos marroquíes de energías renovables

    Sáhara Occidental
    Espacios Europeos
    (16/5/2017)
    Poco a poco, con tenacidad, el pueblo saharaui va consiguiendo que sus peticiones sean escuchadas. Ahora ha sido la Comisión Europea, la que lo ha hecho, excluyendo los territorios ocupados del Sáhara Occidental de cualquier financiación europea para “proyectos marroquíes de energía renovable en, y ha informado a las empresas europeas y a los ciudadanos de la Unión sobre la situación legal de este territorio, cada vez que lo solicitan”, informa la Agencia Saharaui de Noticias (SPS).
    La Jefe de la Diplomacia Europea (La Alta Representante de la UE para Asuntos Exteriores y Política de Seguridad), Federica Mogherini, respondió así, en nombre de la UE, al eurodiputado Miguel Viegas, que le preguntó sobre la explotación ilegal de los recursos naturales del Sáhara Occidental: “En cuanto a los proyectos de energía renovable en el Sáhara Occidental, la UE no financiar este tipo de proyectos y, cuando es contactada por las empresas y los ciudadanos europeos, la UE les informa sobre la situación jurídica del Sáhara occidental y en particular la explotación de sus recursos naturales”.
    Mogherini subrayó en su respuesta que la explotación de los recursos naturales del Sáhara Occidental “fue aclarada en una opinión legal de un Secretario General Adjunto de Asuntos Jurídicos de las Naciones Unidas (Hans Corell)”. En febrero de 2002 se informó que la explotación de los recursos naturales del Sáhara Occidental debe ser a favor del pueblo saharaui y con su consentimiento.
    Hace unos días, Federica Mogherini declaró que el estatuto del Sáhara Occidental sigue siendo el de un territorio no autónomo, tal como fue decidido en el año 1963, por el Comité de Descolonización de la ONU:
    La respuesta que dio Mogherini a los eurodiputados que le preguntaron por la ocupación militar marroquí del Sáhara Occidental, fue la siguiente: “El Sáhara Occidental está en la lista de las Naciones Unidas de los territorios no autónomos”.
    Asimismo, reiteró, el apoyo de la UE a los esfuerzos del Secretario General de la ONU, con el fin de lograr “una solución política justa, duradera y mutuamente aceptable, que permita la libre determinación del pueblo del Sahara Occidental conformes a los principios y objetivos de la Carta de la ONU”; añadiendo que “En el futuro, la Comisión tendrá debidamente en cuenta la sentencia del 21 de diciembre 2016, para cualquier proceso de negociación con Marruecos”.
    La declaración (sobre el intercambio de electricidad renovable) se llevará a cabo –según informa SPS– “con la debida consideración del estatuto separado y distinto reconocido al territorio del Sáhara Occidental bajo la ley internacional“, dijo Mogherini en su respuesta a los eurodiputados Florent Marcellesi, Josep-Maria Terricabras y Jill Evans, “quienes exhortaron excluir la energía producida en el Sahara occidental de estos intercambios”.
    En relación con esta postura de la UE, hay que recordar que en el mes de abril de este año, la comisaria europea de Comercio, Cecilia Malmstrom, afirmó que cualquier proceso de negociación con Marruecos, se tendrá en cuenta la sentencia del Tribunal de Justicia Europeo de 21 de diciembre de 2016. En esa fecha, el Tribunal de Justicia Europeo dictaminó que, “de acuerdo con la Carta de la ONU, el Sáhara Occidental no es parte del territorio soberano de Marruecos y que todos los tratados, acuerdos de asociación y la liberalización entre la UE y Marruecos no son aplicables a Sáhara Occidental sin el consentimiento del pueblo del Sáhara Occidental”, nos recuerda SPS.
    ¿A qué se espera, entonces, para devolver a sus legítimos dueños, el pueblo saharaui, sus tierras?, nos preguntamos nosotros.
  • Les plans foireux du Makhzen : la CEN-SAD

    La Communauté des États sahélo-sahariens (CEN-SAD)  a été créée par le défunt leader de la Jamahiriya Libyenne. La  CEN-SAD est une organisation internationale regroupant 23 États africains. Elle a été créée le 4 février 1998 à Tripoli (Libye).
    Sous la direction de Kadhafi, la Libye représentait le maillon fort de l’Organisation notamment à travers une prise de participation très forte au sein de la BSIC (jusqu’à 45% du capital social de la banque). La fin de l’ère Kadhafi marque un tournant important dans le financement et la gouvernance de la CEN-SAD à travers le retrait de ce pays des instances de gouvernance.
    Mohammed VI y a vu une opportunité pour remplacer Kadhafi. Ainsi, il a proposé d’organiser à Rabat le sommet de la CEN-SAD en 2014. Ensuite, il a fait marche arrière sans donner des explications.
    Il s’était pourtant payé les services du cabinet Capital Consulting. En vain
    Maroc, Sahara Occidental, CEN-SAD, Union Africaine
  • Comment un site «algérien» associé au Desk marocain sabote la diplomatie algérienne

    D’aucuns auront remarqué une campagne enragée sur un site «algérien» associé au journal électronique marocain proche du Makhzen, Le Desk, contre le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali-Cherif. Ces attaques perfides coïncident avec une autre série d’articles haineux parus dans les médias marocains, à l’égard du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, du ministre des Affaires maghrébines, Abdelkader Messahel, et de notre ambassadeur d’Algérie à Bruxelles, Amar Belani. Ces deux actions sont clairement liées et télécommandées à partir de Rabat.
    Dans une série d’articles publiés sur ledit site, ce dernier s’en prend au porte-parole du ministère des Affaires étrangères, présenté comme un haut responsable de l’Etat qui foulerait aux pieds les lois en abusant de sa fonction. Les articles traitent d’un litige tout à fait banal entre deux voisins, dont l’un n’est autre que M. Benali-Cherif et dont le seul tort est d’occuper un poste de responsabilité au ministère des Affaires étrangères. Dès lors, le site pro-marocain le jette en pâture à une opinion publique dont il sait qu’elle répugne à accepter l’abus d’autorité. «C’est une campagne orchestrée contre ma personne et, par extrapolation pernicieuse, contre l’institution à laquelle j’appartiens et les cadres de l’Etat en général», a confié Abdelaziz Benali-Cherif à Algeriepatriotique, qui a voulu connaître sa réaction.
    «Ce site a commis à trois reprises des pseudo-articles attentant à ma personne et me présentant à l’opinion publique comme un haggar abusant de ma qualité de cadre supérieur de l’Etat pour « écraser ma pauvre voisine », faisant fi ainsi des règles les plus élémentaires de déontologie journalistique et inscrivant ces forfaits dans la logique de celui qui cherche à nuire par tous les moyen», s’indigne M. Benali-Cherif. «L’affaire qui m’oppose à ma voisine est un litige somme toute ordinaire de voisinage entre deux citoyens», explique-t-il, en invitant les journalistes à vérifier sur place, s’ils le souhaitent, «pour faire le constat par eux-mêmes de la nature de ce différend».
    «Ce litige n’oppose pas le porte-parole du ministère des Affaires étrangères et une professeure universitaire, mais deux citoyens tout à fait égaux devant la loi», précise M. Benali-Cherif, qui note que la cabale a été enclenchée contre sa personne pour des raisons que «la décence lui interdit de rendre publiques». Il dénonce un «parti pris flagrant» de cette publication «qui n’a jamais pris la peine d’essayer de vérifier les élucubrations et les accusations infondées» contre lui. «Ce site avance sans pudeur et surtout sans aucune précaution d’usage, des informations controuvées mais néanmoins attentant à mon honneur et ma probité morale, allant jusqu’à affirmer que j’aurais refusé d’exécuter une décision de la justice».
    Une décision de justice qui n’a jamais existé, précise M. Benali-Cherif, qui affirme avoir décidé, en sa qualité de «citoyen qui refuse que son honneur soit sali par des gens sans scrupules», de charger son avocat de sommer la direction de ladite publication «de produire les preuves étayant ses allégations». «Si ces preuves ne sont pas présentées, je recourrai aux voies légales pour exiger réparation».
    Notre interlocuteur s’étonne, par ailleurs, que bien que diffamé, il est mis dans la position du bourreau alors qu’il est la victime d’un acharnement médiatique qui cache quelque velléité. «Le site en question m’accuse d’avoir proféré des menaces alors que c’est moi qui ai été menacé», s’insurge M. Benali-Cherif, qui dit souhaiter que ce problème personnel ne soit pas étalé sur la place publique et laisser la justice faire son travail. «Mais ces intimidations sont obsolètes», a-t-il soutenu.
    Par-delà la simple affaire qui concerne un litige ordinaire entre voisins, l’intention malveillante de nuire au porte-parole du ministère des Affaires étrangères – qui constitue une des pierres angulaires dans l’édifice de défense des droits du peuple sahraoui à l’autodétermination – est flagrante.
    Affaire à suivre.
    Karim B. 
  • Projetée naissance d’une structure à l’échelle européenne de soutien au mouvement rifain

    Madrid : Les rifains d’Europe s’apprêtent à entrer en conclave pour donner naissance à une structure à l’échelle européenne de soutien au mouvement rifain
    Une réunion de 20 comités de soutien aura lieu dans la capitale espagnole le 20 mai 2017 pour trouver le cadre politique et organisationnel adéquat du mouvement rifain en Europe. Cette rencontre se veut historique, et intervient après la création de plusieurs comités de soutien à la mouvance Rifaine en Europe.
    La rencontre de Madrid, vient dans le contexte d’un conflit et l’escalade de la tension entre l’Etat central marocain et le Rif après 7 mois de protestation et de manifestations pacifiques notamment dans la province d’Al Hoceima. cette démarche est inédi la première fois dans l’Histoire contemporaine du Rif que les RIFAINS de la diaspora se réunissent afin de trouver un cadre politique pour la mouvance rifaine en Europe afin d’appuyer la mouvance rifaine dans le RIF. Ce cadre donnera de facto une reconnaissance à la communauté rifaine en Europe et le propulsera comme l’interlocuteur légitime des institutions européennes et des instantes internationales.
    En parallèle avec cette réunion historique, une conférence aura lieu sur le « RIF et la lutte dumouvance populaire rifain », avec la participation de Maître Abdessadek El Bouchettaoui, avocat rifain au barreau de Tétouan, Sonia MORENO, journaliste espagnole, qui a suivi de près la mouvance rifaine depuis la mort tragique de Mouhcine Fikri, broyée dans une benne à ordures sur ordre d’un agent d’autorité marocain, et Reda BENZAZA, un activiste rifain à Al-Hoceima.

  • Phosphates du Sahara Occidental: la justice Sud-africaine tranchera jeudi

    La justice sud-africaine se penchera, jeudi 18 mai, sur l’affaire de la saisie à Port Elisabeth, sur demande du Polisario, d’un cargo de l’Office chérifien des phosphates (OCP). Le bateau, qui a embarqué, à partir de Laâyoune au Sahara Occidental, quelque 50 000 tonnes de phosphate qu’il devait acheminer vers la Nouvelle-Zélande.
    Les autorités sud-africaines ont intercepté le bateau en date du premier mai, suite à une plainte du Polisario.
    Le Polisario considère que le Maroc n’a pas respecté les résolutions des Nations Unies qui protègent les richesses du peuple sahraoui.
    C’est un coup dur pour l’OCP, qui risque de voir souvent ses bateaux interceptés.
  • Renégociation des accords UE-Maroc: l’eurodéputé Marcellesi interpelle l’Espagne sur la nécessité de se conformer à l’arrêt de la CJUE

    BRUXELLES – Le député européen Florent Marcellesi a interpellé lundi le chef de la diplomatie espagnole, Alfonso Maria Dastis Quecedo, sur la manière dont son pays compte se conformer à l’arrêt de la Cour européenne de justice (CJUE) qui exclut le Sahara occidental du champ d’application des accords d’association et de libéralisation UE-Maroc après que la Commission ait sollicité l’accord des Etats membres de l’Union pour renégocier ces accords.
    Selon Florent Marcellesi, la « principale préoccupation » porte sur la nécessité de clarifier la position de la Commission européenne et du gouvernement espagnol afin de savoir s’ils comptent reprendre la notion soulignée dans l’arrêt de la CJUE sur le consentement du peuple du Sahara occidental et non la population du Sahara occidental.
    Pour cet eurodéputé, la différence entre peuple du Sahara occidental et population du Sahara occidental, constituée pour une énorme majorité de colons marocains incités à s’installer dans les territoires occupés, « sera l’objet central de cette renégociation des accords d’association et de libéralisation avec le Maroc ».
    « On veut savoir si la Commission compte demander l’accord du peuple ou de la population du Sahara occidental. A différentes réunion, la Commission n’a pas été claire sur ce point. J’espère que l’Espagne va l’être d’autant plus que l’arrêt de la CJUE est très claire à ce sujet: on doit demander l’avis et le consentement du peuple du Sahara occidental », a-t-il déclaré à l’APS.
    Florent Marcellesi a mis l’accent, à ce titre, sur la nécessité d’engager des négociations avec le Front Polisario car lui seul peut donner le consentement du peuple sahraoui à l’exploitation de ses ressources.
    « Si on veut obtenir le consentement du peuple du Sahara occidental, on a besoin d’avoir le Front Polisario, reconnu autant par la CJUE et par l’ONU comme le représentant légitime du peuple sahraoui. Il serait donc logique et même légal et normal, tant au niveau juridique et politique, de voir le Front Polisario participer à la renégociation pour savoir s’il y a consentement du peuple du Sahara occidental », a-t-il plaidé.
    L’exclusion du Front Polisario de la renégociation des accords avec le Maroc, a-t-il poursuivi, risque de « poser un gros problème politique et juridique à l’UE » qui « va se casser les dents une nouvelle fois, si le Front Polisario décide de porter l’affaire devant la justice ».
    Pour ce député européen, il n’y a aucun doute, le Front Polisario « gagnera encore une fois parce que la jurisprudence est très claire, les lois internationales le sont aussi ». « Nous attendions principalement de la transparence », a-t-il indiqué, soulignant que la société civile espagnole et les députés, en particulier, voudraient « connaître la position de l’Espagne sur ce sujet ».
    Vendredi dernier, l’Observatoire des ressources naturelles au Sahara occidental (WSRW) révélait que la Commission européenne a sollicité l’approbation des Etats membres de l’UE pour écarter le jugement de la Cour de justice de l’UE en négociant un nouvel accord avec le Maroc pour le commerce avec le Sahara Occidental occupé.
    « Nous n’avons pas accès pour le moment à ce draft (la demande de la Commission pour obtenir un mandat de négociation avec le Maroc). C’est pourquoi nous exigeons la transparence », a-t-il affirmé.
    Florent Marcellesi a lancé, à ce titre, un appel aux Etats membres de l’Union, notamment l’Espagne pour rendre publique ce draft afin de « savoir exactement comment il est construit et s’il faut faire des amendements en tant qu’Etat membre et demander sa réécriture si nécessaire ».
    « Il s’agit pour nous d’un problème de transparence. On ne veut pas que la Commission et le Conseil jouent en catimini, en arrière boutique », a-t-il ajouté, soulignant que son souci, en tant que député, est de « connaître la position qu’adoptera au Conseil européen l’Espagne, qui a une responsabilité historique dans le conflit au Sahara occidental ».
    Pour cela, l’eurodéputé a adressé une lettre au ministre espagnol des Affaires étrangères pour demander des précisions à ce sujet, notamment pour savoir si l’Espagne compte, avant d’aller au Conseil européen, « obtenir l’appui de son congrès ».
    Il a jugé, à ce propos, « primordial » d’avoir un débat en Espagne pour savoir ce que pense la majorité politique espagnole sur ce sujet. « De nombreux comités régionaux autonomes ont voté des résolutions dans lesquelles ils soulignent que l’Espagne et son gouvernement doivent respecter l’arrêt de la CJUE sur le Sahara occidental », a-t-il fait savoir.