
Auteur/autrice : mahembarec
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L’art marocain de la diffamation
Visiblement les autorités marocaines et leurs sbirres sont très dérangés par les articles du collectif Diaspora Sahraouie.
Après avoir, à plusieurs fois, essayé de passer leurs articles diffamatoires contre le Front Polisario, ils ont commencé à envoyer d’articles qui visent à discréditer et salir l’image de Bellaciao. Ca n’a pas marché non plus.Maintenant, pour faire passer leurs articles diffamatoires, il se servent du nom de notre collectif. L’article inititulé « L’algérie, le Sahara Occidental et le bloquage du Maghreb » n’a pas été envoyé par notre collectif.La preuve que cet article n’est pas à nous, est qu’il ne se trouve pas sur notre blog.Voilà la preuve que les marocains ne supportent pas de voir sur le net tout ce qui dénonce leur politique de basse cour. -
Maroc : le banditisme politique
Le Maroc essaie de suppléer à son manque d’arguments légaux par une grande campagne de propagande faisant croire que de nombreux pays ont retiré leur reconnaissance de la RASD par conviction de l’injustesse de la cause sahraouie, alors que la réalité est que ces pays ont infléchi sous la pression et le chantage.D’un total de 85, une vingtaine de petits pays (Seychelles, le Malawi, le Bénin, Tchad, etc) se sont vus obligés de retirer ou congeler leur reconnaissance de la RASD, vu les très fortes pressions exercées par le Maroc.Le Maroc indépendant a toujours pratiqué pressions et chantage à l’égard de l’Espagne pour lui arracher des concessions concernant le Sahara Occidental. Pressions, marchandages, chantage avaient abouti au fameux ( et tragique par ses conséquences ) accord de Madrid du 14 novembre 1975 où l’Espagne avait trahi les engagements pris devant la Communauté Internationale et le peuple sahraoui. Le talon d’Achille de l’Espagne vis-à-vis du Maroc est représenté par sa volonté de garder les présides de Ceuta et Melilla et de sauver des possibilités de pêche pour sa flotte.Avec l’Espagne, les enclaves de Ceuta et Melilla sont devenus la source d’un chantage diplomatique permanent. L’invasion de l’Ilot Persil en 2002 était la réponse marocaine au refus du président Aznar à cette politique de chantage.Pendant longtemps, Le Maroc a fait pression sur l’Union Européenne en remettant constamment, sous des prétextes divers, la signature de nouveaux accords de pêche dans le but de monnayer la signature de nouveaux accords de pêche contre un abandon par le Parlement Européen et plus largement par les Etats européens, des lois et principes de la Communauté Internationale qui fondent le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui. Une politique de chantage que constituent la permissivité des autorités marocaines vis-à-vis de l’immigration illégale, leur passivité face au trafic de drogue à travers le détroit de Gilbraltar, la revendication de Ceuta et Melilla, les accords de pêche et enfin, le problème de la monarchie menacée, qui apparaît toujours en toile de fond. Comme vous le voyez, la politique de chantage du Maroc à l’égard de l’Europe n’a pas de limite, même au bout de 34 années. Ces pressions ont donné comme résultat l’octroi d’un statut avancé pour un royaumé médiéval fondé sur la représsion, la corruption et la malversation.Le Maroc a cherché à utiliser sa position de quasi-monopole pour tenter de faire pression sur les pays demandeurs de phosphates en vue d’infléchir leur politique dans le conflit du Sahara occidental. Ainsi, l’on a fait revenir l’Inde sur sa reconnaissance de la RASD. Le conflit RASD-Maroc est ainsi jalonné par les pressions du Maroc utilisant l’arme des phosphates.En 1978, lors des négociations sur un approvisionnement en phosphate à long terme entre l’URSS et le Maroc, l’accord sur les phosphates était assorti d’un accord sur la pêche qui précisait que les bateaux de l’URSS n’opéreront pas dans le domaine maritime sahraoui, clause que le Maroc ne souhaitait pas voir figurer afin d’y voir une reconnaissance de l’occupation du Sahara occidental.Ses relations avec les Etats-Unis seront utilisées pour amener la Lybie, à l’époque sur les pressions de l’administration Reagan, à arrêter toute aide militaire et humanitaire aux sahraouis.Dans tous ses mouvements dans la scène Internationale, le Maroc a instauré une politique de chantage basée sur des pressions d’ordre économique digne d’un marchand de tapis peu scrupuleux et roublard. En somme, il aligne ses cartes de poker à offrir en contrepartie d’une position antisahraouie.L’obsession du roi et du gouvernement et son fantasme maladif du Sahara cherche à affaiblir et nuire la cause sahraouie par tous les moyens,
au détriment des principes de bonne gouvernance dans un monde aspirant à l’apaisement des conflits et l’abandon du banditisme politique.Les véritables alliés du Maroc qui soutiennent sa politique expansionniste se comptent sur les doigts de la main et lui ressemblent dans sa nature bâtie sur la corruption, la répression et la malhonnêteté, des Etats voyous sans loi ni foi, ni principes, des républiques bananières, dépourvus d’éthique et de morale : Gabon, Guinée Equatoriale, le Zaïre de Mobutu Sese Seko, Côte d’Ivoire. Des pays qui, après 50 ans d’indépendance n’ont même pas un hôpital digne de ce nom et sont obligés d’aller se soigner à Rabat.Hassan II était l’ami intime d’Omar Bongo, le doyen de la Françafrique, un autre roi qui lègue le pouvoir à son fils, Ali, lequel les Gabonais ont toujours considéré comme le fils de son père, aux relents paresseux et désinvoltes paradant à l’époque avec son ami Mohamed VI dans des bolides bruyants. La belle vie, alors que le Gabon, un pays riche en pétrole n’a pas pu empêcher Omar Bongo de mourir dans le pays qu’il a gouverné pendant plus de 45 ans.Dans les années 70, même les partis politiques marocains ont été soumis à ce chantage. Leur reconnaissance était soumise à l’acceptation de la marocanité du Sahara Occidental.Fragilisé par son incapacité à convaincre le peuple marocain et la communauté internationale, le Maroc n’a d’autre moyen que la politique de banditisme. -
Maroc : le banditisme politique
Le Maroc essaie de suppléer à son manque d’arguments légaux par une grande campagne de propagande faisant croire que de nombreux pays ont retiré leur reconnaissance de la RASD par conviction de l’injustesse de la cause sahraouie, alors que la réalité est que ces pays ont infléchi sous la pression et le chantage.D’un total de 85, une vingtaine de petits pays (Seychelles, le Malawi, le Bénin, Tchad, etc) se sont vus obligés de retirer ou congeler leur reconnaissance de la RASD, vu les très fortes pressions exercées par le Maroc.Le Maroc indépendant a toujours pratiqué pressions et chantage à l’égard de l’Espagne pour lui arracher des concessions concernant le Sahara Occidental. Pressions, marchandages, chantage avaient abouti au fameux ( et tragique par ses conséquences ) accord de Madrid du 14 novembre 1975 où l’Espagne avait trahi les engagements pris devant la Communauté Internationale et le peuple sahraoui. Le talon d’Achille de l’Espagne vis-à-vis du Maroc est représenté par sa volonté de garder les présides de Ceuta et Melilla et de sauver des possibilités de pêche pour sa flotte.Avec l’Espagne, les enclaves de Ceuta et Melilla sont devenus la source d’un chantage diplomatique permanent. L’invasion de l’Ilot Persil en 2002 était la réponse marocaine au refus du président Aznar à cette politique de chantage.Pendant longtemps, Le Maroc a fait pression sur l’Union Européenne en remettant constamment, sous des prétextes divers, la signature de nouveaux accords de pêche dans le but de monnayer la signature de nouveaux accords de pêche contre un abandon par le Parlement Européen et plus largement par les Etats européens, des lois et principes de la Communauté Internationale qui fondent le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui. Une politique de chantage que constituent la permissivité des autorités marocaines vis-à-vis de l’immigration illégale, leur passivité face au trafic de drogue à travers le détroit de Gilbraltar, la revendication de Ceuta et Melilla, les accords de pêche et enfin, le problème de la monarchie menacée, qui apparaît toujours en toile de fond. Comme vous le voyez, la politique de chantage du Maroc à l’égard de l’Europe n’a pas de limite, même au bout de 34 années. Ces pressions ont donné comme résultat l’octroi d’un statut avancé pour un royaumé médiéval fondé sur la représsion, la corruption et la malversation.Le Maroc a cherché à utiliser sa position de quasi-monopole pour tenter de faire pression sur les pays demandeurs de phosphates en vue d’infléchir leur politique dans le conflit du Sahara occidental. Ainsi, l’on a fait revenir l’Inde sur sa reconnaissance de la RASD. Le conflit RASD-Maroc est ainsi jalonné par les pressions du Maroc utilisant l’arme des phosphates.En 1978, lors des négociations sur un approvisionnement en phosphate à long terme entre l’URSS et le Maroc, l’accord sur les phosphates était assorti d’un accord sur la pêche qui précisait que les bateaux de l’URSS n’opéreront pas dans le domaine maritime sahraoui, clause que le Maroc ne souhaitait pas voir figurer afin d’y voir une reconnaissance de l’occupation du Sahara occidental.Ses relations avec les Etats-Unis seront utilisées pour amener la Lybie, à l’époque sur les pressions de l’administration Reagan, à arrêter toute aide militaire et humanitaire aux sahraouis.Dans tous ses mouvements dans la scène Internationale, le Maroc a instauré une politique de chantage basée sur des pressions d’ordre économique digne d’un marchand de tapis peu scrupuleux et roublard. En somme, il aligne ses cartes de poker à offrir en contrepartie d’une position antisahraouie.L’obsession du roi et du gouvernement et son fantasme maladif du Sahara cherche à affaiblir et nuire la cause sahraouie par tous les moyens,
au détriment des principes de bonne gouvernance dans un monde aspirant à l’apaisement des conflits et l’abandon du banditisme politique.Les véritables alliés du Maroc qui soutiennent sa politique expansionniste se comptent sur les doigts de la main et lui ressemblent dans sa nature bâtie sur la corruption, la répression et la malhonnêteté, des Etats voyous sans loi ni foi, ni principes, des républiques bananières, dépourvus d’éthique et de morale : Gabon, Guinée Equatoriale, le Zaïre de Mobutu Sese Seko, Côte d’Ivoire. Des pays qui, après 50 ans d’indépendance n’ont même pas un hôpital digne de ce nom et sont obligés d’aller se soigner à Rabat.Hassan II était l’ami intime d’Omar Bongo, le doyen de la Françafrique, un autre roi qui lègue le pouvoir à son fils, Ali, lequel les Gabonais ont toujours considéré comme le fils de son père, aux relents paresseux et désinvoltes paradant à l’époque avec son ami Mohamed VI dans des bolides bruyants. La belle vie, alors que le Gabon, un pays riche en pétrole n’a pas pu empêcher Omar Bongo de mourir dans le pays qu’il a gouverné pendant plus de 45 ans.Dans les années 70, même les partis politiques marocains ont été soumis à ce chantage. Leur reconnaissance était soumise à l’acceptation de la marocanité du Sahara Occidental.Fragilisé par son incapacité à convaincre le peuple marocain et la communauté internationale, le Maroc n’a d’autre moyen que la politique de banditisme. -
La dernière initiative internationale d’Edward Kennedy
Le sénateur démocrate était à la tête d’une lettre demandant à Obama d’appuyer l’indépendance du Sáhara OccidentalIGNACIO CEMBRERO – Madrid – 30/08/2009Les États-Unis doivent « soutenir le peuple du Sáhara Occidental dans son droit à la libre détermination à travers un référendum libre, juste et transparent ». Le sénateur démocrate Edward Kennedy, de 77 ans, a formulé cette pétition dans une lettre dirigée en avril au président Barack Obama. C’était sa dernière initiative politique avant de décéder mardi passé.
Kennedy a été un défenseur ardent de l’indépendance du territoire qui était une colonie espagnole jusqu’à 1975. Il n’a pas lésiné sur ses appuis au Front Polisario, le mouvement qui défend l’indépendance à travers une consultation. En 2005 il a reçu, par exemple, son leader, Mohamed Abdelaziz, à côté d’autres sénateurs à Washington.L’année passée c’était lui qui a remis la médaille des droits de l’homme de la fondation qui porte le nom de son frère, Robert F. Kennedy, à l’activiste saharaui Aminatou Haidar emprisonnée pendant de longues années et qui défend maintenant ces valeurs dans le territoire contrôlé par le Maroc.Il y a quatre mois, Kennedy était en tête d’une lettre publique dirigée à Obama, et signée par six autres sénateurs. Il y accuse le Maroc d’avoir « bloqué ce référendum ». « (…) à sa place il a proposé un plan d’autonomie pour le Sáhara Occidental qui nie le droit sahraoui à un processus d’autodétermination libre qui inclut l’option de l’indépendance ». Il y demande aussi qu’Obama parie pour l’élargissement des compétences de la MINURSO, le contingent de l’ONU déployé dans l’ex-colonie, pour que qu’elle surveille le respect des droits de l’homme.Il n’est pas encore clair si Obama l’a écouté ou non, mais en juillet il a envoyé, à son tour, une lettre au roi Mohamed VI du Maroc dans laquelle il qui évoque la nécessité de travailler ensemble pour atteindre une solution au conflit du Sáhara. Au contraire de son prédécesseur, George Bush, il a omis, cependant, de montrer sa sympathie envers l’offre d’autonomie pour le territoire présentée par le Maroc en 2007.La lettre de Kennedy a été répliquée à Obama par une autre, de congressistes et sénateurs qui a obtenu beaucoup plus de signatures. Ils y exprimaient leur appui à la proposition d’autonomie de Rabat. Les partisans du Polisario ont expliqué le nombre élevé de signataires par la force du lobby marocain à Washington.La web américaine Propublica a révélé ce mois-ci qu’entre la fin de 2007 et le début de 2008, le Maroc avait dépensé 3,33 millions de dollars en lobbying dans le Congrès des EEUU alors que son rival, l’Algérie, le pays qui soutient le plus le Polisario, a déboursé seulement 416.000 dollars. Le Maroc était, selon ces données, le pays arabe qui faisait le plus d’efforts dans le Capitole après les Émirats Arabes Unis et l’Irak.
EL PAIS -
La dernière initiative internationale d’Edward Kennedy
Le sénateur démocrate était à la tête d’une lettre demandant à Obama d’appuyer l’indépendance du Sáhara OccidentalIGNACIO CEMBRERO – Madrid – 30/08/2009Les États-Unis doivent « soutenir le peuple du Sáhara Occidental dans son droit à la libre détermination à travers un référendum libre, juste et transparent ». Le sénateur démocrate Edward Kennedy, de 77 ans, a formulé cette pétition dans une lettre dirigée en avril au président Barack Obama. C’était sa dernière initiative politique avant de décéder mardi passé.
Kennedy a été un défenseur ardent de l’indépendance du territoire qui était une colonie espagnole jusqu’à 1975. Il n’a pas lésiné sur ses appuis au Front Polisario, le mouvement qui défend l’indépendance à travers une consultation. En 2005 il a reçu, par exemple, son leader, Mohamed Abdelaziz, à côté d’autres sénateurs à Washington.L’année passée c’était lui qui a remis la médaille des droits de l’homme de la fondation qui porte le nom de son frère, Robert F. Kennedy, à l’activiste saharaui Aminatou Haidar emprisonnée pendant de longues années et qui défend maintenant ces valeurs dans le territoire contrôlé par le Maroc.Il y a quatre mois, Kennedy était en tête d’une lettre publique dirigée à Obama, et signée par six autres sénateurs. Il y accuse le Maroc d’avoir « bloqué ce référendum ». « (…) à sa place il a proposé un plan d’autonomie pour le Sáhara Occidental qui nie le droit sahraoui à un processus d’autodétermination libre qui inclut l’option de l’indépendance ». Il y demande aussi qu’Obama parie pour l’élargissement des compétences de la MINURSO, le contingent de l’ONU déployé dans l’ex-colonie, pour que qu’elle surveille le respect des droits de l’homme.Il n’est pas encore clair si Obama l’a écouté ou non, mais en juillet il a envoyé, à son tour, une lettre au roi Mohamed VI du Maroc dans laquelle il qui évoque la nécessité de travailler ensemble pour atteindre une solution au conflit du Sáhara. Au contraire de son prédécesseur, George Bush, il a omis, cependant, de montrer sa sympathie envers l’offre d’autonomie pour le territoire présentée par le Maroc en 2007.La lettre de Kennedy a été répliquée à Obama par une autre, de congressistes et sénateurs qui a obtenu beaucoup plus de signatures. Ils y exprimaient leur appui à la proposition d’autonomie de Rabat. Les partisans du Polisario ont expliqué le nombre élevé de signataires par la force du lobby marocain à Washington.La web américaine Propublica a révélé ce mois-ci qu’entre la fin de 2007 et le début de 2008, le Maroc avait dépensé 3,33 millions de dollars en lobbying dans le Congrès des EEUU alors que son rival, l’Algérie, le pays qui soutient le plus le Polisario, a déboursé seulement 416.000 dollars. Le Maroc était, selon ces données, le pays arabe qui faisait le plus d’efforts dans le Capitole après les Émirats Arabes Unis et l’Irak.
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Fue el 30 de agosto de 1925
El 30 de agosto de 1925, el General Pétain (Francia) y Primo de Rivera (España) firman en Algéciras el plan de acción conjunto contra el ejército de Abdelkrim, jefe de la resistencia rifeňa.Después de la espectacular victoria de Anoual, el 21 de junio de 1921, Abd el-Krim El Khattabi reforzó su poder creando un Estado, la República del Rif, con un gobierno y una administración centralizada. Esta cuestión sigue siendo un tabú en el Marruecos de hoy. El difunto rey Mohamed V había dado su aprobación a la intervención de los franceses para apoyar a los españoles que habían sido derrotado en esa bélebre batalla.El mariscal Lyautey, gobernador general en Marruecos desde 1912 escribió en 1925 : » en presencia de las eventualidades creadas por la espontaneidad y la violencia de la irrupción de los rifeños […], es imposible quedarse en esta situación, so pena, lo digo claramente, de correr el riesgo de perder Marruecos. » Ganó algunas batallas pero fue reemplazado por el general Pétain. El comandante Naulin consiguió vencer a los Rifeños.El objetivo de esta guerra para las fuerzas francesas y españolas era, en la época, salvaguardar la influencia de Francia y España sobre sus colonias marroquíes, pero también someter a las tribus del Rif a la autoridad del Sultán Mohamed V.Abd el-Krim fue deportado a la isla de la Reunión en 1926. Cuando se evade en 1947, se instala en el Cairo dónde se convierte en uno de los fundadores del Comité de Liberación del Magreb. Exiliado Abdelkrim, nunca más regresara a Marruecos. Más tarde, antes de su defunción en 1963, Abdelkrim dirá sobre este período (1920-1925), no sin cierta amargura: « vine demasiado temprano. »El Rif se sublevará de nuevo en 1958-1959. Su movimiento será aplastado por las recientemente creadas Fuerzas Armadas Reales (FAR) dirigidas por Príncipe Moulay Hassan, futuro rey Hassan II. La represión será sangrienta y se quedará en la memoria de todo los rifeňos.Hoy, los militantes del Rif olvidaron lo que la monarquía alauita hizo a sus antepasados. Para ellos, la propuesta de autonomía para el Sáhara Occidental es una oferta muy tentadora, razón por la cual se alinearon con el régimen marroquí contra las aspiraciones del pueblo saharaui.A pesar del encarcelamiento del militante rifeňo de los derechos humanos, Chakib Khayari, continúan creyendo en la buena fe de Mohamed VI en lo que concierne a la transición democrática. No sólo traicionaron el espíritu de Abdelkrim El Khattabi, sino que dieron la espalda a los principios sagrados del derecho del pueblo saharaui a la autodeterminación y de la solidaridad con los pueblos oprimidos.Los últimos acontecimientos en el Sáhara Occidental demostraron que la autonomía era sólo una farsa del régimen marroquí para hacer callar la comunidad internacional y llevarla a reconocer la soberanía de Marruecos sobre la antigua colonia española.El plan de autonomía ha sido descartado y las nuevas negociaciones entre el Frente Polisario y el gobierno marroquí bajo los auspicios de las Naciones Unidas se basan en la búsqueda de una solución basada en el principio de autodeterminación.Ante esta realidad, el palacio real presentó una nueva farsa llamada regionalización. La hipótesis más objetiva es que los militantes rifeňos sigan creyendo en la buena voluntad de Rabat y sigan a la espera de que el conflicto del Sáhara Occidental les aporte sus frutos. Estan en sus plenos derechos. Al fin y al cabo, soňar es un derecho que nadie puede censurar.
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Fue el 30 de agosto de 1925
El 30 de agosto de 1925, el General Pétain (Francia) y Primo de Rivera (España) firman en Algéciras el plan de acción conjunto contra el ejército de Abdelkrim, jefe de la resistencia rifeňa.Después de la espectacular victoria de Anoual, el 21 de junio de 1921, Abd el-Krim El Khattabi reforzó su poder creando un Estado, la República del Rif, con un gobierno y una administración centralizada. Esta cuestión sigue siendo un tabú en el Marruecos de hoy. El difunto rey Mohamed V había dado su aprobación a la intervención de los franceses para apoyar a los españoles que habían sido derrotado en esa bélebre batalla.El mariscal Lyautey, gobernador general en Marruecos desde 1912 escribió en 1925 : » en presencia de las eventualidades creadas por la espontaneidad y la violencia de la irrupción de los rifeños […], es imposible quedarse en esta situación, so pena, lo digo claramente, de correr el riesgo de perder Marruecos. » Ganó algunas batallas pero fue reemplazado por el general Pétain. El comandante Naulin consiguió vencer a los Rifeños.El objetivo de esta guerra para las fuerzas francesas y españolas era, en la época, salvaguardar la influencia de Francia y España sobre sus colonias marroquíes, pero también someter a las tribus del Rif a la autoridad del Sultán Mohamed V.Abd el-Krim fue deportado a la isla de la Reunión en 1926. Cuando se evade en 1947, se instala en el Cairo dónde se convierte en uno de los fundadores del Comité de Liberación del Magreb. Exiliado Abdelkrim, nunca más regresara a Marruecos. Más tarde, antes de su defunción en 1963, Abdelkrim dirá sobre este período (1920-1925), no sin cierta amargura: « vine demasiado temprano. »El Rif se sublevará de nuevo en 1958-1959. Su movimiento será aplastado por las recientemente creadas Fuerzas Armadas Reales (FAR) dirigidas por Príncipe Moulay Hassan, futuro rey Hassan II. La represión será sangrienta y se quedará en la memoria de todo los rifeňos.Hoy, los militantes del Rif olvidaron lo que la monarquía alauita hizo a sus antepasados. Para ellos, la propuesta de autonomía para el Sáhara Occidental es una oferta muy tentadora, razón por la cual se alinearon con el régimen marroquí contra las aspiraciones del pueblo saharaui.A pesar del encarcelamiento del militante rifeňo de los derechos humanos, Chakib Khayari, continúan creyendo en la buena fe de Mohamed VI en lo que concierne a la transición democrática. No sólo traicionaron el espíritu de Abdelkrim El Khattabi, sino que dieron la espalda a los principios sagrados del derecho del pueblo saharaui a la autodeterminación y de la solidaridad con los pueblos oprimidos.Los últimos acontecimientos en el Sáhara Occidental demostraron que la autonomía era sólo una farsa del régimen marroquí para hacer callar la comunidad internacional y llevarla a reconocer la soberanía de Marruecos sobre la antigua colonia española.El plan de autonomía ha sido descartado y las nuevas negociaciones entre el Frente Polisario y el gobierno marroquí bajo los auspicios de las Naciones Unidas se basan en la búsqueda de una solución basada en el principio de autodeterminación.Ante esta realidad, el palacio real presentó una nueva farsa llamada regionalización. La hipótesis más objetiva es que los militantes rifeňos sigan creyendo en la buena voluntad de Rabat y sigan a la espera de que el conflicto del Sáhara Occidental les aporte sus frutos. Estan en sus plenos derechos. Al fin y al cabo, soňar es un derecho que nadie puede censurar.
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C’était le 30 août 1925
Le 30 août 1925, les Généraux Pétain (France) et Primo de Rivera (Espagne) signent à Algéciras le plan d’action conjoint contre l’armée d’Abdelkrim, chef de la résistance riffaine.Après la victoire spectaculaire d’Anoual, 21 juin 1921, Abd el-Krim El Khattabi renforça son pouvoir en créant un Etat, la République du Rif, avec un gouvernement et une administration centralisée. Cette question est restée tabou dans le Maroc d’aujourd’hui. Feu Mohamed V avait donné son approbation à l’intervention des français pour appuyer les espagnols qui avaient été mis en échec.Le maréchal Lyautey, résident général au Maroc depuis 1912 écrivit en 1925 : « En présence des éventualités créées par la soudaineté et la violence de l’irruption des rifains […], il est impossible de rester dans cette situation, sous peine, je le dis nettement, de risquer de perdre le Maroc. » Il obtint des victoires mais il fut remplacé par le général Pétain. Le commandant Naulin réussit à vaincre les Rifains.Le but de cette guerre pour les forces françaises et espagnoles était, à l’époque, de conserver l’influence de la France et de l’Espagne sur leurs colonies marocaines, mais aussi de soummettre les tribus du Rif sous l’autorité du Sultan Mohamed V.Abd el-Krim fut envoyé en exil à l’île de la Réunion en 1926. Quand il s’évade en 1947, il s’installe au Caire où il est l’un des fondateurs du Comité de Libération du Maghreb. Abdelkrim exilé, il ne retournera plus au Maroc. Sur le tard, avant son décès en 1963, Abdelkrim dira de cette période (1920-1925), avec quelque amertume : « Je suis venu trop tôt. »Le Rif se soulèvera de nouveau en 1958 -1959. Son mouvement sera écrasé par les toutes nouvelles Forces Armées Royales (FAR) commandées par le Prince Moulay Hassan, futur roi Hassan II. La répression sera sanglante et restera dans la mémoire de tous les riffains.Aujourd’hui, les militants du Rif ont oublié ce que la monarchie alaouite a fait à leurs ancêtres. Pour eux, l’autonomie proposée pour le Sahara Occidental est une offre alléchante, raison pour laquelle ils se sont allignés avec le régime marocain contre les aspirations du peuple sahraoui.Malgré l’emprisonnement du militant des droits de l’humain riffain, Chakib Khayari, ils continuent de croire à la bonne foi de Mohamed VI concernant la transition démocratique. Non seulement ils ont trahi l’esprit d’Abdelkrim El Khattabi, mais aussi les principes sacrés du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et de la solidarité avec les peuples opprimés.Les derniers évènements au Sahara Occidental ont démontré que l’autonomie n’était qu’une nouvelle farse du régime marocain pour silencier la communauté internationale et l’amener à reconnaître la souveraineté du Maroc sur l’ancienne colonie espagnole. Le plan d’autonomie a été écarté et les nouvelles négociations entre le Front Polisario et le gouvernement marocain sous les auspices des Nations Unies se basent sur la recherche d’une solution basée sur le principe d’autodétermination.Devant cette réalité, le palais royal a avancé une nouvelle farse appelée régionalisation. L’hypothèse majeure est que les militants du Rif continueront à croire à la bonne volonté de Rabat et poursuivront leur attente que l’affaire du Sahara Occidental leur portera ses fruits. C’est leur droit. Enfin de compte, on a tous le droit de rêver, comme dit la chanson. -
Le consensus de la haine
Denis Vericel, éminent documentariste français, dans son étude La fabrication du consensus, les médias marocains et le Sahara Occidental) souligne : « Rien excepté une chose : chaque jour, depuis plus de 30 ans, tous les journaux marocains s’occupent d’une question : le Sahara Occidental. Aucune mise en question n’existe, uniquement une certitude : le Sahara Occidental est une partie du Maroc et le Maroc se bat pour l’Union Nationale et pour l’Intégrité de son Territoire »
Aziz Enhaili, collaborateur dans le Laboratoire Européen d’Anticipation Politique/Europe 2020, un Think Tank européen,signale pour sa part dans un article publié sur Tolerance.ca que le Maroc est « un pays où, à l’exception d’une partie de l’extrême gauche, le Sahara Occidental est devenu objet du consensus national. Si une partie du mouvement marxiste-léniniste (Ilal Amam) appelait, dès le début des années 1970, à l’organisation au Sahara Occidental (sous l’égide de l’ONU) d’un référendum d’autodétermination, pour décider de l’avenir constitutionnel de ce territoire désertique, le reste des forces politiques du pays le considéraient d’ores et déjà comme une partie du pays qui revenait dans le giron de la nation ».
Si, selon Wikipedia « un consensus est un accord général (tacite ou manifeste) parmi les membres d’un groupe, pouvant permettre de prendre une décision sans vote préalable. Bien que le consensus désigne un accord unanime (ou plutôt, l’absence d’opposition), l’usage récent en fait parfois l’opinion ou le sentiment d’une forte majorité. Le consensus comme méthodologie de prise de décision cherche à mettre l’accent sur la validité de l’opinion de chaque participant et se refuse à entériner un choix qui n’aurait pas au moins l’accord de tous », au Maroc la persécution du Parti Annahdj Addimouqrati et son prédécesseur, Ilal Amam, est la preuve que ce consensus n’est qu’une opinion étatique imposée à l’ensemble de la population marocaine.Elisabeth Muller, Secrétaire Générale Adjointe de l’Association des Amis de la RASD, dans son article « Quelques souvenirs … un engagement: le respect du droit« dévoile que « si en apparence un large consensus prévalait sur la « marocanité » du Sahara Occidental, il m’est vite apparu que cette opinion était plus complexe et sans doute à nuancer. Les marocains que je côtoyais n’étaient pas vindicatifs. Certains, m’ont décrit la « marche verte » à laquelle ils avaient participé. Ils n’en étaient ni fières, ni bravaches, la plupart d’entre eux « semblaient savoir » qu’ils n’auraient pu faire autrement. J’ai rencontré également de jeunes militaires engagés (lorsqu’on n’a pas fait d’étude au Maroc c’est un des rares moyens de gagner sa vie et celle de sa famille). Ils étaient en poste au Sahara. Ils détestaient repartir après leur permission. Ils parlaient de leur peur, de ce sable, de ce soleil implacable qui n’arrêtait pas de les aveugler. Ils auraient préféré être à des milliers de kilomètres de là. Ils ne rêvaient que de l’Europe, des Etats-Unis, de pays où ils leur semblaient pouvoir vivre mieux. Moi, en les entendant parler, je pensais à l’ouvrage de Dino Buzzati « Le désert des tartares ». Des Sahraouis, ils en parlaient peu, sinon en riant autour des blagues de « Joummani » comme pour mieux circonscrire leur peur. L’indépendance ou pas l’indépendance …, ce n’était pas leur préoccupation. Eux aussi savaient qu’ils n’avaient pas le choix, savaient qu’il ne fallait pas contester « les décisions d’en haut ». Ceux qui étaient fonctionnaires râlaient. Non pas sur le terrain politique, la plupart n’étaient ni militants, ni intéressés par cette question, mais sur l’impôt « spécial Sahara » qui leur était retenu sur leur paie en fin de mois. Tous, par contre, connaissaient le sort qui était réservé à ceux qui avaient osé contester la souveraineté nationale sur le Sahara Occidental. Certains m’ont parlé de Serfaty, à l’époque incarcéré à Kénitra…, de Saïda Mnebhi morte à la suite d’une grève de la faim durant son incarcération. D’autres, originaires des villages à proximité de « lieux que l’on ne nommait pas », savaient que des personnes étaient embastillées ».
Un consensus de 36 millions de marocains contre un peuple d’à peine un demi-million d’habitants qu’on a dit « heureux de regagner la mère patrie? » Cela ne tient pas.Fragilisé par un manque flagrant d’arguments susceptibles de légitimer sa présence au Sahara Occidental, le régime marocain devait chercher un adversaire de taille décrit comme l’ennemi extérieur pour s’assurer du soutien populaire dans cette nouvelle croisade du palais pour réaliser ses rêves hégémoniques en Afrique. Depuis la guerre des sables en 1963, cet ennemi est l’Algérie.Le régime marocain, depuis son invasion du Sahara Occidental en 1975, n’a jamais arrêté de répéter que c’est l’Algérie qui est derrière ce conflit. Et depuis, il veille à renforcer ce consensus avec des discours qui sèment la haine envers l’Algérie et le peuple algérien. Le consensus marocain sur le Sahara Occidental est alimenté de haine. Ce consensus n’est pas basé sur le principe de la marocanité du Sahara, mais sur la nécessité de se défendre contre l’Algérie.Trente-quatre ans après, grâce à cette politique malsaine, les marocains continuent à croire que les réfugiés sahraouis sont séquestrés par l’armée algérienne à Tindouf et que le Maroc fait tout son possible pour les libérer, que le Front Polisario n’est qu’une bande de mercenaires à la solde de l’Algérie. Il n’est pas question d’avouer au peuple marocain que c’est la volonté du peuple sahraoui qui l’empêche d’engloutir ce territoire, l’égo royal l’empêche de reconnaître que la décision d’envahir le Sahara était une erreur monummentale.
Ce consensus n’est pas un choix populaire, mais une méthode maquiavélique de pousser le peuple marocain à la soumission aux désirs du roi et justifier l’ocupation, la répression de la population sahraouie et le pillage de ses ressources naturelles.
Les marocains, au lieu de poursuivre dans cette hystérie saharienne, feraient mieux de se concentrer sur Ceuta et Melilla, les deux enclaves espagnols au cœur du Maroc. Mais la paranoïa semée dans leurs coeurs les empêche de voir la réalité en face et les maintient à la merci de ce régime sanguinaire.
Aimé Césaire à dit : » Il est bien plus difficile d’être un homme libre que d’être un esclave ». La dignité d’un homme guide son choix et fait qu’il préfère la liberté difficile à la soumission facile. C’est de celà que les marocains doivent prendre conscience. -
C’était le 30 août 1925
Le 30 août 1925, les Généraux Pétain (France) et Primo de Rivera (Espagne) signent à Algéciras le plan d’action conjoint contre l’armée d’Abdelkrim, chef de la résistance riffaine.Après la victoire spectaculaire d’Anoual, 21 juin 1921, Abd el-Krim El Khattabi renforça son pouvoir en créant un Etat, la République du Rif, avec un gouvernement et une administration centralisée. Cette question est restée tabou dans le Maroc d’aujourd’hui. Feu Mohamed V avait donné son approbation à l’intervention des français pour appuyer les espagnols qui avaient été mis en échec.Le maréchal Lyautey, résident général au Maroc depuis 1912 écrivit en 1925 : « En présence des éventualités créées par la soudaineté et la violence de l’irruption des rifains […], il est impossible de rester dans cette situation, sous peine, je le dis nettement, de risquer de perdre le Maroc. » Il obtint des victoires mais il fut remplacé par le général Pétain. Le commandant Naulin réussit à vaincre les Rifains.Le but de cette guerre pour les forces françaises et espagnoles était, à l’époque, de conserver l’influence de la France et de l’Espagne sur leurs colonies marocaines, mais aussi de soummettre les tribus du Rif sous l’autorité du Sultan Mohamed V.Abd el-Krim fut envoyé en exil à l’île de la Réunion en 1926. Quand il s’évade en 1947, il s’installe au Caire où il est l’un des fondateurs du Comité de Libération du Maghreb. Abdelkrim exilé, il ne retournera plus au Maroc. Sur le tard, avant son décès en 1963, Abdelkrim dira de cette période (1920-1925), avec quelque amertume : « Je suis venu trop tôt. »Le Rif se soulèvera de nouveau en 1958 -1959. Son mouvement sera écrasé par les toutes nouvelles Forces Armées Royales (FAR) commandées par le Prince Moulay Hassan, futur roi Hassan II. La répression sera sanglante et restera dans la mémoire de tous les riffains.Aujourd’hui, les militants du Rif ont oublié ce que la monarchie alaouite a fait à leurs ancêtres. Pour eux, l’autonomie proposée pour le Sahara Occidental est une offre alléchante, raison pour laquelle ils se sont allignés avec le régime marocain contre les aspirations du peuple sahraoui.Malgré l’emprisonnement du militant des droits de l’humain riffain, Chakib Khayari, ils continuent de croire à la bonne foi de Mohamed VI concernant la transition démocratique. Non seulement ils ont trahi l’esprit d’Abdelkrim El Khattabi, mais aussi les principes sacrés du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et de la solidarité avec les peuples opprimés.Les derniers évènements au Sahara Occidental ont démontré que l’autonomie n’était qu’une nouvelle farse du régime marocain pour silencier la communauté internationale et l’amener à reconnaître la souveraineté du Maroc sur l’ancienne colonie espagnole. Le plan d’autonomie a été écarté et les nouvelles négociations entre le Front Polisario et le gouvernement marocain sous les auspices des Nations Unies se basent sur la recherche d’une solution basée sur le principe d’autodétermination.Devant cette réalité, le palais royal a avancé une nouvelle farse appelée régionalisation. L’hypothèse majeure est que les militants du Rif continueront à croire à la bonne volonté de Rabat et poursuivront leur attente que l’affaire du Sahara Occidental leur portera ses fruits. C’est leur droit. Enfin de compte, on a tous le droit de rêver, comme dit la chanson.