Catégorie : Monde

  • Elections européennes le dimanche 26 mai 2019

    Au Sénégal, 5 bureaux de vote seront ouverts de 8h à 18h

    DAKAR, Sénégal, 22 mai 2019/ — Les Français du Sénégal sont appelés à voter ce dimanche 26 mai pour élire, au scrutin proportionnel et pour un mandat de 5 ans, les nouveaux députés au Parlement européen.

    Au Sénégal, 5 bureaux de vote seront ouverts de 8h à 18h : à Dakar, au Consulat Général de France (2 bureaux) et au lycée français Jean Mermoz ; à Sally, au lycée français Jacques Prévert ; à Saint-Louis, à l’Institut français.

    La presse est invitée à couvrir ces élections en se présentant à l’Ambassade de France (1 rue El Hadji Amadou Assane Ndoye) le dimanche 26 mai à 8h.

    L’Ambassadeur sera présent dès après l’ouverture des bureaux de vote et pourra répondre aux questions des journalistes intéressés.

    En raison des mesures de sécurité, une pièce d’identité sera demandée pour accéder au lieu de vote.

    Distribué par APO Group pour Ambassade de France au Sénégal.

    SOURCE

    Ambassade de France au Sénégal

    Tags : France, Sénégal, Ambassade de France au Sénégal, élections européennes, vote au Sénégal,

  • Présentation d’une Loi type sur les drogues pour l’Afrique de l’Ouest aux ministres de la Santé en marge de la 72ème session de l’Assemblée mondiale de la Santé

    La loi type sur les drogues fournit des modèles concrets susceptibles d’être adaptés par les pays pour réformer leurs lois sur les drogues
    GENEVA, Suisse, 22 mai 2019/ — La Commission Ouest-Africaine sur les Drogues, l’ONUSIDA et la Commission globale sur la politique des drogues ont présenté aujourd’hui la Loi type sur les drogues pour l’Afrique de l’Ouest aux ministres de la santé de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest.

    En Afrique occidentale, les lois sur les drogues n’ont pas l’effet escompté et ni la consommation ni le trafic de drogues n’ont été efficacement réduits. La stabilité de la région est menacée par l’ampleur considérable qu’a pris le trafic de drogues en Afrique occidentale. Selon les données de 2014 de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, la consommation de cannabis en Afrique occidentale est beaucoup plus élevée qu’au niveau mondial – 12,4 % des personnes de la région avaient consommé du cannabis en 2014, contre 3,9 % seulement de la population mondiale – le recours à l’utilisation problématique de drogues sur ordonnances et de drogues synthétiques est en augmentation. La croissance de la population carcérale, imputable à des détentions dans l’attente de procès et à des délits liés aux drogues, a entraîné une grave surpopulation des prisons dans la plupart des pays.

    « Les personnes qui consomment des drogues ont plus besoin d’aide et de soins que d’une punition. Les stigmatiser et les enfermer en nombre toujours croissant ne fait qu’aggraver les problèmes de santé et exerce des pressions considérables sur des systèmes de justice pénale déjà sollicités au maximum » a déclaré M. Olusegun Obasanjo, ancien Président du Nigéria et Président de la Commission Ouest-Africaine sur les Drogues. « Notre région a mis des années avant d’adopter des politiques de lutte contre le VIH fondées sur des données concrètes, et nous connaissons désormais chaque année des progrès vitaux. Nous considérons que la politique des drogues requiert la même stratégie que la riposte au VIH – une approche pragmatique, basée sur la santé et centrée sur les personnes».

    La loi type sur les drogues fournit des modèles concrets susceptibles d’être adaptés par les pays pour réformer leurs lois sur les drogues – des dispositions légales et leur lien avec les obligations juridiques internationales – ainsi que des explications utiles qui présentent différentes options et raisons de choisir la solution juridique proposée. La loi type sur les drogues offre un moyen mesuré pour décriminaliser la consommation de drogues et la possession pour usage personnel en introduisant des seuils, ce qui permet aux personnes qui consomment des drogues d’avoir accès à des services de santé et à demander de l’aide. La loi type sur les drogues admet qu’il convient de supprimer les obstacles afin de permettre à des millions d’individus ayant besoin de services de santé, notamment les personnes vivant avec un cancer ou le VIH, d’avoir accès au traitement et à la prise en charge qui leurs sont nécessaires.

    « Les pays doivent adopter une approche du VIH et de la consommation de drogues fondée sur les droits humains, et s’assurer que la santé et le bien-être des personnes soient la priorité absolue » a déclaré Mme Gunilla Carlsson, Directrice exécutive par intérim de l’ONUSIDA, lors de la présentation du rapport aux ministres de la Santé en marge de la soixante-douzième session de l’Assemblée mondiale de la Santé qui s’est tenue à Genève, Suisse. « Nous savons que la réduction des risques est efficace et que la dépénalisation l’est aussi – les pays ne peuvent donc pas continuer d’ignorer les preuves et doivent prendre des mesures de toute urgence ».

    La stigmatisation et la discrimination généralisées, la violence et la mauvaise santé dont souffrent les personnes qui consomment des drogues injectables sont aggravées par des taux élevés d’infections à VIH. Alors que l’incidence de l’infection à VIH a diminué de 25 % au niveau mondial entre 2010 et 2017, le nombre de nouvelles infections parmi les consommateurs de drogues injectables continue d’augmenter. Sur les 10,6 millions de personnes qui consommaient des drogues injectables à travers le monde en 2016, plus de la moitié vivait avec une hépatite C et une sur huit vivait avec le VIH.

    L’expérience internationale a montré qu’il est possible de mobiliser la volonté politique pour réaliser ces vastes amendements des lois sur les drogues afin de lutter contre la propagation des maladies infectieuses et leur poids sur le développement. MRuth Dreifuss, ancienne Présidente de la Confédération helvétique et Présidente de la Commission globale sur la politique des drogues, a déclaré : « Nous sommes à un moment décisif où les gouvernements peuvent inverser le cours des choses et lutter contre les épidémies de santé en fournissant le bon ensemble d’outils de prévention, de traitement et de réduction des risques, ou à l’inverse, ne pas y parvenir s’ils maintiennent le statu quo du prohibitionnisme ».

  • Une marocaine traitée de singe par sa famille pour s’être mariée à un sénégalais

    Un homme originaire du Sénégal est visiblement déçu du comportement des musulmans qu’il croyait être ses frères. Sa femme marocaine et arabe a été traitée de nouveau singe par sa propre famille et proches après leur mariage.Le sénégalais avait sans doute oublié que ce sont les arabes qui ont commencé l’esclavage et le noir aime trop s’accaparer la religion des autres.

    Si les arabes aimaient tant l’Islam, ils ne vivraient jamais en masse en occident où ils profitent au maximum du système chrétien. Rejetés par les européens en bloc, les arabes en Europe font semblant de s’associer aux africains noirs qu’ils appellent hypocritement FRÈRES. C’est au Maghreb qu’on peut facilement voir leur véritable visage.

    Les noirs croient trop au Coran plus même que les arabes et y font référence pour se plaindre de leur comportement. l’Islam interdit le racisme que les arabes appliquent sans se cacher envers les noirs. Au vu du comportement barbare des libanais envers les femmes noires et du reste des arabes, l’africain noir devrait limiter sa relation avec eux qu’au protocole.

    Mais, il y a encore de ces noirs qui pensent que les arabes sont leurs frères. C’est le cas par exemple des sénégalais qui ont naïvement adopté les marocains arabes.

    Celui que nous allons nommer Cheik Sarr, a vu comment sa belle famille a qualifié sa femme marocaine de nouveau singe et de traite juste après leur mariage. Ayant choisi le Maroc comme pays de résidence, le sénégalais qui s’y croyait intégré avait jugé de se comporter aussi en marocain. Il est connu en Afrique que le sénégalais finit toujours par épouser une sénégalaise, mais Sarr était l’exception.

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    Tags : Maroc, Sénégal, mariage, racisme,

  • L’Algérie et l’Argentine certifiées exemptes de paludisme par l’OMS

    L’Algérie est le deuxième pays de la Région africaine de l’OMS à être officiellement reconnu comme exempt de paludisme, après l’Île Maurice
    GENEVA, Suisse, 22 mai 2019/ — L’Algérie et l’Argentine ont été officiellement reconnues par l’OMS comme exemptes de paludisme. La certification est accordée lorsqu’un pays démontre avoir interrompu la transmission autochtone de la maladie pendant au moins trois années consécutives.

    Le paludisme, contracté par la piqûre d’un moustique infecté, demeure l’une des principales causes de mortalité dans le monde ; en effet, selon les estimations, 219 millions de cas et plus de 400 000 décès dus au paludisme ont été dénombrés en 2017. Environ 60 % des décès concernent des enfants de moins de cinq ans.

    L’Algérie est le deuxième pays de la Région africaine de l’OMS à être officiellement reconnu comme exempt de paludisme, après l’Île Maurice, qui a été certifiée en 1973. L’Argentine est le deuxième pays de la Région OMS des Amériques à être certifié en 45 ans, après le Paraguay qui l’a été en juin 2018.

    L’Algérie et l’Argentine ont notifié leurs derniers cas autochtones de paludisme en 2013 et 2010, respectivement.

    Un « engagement sans faille »

    Tant en Algérie qu’en Argentine, l’histoire du paludisme s’étend sur des centaines d’années et la lutte contre cette maladie a été âprement menée. Au cours des dix dernières années, l’amélioration de la surveillance a permis d’identifier et de traiter rapidement chaque cas de paludisme, sans exception. Il est important de noter que les deux pays fournissaient un diagnostic et un traitement gratuits à l’intérieur de leurs frontières, en veillant à ne laisser personne de côté s’agissant de l’obtention de services nécessaires pour prévenir, détecter et guérir la maladie.

    « L’Algérie et l’Argentine ont éliminé le paludisme grâce à l’engagement sans faille et à la persévérance des populations et des dirigeants des deux pays », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS. « Leur succès sert de modèle pour d’autres pays qui s’efforcent de mettre fin à cette maladie une fois pour toutes. »

    Éradiquer le paludisme en Algérie

    Le Dr Charles Louis Alphonse Laveran, médecin français, a découvert le parasite du paludisme en Algérie en 1880. Dans les années 1960, le paludisme était devenu le principal problème de santé du pays, quelque 80 000 cas étant signalés chaque année.

    Le succès remporté par la suite par l’Algérie dans la lutte contre la maladie peut être attribué principalement à la présence de personnels de santé bien formés, à la fourniture de services de diagnostic et de traitement du paludisme dans le cadre de soins de santé universels et à une riposte rapide aux flambées épidémiques. Tous ces facteurs ont permis au pays d’atteindre – et de maintenir – zéro cas de paludisme.

    « Le parasite du paludisme a été découvert pour la première fois chez l’homme il y a près d’un siècle et demi en Algérie, marquant ainsi une étape importante dans la lutte contre cette maladie », a déclaré la Dre Matshidiso Moeti, Directrice régionale pour l’Afrique. « Désormais, l’Algérie a démontré au reste du continent africain qu’il est possible de vaincre le paludisme moyennant le leadership des pays, des mesures audacieuses, des investissements judicieux et de solides données scientifiques. Les autres pays africains peuvent tirer des enseignements de cette expérience. »

    La route de l’Argentine menant à l’élimination du paludisme

    Dans les années 1970, l’Argentine a entrepris d’éliminer le paludisme. Parmi les principaux éléments de son approche, figuraient notamment la formation des agents de santé à la pulvérisation d’insecticides à l’intérieur des habitations, le diagnostic de la maladie par la microscopie et une riposte efficace aux cas signalés au sein de la communauté.

    La collaboration transfrontière était également essentielle. Entre 2000 et 2011, l’Argentine a travaillé en étroite collaboration avec le Gouvernement bolivien pour la pulvérisation d’insecticides à l’intérieur de plus de 22 000 habitations situées dans des zones frontalières et pour mener des campagnes de dépistage du paludisme à grande échelle.

    « L’Argentine a notifié le dernier cas autochtone en 2010 et a démontré l’engagement, les capacités au sein de ses systèmes de santé, de laboratoire et de surveillance ainsi que le financement nécessaire pour prévenir la réintroduction du paludisme dans son pays », a déclaré la Dre Carissa Etienne, Directrice de l’Organisation panaméricaine de la Santé (OPS), Bureau régional de l’OMS pour les Amériques. « Je suis convaincue que l’Argentine servira d’exemple et de source d’inspiration aux autres pays de la Région des Amériques pour parvenir à l’élimination de la maladie dans les prochaines années. »

    Les certificats seront présentés par le Directeur général de l’OMS aux représentants de l’Algérie et de l’Argentine en marge de la Soixante-Douzième Assemblée mondiale de la Santé.

    La certification de l’élimination du paludisme nécessite pour un pays d’établir, au-delà de tout doute raisonnable, que la chaîne de transmission locale du paludisme a été entièrement interrompue dans l’ensemble du pays depuis au moins trois années consécutives. En outre, un système national de surveillance capable de détecter et de faire face rapidement à tout cas de paludisme doit être opérationnel, ainsi qu’un programme efficace de prévention de la réintroduction de la maladie.

    À l’échelle mondiale, 38 pays et territoires ont été déclarés exempts de paludisme :

    https://www.who.int/malaria/areas/elimination/malaria-free-countries/en/

    Des informations détaillées sur le processus de certification de l’élimination du paludisme de l’OMS figurent à l’adresse

    https://www.who.int/malaria/areas/elimination/certification/en/.

    APO

    Tags : OMS, WHO, santé, paludisme, algérie, argentine,

  • A propos du logiciel d’espionnage israélien que le Maroc utilise

    Actuellement, un téléphone portable peut être piraté avec un simple appel Whatsapp grâce au logiciel israélien Pegasus que le Maroc utilise pour espionner les opposants au régime. The Guardian en parle dans un article publié le 19 mai 2019

    L’histoire du logiciel espion pour WhatsApp nous dit que rien n’est sécurisé

    John Naughton

    L’attaque sur l’application de messagerie nous a montré que l’espionnage est une entreprise florissante

    Quand Edward Snowden s’est retrouvé à l’extérieur à l’été 2013 et qu’une équipe de journalistes du Guardian l’a rencontré dans son hôtel de Hong Kong, il a insisté non seulement pour qu’ils éteignent leur téléphone portable, mais aussi pour qu’ils placent les appareils dans un réfrigérateur. Cette précaution laissait supposer que Snowden avait une connaissance particulière des pouvoirs de la NSA en matière de piratage, en particulier du fait que l’agence avait développé des techniques permettant de prendre secrètement le contrôle d’un téléphone mobile et de l’utiliser comme appareil de suivi et d’enregistrement. Cela semblait plausible à quiconque connaissait les capacités d’organismes tels que la NSA ou le GCHQ. Et en fait, quelques années plus tard, de telles capacités ont été explicitement considérées comme nécessaires et autorisées (comme «interférence d’équipement») dans la loi de 2016 sur les pouvoirs d’investigation.

    Lorsque Snowden s’est entretenu avec des journalistes à Hong Kong, WhatsApp était une start-up de quatre ans avec un modèle commercial honnête (les gens payaient pour l’application), environ 200 millions d’utilisateurs actifs et une valeur de 1,5 milliard de dollars. En février 2014, Facebook a acheté l’entreprise pour 19 milliards de dollars et tout a changé. WhatsApp a connu une croissance exponentielle dans son omniprésence actuelle: elle compte plus de 1,5 milliard d’utilisateurs et s’est propagée comme une éruption cutanée sur la planète entière.

    Parmi ses avantages, il offre aux utilisateurs un cryptage de bout en bout sans effort pour leurs communications, renforçant ainsi leur vie privée. Même Facebook ne peut pas lire leurs messages. (Par coïncidence, cela fournit à Facebook une carte permettant de sortir de prison, car si les utilisateurs envoient toutes sortes de messages illégaux, peu recommandables ou manipulateurs – et certains le sont -, Facebook ne peut en être tenu responsable, ce qui coûte cher ». modération ”sont donc réduites.)

    En 2014, WhatsApp a introduit une nouvelle fonctionnalité – les appels vocaux gratuits cryptés – qui donnait à chaque utilisateur une installation jusque-là appréciée uniquement par les dirigeants politiques et militaires d’États sophistiqués. Naturellement, il est devenu très populaire, au point que la plupart des conversations téléphoniques intercontinentales entre membres de familles dispersées dans le monde sont probablement désormais acheminées via WhatsApp.

    Tout cela explique les rumeurs sur les révélations de la semaine dernière qui ont été enterrées dans la fonction d’appel vocal était une énorme faille de sécurité. Un méchant féru de technologie pourrait passer un appel WhatsApp à un téléphone cible afin de permettre l’installation secrète de logiciels espions pour transformer le téléphone en un dispositif de surveillance à distance. «Quelques minutes après l’appel manqué», rapporte le Financial Times, «le téléphone commence à révéler son contenu crypté, reflété sur un écran d’ordinateur à l’autre bout du monde. Il retransmet ensuite les détails les plus intimes, tels que les messages privés et l’emplacement, et allume même l’appareil photo et le microphone pour les réunions en direct. »Et ce qui est vraiment impressionnant, c’est que l’appel incriminé n’a même pas besoin d’être répondu: un appel manqué reste permet à l’intrus de laisser tomber sa «charge utile» – un logiciel appelé Pegasus, capable de percer les secrets les plus profonds de tout smartphone.

    Propre, hein? En l’occurrence, il s’agit d’une histoire plus ancienne que ce que suggèrent de nombreux médias. Il s’agissait de la dernière mise à niveau d’un produit vieux de dix ans créé par une société secrète israélienne appelée NSO. La technologie serait si puissante que le ministère de la Défense israélien est censé en réglementer la vente aux forces de l’ordre étrangères et aux agences de sécurité de l’État.

    Les recherches de Ron Deibart et de ses collègues de l’admirable Citizen Lab de l’Université de Toronto suggèrent toutefois que la supervision israélienne des exportations de la NSO a été, pour le moins, permissive. Le projet suit l’utilisation de Pegasus par le gouvernement mexicain et d’autres organisations depuis 2016.

    Les chercheurs ont découvert que les logiciels espions étaient utilisés pour cibler un large éventail de personnes qui ont toutes un point commun: elles sont une épine dans le pied du gouvernement au pouvoir. Parmi les victimes figurent des militants favorables à l’introduction d’une taxe sur les boissons non alcoolisées; législateurs et politiciens indépendants de haut niveau; avocats des familles des femmes assassinées; le directeur d’un groupe mexicain anti-corruption; et des journalistes enquêtant sur des cartels illégaux.

    La méthodologie de l’attaque suit un schéma prévisible. En mai 2017, par exemple, un journaliste primé, Javier Valdez Cárdenas, fondateur de RíoDoce, un journal mexicain connu pour ses enquêtes sur les cartels, a été abattu près de son bureau. Deux jours plus tard, un de ses collègues a reçu un message texte nommant les meurtriers et incluant un lien vers une preuve documentaire, qui était bien sûr le lien destiné à installer Pegasus sur son téléphone.

    La nouvelle tournure de cette histoire est que le conduit pour l’installation secrète de Pegasus est maintenant un simple appel WhatsApp plutôt qu’un texte de phishing. Après tout, même le journaliste le plus stupide sait ne pas cliquer sur un lien provenant d’une source inconnue. Selon le Financial Times, le nouveau piratage d’appel vocal est présenté par la NSO comme un nouveau « vecteur d’attaque » séduisant, ce qui, j’en suis sûr, s’adresse aux types de régimes autoritaires qui aiment ce genre de chose. Pensez à Bahreïn, au Maroc, à l’Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis. Cependant, il est curieux de constater que les OSN prétendent également avoir des contrats avec 21 pays de l’UE. Par conséquent, si vous êtes préoccupé par votre sécurité ou votre vie privée, achetez un Nokia 3310 et conservez l’iPhone au réfrigérateur.

    Tags : Whatsapp, espionnage, logiciel espion, Pegasus, NSO,

  • Le Canada préoccupé par la situation en Libye

    Global Affairs Canada

    COMMUNIQUE DE PRESSE

    Le Canada préoccupé par la situation en Libye

    Le Canada appuie sans réserve le désir du peuple libyen de bâtir un pays pacifique, stable, démocratique et prospère

    ONTARIO, Canada, 22 mai 2019/ — Affaires mondiales Canada a fait aujourd’hui la déclaration suivante :

    « Le Canada est vivement préoccupé par l’escalade de la violence à Tripoli, en Libye, et dans les environs, notamment par les bombardements aveugles dans des zones urbaines et les attaques contre le personnel médical. Comme l’a déclaré aujourd’hui le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU, Ghassan Salamé, au Conseil de sécurité de l’ONU, Il ne peut y avoir de solution militaire à la crise.

    « Nous exhortons toutes les parties au conflit à appliquer immédiatement un cessez-le-feu et à œuvrer pour la réconciliation au moyen d’un dialogue politique inclusif et facilité par les Nations Unies.

    « Nous appelons toutes les parties au conflit à respecter leurs obligations découlant du droit humanitaire international, dont elles sont responsables. Il s’agit notamment d’assurer la protection des civils, dont celle des migrants et des réfugiés, et de permettre l’acheminement de l’aide humanitaire vers ceux qui en ont besoin. Nous demandons également à toutes les parties de permettre aux civils qui souhaitent quitter les zones de conflit de le faire en toute sécurité.

    « Le Canada appuie sans réserve le désir du peuple libyen de bâtir un pays pacifique, stable, démocratique et prospère. »

    SOURCE : Global Affairs Canada

    Tags : Canada, Libye, terrorisme, ISIS, EI, Daech, Haftar,

  • RDC: Tshisekedi nomme un Premier ministre proposé par Kabila, retour triomphal de Katumbi

    Ca y est! Après quatre mois d’attente et de tractations,le nouveau président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a nommé un Premier ministre au profil très singulier: il a été proposé par son prédécesseur, Joseph Kabila, pour former un gouvernement de coalition.

    Ce même lundi, un poids lourd de l’opposition, Moïse Katumbi, s’est rappelé au bon souvenir de l’alliance Tshisekedi/Kabila, avec un retour d’exil triomphal devant des dizaines de milliers de partisans dans son fief de Lubumbashi (sud-est).

    Le nouveau Premier ministre est un économiste septuagénaire mi-technocrate, mi-politique, Sylvestre Ilunga Ilunkamba. Il a été nommé en vertu de « l’accord politique » entre les coalitions de MM. Tshisekedi et Kabila, a déclaré le porte-parole du chef de l’Etat.

    Un accord politique, qui donne toute sa saveur à l’ »alternance » en RDC saluée ce même lundi à Kinshasa par le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian.

    Devant la presse, le nouveau Premier ministre a remercié le chef de l’Etat et son prédécesseur Joseph Kabila, « qui m’a proposé comme candidat Premier ministre en m’assurant de sa confiance ».

    M. Ilunga Ilunkamba était en retrait de la vie politique à la tête de la Société nationale des chemins de fer congolais (SNCC). Une des innombrables entreprise publique dont les salariés ont fait grève pour réclamer le paiement d’arriérés de salaires (jusqu’à 227 avait avancé un média en ligne congolais).

    Ce docteur en sciences économiques aurait 72 ans, d’après un CV qui circule sur les réseaux sociaux, alors que son entourage avait avancé un âge plus élevé.

    Il a été quatre fois vice-ministre et deux fois ministre au Plan et aux Finances, selon la présidence, qui a dû rafraîchir la mémoire des Congolais: M. Ilunga Ilunkamba aurait été au gouvernement pour la dernière fois en 1991, à l’époque de l’ex-dictateur Mobutu Sese Seko (1965-1997), d’après son CV.

    Ce vieux routier doit faire le trait d’union entre le président Tshisekedi, qui dispose des importantes prérogatives que prévoit la Constitution, et M. Kabila, qui conserve tous les autres leviers du pouvoir, à commencer par une large majorité au Parlement.

    Il doit maintenant former un gouvernement où les partisans de M. Kabila devraient être majoritaires, puis solliciter la confiance de l’Assemblée nationale.

    Le principal opposant à l’attelage Tshisekedi/Kabila s’appellera-t-il Moïse Katumbi? L’ex-gouverneur du Katanga est rentré au pays, trois ans jour pour jour après son départ en pleine tourmente judiciaire sous la pression de l’ancien régime Kabila.

    – Retour de rock-star –

    Tout vêtu de blanc, le riche homme d’affaires et président du TPMazembe, champion en titre du football congolais, a fait un retour digne d’une rock-star ou d’un joueur-vedette, salué par des dizaines de milliers de fans pendant cinq bonnes heures entre l’aéroport et le centre-ville.

    Pendant cette longue caravane, l’AFP n’a relevé aucun incident majeur à Lubumbashi, où les regroupements d’opposants étaient systématiquement dispersés dans les derniers mois du régime Kabila avant les élections du 30 décembre.

    « Je reviens pour la paix et pour la reconstruction nationale dans notre pays », a-t-il ajouté, en promettant de respecter la Constitution.

    M. Katumbi, exilé en Belgique, avait tenté en vain de revenir en août pour présenter sa candidature à l’élection présidentielle. Sa condamnation à trois ans de prison a depuis été annulée.

    Allié puis adversaire de l’ex-président Kabila qui l’a qualifié de « Judas », M. Katumbi a déclaré qu’il se situait toujours dans l’opposition au président Tshisekedi.

    Il devra préciser le rôle qu’il entend jouer avec Martin Fayulu, le candidat qu’il a soutenu à l’élection présidentielle du 30 décembre et qui revendique la victoire.

    « Un autre pas en avant dans la démocratie en #RDC avec le retour au pays de @moise_katumbi #Changement », a twitté l’ambassadeur américain Mike Hammer.

    « C’est une belle journée », a également glissé le ministre français des Affaires étrangères, en visite à Kinshasa.

    « Le président (Emmanuel) Macron m’a demandé de saluer toutes les initiatives prises par le président Tshisekedi dans le domaine de l’Etat de droit », a-t-il déclaré en sortant du bureau du président Tshisekedi, quelques heures avant la nomination du nouveau Premier ministre.

    Il a annoncé un programme d’aide de 300 millions d’euros à la RDC pendant les cinq ans du mandat de M. Tshisekedi.

    Le résultat de l’élection congolaise est le fruit d’un « compromis à l’africaine », avait déclaré en février M. Le Drian, après avoir mis en doute la victoire de M. Tshisekedi proclamée par la Commission électorale.

    « Il y a eu une vraie élection démocratique, je la constate, validée par la Cour constitutionnelle et validée par l’Union africaine », a-t-il cette fois déclaré lundi à Kinshasa.

    ANI

    Tags : Congo, RDC, Tshisekedi, Katumbi,

  • Gabon : Vous vous êtes trompés de génération!!!

    Les dirigeants criminels, imposteurs et usurpateurs prétendent que ke Gabon serait un pays *”émergent”*.

    Comment expliquent-ils les malheurs des gabonais ?

    Voilà pourquoi le peuple gabonais est majoritairement résistant contre la barbarie, la tyrannie et la dictature des bongo-pdg, contre ceux-là qui ont commis le hold-up militaro-électoral du 31 août 2016 ; véritable traumatisme de trop contre le peuple gabonais souverain !

    Nous ne croyons plus aux institutions inféodées au régime dictatorial des Bongo-pdg et qui ne servent pas les intérêts du peuple gabonais.

    Notre génération n’acceptera plus et ne subira plus ces mascarades démocratiques qui piétinent la souveraineté des peuples africains.

    La dynamique insurrectionnelle qui anime le peuple ne saurait s’arrêter par un quelconque dialogue ou négociation avec les criminels notoires et imposteurs qui illégitimement dirigent le Gabon !

    La France, le Maroc et la nébuleuse mondialiste qui usent de stratagèmes pour faire plier la Résistance en vue de normaliser ou d’apaiser les tensions sociopolitiques nées de la crise post-electorale, perdent leur temps s’ils croient pouvoir venir à bout de notre determination à instabiliser le Gabon.

    Nous résistants, nous rendrons le Gabon ingouvernable jusqu’à *la chute de ce régime des criminels, imposteurs et usurpateurs* et que soient *respectés le vote et le choix légitime du peuple gabonais souverain*.

    Nous allons faire, ce qui n’a jamais été fait pour obtenir ce qui n’a jamais été obtenu !…

    Jusqu’au bout, nous irons, nous ne lâcherons rien mais vraiment rien !

    Ensemble nous sommes et ensemble nous serrons et nous poussons !

    *”Le Gabon d’abord, la Patrie avant tout !”*

    Paul Éric

    Gabon Voice

    Tags : Gabon, pays émergent, propagande, Ali Bongo, dictature, despotisme,

  • Gabon: Le double décès du président Léon Mba

    Voici ce que le Gabonais, Jean-Baptiste Essonghé fonctionnaire français et collaborateur du Général de Gaulle et de Foccart à l’Élysée, a écrit dans ses mémoires :

    « Pour la petite histoire, c’est moi qui centralisais toutes les notes des affaires africaines en provenance d’Afrique. Je connaissais comment les gabonais se comportaient avec les autres et ce que la France voulait du Gabon.

    (…)

    En mai 1965, j’ai rencontré mon ami le président Léon MBA dans sa chambre à l’hôpital Claude Bernard, nous nous sommes enlacés en pleurs comme des enfants, j’ai senti là des vibrations d’amour. Il a réitéré son souhait de me voir à Libreville occuper les fonctions de Ministre de l’Intérieur.

    En novembre 1966, un médecin qui faisait partie des lieux de fraternité que moi, m’appela fraternellement pour m’annoncer la mort du Président Léon MBA depuis plus de 24 heures, et, je me précipitai sur les lieux indiqués, et trouvai : Madame Gorgne, Albert Bernard BONGO, Georges RAWIRI et Jacques Foccart. Nous nous regardons tous en chien de faïence un moment. Nous décidons tous ensemble de suivre les instructions du Général de Gaulle.

    Nous organisions toutes les manoeuvres politiques du Gabon depuis l’Élysée, c’est le 28 novembre 1967 que nous annoncions la mort du Président Léon MBA.

    Mes collègues toubab m’appelaient familièrement « le nègre de l’Élysée ». Qui deviendra plus tard mon nom de code fût. « NEGRO ».

    Le témoignage qui suit, de monsieur Jean Nyaré Nkoghe, époux d’Agnès Mba fille ainée du président Léon Mba, confirme les manipulations et pratiques au sommet de l’État français et gabonais qui entourent jusqu’aujourd’hui la date réelle du décès du premier Président de la République gabonaise :

    « Jusqu’à ce jour, le flou et l’opacité entourent la mort de mon défunt beau-père. Au mois de février 1967, ma belle-mère Pauline Mba inquiète de ne pas avoir les nouvelles de son mari malade à Paris, invite à la maison le Vice-président Albert Bernard Bongo. Ce dernier accepte d’envoyer une ou deux personnes de la famille à Paris. Quelques jours après, mon épouse et moi recevions les billets et la réservation de deux jours d’hôtel à Paris, avec la précision qu’une personne de l’Ambassade sera à notre arrivée. Le premier jour de notre séjour, l’Ambassadeur Rawiri qui doit nous accompagner à l’hôpital nous fait dire qu’il est indisponible et qu’il viendra nous chercher le soir. Effectivement il nous a balade cette nuit-là dans
    Paris en promettant à la fin que nous irons voir le grand Patron demain. Le lendemain, il est venu nous chercher et ça a été le même scénario. Finalement nous sommes rentrés à Libreville, énervés, sans voir le malade.
    Bis repetita ! La deuxième fois, entre août et septembre 1967, ma belle-mère de plus en plus inquiète nous renvoie à ses frais voir son mari à Paris, sans informer les autorités gabonaises. Mais elle nous demande qu’à notre arrivée à Paris d’aller voir discrètement, de sa part, leur ami le médecin chef, Professeur Vic-Dupont directeur général de l’hôpital Claude Bernard qui suit les hospitalisations de son époux. Arrivés à Paris, impossible de rencontrer le Professeur qui nous fait une fois encore balader, rendez-vous après rendez-vous. Et nous rentrons, mon épouse et moi à Libreville sans voir le Président.

    Je me souviens également que le docteur Benjamin Ngoubou qui a été nommé ministre du travail et des affaires Sociales tout au début de l’année 1967, avait été dépêché officiellement à Paris par le Vice-Président Albert Bongo pour s’enquérir de l’État de santé de mon beau-père. Il a fait en ma présence le compte rendu de sa mission en ces termes à ma belle-mère Pauline Mba : « Maman Pauline, il reste un petit, un petit, un petit point seulement du cancer au poumon du Président, visible sur les films radiologiques. Bientôt c’est bon, il va sortir ».

    Pour revenir à votre question et aux mémoires de Jean Baptiste Essonghé que j’ai connu comme quelqu’un de très rigoureux, à ma connaissance, aucun membre de la famille, ni les parents proches, ni les intimes, ni ses enfants scolarisés à cette époque en France, ni même son épouse, n’a vu le président Léon Mba, mon beau-père, entre novembre 1966 et le 28 novembre 1967, date de l’annonce de son décès à l’hôpital Claude Bernard de Paris.

    Dans le même esprit, concernant le voyage sans retour en France du président Léon Mba, vous avez ci-après, le témoignage de monsieur Jacques Adiahénot, jeune journaliste de la radio-télévision gabonaise à l’époque, qui a accompagné le président lors de ce voyage :

    « J’ai reçu l’ordre de mission d’accompagner le président de la République à Paris le 18 août 1966 pour couvrir ses activités présidentielles. Arrivé à Paris, je me suis fait déposer à l’hôtel par le personnel de l’Ambassade du Gabon.

    Deux jours à peine, à ma grande surprise, l’Ambassadeur a envoyé un de ses collaborateurs pour me demander de payer ma chambre et de rentrer immédiatement au Gabon.

    Face à cet ordre de monsieur l’Ambassadeur, n’ayant pas reçu des frais de mission au départ de Libreville, je quittai l’hôtel sans payer en laissant tout mon matériel de reportage dans la chambre. Quelque jours après mon arrivé à Libreville, je suis convoqué par le ministre de l’information Albert Bernard Bongo qui me tend une lettre de licenciement au motif que j’ai abandonné la matériel de travail à Paris. J’ai expliqué au ministre pourquoi j’ai abandonné le matériel et il a déchiré la lettre de sanction ».

    Qu’est-il arrivé au président de la République deux jours après son arrivée à Paris au point où ses activités ont été annulées ?

    Des témoignages ci-dessus, il ressort clairement que le premier Président du Gabon Léon Mba est mort un jour de novembre 1966 (quelques jours avant le 12 novembre), date du retour de Paris du vice-président du Gouvernement Albert Bernard Bongo, et que les Hautes Autorités de l’Élysée ont annoncé sa mort aux citoyens français, gabonais, francophones d’Afrique, et du monde entier le 28 novembre 1967, c’est-à-dire un an après.
    Peut-on conclure qu’en francophonie (Côte d’Ivoire, Gabon…), un président de la République peut avoir plusieurs dates de décès : la date réelle et la date officielle.

    *Edmond Okemvele Nkogho*

    *Déficit démocratique et mal développement en francophonie : Quand nos dirigeants ne peuvent plus*

    L’Harmattan, 2019, PP 69-71

    Tags : Gabon, francophonie, françafrique, Léon Mba, 

  • Les ministres de certains des plus grands pays africains producteurs de pétrole et de gaz se réunissent au Cap pour discuter de l’avenir de l’industrie de l’énergie

    Les ministres profiteront du sommet de la semaine africaine du pétrole pour parler de stratégies nationales, de la compétitivité souveraine, de l’octroi de licences et de la finalisation des appels d’offres

    LONDRES, Royaume-Uni, 21 mai 2019/ — Dix-sept ministres des plus grands pays producteurs d’énergie d’Afrique, dont des pays comme le Nigeria, la Guinée équatoriale et la Tunisie, ont convenu de se réunir au Cap à l’occasion de la Semaine africaine du pétrole (AOW), qui aura lieu du 4 au 8 novembre 2019, avec la volonté de créer des partenariats pour leurs secteurs énergétiques.

    Les ministres profiteront du sommet de la semaine africaine du pétrole pour parler de stratégies nationales, de la compétitivité souveraine, de l’octroi de licences et de la finalisation des appels d’offres. Compte tenu des pressions croissantes exercées sur les États souverains pour qu’ils mettent en place des environnements d’exploitation attrayants, les ministres présenteront en détail leurs stratégies en matière d’hydrocarbures à plus de 1 500 cadres supérieurs de l’ensemble de la chaîne de valeur amont, y compris les CPN, les CPI, les opérateurs indépendants, la communauté des géosciences, les entreprises de service, les EPC et le monde financier.

    En 2019, les ministres présents seront :

    M. Slim Feriani, Ministre de l’Energie de la Tunisie, qui rejoindra pour la première fois dans l’histoire d’AOW les représentants gouvernementaux à la tribune. Bien que la Tunisie soit bien connue pour sa production pétrolière, M. Feriani a récemment annoncé que le pays prévoyait de doubler sa production de gaz cette année, la faisant passer de 35 000 barils d’équivalent pétrole à 65 000 lorsque le champ gazier du sud de Nawara entrera en production en juin. Il fournira plus de détails sur l’état des ressources pétrolières et gazières de la Tunisie à l’occasion de l’AOW 2019.

    S.E. Irene Muloni, Ministre de l’énergie et du développement minéral de l’Ouganda. En 2018, l’Ouganda a organisé une tournée de présentation à l’occasion de la Semaine africaine du pétrole pour présenter « les réserves prouvées de pétrole et de gaz du pays, qui représentent près de 12% de la production mondiale de pétrole ». Cette année, elle développera ce thème en faisant le point sur le plus récent projet d’exploration pétrolière du pays.

    S.E. Gabriel Mbaga Obiang Lima, Ministre des Mines, de l’Industrie et de l’Energie de Guinée Équatoriale. Célèbre pour ses champs de pétrole brut offshore, la Guinée équatoriale produit environ 13,5 millions de tonnes de pétrole brut par an, dont 149 millions de tonnes de réserves récupérables. Venez assister à cette séance lors de l’AOW pour en apprendre davantage sur l’environnement politique et réglementaire attrayant du pays à l’égard du secteur énergétique.

    M. Emmanuel Ibe Kachikwu, Ministre d’État chargé des ressources pétrolières du Nigéria. Le Nigeria est le plus grand producteur et exportateur de pétrole d’Afrique ; cependant, il dispose également d’importantes réserves de gaz pour le développement, attirant l’intérêt d’opérateurs locaux tels que Seplat et Oando qui sponsorisent la Semaine du pétrole africaine en 2019. Ne manquez pas les mises à jour du ministre sur les projets d’exploration et les développements politiques les plus intéressants du Nigeria.

    Outre ceux déjà mentionnés, les ministres de l’Afrique du Sud, de la République du Congo, de la République centrafricaine, de Djibouti, du Burkina Faso, de la Guinée, de la Gambie, du Mali, de la Zambie, du Rwanda et du Tchad prendront également la parole au cours de cette manifestation. Pour en savoir plus sur le programme gouvernemental de la Semaine africaine du pétrole et voir la liste complète des ministres présents, veuillez visiter www.Africa-OilWeek.com

    Distribué par APO Group pour Africa Oil Week.

    Tags : semaine africaine du pétrole, afrique, pétrole, AOW,