Catégorie : marocleaks

  • Les bons conseils d’un responsable du PAM au Maroc


    Daly Belgasmi, Directeur régional du PAM pour le Moyen Orient, l’Afrique du Nord, l’Asie Centrale et l’Europe Oriental au sein du PAM semble flirter avec le Maroc en matière de renseignements et de conseils.
    Le 8 février 2013 il a demandé un entretien avec Azzeddine Farhane, chef de la Direction des Questions Globales, Division des roits de l’homme et des Questions Humanitaires au MAE marocain.
    Ce dernier signale dans un compte-rendu de cette rencontre, que Daly lui confié ce qui suit:

    • « L’Algérie s’active auprès des donnateurs, concernant le programme d’Interventions prolongées de Secours et de Redressement, concernant l’assistance alimentaire du PAM aux populations des camps de Tindouf (IPSR), afin que le PAM adopte un programme de 3 ans au lieu de 18 mois »;
    • « L’Algérie exerce des pressions sur les représentants respectifs du PAM et du HCR en Algérie, en essayant de leur faire croire que les réfugiés sahraouis à Tindouf ont des besoins humanitaires sur la base de 165000 personnes ».
    • « L’Algérie essaie d’introduire des produits alimentaires chers, tels que les produits laitiers et leurs dérivés, dans la liste des besoins, afin d’augmenter la valuer de laide à apporter aux réfugiés sahraouis »;
    • « Le Maroc gagnerait à saisir le HCR et le PAM pour attirer leur attention dans le cadre du contexte actuel de la crise au Mali, l’insécurité au Sahel et la connexion avérée entre le Polisario et AQMI sur la nécessité de se pencher sérieusement sur la question de la distribution de l’aide humanitaire à Tindouf et ses réels bénéficiaires en soulevant explicitement la question de savoir “y a-t-il un risque que les donateurs armés du Polisario qui seraient impliqués dans les actes de terrorisme au Sahel?”.

     
    Cliquez ici pour télécharger ce document

  • Sahara Occidental : Confidencias del Sr De Benito a un diplomático marroquí

    Al margen de la cena organizada el 12 de febrero del 2013 en honor de los participantes en el primer seminario sobre la iniciativa marroquí-española para « la promoción de la mediación en el Mediterráneo » el señor Gonzalo De Benito, secretario de Estado español de Asuntos Exteriores, se entrevistó con el responsable del Departamento marroquí de Naciones Unidas y Organizaciones Internacionales haciendole las siguientes confidencias sobre su reunión con el Enviado Personal de la ONU para el Sáhara Occidental, Christopher Ross celebrada el día anterior en Madrid:

    1. El Polisario sigue manteniendo la misma posición según la cual el proceso de las negociaciones debe llevar a la celebración de un referéndum de autodeterminación;

    2. Los acontecimientos de Mali y la precaria situación de seguridad en la región sahelo-sahariana incitan la comunidad internacional a la búsqueda de una solución urgente a la cuestión del Sahara;

    3. La gira del Sr. Ross en Europa tiene como principal objetivo pedir el apoyo de la comunidad internacional a la búsqueda de una solución política, negociada y definitiva a la cuestión del Sahara.

    El diplomático marroquí añadió que « acto seguido, el secretario de Estado español, el Sr. De Benito, me hizo entender lo siguiente »:

    1. De momento, el Sr. Ross no tiene ni una visión clara ni propuestas concretas para la conducción del proceso de negociaciones;

    2. Las visitas del Sr. Ross sólo buscan « rellenar » su parte del informe del Secretario General sobre el Sahara, que será sometido en abril del 2013 al Consejo de Seguridad de la ONU;

    3. El Sr. De Benito reiteró la posición de España de apoyo al proceso de negociaciones y la búsqueda de una solución política, negociada y definitiva a la cuestión del Sahara. Marruecos, siendo un socio estratégico de su país, puede contar con España, miembro de Amigos del Secretario General para el Sahara, con el fin de ayudar a facilitar la búsqueda de una solución política consensuada al conflicto del Sahara, concluyó.

    Haga clic aquí para descargar este documento

  • IS : Le Maroc tente de minimiser l’importance de la victoire du Front Polisario

    L’adhésion du Polisario au sein de l’International Socialiste, en tant que membre consultatif, est un succès indéniable pour les sahraouis dont l’importance est témoignée par la réaction du site Le 360.ma, une web créée par la DGED dans le but de véhiculer la propagande du Makhzen et dénigrer la cause sahraouie et les pays voisins.

    La réponse des services secrets marocains vise à diminuer l’ampleur de cette victoire qui marque un tournant décisif vers une reconnaissance définitive de la RASD par la communauté internationale.

    Les épisodes du feuilleton marocain se succèdent et se ressemblent comme deux goûtes d’eau. Hier, il présentait à son public marocain l’arrêt de la Cour de Justice de l’Union Européenne comme une victoire du Maroc contre ses adversaires avant de lâcher les ressortissans subsahariens sur les grillages de Ceuta pour protester contre la décision de l’Union Européenne d’appliquer à la lettre cet arrêt.

    Acculé par les sahraouis dans toutes les instances internationales, le Makhzen n’a plus que le mensonge comme arme pour entretenir le délire du Sahara dans le conscient de la population marocaine et lui imposer ses thèses sur le Sahara Occidental.

    Avec le mensonge, Rabat transforme les défaites en victoires et tente de cacher son égarement dans le désert du Sahara.

    L’Internationale Socialiste n’a jamais changé de position par rapport au conflit du Sahara Occidental et le principe d’autodétermination contitue l’une de ces constantes ainsi que le respect des droits de l’homme.

    Dans son portail figure, désormais, le nom du Sahara Occidental et le Front Polisario comme membre consultatif. Pour dissimuler cette réalité, Le360.ma prétend que le mouvement de libération sahraoui aspirait au statut de membre à part entière.

  • Tension avec la Mauritanie : Le Maroc prône la politique de la réciprocité

    Abdellatif Bendahane

    Suite à des problèmes rencontrés par les camions mauritaniens à destination du Maroc, la Mauritanie a décidé de réduire le nombre de vols de la RAM provenant de Casablanca. La réaction d’Abdellatif bendahane, ancien Monsieur Afrique de la diplomatie marocaine est exprimée dans un email datant du 25 juillet 2013:

    “ La Mauritanie menace d’interdire a notre compagnie  nationale RAM d’ operer des vols conformement a l’accord  aerien. Comme vous le savez il s’ agit d’actes politiques inacceptables. Voila pourquoi je vous suggere de reunir autour de vous le ministre Rabbah et le PDG de la RAM pour determiner une position face a ce sujet. En attendant, notre ambassadeur a Nouakchott doit effectuer une demarche officielle aupres des hautes  autorites mauritaniennes leur signalant   que ce genre d’attitudes inamicales a notre egard risquent de prendre d’autres dimensions”, dit-il.

    Le 28 juillet 2013 il propose au Ministre El Othmani d’appliquer la règle de la réciprocité : Si aujourd’hui dimanche la Mauritanie empêche notre vol d’atterrir à Nouakchoott et bien en semaine on leur fait la même chose c’est la réciprocité. Mais Sa Majesté le Roi doit être informe de cette situation   Il ne faut pas que Sa Majesté le l’apprenne par la presse ou autre”, dit-il.

    Le Ministre El Othmani ne comprend pas et il demande des explications. « Vous avez parle de réciprocité qui peut être appliquée immédiatement, mais qu’est ce que ça veut dire?. Seulement pour comprendre », réplique-t-il.

    Un autre message reçu le même jour, indique que le vol a été interdit.

  • Détournement de l’aide européenne destinée à améliorer le quotidien des marocains

    Dilapidation de l’argent du contribuale européen, destiné à des programme de soutien s’inscrivant dans le cadre d’un partenariat Maroc-UE Le préjudice financier est important, il chiffre à plusieurs millions de dollars; le principal responsable de cet malversation est le Directeur de l’Unité d’Appui au Programme d’Appui au Plan d’Action Maroc-UE, un Marocain, ayant des liens de familliaux avec Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture et de la Pêche maritime.

    D’ailleurs, on raconte dans les coulisses de son Ministére que c’est sur intervention de Aziz Akhanouch, que son parent a été recruté. Une Délégation de l’Union Européenne, composé de Mario MARIANI, Premier Conseiller, Chef des Opérations et Paolo ZINGALI, Premier Secrétaire, Chef de la Section Finances et Contrats, s’est rendu, le 4 juillet 2012, à Rabat, pour faire part aux responsables du Makhzen, des irrégularités relevées dans les fonds de l’Unité d’Appui au Programme.

    Ils ont également informé les responsables du Makhzen que l’Office européen de lutte antifraude (OLAF) ainsi que l’Inspection Général des Finances (IGF) seront saisis, étant donner que le responsable véreux pouvait continuer à gérer les fonds Communautaires Gêner, les responsables du Makhzen ont recommandé aux responsables européens la discrétion dans le traitement de cette affaire scabreuse afin d’éviter son ébruitement médiatique.

    Il est clair, que le Makhzen a tout fait pour tenir au secret cette affaire compte tenu de l’implication d’un parent du Ministre Aziz Akhannouch. A cet effet, la partie marocaine a suggéré de ne pas limoger le responsable marocain, au motif que son contrat était sur le point de s’expirer et ce, malgré les graves pesant sur ce responsable véreux.

    Quelques semaines ayant suivi cette rencontre, le Makhzen a lancé un appel à candidature pour le recrutement du Directeur de l’Unité d’Appui au Programme d’Appui au Plan d’Action Maroc-UE, pour permettre une sortie honorable au responsable véreux. Voilà comment est dépensé l’argent du contribuable européen. L’Union européenne injecte des sommes faramineuse dans l’économie Marocaine, mais une grande partie est détournée pour finir dans les banques tels que HSBC de Genéve où selon une expertise révélée récemment, à la suite du scandale du compte bancaire de Mohamed VI, se chiffrerait à 1.5 milliard d’euros, alors que cet argent était destiné à améliorer le niveau de vie des Marocains vivant dans la précarité.

    A cause de la malhonetteté des diplomates marocains,  les responsables se méfient des marocains. Leur doute sur la sincérité, l’intégrité et l’honnêteté des responsables du Makhzen saute à l’oeil dans cet email :

    Pour télécharger les documents s’y référant:

    Note sur les irrégularités du compte UAP

    Visite de Mariani sur les détournements de l’argent UAP

  • Les manigances du Consul du Maroc à Liège

    Hicham Hamdini, citoyen marocain habitant la ville belge de Liège raconte dans un email qu’il a envoyé au ministre des affaires étrangères du Maroc ses malheurs avec le consul marocain à Liège.
    Texte intégral de son courrier:

    Voici l histoire d’ Hamdini Hicham citoyen belgo-marocain et un diplomate marocain a liege …
     
     
    Nous sommes actuellement au mois d’octobre 2010, je viens de réaliser
    une opération immobilière très intéressante qui me rapporte 85.000
    euros ( pièce 1 ). Suite à cette opération j’ai décidé de continuer en
    ce sens et de me mettre à la recherche d’un bien immobiler. Mon
    intérêt c’est porté sur un bien qui se trouvait à la Rue Chaussée des
    Prés 40 à 4020 Liège celui-ci était dans mon style de recherche car je
    travaillais déjà pour Fortissimmo qui réalisait pour le compte
    d’autrui la gestion locative essentiellement basée dans le quartier
    d’Outremeuse. J’ai contacté l’étude HONHON et DOME puisque c’est cette
    étude qui vendait le bien à l’époque, le prix de vente demandé était
    de 285.000 euros. On m’invite à prendre contact avec Monsieur Swennen
    ( tel: 0495/33.02.84 )  afin de pouvoir visiter l’immeuble composé
    de : d’un rez de chaussée commercial et de 8 logements pour étudiants.
    Mr Swennen m’expliquait que ce bien était auparavant dans les mains de
    plusieurs agences immobilières à Liège affiché à 330.000 euros et que
    celles ci n’ont jamais réussi à le vendre et cela pendant une très
    longue période. Effectivement ce bien présentait un potentiel
    intéressant avant de pouvoir l’exploiter correctement il fallait y
    réaliser un certain nombre de travaux.( pièce 2 ). C’est alors que
    j’ai entrepris des contacts avec l’étude HONHON et DOME et entamer des
    négociations afin de pouvoir diminuer le prix et arriver à obtenir un
    prix de 240.000 euros pour lequel j’ai signé un compromis de vente. (
    pièce 3 )
    Quelques jours plus tard je reçois un coup de téléphone à mon travail
    d’une personne se nommant Boudil Mohammed ( Consul Général Adjoint du
    Maroc à Liège ) et m’invitant à le rencontrer à l’hôtel RAMADA situé
    Quai St Léonard à Liège afin de me proposer quelque chose de très
    interressant suite aux éloges qu’il avait entendu à mon égard par
    certains citoyens de la communauté marocaine de Liège. Je me rend à ce
    fameux rendez vous et ce Monsieur m’explique avoir hérité d’une somme
    très importante et désire investir dans des biens immobiliers à Liège.
    Il me propose et insiste afin de me prouver ses dires de me verser le
    lendemain 50.000 euros chose que j’ai refusé car je voulais y
    réfléchir car je n’ai pas l’habitude de ce genre de demarche.  Ce Monsieur me contacta à plusieurs
    reprises afin de pouvoir me rencontré, n’ayant pas beaucoup de temps
    je n’ai pû répondre positivement qu’après plusieurs jours. Lors de ce
    rendez vous je me confie à lui à propos du compromis signé pour
    l’immeuble rue Chaussée des Prés et il me propose une association pour
    cet achat. Je lui explique qu’une association n’est possible qu’à
    travers une SPRL qui acheterai le bien et pour lequel nous y serions
    associés car il est important pour moi de prendre mes précautions et
    lui proposa de fontionner de la sorte à savoir, qu’il serait
    simplement un investisseur qui obtiendrait après chaque opération
    immobilière le remboursement de ses prêts fait à la société ainsi
    qu’une participation bénéficiaire suivant le bénéfice engendré. Il
    accepta sans aucune hésitation et m’expliqua qu’il n’agira pas en son
    nom de par ses activités consulaires et qu’il préferait rester dans
    l’anonymat et pour le confirmer il préfera y mettre son épouse
    Oussalem Amal. Je prend contact avec l’étude du notaire HONHON en lui
    demandant de préparer les statuts pour une société immobilière ayant
    pour objet social l’achat la vente de Biens immobiliers. A la
    constitution de la sociéte je suis le seul gérant comme convenu (
    pièce 4 ). Monsieur Boudil fait un versement de 50.000 euros de son
    compte personnel  vers le compte de la société ( pièce 5 ) et je me
    mis à la recherche d’un financement et contracta une ligne de crédit
    d’un montant de 200.000 euros pour lequel je m’engagea personnellement
    ( pièce 6 ) et ajouta la différence pour pouvoir finaliser l’acte de
    vente Le bien Chaussée des prés coûta alors 281.000 tout frais
    compris.       ( pièce 7) La SPRL devient alors propriétaire de
    l’immeuble et j’ai commencé à entreprendre toutes les démarches
    nécessaires afin de présenter l’immeuble à la location.( pièce 8 )
    Rapidement quelques chambres sont louées mais d’autres chambres ainsi
    que le rez de chaussée commercial demandaient des travaux importants.
    Les contacts avec Monsieur Boudil sont jusque là excellent et lorsque
    je souhaitais lui expliquer l’évolution de la société il était
    toujours positif et me témoignait de sa totale confiance  en me
    demandant de rechercher d’autres bâtiments. J’ai commencé à prospecter
    et mon attention s’arrêta sur un bien rue Nagelmackers 4 à 4000 Liège
    bien mis en vente par l’agence STOLLER IMMO pour un prix de 119.000
    euros . J’ai informé Monsieur Boudil de cette opportunité et il
    m’encouragea à la finaliser rapidement car son mandat en Belgique
    allait bientôt expirer. J’ai fait une offre à l’agence STOLLER IMMO
    pour un montant de 80.000 euros en date du 21 mars 2011 celle ci fut
    acceptée par les vendeurs et j’ai signé un compromis en représentant
    seul la société ALMR. ( pièce 9 )  Quelques jours plus tard Mr Boudil
    insista pour me renconter et me demanda pour que la société ALMR lui
    cède l’immeuble rue Nagelmackers car sa mission au consulat arrivait
    bientôt à terme. Je n’étais pas d’accord avec cette proposition car
    j’avais déjà entrepris plusieurs démarches mais Monsieur Boudil était
    insistant me téléphonait plusieurs fois par jour il voulait absolument
    le bien il exercait une énorme pression et je commencais à regretter
    d’avoir créer cette société. J’ai fini par cèder car Monsieur Boudil
    se rendait tous les jours à mon domicile privé ( pièce 10 ) afin de
    pouvoir me voir car la pression fut tellement importante que je ne lui
    répondais plus au téléphone, ce qui m’a crée des soucis personnel
    puisque ma compagne ne comprenait pas pourquoi Monsieur Boudil se
    rendait tous les jours chez nous et ne se sentait plus rassurée. Le
    notaire Honhon a rédigé une convention d’annulation d’achat de la SPRL
    ALMR ( pièce 11 ) pour le bien rue Nagelmackers et a rédigé un acte
    d’achat pour Monsieur Boudil et Madame Oussalem ( pièce 12 ). C’est à
    ce moment là que j’ai compris que notre collabaration était rompue et
    que je décida de vendre le bien rue chaussée des prés et de liquider
    la société car je ne voulais plus être associé à Monsieur Boudil. Je
    lui fais part de mes intentions de vente et de liquidation il était
    d’accord .  J’ai demandé à Mr Thonnet de mettre en  vente de la rue
    Chaussée des prés  ( pièce 13 ) et à un réviseur d’entreprise de
    préparer la liquidation de l’entreprise une fois que le bien serait
    vendu. ( pièce 14 )
    Mr Boudil me demanda en contre partie de l’accompagner dans son nouvel
    achat afin de faire en sorte que ce soit une affaire rentable. Mr
    Boudil demanda alors à Maître Honhon de rédiger une procuration
    m’autorisant à gérer l’immeuble ( pièce 15 ) Je refuse de signer cette
    procuration en lui expliquant que j’étais reconnaissant de la
    confiance qu’il me témoignait et que je n’avais pas besoin d’un tel
    document. Il a insisté pour que je l’aide à gérer l’immeuble de la rue
    Nagelmackers et me proposa de le rafraîchir à ses frais et de le
    remettre en vente car il me disait avoir regretter de ne pas l’avoir
    acheté via la société ALMR et qu’il préferait acheter un autre
    immeuble avec le fruit de cette vente.
    J’ai accepté de m’occuper de la vente de l’immeuble rue Nagelmackers,
    j’explique alors à l’agence immobilière Fortissimmo  que nous avions
    un nouveau bien à vendre. J’entreprend alors les démarches nécessaires
    afin de régulariser cette immeuble qui est frappé d’une infraction
    urbanistique, je prend les renseignements auprès des différents
    services ( pompiers, architecte,.. ) ( pièce 16 ) Ce n’était pas
    agréable de m’occuper de cet immeuble, j’avais l’impression d’être un
    exclave tellement Monsieur Boudil exigeait tout rapidement et qu’il
    voulait que je fasse tout et me réprimendait si une chose n’était pas
    faite. Je ne supportais plus ses contacts téléphoniques, ses SMS, il
    exigeait de moi de plus en plus. Il voulait que j’affiche le prix de
    vente à 180.000 euros, un montant incroyable étant donné que
    l’immeuble présentait plusieurs infractions. Je patiente en pensant
    que c’était trop tard et que de toute façon tout allait être bientôt
    fini, une fois que l’immeuble de la rue Chaussée des Prés serait vendu
    et la société liquidée je pourrais alors couper toute relations avec
    cette homme étrange que rend ma vie étouffante tout en mettant une
    énorme pression en me demandant des comptes rendus journaliers. C’est
    rapidement que l’agence Fortissimmo obtient une offre impressionnante
    de 150.000 euros pour la rue Nagelmackers. Je demande directement au
    Notaire Honhon de rédiger un compromis de vente pour la rue
    Nagelmackers ( pièce 17 ) Lorsque j’informe Mr Boudil de cette offre
    il me demande de lui laisser le temps de réfléchir et d’en parler à sa
    femme!!!! Il ne me donne plus de nouvelles jusqu’au jour ou il reçoit
    des factures à payer concernant l’immeuble et voulait avoir une
    explication sur différentes factures. Je lui demande si il avait
    réfléchi à l’offre qu’il avait reçu pour son immeuble, il me dit que
    sa femme n’est pas d’accord sur le prix, qu’il veut plus mais ne sait
    pas combien?  ou alors il pense la garder pour ses filles pour plus
    tard si elles étudieront à Liège et habiteront l’immeuble. J’étais
    choqué et déçu de son attitude et de tous ses mensonges. Je décide
    alors d’arrêter toutes démarches concernant cette immeuble en écrivant
    au service des pompiers en leur demandant de ne plus m’envoyer de
    courrier concernant cet immeuble ( pièce 18 ), et demanda à
    l’architecte Audry Anne-Sophie d’arrêter toutes démarches en lui
    payant ses honoraires de mes fonds propres vu que Mr Boudil m’a dit
    qu’il n’avait pas besoin d’architecte et que je n’aurai jamais dû
    appeler l’architecte en me fesant comprendre que c’était une erreur de
    ma part et que c’était à moi d’assumer. ( pièce 19 )
    Il estimait que l’infraction urbanistique n’était pas importante et
    que beaucoup d’immeubles à Liège étaient dans le même cas. J’explique
    à l’acheteur Monsieur Montemauro la situation il comprend rapidement
    et me remercie de mon honnêteté. Je décide alors de me concentrer
    uniquement sur la rue Chaussée des Prés, j’achève les rénovations,
    toutes les remarques du rapport des pompiers sont entreprises ( pièce
    20 ), le rez de chaussée est rafraîchi et peut être présenté à la
    location. En décembre 2011 différents contacts sont échangés avec Mr
    DEDEYME gérant de la société Keymusic( Fortissimmo ) en vue de louer
    la surface commerciale une importante société basée en Flandre ( Saint
    Nicolas ) avec un chiffre d’affaire phénoménal et 6 magasins situés en
    Flandre. Je savais qu’avec un locataire comme celui-ci il serait
    possible d’éffectuer une plus value à l’immeuble et le vendre plus
    rapidement. Afin de motiver Mr DEDEYME à s’engager pour un contrat de
    bail je lui fais une réduction de loyer de 1000 euros par mois pendant
    2 ans le temps d’amortir ses travaux et de lancer ses activités à
    Liège il accepta et me renda visite personnellement à Saint Nicolas en
    vue de signer le contrat de bail ( pièce 21 ) L’immeuble évolue de
    manière exceptionnelle les visites augmentent jusqu’à ce qu’un jour
    Monsieur Gendarme Richard fait une offre de 400.000 euros sans
    conditions de crédit, j’informe Mr Boudil de cette offre et
    m’encourage à finaliser rapidement cette opération Je prend contact
    avec Maître Honhon afin qu’elle puisse rédiger un compromis de vente (
    pièce 22 )
    Mr Gendarme m’informe disposer de +/- 230.000 euros d’un immeuble
    qu’il avait vendu et qu’il transfererait l’hypothèque de ce bien à la
    rue Chaussée des Prés et financerait la différence. Mr Boudil me
    téléphone souvent pour connaître l’évolution de la vente et lui
    répondait qu’elle suivait son cours et que bientôt nous serions amenés
    à signer les actes de vente et les actes de liquidation et qu’il
    serait évidemment prévenu.
    Le 2 Octobre 2012 ( pièce 23 ) je reçois plusieurs messages de Mr
    Boudil qui s’étonnait de  ne pas avoir encore été informé de la date
    de la vente de l’immeuble et je lui explique que celle-ci arrivait à
    échéance et que Mr Gendarme avait informé avoir un peu de retard car
    il n’avait pas encore les fonds nécessaires pour financer la
    différence entre son transfert d’hypothèque et le coût total de
    l’opération soit 400.000 euros + 14% qu’il avait mis en vente
    plusieurs de ses immeubles afin de finaliser cette opération. J’étais
    le premier à être ennuyé de cette situation car différents
    entrepreneurs ayant travaillés à la rue Chaussée des Prés avaient avec
    moi un accord qui était de leur payer leur facture lors de l’acte de
    vente de l’immeuble qui était inialement prévu le 07 Octobre 2010.
    Pour moi ce n’était qu’une question de temps mais pour Mr Boudil il y
    voyait la possibilité de réclamer des intérêts importants voir la
    résiliaiton forcée de la vente. ( pièce 24 ) Je n’étais pas d’accord
    étant donné que l’acheteur était de bonne foi, et connaissant
    actuellement la situation des banques il est très difficile de faire
    un crédit en cette période mais Mr Gendarme  faisait le nécessaire
    pour passer les actes rapidement en mettant plusieurs de ses bâtiments
    en ventes. Mr Boudil ne comprend pas mon désaccord, il me propose
    alors d’acheter ses parts et de résilier le compromis de vente. Il
    demande au Notaire Honhon de préparer une assemblée générale afin de
    modifier les statuts de la société. Maîre Honhon me contacte pour que
    je me rende à son étude en vue d’une assemblée générale qui ne me
    permeterait plus de représenter seul la société. Mr Boudil entre temps
    insiste pour me rencontrer afin de me proposer une solution amiable et
    pacifique à savoir sortir de la société, me rendre mes dépenses et me
    donner une certaine somme d’argent!!! Je refuse en lui expliquant que
    ne n’était plus possible l’immeuble était vendu et aucune autre
    solution n’était possible, il ne voulait pas acceter ma position il
    disait avoir la solution et voulait me rencontrer ( pièce 25 )
    Il se rend plusieurs fois à mon domicile et me harcèle il essaie tout
    le temps de me contacter mais je ne répond plus à ses appels ni à ses
    SMS et il ne trouva aucune possibilité pour me joindre. C’est alors
    qu’il entreprend des démarches surprenantes à savoir, rentrer dans
    l’immeuble afin d’éffrayer les locataires et me faire passer pour une
    personne épouventables ( pièce 26 ) Les locataires ont peur et me
    contacte, j’étais étonné et surpris et en même temps effrayer par son
    attitude il me dit vouloir la paix et moi la guerre ( pièce 27 ) Je ne
    veux pas le rencontrer car j’en ai peur et je suis sûr qu’il veut me
    faire des ennuis tout comme il l’a toujours fait, me faire travailler
    et me reprocher tout ce que j’ai fait en me traitant comme un moins
    que rien alors que j’étais occupé à obtenir un financement à titre
    personnel pour payer les dettes de la société ( pièce 28 ). Je décide
    de prendre contact avec le Notaire Daubit je lui explique la situation
    et lui demande de me représenter pour la vente de l’immeuble car ma
    confiance envers la Notaire Honhon était également rompue je ne
    comprend toujours pas pourquoi elle a voulu me faire signer une
    énormité pareille. Maître Daubiet prend contact avec Notaire Honhon
    afin de lui soumettre mes intentions alors qu’elle est censée défendre
    les intérêts de chacun avec neutralité, depuis ce moment là Mr Boudil
    ne passe pas une journée sans me nuire, il a pris contact avec la
    directrice financière de Keymusic pour obtenir des informations (
    pièce 29 ) tels que les baux il pense que le loyer est de 2300 euros
    et comme il n’y a que 1300 euros versés sur le compte il me soupçonne
    de détournements de fonds. Il a pris un avocat dans le but de
    m’exclure de la société. Le notaire Daubit m’a contacté afin de me
    rencontrer d’urgence, je me rend chez lui le jeudi 6 décembre 2012 à
    14h10 il m’explique qu’un certain Maître Bottin l’avait contacté et
    affirmé qu’il avait personnellement eu contact avec l’acheteur de la
    rue Chaussée des Prés  ( pièce 30 ) que celui-ci lui aurait dit
    m’avoir donné 100.000euros !!!!!!! J’étais choqué par ces propos, ne
    comprenais pas toutes ces manigances. Mr Boudil tente de devenir par
    tous les moyens seul propriétaire de cet immeuble comme il l’a fait
    avec l’immeuble de la rue Nagelmackers et aussi lors d’une acquisiton
    qui l’aurait faitre récemment rue du Quai 19 à 4020 Bressoux acte
    passé par le Notaire Honhon. ( pièce 31 )
    Je n’aurais jamais dû ceder l’immeuble rue Nagelmackers ni ceder à
    toutes les pressions ni parler de mon compromis de la rue Chaussée des
    prés ni même créer la société ALMR je souhaite à présent comme depuis
    quelques temps déjà finir la vente de l’immeuble rue Chaussée des Prés
    et liquider la société. Actuellement Mr Boudil parle de moi aux différentes mosquées de liege et plusieurs personnes en leur racontant que je lui aurait voler son argent et Qu il a des problèmes avec son épouse de ma faute et plusieurs accusations sans fondement. J ai essaye de joindre les ambassades marocaines en belgique et aux pays bas malgré avoir explique,  transmis des documents rien ne fait que ce monsieur cesse de m harceler et me menacer.

    Hamdini H.

    00.32.(0)498.566.627
  • Corruption aux consulats marocains : le cas du Consulat de Rennes

    Comme convenu, vous trouverez ci-après, un aperçu de l’affaire dont on a parlé ce jour. Il s’agit en fait de l’époux de ma sœur, Monsieur Ahmed EL KHDAR, qui est Consul Général du Maroc à Oran (Algérie), depuis le 1er Mars 2011, après avoir été muté abusivement, en pleine année scolaire, de Rennes, où il avait exercé en tant que Consul Général du Maroc dans cette ville.

    Quand Ahmed EL KHDAR a pris ses fonctions à Rennes, le 1er septembre 2009, il a décelé pas mal d’irrégularités et de dysfonctionnements flagrants dans le consulat. Pour pouvoir maintenir intact, au niveau du consulat, le rythme des changements prôner par notre pays, il doit d’abord assainir la situation, c’est-à-dire séparer « le bon grain de l’ivraie » comme dit le jargon classique.

    C’est ainsi qu’il a commencé à mettre fin à ces dysfonctionnements et saisir son Ministère sur les différentes affaires qui empoisonnent le consulat du Maroc à Rennes. Il s’agit des affaires suivantes:

    le cas de frère d’un ambassadeur (actuellement en Afrique). Il s’agit de M. Ahmed LASFAR, agent local qui n’a jamais mis les pieds au consulat depuis 2006. Depuis cette date, il ne fait qu’envoyer au Consulat des arrêts de travail, tout en continuant de bénéficier de son salaire. Le consul, A. EL KHDAR lui a suggéré de venir reprendre son travail au consulat et lui a donné une semaine de réflexion pour répondre. L’intéressé n’a pas jugé opportun de donner une réponse. M. EL KHDAR a décidé, selon la législation française, de lui suspendre son salaire et l’orienter vers la sécurité sociale française pour demander des indemnités journalières. Le consulat paie à la caisse française de sécurité sociale sa quote-part patronale depuis plusieurs années.


    Un courrier a été adressé au Ministère pour l’informer de ce dossier. Aucune réponse n’a été donnée à ce jour. Les inspecteurs des finances en mission à Rennes, fin octobre 2010, ont bien établi les faits reprochés à cet agent local.

    – Le cas de M. Kamal ZIYAT, agent comptable désigné auprès du consulat à Rennes et qui travaille également au consulat du Maroc à colombes (région parisienne). Ce dernier a la mauvaise habitude, depuis plusieurs années, en tout cas du temps de l’ancien consul, de bénéficier indûment des frais de déplacement qui ne correspondent pas à la réalité. En fait, cet agent a toujours élu domicile à Paris. Il travail 3 jours au consulat du Maroc à Colombes et il vient une fois par semaine à Rennes. Il a réussi à avoir des ordres de mission « fictives », signés par l’ancien Consul de rennes pour lui permettre de bénéficier des frais de déplacement de Rennes à Colombes, à raison de trois jours par semaine. Ce qui n’est pas juste ! M. EL KHDAR refuse de lui servir ces frais de déplacements qui ne correspondent pas à la réalité, (en fait, il n’y avait jamais de déplacements de rennes à colombes, puisque ce dernier a toujours habité Paris), et un courrier a été adressé au Ministère des Affaires étrangères pour l’informer de cette affaire. Une autre fois aucune réponse à ce jours. Le dossier de cette affaire a été remis par le consul, A. EL KHDAR aux inspecteurs des finances lors de leur mission d’inspection au consulat à rennes qui ont également bien établi les faits.
    – Toujours à propos de cet agent comptable, il a également bénéficié indûment des indemnités de représentation depuis 4 ans, alors que ces indemnités sont réservées uniquement aux diplomates. Depuis l’arrivée de M. EL KHDAR au Consulat de Rennes, il a refusé de le faire bénéficier de ces indemnités car l’agent comptable ne remplit pas de fonctions de représentation. Celui-ci a menacé verbalement le consul en injuriant « qu’on va pas aller plus loin ». Les inspecteurs des finances ont bien vérifié que cet agent avait bien bénéficié de ces indemnités avant l’arrivée de M. El KHDAR à Rennes et que depuis sa prise de ses fonctions, a cessé de lui servir les indemnités en question.


    L’autre affaire concerne un vice-consul accusé par une femme marocaine d’harcèlement sexuel dans son bureau au consulat. L’intéressée qui est veuve s’est présentée en 2008 pour inscrire son enfant dans l’état civil. Le vice consul, Rachid DAIDAI a profité de la situation de la femme pour l’amener dans un bureau qui se trouve au 2ème étage pour l’harceler sexuellement. La femme a voulu sortir du bureau mais la porte a été fermée par le vice consul. Depuis cet acte, l’intéressée ne s’est pas déplacée au consulat craignant le vice consul qui lui a promis de se venger si elle dit un mot de ce qui était arrivé avec lui.
    La dame s’est présentée au consulat de rennes au mois juillet 2010 et a témoigné devant le consul et 3 cadres du consulat. Après avoir fait ses déclarations, elle a établi une déclaration sur l’honneur dans laquelle elle a consigné le détail de cette affaire. Cette déclaration a été signée et légalisée par l’intéressée et un courrier a été adressé au Ministère, accompagné de la déclaration de la dame, mais aucune suite n’a été donnée à cette correspondance. Pie, le vice consul, Rachid Daidai a été prorogé dans sa mission et il a été muté au consulat du Maroc à bordeaux, et ce après avoir passé 5 ans à Rennes (le ministère l’a muté à Bordeaux pour d’autres années encore). Ce vice consul est soutenu par un directeur au Ministère des affaires étrangères.
    Il faut signaler que le personnel du consulat a témoigné et confirmé devant M. Semlali et M. Bassou venus faire une inspection à Rennes (au mois de décembre 2010) les faits reprochés à M. daidai. Mais aucune sanction n’a été prise contre lui.


    – Le cas
    Mme Ammar zineb, agent local (fille d’une dame qui travaille à la clinique royale) qui arrive toujours en retard et sort toujours avant l’heure. Quand le consul, lui a fait la réflexion, elle a répliqué « qu’elle se remettra aux « gens » qui ont intervenu pour l’employer au consulat », allusion faite à des « gens du palais ». Il faut rappeler que l’intéressée fait prévaloir que sa maman travail dans la clinique royale.
    une fois n’est pas satisfaite des remarques qui lui ont été faites par le consul, l’intéressée a commencé à s’absenter, laissant un cumul du travail au consulat et créant un malaise parmi le personnel qui voit d’un mauvais œil le fait qu’on exige de lui l’assiduité et de l’autre côté la complaisance avec les autres « pistonnées ». Depuis le 5 juillet 2010 et 30 décembre 2010, Mme Ammar zineb a déposé
    17 arrêts de travail. Pie, vers la fin du mois décembre 2010, elle réclame son 13ème mois. Le consul lui a dit que le 13ème mois est une gratification et, à ce titre, il est servi en fonction de l’assiduité et le rendement des agents, et que c’était injuste de mettre sur un pied d’égalité les gens qui travaillent et qui sont assidus, et ceux qui ne le sont pas. L’agent en question a promis de faire intervenir les personnes du palais pour avoir son 13ème mois. Effectivement, l’intéressée a pu obtenir satisfaction puisque le Ministère a demandé au Consul de lui servir le 13ème mois. Le consul bien évidement a refusé de la faire bénéficier de ce 13ème mois.
    Au delà de cette question, l’intéressée a toujours menti au service administratif du Consulat, en déclarant qu’elle ne bénéfice pas de la couverture sociale et, de ce fait, elle a pu conserver son salaire durant la période des arrêts de travail. Après vérification faite par les inspecteurs des finances lors de leur mission à rennes, il a été établi que M. Ammar bénéfice bel et bien de la sécurité sociale. Interrogée sur le bien fondé de ses déclarations, l’intéressée a refusé de répondre aux 3 courriers qui lui ont été envoyés avec accusé de réception. Devant ce refus, le consulat a saisi directement la caisse sociale qui a indiqué dans un courrier que madame Ammar zineb est affiliée à la Caisse de sécurité sociale et, qu’à ce titre, elle bénéficie indûment des indemnités journalières.
    Tout le dossier a été envoyé au Ministère mais aucune réponse n’a été donnée à ce jour.


    Le cas de Mme Mouline fadwa, agent local qui fait fonction de secrétaire. Dans le cadre de redéploiement du personnel au sein du consulat, le consul a affecté cette dernière pour prendre d’autres fonctions, chose qu’elle a violement refusé et rejeté.
    Après cet agent s’est proposée d’aller dans le service d’état civil. Aucune objection ne lui a été faite. Une semaine après, elle s’absente et commence à envoyer des arrêts de travail pendant 2 mois et demi (6 arrêts de travail). Pendant cette période, M. Mouline n’a pas cessé de dénigrer le consul et l’essuyer de toutes les insultes et mensonges. Cet agent est la fille d’une ex-employée au Ministère des Affaires étrangères, qui s’occupait de standard (actuellement en retraite), et qui n’était autre qu’une proxénète au service des Hauts cadres du Ministère, et qui, à ce titre, a réussi à faire recruter 4 de ses enfants (deux filles et 2 garçons) dans les consulats du Maroc à l’étrangers.
    Au mois de décembre 2010, M. semlali et M. Bassou sont venus en inspection au consulat. Tout le personnel était unanime pour dénoncer les agissements et les mensonges de cet agent et le personnel ont témoigné librement et en toute franchise contre cette personne.

    Au lieu de sanctionner cet agent pour insubordination, manque de respect dû au responsable, et absence injustifiés, le Ministère a préféré se comporter bizarrement. En effet, le secrétaire général du ministère, M. AMRANI a demandé, par l’intermédiaire du chef de la division du personnel, au consul M. EL KHDAR de servir à Mme Mouline le 13ème mois. En réaction, le consul a envoyé un courrier au secrétaire général pour poser la question de l’opportunité de faire bénéficier les agents locaux qui s’absentent beaucoup de 13ème mois. Aucune réponse comme d’habitude. Mais cette fois- ci et juste avant de communiquer au consul la décision de sa nomination à Oran (décision en date du 20 janvier 2011), le directeur du personnel a demandé à M. EL KHDAR, par lettre du 16 janvier 2011 de servir le 13ème mois, aussi bien à Mme AMMAR et Mme Mouline. Chose que le consul a refusé de faire.

    Ce n’est que sous la pression du personnel du ministère et du consulat qui ont exprimé leur indignation devant cette décision, que le Ministère a procédé à la réaffectation de Mme Mouline à Pontoise.


    Chose très importante : Pie, les conclusions et les considérants du rapport que les deux cadres du Ministère (M.semlali et bassou) auraient établi à la suite de leur visite à rennes n’ont pas été communiquées au consul.


    – le consul qui s’attendait à un soutien du ministère pour le travail accompli, a été surpris en pleine année scolaire de ses deux enfants, qui suivent leur scolarité en France depuis plusieurs années, par sa nomination le 1er mars 2011 à Oran, ville où il n’y a pas de mission française.


    Pour se justifier, le secrétaire général du ministère, youssef Amrani, qui n’est autre que l’actuel Ministre délégué a indiqué que « depuis sa prise de fonction, le consul, M.EL KHDAR est trop rigide et ne laisse rien passer. Il n’a pas cessé d’écrire sur tel et tel affaire et que cela lui a crée des problèmes avec des gens d’en haut qui appellent par téléphone » !!! , avant d’ajouter « le ministère a besoin de poste de consulat de Rennes » ??

    En fait, M. youssef Amrani, l’ancien secrétaire général du Ministère des Affaires Etrangères avec la complicité de certains responsables du Ministère ont voulu faire de la décision de mutation M. EL KHDAR à Oran (Algérie), et en pleine année scolaire de ses enfants (mois de mars 2011) une double sanction, d’abord se débarrasser d’un consul « qui dérange trop » comme a bien voulu justifier youssef Amarani après les réactions à cette décision, mais aussi de libérer le poste du Consul Général à Rennes pour le confier à un Monsieur étranger au Ministère des affaires étrangères (qui n’est pas un diplomate), qui n’est d’autre que M. Sekouri lahcen, ex-chef de cabinet de M. M’Haned Laanser du Mouvement Populaire.

    La décision de faire muter M. EL KHDAR du consulat du Maroc à rennes au consulat du Maroc à Oran (Algérie) n’a pas passé inaperçu. La communauté marocaine de l’ouest de France s’est mobilisée contre cette décision. Plusieurs pétitions ont été adressées au Palais Royale et au Ministère des Affaires étrangères pour exprimer leur indignation contre cette décision et manifester leur solidarité avec M. EL KHDAR, consul du Maroc à rennes.


    Voici quelques articles de presse qui ont couvert l’affaire de M. EL KHDAR, ainsi que quelques lettres de soutiens parmi des dizaines publiées par la société civile dans le grand ouest de France, en signe de solidarité et de soutien avec M. Ahmed EL KHDAR.

    Cette affaire n’a pas échappé au Parti de Justice de développement, puisque son groupe au parlement a posée une question parlementaire écrite et qui a été présentée par le député Najib BOULIF au nom du groupe au parlement.

    J’espère que ces informations vont vous éclairer sur cette affaire qui a suscité l’indignation de tout les gens intègres au sein du Ministère des affaires étrangères qu’à l’extérieur, en souhaitant vivement que le Ministre actuel des affaires étrangères , si Othmani donne l’occasion à M. EL KHDAR pour lui expliquer tout ça et faire la part des choses dans cette affaire qui a porté un préjudice à lui et à sa famille.

    Merci beuacoup

    salamoualaykoum
    jamila ajgoune

    Pour télécharger ce document cliquez ici

  • L’idée de réactiver la CEN-SAD viendrait de la Lybie

    L’idée de réactiver la CEN-SAD viendrait de la Lybie, selon une note envoyée par email par le chef de la Direction des Affaires Africaines, Ouali Tagma.
    Dans cet email, il rapporte que « l’ambassadeur du Maroc à Tripoli a fait part du souhait des autorités Libyennes de voir notre pays donner une nouvelle dynamique à la CEN-SAD. Ce message lui a été transmis par le chef de la Diplomatie libyenne qui soutient que seule la redynamisation de cet éspace peut mettre fin aux tentatives de mainmise sur la région de la part de l’Algérie et des autres puissances africaines qui la soutiennent ».
    « Selon le résponsable lybien,  la situation en Egypte, en Tunisie et en Lybie laissent les mains libres à l’Algérie et à ses alliés pour la domination de la région sahelo-saharienne et seul le Maroc à travers la CEN-SAD peut aider à faire contrepoids à cette hégémonie », a-t-il ajouté.
     
     

  • مجموعة 122 من الدبلوماسيين المغاربة بالإدارة المركزية والبعثات الدبلوماسية والقنصلية المغربية بالخارج

    توصلت الوزارة برسالة مجهولة المصدر حيث أطلق محررها أو محرروها على أنفسهم اسم مجموعة 122من الدبلوماسيين المغاربة بالإدارة المركزية والبعثات الدبلوماسية والقنصلية المغربية بالخارج، وتناولت كموضوع لها التعيينات الأخيرة للقناصلة العامين للمملكة بالخارج.
    إن قراءة هذه الرسالة تمكننا من الوقوف على الملاحظات التالية :
    1. مصدر الرسالة:
    وردت الرسالة بدون توقيعات بأسماء وصفة أعضاء المجموعة التي اختارت لقبا يتسم بالغموض، وهو ما يدل على عدم مصداقية أصحابها الذين يختبئون وراء عدد رقمي قد يكون وهميا وهو دليل قاطع على غياب الجرأة والشجاعة لدى أصحاب الرسالة إن وجدوا.
    2- أسلوب الصياغة:
    حررت هذه الرسالة بأسلوب رديء جدا لا يعكس مستوى الأطر العاملة بالوزارة ، ولا يمكن ان تكون هذه الرسالة نتاجا لمجهود جماعي لأشخاص استساغوا تسمية أنفسهم بالدبلوماسيين المغاربة.
    1. الانتقادات الموجهة لعملية الانتقاء:
    أ – طريقة الانتقاء
    تضمنت الرسالة عدة افتراءات بخصوص عملية التعيينات الجديدة للقناصلة، نهلت من قاموس نقدي من خلال استخدام أوصاف وتعابير مثل الخروقات، التجاوزات، غياب النزاهة، عدم الشفافية، وعدم الإنصافالخ.
    هذه الادعاءات مردود عليها بحجة أن عملية الانتقاء تمت بناء على إعلان ترشيحات وفق معايير محددة، وتقدم المرشحون أمام لجنة أحدثتها الوزارة لهذه الغاية، والتي اقترحت لائحة المقبولين على السيد الوزير مع الترتيب حسب الاستحقاق مرفوقة بتقرير دقيق ومفصل، يتولى السيد الوزير على ضوئه اعتماد لائحة المرشحين المقبولين.
    وتعتبر هذه التجربة رائدة على مستوى الوزارة التي دأبت، منذ خمس سنوات، على اختيار أطرها من رؤساء الأقسام والمصالح وفق منهجية التباري وفي إطار تكافؤ الفرص والشفافية الكاملة وتم اعتماد نفس المنهجية منذ سنتين فقط بالنسبة للقناصل العامين المعنيين بالخارج.
    باحترام شروط الترشيح:
    سمح من هم وراء الرسالة لأنفسهم، بالقول بأن المشاركة في المقابلات الانتقائية تمت في غياب المعايير والشروط المطلوبة في المرشحين اللذين تقدموا للتباري حول هذه المراكز، وذكرت مجموعة من الأسماء قالت بأنها تفتقر للشروط الضرورية لولوج منصب قنصل عام والتي اختزلتها في التجربة في العمل القنصلي والاجتماعي، أو ادعت كون المرشحين يقتربون من مرحلة التقاعد.
    خلافا لما ورد في الرسالة، فإن جميع المرشحين وبدون استثناء توفرت فيهم الشروط المطلوبة من حيث الدرجة و السن و التجربة المهنية و مدة العمل بالخارج. و كدليل على التقيد الصارم بالمعايير و الضوابط النظامية فقد استثني من التباري عدة مرشحين كان ينقصهم أقل من شهر فقط على إكمال المدة المطلوبة، فيما لم يتم إقصاء أي مرشح ممن توفرت فيهم الشروط.
    جعدد المناصب المتبارى عليها
    أثار محررو الرسالة ما وصفوه بعدم التناسب بين عدد المناصب الشاغرة وعدد الفائزين المعلن عنهم. وينم هذا الطرح عن جهل للمعطيات والحاجيات الحقيقية ومحدودية في فهم عملية تدبير المراكز الشاغرة. ولتفسير العملية تجدر الإشارة إلى أنه بعد الإعلان عن 11 منصب شاغر، همت القناصل الذين أكملوا أربع سنوات بالمركز القنصلي أو الذين بلغوا سن التقاعد القانونية، تمت إضافة القنصلية العامةببنغازي (ليبيا) التي لم تكن ضمن اللائحة الأصلية وذلك لأسباب ارتبطت بالظروف الصحية للقنصل العامالذي اضطر لطلب الالتحاق النهائي بالمغرب للاستشفاء، وحتى لا يبقى المركز القنصلي بدون مسؤول ارتأت الوزارة إدراجه ضمن المراكز المتبارى عليها.
    دتوضيح الخلط:
    يتضح من مضمون الرسالة وجود قصور صارخ في فهم العملية و طريقة اشتغال اللجنة حيث أن هناك خلطا في الأذهان لدى هؤلاء. ولتوضيح الأمر، فالمبدأ هو أن المترشحين لا يقدمون ترشيحهم الى منصب محدد، كما أن اللجنة لا تختبرهم بخصوص منصب محدد أو مركز قنصلي يعينه و إنما تكون الترشيحات إلى جميع المناصب ذلك أن الإعلان هو للترشح لمنصب قنصل عام والتباري حول مجموعة من القنصليات وليس على مركز بالتحديد.
    و رفعا لكل لبس و للتدقيق أكثر، نورد حالة مركز طراغونا (اسبانيا)، التي ركز عليها أصحاب الرسالة في انتقاداتهم؛ ففي غياب مرشح بمواصفات محددة تؤهله لإدارة قنصلية كبرى من حجم القنصلية العامة ببرشلونة، اقترحت اللجنة على السيد الوزير إسناد هذه المهمة إلى القنصل العام الحالي بطراغونا، الذي يعد من خيرة القناصل وأبان عن حنكة كبيرة وكفاءة عالية في تدبير هذا المركز وتسييره بطريقة نموذجية، لتولي مهمة قنصل عام ببرشلونة وإسناد مركز طراغونا لواحد من المرشحين في القائمة المعروضة على أنظار اللجنة.
    لذا، فإنه ليس في الأمر أية إضافة بقدر ما هو إجراء تقني وإداري أملته طبيعة المركز وحجم المسؤوليات المرتبطة به. كما أن عملية التنقيل من مركز لآخر تتم في نطاق الحركية الإدارية التي تبتغي البحث عن أشخاص مشهود لهم بالتجربة و الدراية و الكفاءة لتولي مسؤوليات معينة، علاوة ذلك فقد تم اعتماد نفس المسطرة في السنة الماضية كإجراء عادي و متعارف عليه إداريا.
    ولإظهار سوء التقدير والجهل بمدلول العمل القنصلي عند محرري الرسالة نقف عند الحالات التي وردت كلا على حدة، من خلال أسماء بعينها كالسادة زهير جبرائلي، محمد السونة والسيد اللبار والإفراني .
    • بالنسبة للسيد زهير جبرائلي كقنصل عام بدوسلدورف:
    أنكر أصحاب الرسالة لهذا الإطار كل ماضيه الإداري ومساره الوظيفي من خلال التساؤل عن التجربة القنصلية للمعني بالأمر. وهنا يبدو منتهى الجهل في طرح السؤال، ذلك أن التجربة القنصلية لا يجب اختزالها بالضرورة في الاشتغال بالقنصليات أو بمديرية الشؤون القنصلية والاجتماعية، وإنما يتعين أخذها في ممارسة المهام في البعثات بالخارج.
    ففي هذه الحالة بالذات، فإن السيد جبرائلي الذي سبق واشتغل كنائب سفير وبحكم المهام المرتبطة بهذه الصفة فقد كان مسؤولا على تسيير المصالح القنصلية بالسفارات التي عمل بها والاشتغال على شؤون وقضايا الجالية بالبلدان التي اشتغل فيها.
    كما يجدر التذكير في هذا الباب بأن أكثر من ثمانين سفارة مغربية بالخارج تتوفر على مصالح قنصلية و الاشراف عليها يكسب الأطر العاملة بها ما يكفي من التجربة في تدبير الشؤون القنصلية.
    • بالنسبة للسيد السونة كقنصل عام بروطردام:
    في هذه الحالة سقط أصحاب الرسالة في تناقض صارخ، إذ جعلوا من زخم التجربة القنصلية لهذا الرجل نقطة سلبية كأنها تنتقد اشتغاله في العديد من القنصليات ذكرتها على التوالي وهي ليل و أمسترداو و برشلونة ثم ليل و أرليان ،بل وتؤاخذ توليه المهام الاجتماعية بهذه القنصليات كعامل نقص وهو تناقض غير مفهوم.
    • بالنسبة للسيد عبد الفتاح اللبار كقنصل عام بطراغونا:
    اعتبر أصحاب هذه الرسالة بأن مركز طراغونا قد تم خلقه في إطار من السرية وعلى مقاس من أسند إليه، وهو خطأ فادح في التقرير، وتساءلوا عن سر إقصائه في السنة الماضية وقبوله في هذه الدورة.
    إن الجواب على هذا التساؤل لا يتطلب جهدا كبيرا باعتبار أن هذه الحالة تستقيم كدليل قاطع على كون عملية التباري مفتوحة والاختيار يقوم على معايير ومقاييس موضوعية ؛ فإذا لم يقبل السيد اللبار في السنة الماضية فلأنه كان ضمن مجموعة مرشحين أجود منه ومنافسين أفضل، في حين كان متفوقا في هذه الدورة.
    • بالنسبة للسيد أحمد إيفراني كقنصل عام ببروكسيل :
    يرتكز الانتقاد في هذه الحالة على سن المعني بالأمر من خلال الادعاء بأنه على مشارف التقاعد و لم تتبق له سوى 3 أشهر، في حين أن هذا الطرح غير صحيح باعتبار أن القنصل العام الجديد هو من مواليد 13دجنبر 1956، و تفصله ثلاث سنوات أخرى عن التقاعد. وقد تم اختياره لكونه اجتاز المباراة بتفوق ويتوفر على مسار مهني طويل وتجربة قنصلية لا يمكن الطعن فيها تجعل منه أحد المؤهلين لإدارة قنصلية من حجم بروكسيل.
    1. الاقتراحات التي جاءت في الرسالة:
    اعتمادا على المعطيات التي استعرضتها الرسالة سمح « أعضاء مجموعة 122″ الوهمية، بتقديم اقتراحات أقل ما يقال عنها كونها تفتقر للمنطق وتجانب الصواب كالمطالبة بإلغاء النتائج المعلنة وإسناد مهمة الاختيار للجنة يكون أعضاؤها من خارج الوزارة بل أن يفوت السيد الوزير اختصاصه لشركة أجنبية خاصة تتولى العملية.
    هذا وتجدر الإشارة إلى أن هذه الرسالة تضمنت تحاملا على أعضاء اللجنة ومساسا بنزاهتهم وسمعتهم من خلال اتهامهم بالمحاباة والتواطؤ في تعيين القناصل الجدد، وهي افتراءات تجانب الصواب ولا أساس لها من الصحة.