Auteur/autrice : mahembarec

  • Informe del Parlamento Europeo sobre los derechos humanos en el Sahara Occidental: virtudes y carencias

    Análisis nº 322 Grupo de Estudio Estrategicos*
    Por Carlos Ruiz Miguel, analista del GEES en el área de Magreb y en temas de Derecho Constitucional

    El informe del Parlamento Europeo sobre los derechos humanos en el Sahara Occidental, aunque mejorable, es bastante equilibrado y aparece en un momento especialmente oportuno. En este breve análisis, partiendo de cuáles son los derechos humanos de los saharauis, expondremos cuáles eran los riesgos a los que se enfrentaba el Parlamento Europeo al hacer su informe, tras lo cual Leer articulo

  • Stratégie en Méditerranée : “La Russie a adopté une nouvelle conception de la politique extérieure

    Par :Hafida Ameyar
    “La Russie n’a jamais caché ses vifs intérêts envers la Méditerranée.” C’est en ces termes précis que le directeur du Centre des relations russo-africaines de la Fédération de Russie, le Dr Evgueny Korendiassov, a décrit hier, à l’hôtel Hilton à Alger, toute l’attention réservée à cet espace par son pays. Lors d’une conférence placée sous le thème de “la stratégie de la Russie en Méditerranée”, l’invité de l’Institut national d’études de stratégie globale (Inesg) a révélé que cet intérêt remonte à une époque lointaine, plus loin que l’ère socialiste, déjà du temps de la guerre de Crimée (1853-1856). Leer articulo

  • Stratégie en Méditerranée : “La Russie a adopté une nouvelle conception de la politique extérieure »

    Par :Hafida Ameyar
    “La Russie n’a jamais caché ses vifs intérêts envers la Méditerranée.” C’est en ces termes précis que le directeur du Centre des relations russo-africaines de la Fédération de Russie, le Dr Evgueny Korendiassov, a décrit hier, à l’hôtel Hilton à Alger, toute l’attention réservée à cet espace par son pays. Lors d’une conférence placée sous le thème de “la stratégie de la Russie en Méditerranée”, l’invité de l’Institut national d’études de stratégie globale (Inesg) a révélé que cet intérêt remonte à une époque lointaine, plus loin que l’ère socialiste, déjà du temps de la guerre de Crimée (1853-1856). L’ex-ambassadeur au Mali et au Niger a également évoqué les effets de la chute de l’URSS sur les Russes, particulièrement en termes de “territoire tronqué”, de “désorganisation” de certains secteurs stratégiques, tels que l’économie et la défense nationale, ainsi que “les frustrations et les traumatismes” de la population contrainte de vivre “à l’état de misère”. Cette situation, a-t-il dit, a nécessité “des réformes” pour le moins difficiles, car la Russie a opté pour “l’économie de marché et la démocratie libérale”. “Ces dernières années, des changements très positifs sont apparus”, a poursuivi l’animateur, en faisant référence à la stabilité intérieure et surtout à “la position de la Russie sur l’arène internationale”, ainsi qu’à son rôle d’“acteur majeur”. “Après la chute de l’URSS, la Russie ne s’est pas retirée totalement de la Méditerranée”, a-t-il précisé. M. Korendiassov s’est voulu très explicite, en abordant “l’ambition” de son pays d’élargir le champ de la coopération et d’“assurer une responsabilité plus élevée, en raison de l’évolution de la vie internationale, la gestion des conflits et des problèmes qui se posent de façon nouvelle dans le monde”. Dans ce cadre, il a annoncé que “la Russie a adopté une nouvelle conception de la politique extérieure”. Le diplomate a, en outre, fait savoir que son pays “compte récupérer la place qui lui revient et défendre ses intérêts nationaux”, non sans insister sur le fait que “la Russie veut vivre en harmonie avec le monde entier”, y compris avec les USA. De son avis, le monde ne saurait être unilatéral et “la période d’un seul coq dans la basse-cour est terminée définitivement”. “La Russie préconise le principe de la justice, de la démocratie et de la multipolarité”, a-t-il soutenu. Dans cette optique, il a confié que le bassin méditerranéen et la région du Proche-Orient figurent parmi “les premières priorités de la Russie nouvelle”. En plus clair, le spécialiste de l’Afrique a laissé entendre que l’“attachement” de la Russie à la Méditerranée se justifie, entre autres, par ce qu’elle apportera dans un espace “surchargé de différends et de conflits”, une région qui “abrite les dangers les plus immédiats et ceux liés surtout à la menace de dissémination des armes de destruction massive”. Pour l’invité de l’Inesg, le renforcement de la présence russe dans l’espace méditerranéen passe par celui de sa coopération avec l’Algérie et permettra de fortifier son “influence”, quant à l’avenir international. “Nous pensons que la Russie est une puissance de rang mondial. Toutes les tentatives visant à réduire ce rôle sont vouées à l’échec”, a souligné l’animateur. Interpellé sur la récente tournée de Christopher Ross, l’émissaire onusien pour le Sahara occidental, M. Korendiassov a réaffirmé la position “connue depuis longtemps” de son pays, à savoir : “l’autodétermination de tous les peuples, y compris le peuple sahraoui, dans le cadre de l’ONU et des organismes internationaux”.
    Hafida Ameyar
  • Africom Commander Describes Conditions for U.S. Involvement

    Office of the Secretary of Defense Public Affairs Story by John KruzelDate: 03.18.2009Posted: 03.18.2009 04:48 WASHINGTON – U.S. Africa Command will intervene in conflicts on the continent only after warring countries have shown a political will to reconcile, the Africom commander told a congressional panel today. Leer articulo

  • Africom Commander Describes Conditions for U.S. Involvement

    Office of the Secretary of Defense Public Affairs
    Story by John KruzelDate: 03.18.2009Posted: 03.18.2009 04:48
    WASHINGTON – U.S. Africa Command will intervene in conflicts on the continent only after warring countries have shown a political will to reconcile, the Africom commander told a congressional panel today. Two main functions of Africom are aiding in stabilization operations and helping build indigenous security forces. But before America’s newest combatant command steps in, national governments must take steps toward ending their conflicts, Army Gen. William E. « Kip » Ward said. « The actions that we take come on the heels of a policy decision having been taken by the nations themselves, » Ward told the House Armed Services Committee today. Ward cited three areas of current conflict on the continent, including border disputes between Eritrea and Djibouti on the Horn of Africa and in North Africa at the Western Sahara, and clashing in the Democratic Republic of Congo. In determining the Africom focus in what Ward characterized as « enduring conflicts, » he said political agreement is a prerequisite for U.S. involvement. If American policy makers then determine Africom can play a role, it will proceed in its mission. Using the example of Central Africa, where a lack of interoperability and information sharing was exacerbating conflicts, the United States was able to lend assistance to Uganda, Rwanda, Congo and to a lesser degree, and the Central African Republic. « We had the ability to … help in information sharing, to help with equipment interoperability, providing sometimes needed logistics support and enhancements, to cause those governments to be able to have a better sense of what goes on inside their borders against insurgencies or the rebel factions, and then be able to work in some degree of commonality to address them, » he said. Ward said many African nations are able to provide their own security, citing Uganda, Rwanda, South Africa, Nigeria and Burundi. Though some require logistical or other support, many indigenous forces are self-reliant. « Many of the African nations, in fact, do what many of them say they want to do — that is, provide for their own security, » said Ward, adding that there’s a very broad range of capabilities among African nations. The general estimated the United States has partnerships with 35 of Africa’s 53 nations, representing U.S. relationships that span the continent. « We work with them [on] counter-terror programs, programs to help in their transformation of their militaries and also in just basic logistic support as they participate in U.N.- or [African Union]-sponsored peacekeeping operations, » he told the congressional members. Ward’s committee appearance marked his second consecutive day testifying on Capitol Hill about the role of Africom, which became active last October. He has emphasized that Africom’s role is to support African governments in achieving what is an overarching goal for many nations on the continent: to provide their own security. « We take all of these [opportunities] as we can to help build the relationships and provide some sustained-level security engagement that leads to a capacity increase in our partner nations, » Ward said. (DVDIS)

  • Stratégie en Méditerranée : “La Russie a adopté une nouvelle conception de la politique extérieure

    Par :Hafida Ameyar
    “La Russie n’a jamais caché ses vifs intérêts envers la Méditerranée.” C’est en ces termes précis que le directeur du Centre des relations russo-africaines de la Fédération de Russie, le Dr Evgueny Korendiassov, a décrit hier, à l’hôtel Hilton à Alger, toute l’attention réservée à cet espace par son pays. Lors d’une conférence placée sous le thème de “la stratégie de la Russie en Méditerranée”, l’invité de l’Institut national d’études de stratégie globale (Inesg) a révélé que cet intérêt remonte à une époque lointaine, plus loin que l’ère socialiste, déjà du temps de la guerre de Crimée (1853-1856). Leer articulo

  • Stratégie en Méditerranée : “La Russie a adopté une nouvelle conception de la politique extérieure »

    Par :Hafida Ameyar
    “La Russie n’a jamais caché ses vifs intérêts envers la Méditerranée.” C’est en ces termes précis que le directeur du Centre des relations russo-africaines de la Fédération de Russie, le Dr Evgueny Korendiassov, a décrit hier, à l’hôtel Hilton à Alger, toute l’attention réservée à cet espace par son pays. Lors d’une conférence placée sous le thème de “la stratégie de la Russie en Méditerranée”, l’invité de l’Institut national d’études de stratégie globale (Inesg) a révélé que cet intérêt remonte à une époque lointaine, plus loin que l’ère socialiste, déjà du temps de la guerre de Crimée (1853-1856). L’ex-ambassadeur au Mali et au Niger a également évoqué les effets de la chute de l’URSS sur les Russes, particulièrement en termes de “territoire tronqué”, de “désorganisation” de certains secteurs stratégiques, tels que l’économie et la défense nationale, ainsi que “les frustrations et les traumatismes” de la population contrainte de vivre “à l’état de misère”. Cette situation, a-t-il dit, a nécessité “des réformes” pour le moins difficiles, car la Russie a opté pour “l’économie de marché et la démocratie libérale”. “Ces dernières années, des changements très positifs sont apparus”, a poursuivi l’animateur, en faisant référence à la stabilité intérieure et surtout à “la position de la Russie sur l’arène internationale”, ainsi qu’à son rôle d’“acteur majeur”. “Après la chute de l’URSS, la Russie ne s’est pas retirée totalement de la Méditerranée”, a-t-il précisé. M. Korendiassov s’est voulu très explicite, en abordant “l’ambition” de son pays d’élargir le champ de la coopération et d’“assurer une responsabilité plus élevée, en raison de l’évolution de la vie internationale, la gestion des conflits et des problèmes qui se posent de façon nouvelle dans le monde”. Dans ce cadre, il a annoncé que “la Russie a adopté une nouvelle conception de la politique extérieure”. Le diplomate a, en outre, fait savoir que son pays “compte récupérer la place qui lui revient et défendre ses intérêts nationaux”, non sans insister sur le fait que “la Russie veut vivre en harmonie avec le monde entier”, y compris avec les USA. De son avis, le monde ne saurait être unilatéral et “la période d’un seul coq dans la basse-cour est terminée définitivement”. “La Russie préconise le principe de la justice, de la démocratie et de la multipolarité”, a-t-il soutenu. Dans cette optique, il a confié que le bassin méditerranéen et la région du Proche-Orient figurent parmi “les premières priorités de la Russie nouvelle”. En plus clair, le spécialiste de l’Afrique a laissé entendre que l’“attachement” de la Russie à la Méditerranée se justifie, entre autres, par ce qu’elle apportera dans un espace “surchargé de différends et de conflits”, une région qui “abrite les dangers les plus immédiats et ceux liés surtout à la menace de dissémination des armes de destruction massive”. Pour l’invité de l’Inesg, le renforcement de la présence russe dans l’espace méditerranéen passe par celui de sa coopération avec l’Algérie et permettra de fortifier son “influence”, quant à l’avenir international. “Nous pensons que la Russie est une puissance de rang mondial. Toutes les tentatives visant à réduire ce rôle sont vouées à l’échec”, a souligné l’animateur. Interpellé sur la récente tournée de Christopher Ross, l’émissaire onusien pour le Sahara occidental, M. Korendiassov a réaffirmé la position “connue depuis longtemps” de son pays, à savoir : “l’autodétermination de tous les peuples, y compris le peuple sahraoui, dans le cadre de l’ONU et des organismes internationaux”.
    Hafida Ameyar
  • Africom Commander Describes Conditions for U.S. Involvement

    Office of the Secretary of Defense Public Affairs Story by John KruzelDate: 03.18.2009Posted: 03.18.2009 04:48 WASHINGTON – U.S. Africa Command will intervene in conflicts on the continent only after warring countries have shown a political will to reconcile, the Africom commander told a congressional panel today. Leer articulo

  • Africom Commander Describes Conditions for U.S. Involvement

    Office of the Secretary of Defense Public Affairs
    Story by John KruzelDate: 03.18.2009Posted: 03.18.2009 04:48
    WASHINGTON – U.S. Africa Command will intervene in conflicts on the continent only after warring countries have shown a political will to reconcile, the Africom commander told a congressional panel today. Two main functions of Africom are aiding in stabilization operations and helping build indigenous security forces. But before America’s newest combatant command steps in, national governments must take steps toward ending their conflicts, Army Gen. William E. « Kip » Ward said. « The actions that we take come on the heels of a policy decision having been taken by the nations themselves, » Ward told the House Armed Services Committee today. Ward cited three areas of current conflict on the continent, including border disputes between Eritrea and Djibouti on the Horn of Africa and in North Africa at the Western Sahara, and clashing in the Democratic Republic of Congo. In determining the Africom focus in what Ward characterized as « enduring conflicts, » he said political agreement is a prerequisite for U.S. involvement. If American policy makers then determine Africom can play a role, it will proceed in its mission. Using the example of Central Africa, where a lack of interoperability and information sharing was exacerbating conflicts, the United States was able to lend assistance to Uganda, Rwanda, Congo and to a lesser degree, and the Central African Republic. « We had the ability to … help in information sharing, to help with equipment interoperability, providing sometimes needed logistics support and enhancements, to cause those governments to be able to have a better sense of what goes on inside their borders against insurgencies or the rebel factions, and then be able to work in some degree of commonality to address them, » he said. Ward said many African nations are able to provide their own security, citing Uganda, Rwanda, South Africa, Nigeria and Burundi. Though some require logistical or other support, many indigenous forces are self-reliant. « Many of the African nations, in fact, do what many of them say they want to do — that is, provide for their own security, » said Ward, adding that there’s a very broad range of capabilities among African nations. The general estimated the United States has partnerships with 35 of Africa’s 53 nations, representing U.S. relationships that span the continent. « We work with them [on] counter-terror programs, programs to help in their transformation of their militaries and also in just basic logistic support as they participate in U.N.- or [African Union]-sponsored peacekeeping operations, » he told the congressional members. Ward’s committee appearance marked his second consecutive day testifying on Capitol Hill about the role of Africom, which became active last October. He has emphasized that Africom’s role is to support African governments in achieving what is an overarching goal for many nations on the continent: to provide their own security. « We take all of these [opportunities] as we can to help build the relationships and provide some sustained-level security engagement that leads to a capacity increase in our partner nations, » Ward said. (DVDIS)

  • Donor mission to Sahrawi refugee camps

    Source: United Nations High Commissioner for Refugees (UNHCR)
    Date: 17 Mar 2009
    This is a summary of what was said by UNHCR spokesperson Ron Redmond – to whom quoted text may be attributed – at the press briefing, on 17 March 2009, at the Palais des Nations in Geneva. Leer articulo

    Leer articulo en francés : http://appablog.wordpress.com/2009/03/18/sahara-occidental-mission-d%E2%80%99evaluation-des-pays-donateurs-dans-les-camps-de-refugies-sahraouis/