Auteur/autrice : mahembarec

  • Les dictatures ne sont jamais rentables


    Bien que tout le monde le sait, il faut le répéter encore et encore. Aucune dictature n’est rentable pour les peuples qui doivent la supporter, surtout quand il s’agit de sociétés multiculturelles et pluriethniques comme le Maroc.

    Cinquante-trois ans d’indépendance sous le règne de la dynastie alaouite laissent un héritage de difficultés difficilement « sauvables » pour nos voisins marocains. La situation chaotique qui traverse actuellement le Maroc est un clair exemple pour les marocains vis-à-vis de l’avenir. Quand les rois s’accrochent au pouvoir par des intérêts personnels et des intérêts des clans, sous prétexte de servir la patrie, ils n’obtiennent que l’appauvrissement et la ruine des vies de ses concitoyens et des générations futures.
    Ils laissent le peuple les considérer comme illuminés par des pouvoirs ancestraux et divins, ils ont l’habitude de s’écarter de la réalité et de l’évolution sociale du peuple qu’ils gouvernent. Ils croient, comme tout ascendant, que ses concitoyens, qu’ils considèrent comme des enfants, innocents et ignorants, ne grandissent et n’évoluent jamais. Ils pensent qu’ils vivent stagnés dans l’instant dans lequel ils ont assumé le destin du pays.
    À travers les pouvoirs publics qu’ils représentent, ils paralysent le développement et l’évolution sociale de ses concitoyens opprimés à l’intérieur du trou obscur du temps.
    La mort de Hassan II, dont le mandat est connu sous le nom d’années de plomb, n’a pas apporté de tranquillité pour les Marocains. Trois décennies de règne de Hassan II n’ont pas servi à créer un vrai climat démocratique ni une économie salutaire pour le Maroc. Ils n’ont laissé qu’un monde d’obscurantisme vis-à-vis de l’avenir sous la direction de son fils Mohamed VI. C’est ainsi qu’est indiqué par les récentes statistiques provenant de différents organismes internationaux.
    Le peuple marocain n’arrête pas de montrer son mécontentement dans la rue. La riposte de l’Etat de plus en plus violente.
    Dans notre région du Maghreb, Le Maroc pourrait être un pays démocratique, stable et prospère. Il a assez de ressources et de soutiens extérieurs, mais 53 ans sous la conduite d’une monarchie qui ne renonce pas au monopole du pouvoir a eu pour conséquence une stabilité irréelle et un bien-être fictif. 
    Le pays, avec la rage réprimée de tant d’années d’oppression, de misère et de persécutions politiques, de tortures et de meurtres sélectifs, a donné naissance à de grandes différences entre les blocs sociaux de ses populations; des différences ethniques latentes, des différences tribales, une installation dans le pouvoir du système de clans comme forme de gouvernement, développement de la corruption et de pillage dans l’administration centrale de l’État, etc.. Et tout cela sous un apparent développement croissant basé sur des critères éloignés de la réalité sociale.
    Par son caractère actif, son intelligence et son intuition des hommes et des femmes, Hassan II eut très tôt l’ascendant sur son entourage et ses camarades et semblait avoir eu, très tôt, un sens aigu de son statut et de sa vocation. Mohamed VI est l’inverse de son père, c’est en dehors des activités protocolaires qu’il est le plus à l’aise. La politique ne le passionne pas, sa passion à lui c’est le sport et le tourisme.
    Mohamed VI, conscient de son incompétence, a tout laissé dans les mains de son cercle le plus proche : Les sexagénaires Abdelaziz Meziane Belfqih (conseiller économie et éducation), André Azoulay (dialogue interculturel) et Zoulikha Nasri (Affaires sociales et humanitaires)  tout comme le sécurocrate Mohamed Yassine Mansouri, qui coordonne pour le compte du souverain les renseignements extérieurs, dont il est le patron, mais aussi les services de la DST. Ainsi que, bien sûr, le ministre de l’Intérieur Chakib Benmoussa, celui des Affaires étrangères Taïeb Fassi Fihri et les généraux de corps d’armée (Hosni Benslimane, Abdelaziz Bennani…), dont Mohamed VI est familier depuis l’époque où il était prince héritier. 
    Si les marocains ne prennent pas de mesures dans un proche avenir, leur situation sera pire que celle connue jusqu’à présent. La transition démocratique initiée avec Mohamed VI, et qui n’a pas fixé le temps pour sa culmination risquent de rendre la situation plus chaotique encore. Enfin, ils se retrouveront enfermés dans un laboratoire d’expériences avec humains et sans le droit de choisir, et demeureront sous l’essai d’une transition démocratique qui ne finit jamais. 
    La pseudo-démocratie que le Maroc connaît est en fait une dictature atroce qui a muselé le peuple et a créé un semblant d’opposition afin de se donner bonne conscience démocratique face aux pressions internationales.
    Pour que les marocains puissent avoir leur tour de vivre une nouvelle ère, ils devront se débarrasser de ces deux phénomènes successoraux. Celui du monopole de la monarchie et celui des « dinosaures » qui représentent les partis politiques clientélistes. Pour cela, il leur faudra une forte et sincère volonté de changement vers la démocratie, le développement et la décentralisation pour résoudre les problèmes du gouvernement de la nation.

  • La narcotrafic menace la stabilité du Maroc

    Pedro Canales, Rabat, 17/09/2009


    La plupart des analystes marocains et des chancelleries occidentales coïncident sur une chose : le plus grand danger pour la stabilité du Maroc, en ce moment, vient du narcotrafic. Les réseaux mafieux qui contrôlent le transport et la vente des milliers de tonnes de hachisch de production locale et de la cocaïne et de l’héroïne qui transite par le pays en direction de l’Europe en provenance de l’Asie et du Golfe de la Guinée, constituent un problème beaucoup plus grave que l’islamisme radical, la pauvreté et les insuffisances démocratiques du régime.
    Le communiqué fait public par le procureur du Roi à Casablanca, Abdellah Alaoui Belghiti, le 9 septembre, a fait sauter toutes les alarmes. Dans les deux dernières années les services de sécurité ont réalisé 21.530 opérations anti-drogue dans tout le pays et arrêté 53.893 personnes, parmi elles 973 étrangers de différentes nationalités, principalement des Espagnols, des Français, des Italiens, des Belges et des Hollandais, d’après le journal socialiste Libération. Dans les prisons marocaines il y a en ce moment moments pas moins de 50.000 individus condamnés pour trafic de drogue, annonce pour sa part le journal Aujourd’hui le Maroc. Ce qui veut dire la majorité absolue de la population carcérale.
    Dans la dernière opération anti-drogue menée au nord du pays, 18 barons présumés ont été arrêtés. Une opération qui demeure ouverte et qui a permis jusqu’à présent de s’emparer de 400 tonnes de kif, 88 de chira et 180 d’huile de cannabis. Des quantités considérables que jointes aux 34 kilos d’héroïne et 53 de cocaïne, en plus des 77.000 de drogues synthétiques, donnent une idée de l’envergure de ce réseau.
    Malgré la diminution de la surface dédiée à la culture de hachisch – selon les données fournies par les autorités marocaines, puisque les organismes internationaux de contrôle n’ont pas l’autorisation de rechercher sur le terrain-, le Maroc continue d’être le producteur principal de cannabis dans le monde, dont l’exportation au marché européen fournit aux narcotrafiquants et aux caïds qui les manipulent, plusieurs milliards d’euros chaque année.
    L’instruction du cas Triha, du surnom de Lamfadel Akdi, un intouchable soupçonné d’être à la tête du réseau, promet des révélations importantes. Pour le moment un ex-député du Regroupement National des Indépendants (RNI), de Mohamed Jouahri, a été détenu. Des 18 arrêtés, cinq contrôlaient la vente de drogues dures, de cocaïne et de l’héroïne provenant de l’Afrique Occidental, sur le marché marocain; six autres dirigeaient le secteur de l’exportation de hachisch en Espagne par voie maritime en utilisant les embarcations qui démarraient du port improvisé de Marchica près de Nador; un autre groupe composé de trois était chargé de l’exportation en Europe par voie terrestre, en utilisant des camions TIR de marchandises; un quatrième groupe de trois barons contrôlait le trafic vers l’Algérie, vers Tunis et vers la Libye, à travers la frontière d’Oujda et d’Errachidia; et le dernier d’eux était chargé de l’approvisionnement de hachisch à Ketama.
    Selon les premiers éléments de la recherche, le réseau comptait d’une demi-centaine de poids lourds, qui s’était pratiquement distribué tout le pays. La presse marocaine parle d’un Gouverneur, de plusieurs hauts responsables de l’administration territoriale, d’employés de la Douane et de la Gendarmerie Royale, et de plusieurs magistrats. Selon le journal Al Bayane, l’une des régions importantes par lesquelles transitait  « la neige » provenant de l’Afrique de l’Ouest n’est autre que le Sahara Occidental, les « provinces sahariennes » selon la terminologie habituelle marocaine.
    Toute la presse locale a largement fait l’écho sur les détentions. L’hebdomadaire Tel Quel offre une donnée intéressante : « Il aurait été impossible à la police d’arrêter Triha dans son village natal de Bab Berred, près de Ketama, parce que les habitants l’aurait empêché ». Les Autorités marocaines reconnaissent que dans les zones de production de hachisch, dans les « lieux chauds » du Rif, règne une autre Loi. A cause de cela, Lamfadel Akdi a été arrêté dans son restaurant de la corniche tangerine.
    L’implication d’hommes politiques dans les réseaux du trafic de drogues n’est pas un fait nouveau. Depuis les années 90, le ministère de l’Intérieur fait une purge de candidats aux élections locales, provinciales ou nationales, en y interdisant l’accès à des gens suspectés de liens avec le narcotrafic. Ce qui n’est pas un obstacle pour que l’argent du hachisch circule largement pendant les campagnes à Tetuán, à Tanger ou à Nador.
    Il n’a pas attiré l’attention non plus le fait de l’implication de hauts responsables de l’Administration ou d’officiers des corps de sécurité et des magistrats. Cependant, la persistance de la corruption institutionnelle, et les niveaux de celle-ci, suscitent l’alarme. De plus en plus, les cartels du narcotrafic marocain ressemblent aux Mexicains dans sa structure et dans ses ramifications. Bien que jusqu’à présent, les réseaux euro-marocains ne disposent pas de l’armement utilisé au Mexique.
    « Ces réseaux constituent une menace multiforme pour le pays », affirme le journaliste Khalil Hachimi Idrissi, l’un des plus informés au Maroc. Idrissi dit à haute voix ce que les Autorités n’osent pas confesser : « c’est le propre État qui est menacé dans sa crédibilité, dans sa stabilité et dans sa légitimité ». Parce que, ajoute le directeur du journal Aujourd’hui le Maroc, quand le narcotrafic atteint ces niveaux, « les structures étatiques sont exclues ». Il ne reste que la loi du plus fort. L’Europe, la première concernée, ne peut pas rester comme expectatrice devant la détérioration continue de la stabilité dans l’Afrique du Nord.

  • La narcotrafic menace la stabilité du Maroc

    Pedro Canales, Rabat, 17/09/2009


    La plupart des analystes marocains et des chancelleries occidentales coïncident sur une chose : le plus grand danger pour la stabilité du Maroc, en ce moment, vient du narcotrafic. Les réseaux mafieux qui contrôlent le transport et la vente des milliers de tonnes de hachisch de production locale et de la cocaïne et de l’héroïne qui transite par le pays en direction de l’Europe en provenance de l’Asie et du Golfe de la Guinée, constituent un problème beaucoup plus grave que l’islamisme radical, la pauvreté et les insuffisances démocratiques du régime.
    Le communiqué fait public par le procureur du Roi à Casablanca, Abdellah Alaoui Belghiti, le 9 septembre, a fait sauter toutes les alarmes. Dans les deux dernières années les services de sécurité ont réalisé 21.530 opérations anti-drogue dans tout le pays et arrêté 53.893 personnes, parmi elles 973 étrangers de différentes nationalités, principalement des Espagnols, des Français, des Italiens, des Belges et des Hollandais, d’après le journal socialiste Libération. Dans les prisons marocaines il y a en ce moment moments pas moins de 50.000 individus condamnés pour trafic de drogue, annonce pour sa part le journal Aujourd’hui le Maroc. Ce qui veut dire la majorité absolue de la population carcérale.
    Dans la dernière opération anti-drogue menée au nord du pays, 18 barons présumés ont été arrêtés. Une opération qui demeure ouverte et qui a permis jusqu’à présent de s’emparer de 400 tonnes de kif, 88 de chira et 180 d’huile de cannabis. Des quantités considérables que jointes aux 34 kilos d’héroïne et 53 de cocaïne, en plus des 77.000 de drogues synthétiques, donnent une idée de l’envergure de ce réseau.
    Malgré la diminution de la surface dédiée à la culture de hachisch – selon les données fournies par les autorités marocaines, puisque les organismes internationaux de contrôle n’ont pas l’autorisation de rechercher sur le terrain-, le Maroc continue d’être le producteur principal de cannabis dans le monde, dont l’exportation au marché européen fournit aux narcotrafiquants et aux caïds qui les manipulent, plusieurs milliards d’euros chaque année.
    L’instruction du cas Triha, du surnom de Lamfadel Akdi, un intouchable soupçonné d’être à la tête du réseau, promet des révélations importantes. Pour le moment un ex-député du Regroupement National des Indépendants (RNI), de Mohamed Jouahri, a été détenu. Des 18 arrêtés, cinq contrôlaient la vente de drogues dures, de cocaïne et de l’héroïne provenant de l’Afrique Occidental, sur le marché marocain; six autres dirigeaient le secteur de l’exportation de hachisch en Espagne par voie maritime en utilisant les embarcations qui démarraient du port improvisé de Marchica près de Nador; un autre groupe composé de trois était chargé de l’exportation en Europe par voie terrestre, en utilisant des camions TIR de marchandises; un quatrième groupe de trois barons contrôlait le trafic vers l’Algérie, vers Tunis et vers la Libye, à travers la frontière d’Oujda et d’Errachidia; et le dernier d’eux était chargé de l’approvisionnement de hachisch à Ketama.
    Selon les premiers éléments de la recherche, le réseau comptait d’une demi-centaine de poids lourds, qui s’était pratiquement distribué tout le pays. La presse marocaine parle d’un Gouverneur, de plusieurs hauts responsables de l’administration territoriale, d’employés de la Douane et de la Gendarmerie Royale, et de plusieurs magistrats. Selon le journal Al Bayane, l’une des régions importantes par lesquelles transitait  « la neige » provenant de l’Afrique de l’Ouest n’est autre que le Sahara Occidental, les « provinces sahariennes » selon la terminologie habituelle marocaine.
    Toute la presse locale a largement fait l’écho sur les détentions. L’hebdomadaire Tel Quel offre une donnée intéressante : « Il aurait été impossible à la police d’arrêter Triha dans son village natal de Bab Berred, près de Ketama, parce que les habitants l’aurait empêché ». Les Autorités marocaines reconnaissent que dans les zones de production de hachisch, dans les « lieux chauds » du Rif, règne une autre Loi. A cause de cela, Lamfadel Akdi a été arrêté dans son restaurant de la corniche tangerine.
    L’implication d’hommes politiques dans les réseaux du trafic de drogues n’est pas un fait nouveau. Depuis les années 90, le ministère de l’Intérieur fait une purge de candidats aux élections locales, provinciales ou nationales, en y interdisant l’accès à des gens suspectés de liens avec le narcotrafic. Ce qui n’est pas un obstacle pour que l’argent du hachisch circule largement pendant les campagnes à Tetuán, à Tanger ou à Nador.
    Il n’a pas attiré l’attention non plus le fait de l’implication de hauts responsables de l’Administration ou d’officiers des corps de sécurité et des magistrats. Cependant, la persistance de la corruption institutionnelle, et les niveaux de celle-ci, suscitent l’alarme. De plus en plus, les cartels du narcotrafic marocain ressemblent aux Mexicains dans sa structure et dans ses ramifications. Bien que jusqu’à présent, les réseaux euro-marocains ne disposent pas de l’armement utilisé au Mexique.
    « Ces réseaux constituent une menace multiforme pour le pays », affirme le journaliste Khalil Hachimi Idrissi, l’un des plus informés au Maroc. Idrissi dit à haute voix ce que les Autorités n’osent pas confesser : « c’est le propre État qui est menacé dans sa crédibilité, dans sa stabilité et dans sa légitimité ». Parce que, ajoute le directeur du journal Aujourd’hui le Maroc, quand le narcotrafic atteint ces niveaux, « les structures étatiques sont exclues ». Il ne reste que la loi du plus fort. L’Europe, la première concernée, ne peut pas rester comme expectatrice devant la détérioration continue de la stabilité dans l’Afrique du Nord.

  • The arms trade

    By Thabet
    No surprises that the US remains the biggest supplier and spender of arms to other governments. With the Chinese and Russians closing the spending gap on the US, global military spending reached a record in 2008, despite the financial and economic crises (though, at this stage, this is probably due to a lag in record keeping and the completion of pre-existing agreements). Interestingly, three Arab countries, Saudi Arabia, the UAE and (oddly) Moroccowere some of the biggest spenders on arms outside the OECD. Saudi Arabia and the UAE make sense given the geopolitical significance of the area and the stand off with Iran. Morocco seems harder to contextualise. As far as I can see, its main military efforts are in its ongoing occupation of Western Sahara, or combatting the emergence of the North African version of al-Qaida. Anyone have any ideas?
    The data above, however, refers only to government-to-government sales. Commercial deals are not tracked with the same rigour. Global monitoring of the arms trade remains secretive or poor. Efforts at a global arms controls or proposals to tax the arms industry (taxation helps monitor the movement of goods) have often come unstuck and rejected by powerful governments. This shouldn’t be surprising: the G8 accounts for 85% of arms sales, and the five permanent members of the United Nations Security Council are also some of the world’s biggest arms dealers — who said realpolitik needn’t be financially rewarding? (There is, however, a serious moral hazard to consider with taxing the industry too.) But it’s not just the rich and powerful countries that have objected; a number of Arab League members, including Saudi Arabia, dislike the idea that human rights abuses should be linked to the purchase of weapons — again this comes as no surprise.
    This summer saw another commitment to draw up a treaty aimed at controlling the global movement of arms. It remains to be seen how effective such a treaty will be, and how it will take into account power disparities (what if a group of people take up arms to defend themselves from state abuses?).
    In the UK, the arms industry continues to receive generous government support (in the form of our taxes or other dubious activities). This makes the lack of monitoring in the UK all the more troubling. If only for selfish reasons, we should press our government for transparency in how our taxes and state resources are spent in supporting the arms industry (Whitehall is notoriously secretive).
    The arms trade is controversial not only amongst leftists and anti-arms trade campaigners, who cite the flood of these smaller scale weapons of mass destruction in war torn regions (notably Africa) as reason to regulate the industry much more heavily. Professional Engineering, the dry and often boring magazine of the Institute of Mechanical Engineers (think about those guest publications on Have I Got News for You), becomes rather lively when the arms trade is under discussion, with many engineers voicing their disapproval of the institute’s promotion of the British arms trade in anyway. The arguments usually boil down to national interest, security and job creation versus the professional code of conduct (pdf) and ethics of selling arms to states with dubious human rights records and a history of dubious wars — which would include the Britishgovernment
    Source : Technorati
  • The arms trade

    By Thabet
    No surprises that the US remains the biggest supplier and spender of arms to other governments. With the Chinese and Russians closing the spending gap on the US, global military spending reached a record in 2008, despite the financial and economic crises (though, at this stage, this is probably due to a lag in record keeping and the completion of pre-existing agreements). Interestingly, three Arab countries, Saudi Arabia, the UAE and (oddly) Moroccowere some of the biggest spenders on arms outside the OECD. Saudi Arabia and the UAE make sense given the geopolitical significance of the area and the stand off with Iran. Morocco seems harder to contextualise. As far as I can see, its main military efforts are in its ongoing occupation of Western Sahara, or combatting the emergence of the North African version of al-Qaida. Anyone have any ideas?
    The data above, however, refers only to government-to-government sales. Commercial deals are not tracked with the same rigour. Global monitoring of the arms trade remains secretive or poor. Efforts at a global arms controls or proposals to tax the arms industry (taxation helps monitor the movement of goods) have often come unstuck and rejected by powerful governments. This shouldn’t be surprising: the G8 accounts for 85% of arms sales, and the five permanent members of the United Nations Security Council are also some of the world’s biggest arms dealers — who said realpolitik needn’t be financially rewarding? (There is, however, a serious moral hazard to consider with taxing the industry too.) But it’s not just the rich and powerful countries that have objected; a number of Arab League members, including Saudi Arabia, dislike the idea that human rights abuses should be linked to the purchase of weapons — again this comes as no surprise.
    This summer saw another commitment to draw up a treaty aimed at controlling the global movement of arms. It remains to be seen how effective such a treaty will be, and how it will take into account power disparities (what if a group of people take up arms to defend themselves from state abuses?).
    In the UK, the arms industry continues to receive generous government support (in the form of our taxes or other dubious activities). This makes the lack of monitoring in the UK all the more troubling. If only for selfish reasons, we should press our government for transparency in how our taxes and state resources are spent in supporting the arms industry (Whitehall is notoriously secretive).
    The arms trade is controversial not only amongst leftists and anti-arms trade campaigners, who cite the flood of these smaller scale weapons of mass destruction in war torn regions (notably Africa) as reason to regulate the industry much more heavily. Professional Engineering, the dry and often boring magazine of the Institute of Mechanical Engineers (think about those guest publications on Have I Got News for You), becomes rather lively when the arms trade is under discussion, with many engineers voicing their disapproval of the institute’s promotion of the British arms trade in anyway. The arguments usually boil down to national interest, security and job creation versus the professional code of conduct (pdf) and ethics of selling arms to states with dubious human rights records and a history of dubious wars — which would include the Britishgovernment
    Source : Technorati
  • La Libye, le Maroc et la maladie de Mohamed VI




    Le conflit entre le Maroc et la Libye met en évidence l’isolement de Mohamed VI dans le contentieux du Sahara Occidental.
    « La participation de la RASD dans les célébrations du 40e anniversaire de la Révolution du 1er septembre et dans la séance extraordinaire de l’Union Africaine, constitue « une réaffirmation de l’adhésion de la RASD au continent africain et de promotion des relations bilatérales avec la Libye, qui était l’amphitryon de ces évènements », a déclaré à l’agence de presse sahraouie SPS, le responsable d’Orientation Politique et membre du Secrétariat Nationale du Front Polisario, Bachir Mustafa Sayed.
    Bachir Sayed a participé avec d’autres membres de la RASD aux actes commémoratifs de cette occasion. Pour lui, la « réception officielle et l’hospitalité généreuse qui a été réservée à la délégation sahraouie pendant son séjour, fortifient et revitalisent les relations entre la RASD et la Libye ».
    Mohamed Abdelaziz, le président de la RASD s’est réuni avec des leaders du monde et avec la majorité des chefs des délégations participantes, où il a eu l’occasion d’informer à propos des derniers événements relatifs à la question du Sáhara Occidental.
    Durant la célébration du « 40eme anniversaire de la Révolution du 1er septembre », Abdelaziz a reçu la médaille commémorative de cet évènement des mains du leader libyen, Mouamar Gadhafi.
    Peu avant, le Président libyen avait défendu devant les représentants de l’Union Africaine la position exposée par la délégation sahraouie : « que la seule solution au conflit du Sahara Occidental passe pour le référendum d’autodétermination du peuple sahraoui sous l’égide international, en affirmant son appui à l’option que le peuple sahraoui a choisi « , a déclaré Gadhafi.
    La réponse de la délégation marocaine aussi présente dans ces actes ne s’est pas fait attendre, bien que l’excuse présentée était que « la délégation marocaine s’est retirée seulement à cause de la présence d’une délégation de la RASD ».
    Le journal EL PAIS avait souligné, le 6 septembre, dans un article d’Ignacio Cembrero, sous le titre de « Crise entre le Maroc et la Libye à cause du Polisario« , que le « leader Libyen Mouamar Gadhafi a voulu que les festivités du 40e anniversaire de son accès au pouvoir aient un relief maximal. Il a invité, entre autres, de nombreux chefs d’État, mais le seul absent du Maghreb était le roi Mohamed VI du Maroc ». L’excuse pour ne pas assister était une malaide stomachale.
    D’après Cembrero, la délégation du Polisario « est devenue une délégation d’un État, la République Arabe Sahraouie Democrátique que les Marocains traitent de « fantoche ». Son leader, Mohamed Abdelaziz, a été traité à Tripoli avec les honneurs d’un chef d’État ». Apparemment, « Rabat, en plus, a protesté par voie diplomatique. Il soutient que l’attitude du leader libyen « contredit complètement les liens de fraternité, de solidarité, de coopération (…) et un respect mutuel entre les deux pays » et il attend « une explication officielle ».
    Gadhafi, ajoute le journal EL PAIS « non seulement ne l’a pas donnée mais il a persisté dans la même ligne. Déjà dans le discours qu’il a prononcé, le lundi soir, il a affirmé que « la seule solution possible à la question du Sáhara Occidental consiste en un référendum sous les auspices de l’ONU pour permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit inaliénable à l’autodétermination « .
    Avec ce nouveau conflit entre la Libye et le Maroc, les thèses d’une « autonomie » pour le Sáhara Occidental proposée par Mohamed VI, subit un grand échec au sein de l’Union Africaine et dans le reste du monde. Excepté la France, l’Espagne et le gouvernement de Teodoro Obiang Nguema, peu nombreux sont les pays qui soutiennent le Maroc dans cette affaire.
    D’après la MAP, le gouvernement marocain a dépêché, le 6 septembre, une délégation comprenant Moustapha Mansouri, président de la Chambre des Représentants et président du Rassemblement national des indépendants (RNI), Mohand Laenser, ministre d’Etat et secrétaire général du Mouvement populaire (MP) et Mohamed El Yazghi, ministre d’Etat, ancien premier secrétaire de l’Union socialiste des Forces populaires (USFP).
    La visite de cette délégation donne l’impression que c’est le Maroc qui chercherait à s’expliquer, voire à s’excuser de l’absence du roi Mohamed VI dans les actes de conmémoration de la Jamahiriya Libyenne.
    Si le roi du Maroc a dû inventer une maladie pour justifier son absence, ce canular a eu des conséquences inattendues. Plusieurs journalistes marocains se trouvent dans le collimateur et risquent de payer cher leurs spéculations sur la maladie du souverain.

  • La Libye, le Maroc et la maladie de Mohamed VI




    Le conflit entre le Maroc et la Libye met en évidence l’isolement de Mohamed VI dans le contentieux du Sahara Occidental.
    « La participation de la RASD dans les célébrations du 40e anniversaire de la Révolution du 1er septembre et dans la séance extraordinaire de l’Union Africaine, constitue « une réaffirmation de l’adhésion de la RASD au continent africain et de promotion des relations bilatérales avec la Libye, qui était l’amphitryon de ces évènements », a déclaré à l’agence de presse sahraouie SPS, le responsable d’Orientation Politique et membre du Secrétariat Nationale du Front Polisario, Bachir Mustafa Sayed.
    Bachir Sayed a participé avec d’autres membres de la RASD aux actes commémoratifs de cette occasion. Pour lui, la « réception officielle et l’hospitalité généreuse qui a été réservée à la délégation sahraouie pendant son séjour, fortifient et revitalisent les relations entre la RASD et la Libye ».
    Mohamed Abdelaziz, le président de la RASD s’est réuni avec des leaders du monde et avec la majorité des chefs des délégations participantes, où il a eu l’occasion d’informer à propos des derniers événements relatifs à la question du Sáhara Occidental.
    Durant la célébration du « 40eme anniversaire de la Révolution du 1er septembre », Abdelaziz a reçu la médaille commémorative de cet évènement des mains du leader libyen, Mouamar Gadhafi.
    Peu avant, le Président libyen avait défendu devant les représentants de l’Union Africaine la position exposée par la délégation sahraouie : « que la seule solution au conflit du Sahara Occidental passe pour le référendum d’autodétermination du peuple sahraoui sous l’égide international, en affirmant son appui à l’option que le peuple sahraoui a choisi « , a déclaré Gadhafi.
    La réponse de la délégation marocaine aussi présente dans ces actes ne s’est pas fait attendre, bien que l’excuse présentée était que « la délégation marocaine s’est retirée seulement à cause de la présence d’une délégation de la RASD ».
    Le journal EL PAIS avait souligné, le 6 septembre, dans un article d’Ignacio Cembrero, sous le titre de « Crise entre le Maroc et la Libye à cause du Polisario« , que le « leader Libyen Mouamar Gadhafi a voulu que les festivités du 40e anniversaire de son accès au pouvoir aient un relief maximal. Il a invité, entre autres, de nombreux chefs d’État, mais le seul absent du Maghreb était le roi Mohamed VI du Maroc ». L’excuse pour ne pas assister était une malaide stomachale.
    D’après Cembrero, la délégation du Polisario « est devenue une délégation d’un État, la République Arabe Sahraouie Democrátique que les Marocains traitent de « fantoche ». Son leader, Mohamed Abdelaziz, a été traité à Tripoli avec les honneurs d’un chef d’État ». Apparemment, « Rabat, en plus, a protesté par voie diplomatique. Il soutient que l’attitude du leader libyen « contredit complètement les liens de fraternité, de solidarité, de coopération (…) et un respect mutuel entre les deux pays » et il attend « une explication officielle ».
    Gadhafi, ajoute le journal EL PAIS « non seulement ne l’a pas donnée mais il a persisté dans la même ligne. Déjà dans le discours qu’il a prononcé, le lundi soir, il a affirmé que « la seule solution possible à la question du Sáhara Occidental consiste en un référendum sous les auspices de l’ONU pour permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit inaliénable à l’autodétermination « .
    Avec ce nouveau conflit entre la Libye et le Maroc, les thèses d’une « autonomie » pour le Sáhara Occidental proposée par Mohamed VI, subit un grand échec au sein de l’Union Africaine et dans le reste du monde. Excepté la France, l’Espagne et le gouvernement de Teodoro Obiang Nguema, peu nombreux sont les pays qui soutiennent le Maroc dans cette affaire.
    D’après la MAP, le gouvernement marocain a dépêché, le 6 septembre, une délégation comprenant Moustapha Mansouri, président de la Chambre des Représentants et président du Rassemblement national des indépendants (RNI), Mohand Laenser, ministre d’Etat et secrétaire général du Mouvement populaire (MP) et Mohamed El Yazghi, ministre d’Etat, ancien premier secrétaire de l’Union socialiste des Forces populaires (USFP).
    La visite de cette délégation donne l’impression que c’est le Maroc qui chercherait à s’expliquer, voire à s’excuser de l’absence du roi Mohamed VI dans les actes de conmémoration de la Jamahiriya Libyenne.
    Si le roi du Maroc a dû inventer une maladie pour justifier son absence, ce canular a eu des conséquences inattendues. Plusieurs journalistes marocains se trouvent dans le collimateur et risquent de payer cher leurs spéculations sur la maladie du souverain.

  • La propagande marocaine contre l’Algérie s’intensifie

    Depuis le début, nous n’avons pas cessé de dénoncer les efforts de la politique du gouvernement marocain pour s’assurer du soutien du peuple marocain à son aventure, ou plutôt mésaventure, saharienne à travers des campagnes de propagande basée sur la haine envers le peuple algérien. Pourtant, personne n’ignore que ce sont les sahraouis qui sont ses ennemis.
    Dans les derniers mois, les sites et blogs se sont multipliés dans ce but. Le titre, la littérature et le niveau de propagande ne laissent aucun doute sur la source de ces espaces cybernétiques: Le Ministère de l’Intérieur. Et le niveau de grossièreté est sans limite.
    Voici un extrait d’un article publié sur le blog Le Royaume du Maroc, nouvelle ère (Dieu, Patrie, Roi)
    Mercredi 9 septembre 2009
    UN VENT SORDIDE POLLUE DE HAINE NOUS SOUFFLE TOUJOURS DE NOTRE FRONTIERE-EST, DE LA MAUVAISE RACE ALGERIENNE !!
                   Pour parler d’algérie,il faut toujours penser à cette problèmatique : 30 millions,ou un peu plus d’habitants que compte l’algérie..si on divise ce nombre par dix, c’est-à-dire dix par 1 esprit !,(عشرة  في عقل واحد) On trouvera sûrement que 3 millions d’algériens.! C’est minime et immature pour combattre et faire tomber un pays fort,comme le Maroc…nous allons devoir fermer à double tour et pas ouvrir nos frontières pour ne pas être contaminés par cette sale création..!
                              Nous voilà de retour après une absence d’un mois pour redoubler la mise aux algériens et leur redire : qu’on peut se frotter les yeux à maintes reprises et lancer  » mon Dieu ce n’est pas vrais. « .Mais il faut pourtant se rendre à l’évidence.Il est bien difficile d’en connaître d’avance les surprises éventuelles que nous cache l’Algérie. J’observe simplement qu’à chaque moment où cette Algérie mobilise frivolement sa diplomatie , -tabac à chiques à la gueule, et petro dinar à la main-, pour appliquer sans relâche sa feuille de route de combat, contre toute initiative fructueuse Marocaine à travers les instances internationales,que chacun se livre à divers commentaires,à diverses suppositions,!!  sur telle ou telle création. Chacun peut ainsi donner libre cours à son imagination, car tout peut donc être prétexte à une interprétation.  
                            L’administration du blog se permet de reproduire cette note,et la mettre à jour avec quelques retouches, pour confirmer une fois encore que cette sale race algérienne,que le bon Dieu nous colle au dos,est toujours têtue devant la grandeur d’un Maroc qui,par son authenticité racinée, par la majesté de sa longue et riche histoire, par son savoir faire silencieux,et par la volonté de Dieu,est toujours debout en sentinelle avec une fierté remarquable,et en demeurera vainqueur par sa nature innocente,pour endosser à cette mauvaise créature,pour ses intentions frauduleuses,pour ses tentatives malencontreuses contre notre pays,,des défaites,et que les défaites,et lui encaisser aussi des coups de maître qui lui feront des échecs dans tous les sens.Et ce par la clairvoyance de notre guide souverain,un roi actif jouissant de plein de vitalité,un homme d’infiniment d’esprit et de goût,avançant glorieusement à une cadence plus supérieure à celle des vieux connards de la Moraddiah d’Alger..,en leur disant que :  Nous sommes-là,et nous y resterons à l’infini dans cette belle partie géographique du monde, en situation privilégiée à deux vitrines maritimes qui, ne fait qu’augmenter le niveau de votre diabète….! –جريوو أطوالكم يالكلاب،وأغلى مافي خيولكم ركبوه؟  –  sachant qu’à l’éphéméride improviste, les chiffres de : 9.9.09,date de cette publication par coïncidence,sont bien le bon signe de votre malchance et votre malheur de toujours..!!  تسعة رهط ،، تفسد ولا تصلح » »
                      Dans le but de dévoiler le maximum possible la mauvaise race algérienne, je suis très heureux de me joindre à notre confrère JamalEddine, un Marocain de Canada en vu de le remercier pour sa contribution qu’il avait bien voulu soumettre pour encourager ce blog .Je tiens plus fort aussi sur sa main pour l’effort qu’il ne cesse de déployer pour mettre à sac les tentative désespérées de nos ennemis algériens  ,qui sont entrain d’user de leur mieux pour défigurer l’histoire Marocaine à leur faveurs. Sachant que toute histoire est une unité solidement indéfectible, intransigeante et infroissable. Pour parer à ce mauvais esprit, reculons en arrière pour revoir quelques pages de l’histoire,avec un regard un peu plus loin, pour savoir que l’appui des Marocains aux algériens n’est pas nouveau,et ne commence guère avec leur lutte armées de libération des années cinquante,comme on peut l’imaginer. Il serait indispensable de se concentrer sur une bonne synthèse bien résumée, pour rappeler aux connards algériens, qu’ils soient officiels ou officieux que nous sommes-là que pour effacer toute initiative mensongère de leur part, et nous sommes-là aussi pour démentir tous ce qui portera atteinte à notre réalité et à notre grandeur, et rendre ainsi les pendules à l’heure de vérité.
  • La propagande marocaine contre l’Algérie s’intensifie

    Depuis le début, nous n’avons pas cessé de dénoncer les efforts de la politique du gouvernement marocain pour s’assurer du soutien du peuple marocain à son aventure, ou plutôt mésaventure, saharienne à travers des campagnes de propagande basée sur la haine envers le peuple algérien. Pourtant, personne n’ignore que ce sont les sahraouis qui sont ses ennemis.
    Dans les derniers mois, les sites et blogs se sont multipliés dans ce but. Le titre, la littérature et le niveau de propagande ne laissent aucun doute sur la source de ces espaces cybernétiques: Le Ministère de l’Intérieur. Et le niveau de grossièreté est sans limite.
    Voici un extrait d’un article publié sur le blog Le Royaume du Maroc, nouvelle ère (Dieu, Patrie, Roi)
    Mercredi 9 septembre 2009
    UN VENT SORDIDE POLLUE DE HAINE NOUS SOUFFLE TOUJOURS DE NOTRE FRONTIERE-EST, DE LA MAUVAISE RACE ALGERIENNE !!
                   Pour parler d’algérie,il faut toujours penser à cette problèmatique : 30 millions,ou un peu plus d’habitants que compte l’algérie..si on divise ce nombre par dix, c’est-à-dire dix par 1 esprit !,(عشرة  في عقل واحد) On trouvera sûrement que 3 millions d’algériens.! C’est minime et immature pour combattre et faire tomber un pays fort,comme le Maroc…nous allons devoir fermer à double tour et pas ouvrir nos frontières pour ne pas être contaminés par cette sale création..!
                              Nous voilà de retour après une absence d’un mois pour redoubler la mise aux algériens et leur redire : qu’on peut se frotter les yeux à maintes reprises et lancer  » mon Dieu ce n’est pas vrais. « .Mais il faut pourtant se rendre à l’évidence.Il est bien difficile d’en connaître d’avance les surprises éventuelles que nous cache l’Algérie. J’observe simplement qu’à chaque moment où cette Algérie mobilise frivolement sa diplomatie , -tabac à chiques à la gueule, et petro dinar à la main-, pour appliquer sans relâche sa feuille de route de combat, contre toute initiative fructueuse Marocaine à travers les instances internationales,que chacun se livre à divers commentaires,à diverses suppositions,!!  sur telle ou telle création. Chacun peut ainsi donner libre cours à son imagination, car tout peut donc être prétexte à une interprétation.  
                            L’administration du blog se permet de reproduire cette note,et la mettre à jour avec quelques retouches, pour confirmer une fois encore que cette sale race algérienne,que le bon Dieu nous colle au dos,est toujours têtue devant la grandeur d’un Maroc qui,par son authenticité racinée, par la majesté de sa longue et riche histoire, par son savoir faire silencieux,et par la volonté de Dieu,est toujours debout en sentinelle avec une fierté remarquable,et en demeurera vainqueur par sa nature innocente,pour endosser à cette mauvaise créature,pour ses intentions frauduleuses,pour ses tentatives malencontreuses contre notre pays,,des défaites,et que les défaites,et lui encaisser aussi des coups de maître qui lui feront des échecs dans tous les sens.Et ce par la clairvoyance de notre guide souverain,un roi actif jouissant de plein de vitalité,un homme d’infiniment d’esprit et de goût,avançant glorieusement à une cadence plus supérieure à celle des vieux connards de la Moraddiah d’Alger..,en leur disant que :  Nous sommes-là,et nous y resterons à l’infini dans cette belle partie géographique du monde, en situation privilégiée à deux vitrines maritimes qui, ne fait qu’augmenter le niveau de votre diabète….! –جريوو أطوالكم يالكلاب،وأغلى مافي خيولكم ركبوه؟  –  sachant qu’à l’éphéméride improviste, les chiffres de : 9.9.09,date de cette publication par coïncidence,sont bien le bon signe de votre malchance et votre malheur de toujours..!!  تسعة رهط ،، تفسد ولا تصلح » »
                      Dans le but de dévoiler le maximum possible la mauvaise race algérienne, je suis très heureux de me joindre à notre confrère JamalEddine, un Marocain de Canada en vu de le remercier pour sa contribution qu’il avait bien voulu soumettre pour encourager ce blog .Je tiens plus fort aussi sur sa main pour l’effort qu’il ne cesse de déployer pour mettre à sac les tentative désespérées de nos ennemis algériens  ,qui sont entrain d’user de leur mieux pour défigurer l’histoire Marocaine à leur faveurs. Sachant que toute histoire est une unité solidement indéfectible, intransigeante et infroissable. Pour parer à ce mauvais esprit, reculons en arrière pour revoir quelques pages de l’histoire,avec un regard un peu plus loin, pour savoir que l’appui des Marocains aux algériens n’est pas nouveau,et ne commence guère avec leur lutte armées de libération des années cinquante,comme on peut l’imaginer. Il serait indispensable de se concentrer sur une bonne synthèse bien résumée, pour rappeler aux connards algériens, qu’ils soient officiels ou officieux que nous sommes-là que pour effacer toute initiative mensongère de leur part, et nous sommes-là aussi pour démentir tous ce qui portera atteinte à notre réalité et à notre grandeur, et rendre ainsi les pendules à l’heure de vérité.
  • Le peuple sahraoui, sacrifié par la presse marocaine

    Le sahraoui s’étonne de ceux qui ne voient qu’à distance, au-delà du mirage : ceux qui ne souffrent que des gémissements émis à des milliers de kilomètres, ne s’affligent que de ce qui touche les « gens du Nord », ne prennent d’initiative, ne hurlent, n’appellent au secours que pour une partie de ceux qu’ils appellent « leurs concitoyens ».

    Le sahraoui s’étonne de ceux qui ne voient ni n’entendent ni ne se lamentent de la souffrance et la douleur de ceux qu’ils appellent les frères des « provinces du sud ».
    Ils voient les souffrances du peuple palestinien qui se trouvent à des milliers de kilomètres, mais ne voient pas ce que leurs tortionnaires font au peuple sahraoui dans la maison d’à côté.

    Ils lancent leurs anathèmes comme leurs fusées en papiers, à Rabat et à Casablanca; sur les chaînes qui puent le pétrole et la mauvaise encre qui noircit les kilomètres de pages, et dénoncent ce qui touche leurs « frères à Gaza », mobilisent tout le lexique de la compassion et de l’affliction et incitent la population à se révolter contre ses agissements.

    Son étonnement et ses interrogations sont ceux de milliers de sahraouis qui se posent des questions et essaient de comprendre. Ce qui fait le plus mal et fend le cœur c’est que ce silence se fait au nom de la défense de l’intégrité territoriale, de la souveraineté et de la grandeur marocaine.

    Des hommes normalement constitués n’auraient pas pu ignorer nos malheurs, nous les sahraouis qui sommes victimes tous les jours de la répression et des insultes de l’appareil répressif du Makhzen traditionnel, des policiers, des gendarmes.
     
    Nous sommes ignorés même par la presse indépendante
    marocaine qui évolue dans une situation quasi identique à celle vécue par les défenseurs des droits de l’homme dans la partie du Sahara Occidental sous contrôle marocain. Ils sont tous les deux victimes de procès politiques déguisés par des diverses accusations avancées par la justice.
    Cette presse est consciente que ces procès ne font que corroborer les soupçons sur les supposés acquis démocratiques du Maroc, des acquis qui n’ont jamais existé ou, pour le mieux, n’ont existé que dans le discours.
    Les journaux qui se disent indépendants n’hésitent pas à s’attaquer au gouvernement,  à dénoncer la malversation, la corruption et les violations des droits de l’homme au Maroc. Cependant, il paraît qu’ils ont décidé, depuis le début, de sacrifier le peuple sahraoui pour réaliser leurs revendications. Un cadeau présenté au gouvernement en échange de quelques miettes d’une liberté d’expression jusqu’à présent inexistante.
    A part un journal ou deux, la voix des dizaines de journaux marocains est unanime lorsqu’ils parlent du Sahara. Sur les violations des droits de l’homme, la répression et l’emprisonnement des militants sahraouis, c’est le silence absolu.
    On peut comprendre qu’ils défendent leur position sur la « marocanité » du Sahara, qu’ils n’aiment pas le Front Polisario, mais de là à sauter sans gêne le pas de la vérité et l’accuser des pires diffamations n’est pas sérieux et jette des soupçons sur la véritable nature de cette presse indépendante. Pire encore, pas un mot sur les violations quotidiennes des droits de l’homme qui sont commises depuis 34 ans. Est-ce pour recevoir des chèques publicitaires en échange du feu vert pour la politique saharienne du régime? Ne peut-on pas appeler cela de la discrimination pure et simple?
    Si les sahraouis sont considérés comme des citoyens marocains et des frères, aucun journaliste ne s’arrête un instant pour se dénoncer ce qui se passe au Sahara. Au contraire, on a donné carte blanche au gouvernement pour les exterminer. Quel drôle de traitement pour ceux qu’ils appellent les « sujets de Sa Majesté des provinces du sud  » !
    Le journal Al Watan Al-An et Le Journal Hebdo sont les seuls qui ont décidé d’opter pour l’honnêteté envers les sahraouis et ils sont constamment punis pour cela. Le premier n’a droit même pas à une page web. Est-ce cela un indice de la complicité des autres organes de presse avec le régime en matière saharienne?
    Apparemment, la réponse est oui. Cette presse est  à l’image du système qui est en place et semble être déconnectée de la réalité sahraouie. Tel un troupeau de moutons sages, dans l’affaire du Sahara elle est orientée par le palais dans toutes les directions sauf dans la bonne, celle qui indique que le peuple sahraoui est un peuple frère qui subit les mêmes exactions que le peuple marocain.
    Le magazine TelQuel; qui se veut le plus transparent jusqu’au point d’aller faire un reportage sur le Front Polisario et les camps des réfugiés sahraouis, cache mal sa transparence. S’agissant du Sahara, il exprime une petite vérité pour faire passer un grand mensonge. L’art de la propagande et de se moquer de la naïveté des citoyens.
    Ces héros de la lutte pour la liberté de la presse, et à leur tête Al-Massae, ne gâchent jamais une occasion pour s’attaquer au Polisario racontant des mystifications et des mensonges atroces sans preuves ni raisons et ils n’hésitent pas à se montrer comme une presse-poubelle distinguée par la bassesse lorsqu’il s’agit de défendre la pseudo-intégrité territoriale et alimenter cette hystérie collective cultivée par le régime pour les maintenir à sa merci.
    Quand leurs maîtres foirent dans leur politique saharienne, tout le monde s’acharne contre l’Algérie, le bouc émissaire idéal pour détourner l’attention de la population.
    Rachid Nini, le directeur du journal le plus vendu aura à cœur de se montrer plus royaliste que le roi. A côté de son portrait, qui illustre à merveille son despotisme, dénonce des complots imaginaires pour « affaiblir l’institution monarchique et ébranler la confiance que lui témoignent les Marocains ». Ensuite, il se pose en procureur pour dénoncer le manque de rigueur et de fermeté du gouvernement dans la question du Sahara à cause des succès « des ennemis de l’intégrité territoriale » pour lequel ne sont que des mercenaires à la solde de l’Algérie.
    Espérons qu’ils tireront des leçons de celui qui, à force de s’en prendre à l’Algérie, a reçu une gifle en pleine figure : Le quotidien Assabah qui trouve que la main de l’Algérie peut traverser la Méditerranée pour influencer le dictat des magistrats français chargés d’élucider l’assassinat du célèbre opposant marocain Mehdi Ben Barka à Paris. Mais voilà une nouvelle qui met le pendule à l’heure : Le patron du quotidien marocain Assabah a été condamné par la justice française pour diffamation envers un journaliste de la chaîne publique France 3 qu’il accusait d’être un agent des services secrets algériens.
    Abdelmounaïm Dilami, directeur de la publication du quotidien en langue arabe Assabah, avait été condamné par défaut le 14 octobre 2008 à 3.000 euros d’amende et 5.000 euros de dommages et intérêts.
    En octobre 2007, le journaliste de France 3 Joseph Tual avait révélé l’existence de cinq mandats d’arrêt délivrés par un juge français à l’encontre de ressortissants marocains soupçonnés d’avoir participé à l’enlèvement de Mehdi Ben Barka en 1965 à Paris. Les mandats d’arrêt avaient été émis lors d’une visite du président Nicolas Sarkozy au Maroc. Dans son édition des 3 et 4 novembre 2007, Assabah publiait un article intitulé «Les services de renseignements algériens disposent du dossier Ben Barka».
    Il est grand temps que les journalistes marocains fassent preuve de sagesse et de sacrifice pour leurs métiers en prônant la vérité comme seule dogme quel que soit le sujet et qu’on arrête de diaboliser les sahraouis pour le simple fait qu’ils ne veulent jeter l’éponge.