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Une princesse saoudienne emprisonnée demande sa libération au mois du Ramadan
Une princesse saoudienne de haut rang a appelé le roi et prince héritier d’Arabie saoudite à la libérer de prison au début du mois sacré du Ramadan, selon une lettre publiée sur son site officiel et sur son compte Facebook.La princesse Basmah Bint Saud bin Abdulaziz Al Saud, 56 ans, femme d’affaires, écrivaine et militante des droits de l’homme, a disparu en mars 2019. Il a récemment été révélé publiquement qu’elle était détenue à la prison d’Al-Ha’ir, dans la capitale, Riyad, depuis plus d’un an et qu’elle est malade.La princesse Basmah, la plus jeune fille de feu le roi Saoud, a été particulièrement critique à l’égard du traitement réservé aux femmes par le Royaume. Un proche parent, qui a refusé d’être cité en raison de la délicatesse de l’affaire, a confirmé l’authenticité de la lettre. Ce dernier a informé l’agence de presse Reuters que la princesse devait se rendre à l’étranger pour des soins médicaux au moment de son arrestation fin février 2019, et a été informée après son arrestation qu’elle était accusée d’avoir tenté de se forger un passeport.Les charges ont été abandonnées, mais elle reste incarcérée avec une fille avec laquelle elle était à l’époque, a précisé le parent.La princesse a eu des contacts limités, quoique réguliers, avec les membres de sa famille par le biais de visites et d’appels téléphoniques au cours de l’année écoulée. Sa famille n’a pas eu de ses nouvelles depuis que son appel a été lancé.Reuters n’a pas été en mesure de vérifier de manière indépendante les circonstances de sa disparition et de sa détention. Le bureau des médias du gouvernement saoudien n’a pas répondu à une demande écrite de commentaires sur les détails de son cas. Il n’y a eu aucun commentaire public de la part de responsables saoudiens sur la lettre publiée mercredi ou sur une déclaration antérieure publiée sur ses comptes dans les médias sociaux la semaine dernière.Tags : Princesse Basma, Arabie Saoudite, -
La France pille encore l’Afrique en 2019 : chaque année 440 milliards d’euros de taxes !
« Je suis d’une génération qui ne dit pas aux Africains ce qu’ils doivent faire. » — Emmanuel Macron, 2017Le masque est tombé, lorsqu’une jeune fille africaine, l’interroge lors d’un forum public au Burkina Faso, sur la présence de l’armée française en Afrique… Macron répond alors hystériquement:” qu’ils (les africains) devraient applaudir les soldats français dans les rues africaines.
Les Allemands se mêlent du franc CFA , et les plumes se délient ces jours-ci…
Un journal économique allemand accuse la France de piller chaque année 440 milliards d’euros aux africains à travers le Franc CFA. (Franc pour les colonies françaises en Afrique)
« Le gouvernement français recueille auprès de ses anciennes colonies chaque année 440 milliards d’euros de taxes. La France repose sur les recettes venant d’Afrique, pour ne pas sombrer dans l’insignifiance économique ».
Et aussi…Pour justifier sa présence militaire, pour contrôler le sous-sol très riche en matières premières, dans toute l’Afrique La France crée des conflits, sous de bannières purement ethniques et religieux dans l’ombre évidemment.
Rappelons que sur son territoire Européen, la France n’a pas de ressources en matières premières, pour faire fonctionner son industrie et son économie…
La déstabilisation de ses anciennes colonies africaines, reste son nerf de guerre, avec l’assentiment, voir la complicité des chefs de tribus africaines, des USA, et leurs affidés, et bien sur les membres de l’onu de l’otan, l’Union Européenne…
La France divise les africains dans ses armées, avec la manipulation des masses, par que sont les médias français et faux médias africains, comme jeune Afrique et tous les médias et les ” intellectuels, qui se font les relais de l’AFP Agence France Presse, organe qui dicte sa désinformation, sa propagande impérialiste, ce que les africains et le reste du monde doit comprendre concernant l’Afrique et la France …
La France est dans ces pays pour :
1. Liban: Pétrole et gaz naturel
2. Mali: Or, pétrole et uranium
3. Irak: Pétrole
4. Syrie: Gaz, pétrole
5. Tchad: Pétrole et uranium ..
Mais officiellement sous le fallacieux prétexte, de combattre des groupes armés venus de Libye, pour qui, cette même France fourni les armes…
Rebecca Bourahla
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Les médecins originaires du monde arabe et d’Afrique sont la chair à canon de Macron contre le Covid-19
Inattendu cet effet induit du « Covid 19 » que la France, celle d’Eric Zemmour avec dégoût, est en train de prendre en pleine face : la pandémie révèle le rôle capital joué dans cette guerre (dixit Macron-Clémenceau) par les médecins, soignants et chercheurs issus du monde arabe et de l’Afrique sub-saharienne. Bien sûr ces praticiens essentiels étaient là avant l’arrivée du virus, mais l’administration de la Santé refusait de les compter comme de vrais acteurs. Pour être souvent considéré comme des suppléants, des vacataires, des intérimaires non indispensables. La preuve, ils sont très mal payés, soumis à des statuts précaires et à une fin de contrat qui peut tomber sans prévenir. Voilà donc un démenti silencieux, et le plus digne qui vient clore les propagateurs d’un mythe d’une « invasion » étrangère » venue nous sucer le sang.Le premier médecin tombé dans ce combat s’appelle Jean-Jacques Razafindranazy. Il était originaire de Madagascar et à 67 ans, alors en retraite, il n’a pas hésité, dans l’Oise au cœur du foyer d’infection, à se porter volontaire pour grossir les troupes au front. Sa mort émut toute la France. Depuis, dans l’ensemble de l’hexagone, on ne fait plus le compte de ces soignants, nés hors de France, et infectés par le « Covid ». Pour la seule région parisienne le nombre de professionnels de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) contaminés depuis le début de l’épidémie s’élevait, fin mars, à 1 200 personnes. Parmi ces professionnels la proportion de médecins, d’infirmiers et d’ambulanciers originaires du Maghreb, du Moyen-Orient et de l’Afrique sub-saharienne est énorme, difficile d’en savoir plus puisque les statistiques ethniques sont interdites en France (et heureusement). Pour analyser le poids sans cesse croissant de ces professionnels arabo-africains dans la santé en France, il faut donc procéder par recoupements. Les statistiques sur le nombre de médecins et de soignants titulaires d’un diplôme « non français ou européen » peuvent constituer une première source. L’autre moyen d’en savoir plus étant de se reporter auprès des nombreuses associations professionnelles regroupant des médecins selon leur nationalité d’origine (Algérie, Tunisie, Maroc, Liban, Syrie, Sénégal…). Ces groupes confraternels publient souvent le nombre de leurs adhérents.
Dans cette pratique, les associations médicales algériennes sont les plus nombreuses, comme l’ Association des Médecins Algériens en France (AMEDAF), et l’Association des Médecins d’Origine Algérienne de France (AMOAF). Elles deux revendiquent plus de 15.000 praticiens, contre 10.000 par les associations marocaines, dont Médecins Marocains en France (AMMEF), et autant de médecins tunisiens (7.000 à 10.000 praticiens). Enfin l’Association Médicale Franco-Libanaise (AMFL) compte près de 2.000 adhérents, même si elle est loin de représenter l’ensemble de la communauté médicale libanaise installée en France qui, de source diplomatique, est estimée à 7000 disciples d’Hippocrate. Sur le même mode de calcul les médecins syriens exerçant en France sont au nombre de 7000. Et, de plus en plus, le système de santé français bénéficie de l’arrivée massive d’Africains sub-sahariens, venus notamment du Sénégal, du Mali, du Bénin, du Burkina Faso, du Congo, mais aussi de l’ensemble des pays francophones du continent.
Cette difficile recherche indique que près de 50 000 médecins, venus d’Afrique ou du Moyen-Orient, pratiquent leur art dans l’hexagone. Mais, réalité de « l’immigré » qui en toutes circonstances doit se montrer invisible, les chiffres « officiels » sont loin de refléter la réalité. Selon le site « Profil médecin », spécialisé dans le recrutement de médecins et de travailleurs de la santé « un médecin sur quatre inscrit à l’Ordre des médecins est né à l’étranger ». Mais, là encore, le compte n’y est pas puisque une bonne proportion des médecins étrangers n’est pas inscrite à l’Ordre des médecins (créé le 7 octobre 1940 par le régime de Vichy). Non pas que ces praticiens refusent l’adhésions mais que celle-ci leur est refusée pour des questions administratives. Par tradition l’Ordre des Médecins est une institution conservatrice qui « protège » ses intérêts et son pouvoir, plutôt que donner priorité à la santé en France. Donc par des tracasseries d’homologation, des médecins bien diplômés hors frontières ne peuvent en France pleinement revendiquer leur titre. Mais les hôpitaux publics, les cliniques privées les emploient quand même comme médecins. Mais au rabais. C’est-à-dire mal payés, corvéables et jetables à tout moment. Une exploitation professionnellement injustifiable, d’autant que la France, en 2018, « manquait » de 20.000. Un statut de soignants de seconde zone qui, sur le plan économique est parfaitement en accord avec les injonctions lancées à l’hôpital, depuis le plan Bachelot qui a donné le coup d’envoi à la santé qui doit devenir un commerce et une industrie, jusqu’à aujourd’hui. On paye très mal de bons soignants tout en faisant des économies : c’est du gagnant-gagnant !
Pour ces dossiers d’homologation la complexité de la législation française, ubuesque, explique cette criante injustice, et les médias français regardent ailleurs, pire ils stigmatisent volontiers les professionnels de santé, comme un certain Yves Calvi, animateur de télévision, déclarant en direct « j’en ai un peu assez de la pleurniche des hôpitaux ». Et, lors des nombreuses manifestations pour la défense des professions de santé, chacun a pu voir les images de ces « sauveurs » d’aujourd’hui, frappés et gazés par les CRS et gendarmes.Les médecins étrangers ont, eux, droit à un double matraquage, celui des Forces de « l’ordre » et celui des lois françaises qui régissent le métier. Selon le site « Profil Médecin » l’appellation « médecins étrangers » recouvre, plusieurs réalités statuaires : « Français ayant obtenus leur diplôme à l’étranger et exerçant en France, médecins étrangers ayant obtenu leur diplôme en France et y poursuivant leur carrière ou encore, médecins nés à l’étranger mais ayant effectué leurs études et exerçant depuis lors en France. »
Si cet incompréhensible inventaire est possible c’est que le lobby médical installé, que l’Ordre des médecins veille à la porte du sérail. C’est sous sa pression, et celle des nombreux élus qui sont députés et médecins, que la France, en mai 1980, va établir une monstruosité humaine et scientifique : le « numerus clausus ». Pour faire en sorte que les revenus des médecins restent importants, le gouvernement de Giscard d’Estaing a l’idée d’en limiter le nombre. Et cette situation criminelle perdurant, les hôpitaux ont fait appel à des talents étrangers, non diplômés en France, donc échappant au « numerus clausus ». Un dispositif aménagé avec les temps mais qui préside toujours dans les esprits des facs de médecine.
Certes, une loi récente de 2019 a prévu que ces médecins, pharmaciens, dentistes et sages-femmes pourraient voir leur situation régularisée, « sous certaines conditions ». Aujourd’hui, une pétition a été lancée pour que ceux qui luttent contre le Covid 19 soient automatiquement régularisés. Mais on est encore loin du compte.
Pendant le confinement, une des chaines de télévision a eu l’heureuse idée de rediffuser Hippocrate, un film sorti en 2014 qui établit, d’une façon romancée et dramatique, un excellent diagnostic des maux de l’hôpital. Et qui place au centre, dans un éclairage intelligent et émouvant, le statut précaire des médecins étrangers livrés à l’arbitraire et l’injustice.
Lors de sa visite à l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection de Marseille, dirigé par le controversé professeur Didier Raoult, Emmanuel Macron a eu la surprise de découvrir travaillant-là une armée de jeunes chercheurs issus du monde arabe et de l’Afrique. Aux dizaines de chercheurs en virologie et épidémiologie qu’il a croisées, le chef de l’Etat a demandé :
– « Vous êtes de quels pays ? »
– « Burkinabé, Sénégalais, Tunisiens, Maliens, Marocains, Algériens et Libanais.. » ont-ils répondu …
Et Emmanuel Macron s’est fendu d’un laconique :
«Merci de participer à l’effort collectif».
Cette formule de politesse aura-t-elle un lendemain ? Qui serait, pour ceux qui le souhaitent, la possibilité d’obtenir la nationalité française et, de toutes façons, la reconnaissance pleine et entière de leurs diplômes et compétences… Puisque le président français apprécie la métaphore combattante, on peut lui rappeler que pour d’autres combattants de véritables guerres, 1914-1918 ou 1939-1945, la reconnaissance envers les soldats venus d’Afrique, les fameux tirailleurs et autre chair à canon, est encore « en cours » !
Dans une lettre ouverte adressée au Premier ministre, rendue publique le 5 avril, treize éminents médecins français -dont trois d’origine algérienne- demandent l’intégration des médecins titulaires d’un diplôme étranger. Ces soignants, écrivent-ils.
Cette formule de politesse aura-t-elle un lendemain ? Qui serait, pour ceux qui le souhaitent, la possibilité d’obtenir la nationalité française et, de toutes façons, la reconnaissance pleine et entière de leurs diplômes et compétences… Puisque le président français apprécie la métaphore combattante, on peut lui rappeler que pour d’autres combattants de véritables guerres, 1914-1918 ou 1939-1945, la reconnaissance envers les soldats venus d’Afrique, les fameux tirailleurs et autre chair à canon, est encore « en cours » !
Dans une lettre ouverte adressée au Premier ministre, rendue publique le 5 avril, treize éminents médecins français -dont trois d’origine algérienne- demandent l’intégration des médecins titulaires d’un diplôme étranger. Ces soignants, écrivent-ils, sont parmi ceux qui «s’engagent avec abnégation dans les postes les plus exposés, aux urgences et dans les services de réanimation». Et qui contribuent au maintien du « fonctionnement du service hospitalier dans la bourrasque et sauvent des vies dans des conditions difficiles matériellement, mais aussi périlleuses pour eux-mêmes».
Mais le revers de la médaille de cette succes story est affligeant. Et ce sont les pays du Sud qui en payent le prix. C’est le cas de la Tunisie qui, jour après jour, assiste impuissante, et depuis 2011, à un exode massif de ses médecins dont la formation a été financée par le contribuable tunisien. C’est aussi le cas de la plupart des pays du Sud qui se voient vidés de leurs praticiens partis en Europe combattre le désert et l’impéritie médical généré par le libéralisme sauvage.Profil médecinMajed Nehmé
Une version de cet article est publiée en anglais dans l’hebdomadaire londonien Arab Weekly.
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Sahara Occidental : La déclaration de l’ambassadeur sudafricain qui a mis le Maroc dans tous ses états
Déclaration de l’Ambassadeur Jerry Matjila, Représentant permanent de l’Afrique du Sud auprès des Nations Unies, lors de la réunion à huis clos du Conseil de sécurité VTC sur la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), 9 avril 2020Monsieur le Président,
Merci d’avoir organisé cette réunion d’information en temps opportun sur la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO). Nous remercions également le Représentant spécial du Secrétaire général, M. Colin Stewart et le représentant du Département des affaires politiques et de consolidation de la paix (DPPA) pour leurs exposés détaillés et informatifs.
Permettez-moi de commencer par exprimer la tristesse de l’Afrique du Sud à la suite du décès de Mohammed Khaddad, l’un des principaux dirigeants du POLISARIO, qui a participé activement au processus de négociation facilité par l’ONU. Nos sincères condoléances vont à sa famille et à son peuple qui continuent de lutter pour leur droit à l’autodétermination.
Monsieur le Président,
L’Afrique du Sud a toujours et soutiendra toujours les efforts visant à parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable, qui garantira l’autodétermination du peuple du Sahara occidental. Comme les membres du Conseil le savent, le mandat principal de la MINURSO et sa raison d’être, tel qu’établi dans la résolution 690 (1991) du Conseil de sécurité et les résolutions ultérieures, est la tenue d’un référendum libre et équitable sur l’autodétermination du peuple occidental. Sahara.
C’est dans ce contexte que l’Afrique du Sud a exhorté et exhortera systématiquement le Conseil de sécurité des Nations Unies à assumer ses responsabilités et à veiller à ce que, par une approche neutre et équilibrée, elle aide les parties à progresser vers un règlement négocié mutuellement acceptable.
À cette fin, l’Afrique du Sud souhaite proposer une visite du Conseil dans le territoire occupé, comme elle l’a fait en 1995, pour évaluer la situation sur le terrain et relancer l’impasse politique actuelle entre les parties.
Monsieur le Président,
Je tiens à réitérer le soutien sans équivoque et ferme de mon pays à la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO). À cet égard, nous demandons au Conseil de veiller à ce que la MINURSO exécute son mandat de base, créé il y a vingt-neuf ans, conformément à la résolution 690 (1991) du Conseil de sécurité, pour faciliter la tenue d’un référendum au Sahara occidental afin de permettre à son peuple de réaliser son droit à l’autodétermination.
Je tiens à faire comprendre au Conseil que, depuis 45 ans que le Conseil est saisi de la question du Sahara occidental, peu de progrès ont été accomplis dans le processus de négociation pour trouver une solution définitive au conflit. Nous demandons instamment au prochain Envoyé personnel d’agir rapidement pour faire avancer le processus politique et le faire passer à sa prochaine étape où des négociations directes et substantielles auront lieu entre les deux parties au conflit, le Front POLISARIO et le Royaume du Maroc.
Comme les membres du Conseil le savent, mai 2020 marquera un an sans envoyé personnel au Sahara occidental. Cette situation est sans précédent et a eu un impact profondément préjudiciable sur le processus politique. Cependant, bien qu’il soit essentiel que le Secrétaire général nomme un envoyé personnel, le Conseil ne devrait pas lier les progrès du processus politique à la nomination d’un envoyé personnel.
Dans l’intervalle, nous appelons toutes les parties à mettre en place des mesures de confiance afin de renforcer la confiance dont nous avons tant besoin dans les négociations et le processus politique.
L’Afrique du Sud soutient l’appel du Secrétaire général des Nations Unies à un cessez-le-feu mondial. Nous exhortons donc tant le Royaume du Maroc que le Front POLISARIO à respecter strictement les termes des accords de cessez-le-feu, tels que l’Accord militaire n ° 1, pour éviter la violence qui pourrait entraîner une augmentation des hostilités sur le territoire.
À cette fin, l’Afrique du Sud appelle les parties à respecter le droit international et les résolutions respectives du Conseil, car les violations constantes des parties ne contribuent pas à réduire les tensions actuelles entre les deux parties.
Monsieur le Président,
À la lumière de la pandémie COVID-19 et avec de nombreux pays en situation de verrouillage, de confinement ou de quarantaine, l’Afrique du Sud appelle la communauté internationale à soutenir les efforts dans les territoires occupés et les camps de réfugiés, où le système de santé est médiocre et les fournitures médicales et l’équipement sont limités.
À cet égard, l’Afrique du Sud appelle le Royaume du Maroc à s’acquitter de sa responsabilité de puissance occupante en garantissant l’accès et le passage sans entrave des fournitures humanitaires et médicales aux territoires.
Je souhaite également exprimer la profonde préoccupation de mon pays concernant les violations des droits de l’homme en cours, telles que l’accès limité au Sahara occidental des défenseurs des droits de l’homme, des chercheurs, des avocats et des ONG. Nous demandons également que tous les efforts actuels soient renforcés pour assurer la continuité de l’aide humanitaire aux réfugiés sahraouis et autres groupes vulnérables qui peuvent être gravement menacés en raison du COVID-19. Nous exhortons en outre à soutenir le Fonds de solidarité lancé par le Secrétaire général, et nous espérons que les Sahraouis seront pris en considération dans le cadre de la lutte contre le COVID19.
Permettez-moi de conclure, Monsieur le Président, en déclarant que dans la perspective du renouvellement du mandat de la MINURSO en octobre 2020, le Conseil devrait revoir ses méthodes de travail dans ce dossier afin de rechercher un consensus sur le renouvellement du mandat entre tous les membres du Conseil de manière transparente.
Tags : Sahara Occidental, Maroc, Afrique du Sud, Conseil de Sécurité, MINURSO, ONU, -
En rapatriant ses citoyens, l’Algérie a ridiculisé ses détracteurs marocains
Apprivoisés par la propagande du Makhzen, les marocains vouent une haine viscérale à l’Algérie. Le pays qui a déclenché l’esprit libérateur en Afrique est dénigré dans tous les médias marocains en raison de son opposition aux violations de la Charte africaine qui préconise la sacralité des frontières héritées du colonialisme notamment de la part d’un pays entièrement voué à la défense des intérêts d’une puissance européenne connue pour ses méfaits en Afrique.
Si le Makhzen a réussi à diaboliser l’Algérie, les événements de l’après Bouteflika et de la pandémie sont susceptibles de ridiculiser la vision marocaine de l’Algérie.
En effet, au moment où les militants du Hirak algérien se trouvent tous en liberté, ceux du Hirak marocain subissent les traitements les plus inhumains dans les prisons du royaume et risquent de les conséquences de l’expansion du covid-19.
D’autre part, si le Maroc a abandonné ses citoyens bloqués partout dans le monde à cause de la pandémie, l’Algérie, depuis le premier instant a dépêché sa flotte aérienne en vue de rapatrier ses citoyens et ceux des pays frères.
Tags : Maroc, Algérie, Sahara Occidental, pandémie, Hirak, covid-19, rapatriement, -
Maroc : Bourita paie les errements de son roi
Bourita, au Mozambique après une bagarre avec la sécurité du TICAD Le Maroc est le pays du faux-semblant. La réalité n’est jamais ce qu’on dit. La mythomanie a été érigée en principe en vue d’attirer le soutien de l’Occident et dissimuler les échecs subis dans leur obsession de s’accaparer du territoire du Sahara Occidental et ses nombreuses richesses minières et halieutiques.
Un média marocain vient de révéler que le ministre des affaires étrangères se trouve dans le collimateur du roi avec la probabilité de se faire bientôt limoger. La raison officielle ? Avoir rapatrié sa fille un jour avant l’annonce de fermeture des frontières aériennes, maritimes et terrestres en laissant des milliers des marocains bloqués à l’étranger.
L’éloigner avant était l’équivalent de reconnaître l’échec de la diplomatie marocaine. Il fallait attendre de trouver une échappatoire. Rien de mieux que le scandale des citoyens abandonnés dans un contexte grave de pandémie pour, au moment temps, en faire un bouc émissaire. Bourita sera le fusible à faire péter pour sauvegarder la sacralité du roi et son véritable chef de la diplomatie, Yassine Mansouri.
Le limogeage de Bourita est un fait qu’on voyait venir malgré le tapage médiatique visant à escamoter ses errements. Il suffit de tirer le bilan de son action qui a vidé les caisses du royaume sans rien apporter en échange si ce n’est le fait d’avoir déprestigié son pays et son roi.
La manière dont il a géré le dossier du Sahara Occidental et sa stratégie en Afrique a soulevé de nombreuses questions. Il a essayé de sauver sa face en procédant à l’ouverture de consulats dans un territoire où se trouve une mission onusienne au même temps qu’il a porté atteinte à l’image du Maroc auprès des palestiniens en se jetant dans les bras des organisations sionistes.
Tags : Maroc, Mohammed VI, Nasser Bourita, Mohammed VI, pandémie, coronavirus, covd-19, diplomatie, -
Mauritanie-Algérie : poisson contre dattes
Un pont aérien reliera dès aujourd’hui mercredi la Mauritanie et l’Algérie, par charters dans une opération d’échanges entre les deux pays, les dattes depuis l’Algérie et le poisson depuis la Mauritanie.On a annoncé en Algérie qu’un avion charter B737-700 quittera aujourd’hui l’aéroport Houari Boumediene à destination de Nouakchott et Nouadhibou.
Il s’agit du premier vol parmi les 6 prévus destinés à approvisionner le marché mauritanien en dattes algériennes, à la veille du mois béni du Ramadan.
Au retour, ces avions cargos transporteront du poisson mauritanien à destination des marchés algériens.
Source : Ezahra, 22 avr 2020Tags : Mauritanie, Algérie,
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Lettre ouverte du Groupe d’appui à Genève (ONG) condamne la nomination de l’ambassadeur du Maroc Omar Hilale
Le Groupe genevois de soutien aux droits de l’homme, à l’occasion de la récente nomination par le président de l’Assemblée générale des Nations unies (ambassadeur Tijjani Muhammad-Bande – Nigéria) de l’ambassadeur Omar Hilale (représentant permanent du Maroc auprès des Nations unies) en tant que co -facilitateur en train de réformer le système des traités des droits de l’homme, il a envoyé une lettre ouverte au Président de l’Assemblée générale des Nations Unies, qui a également été distribuée aux Missions permanentes à Genève et à New York ainsi qu’à plusieurs fonctionnaires du Haut-Commissariat aux droits de l’homme et le Haut Commissaire pour les réfugiés.
Dans la lettre ouverte, le Groupe d’appui à Genève pour la protection et la promotion des droits de l’homme au Sahara occidental, qui comprend plus de 200 organisations dans le monde, exprime sa profonde préoccupation que les Nations Unies confient la tâche de facilitateur d’un diplomate qui a été personnellement et largement accusé d’avoir utilisé des actes de corruption et d’espionnage contre le personnel des Nations Unies alors qu’il était représentant permanent du Royaume du Maroc à Genève et le fait que le Maroc reste un lieu où les libertés et les droits les droits fondamentaux, y compris la liberté d’expression et la liberté de réunion pacifique, sont constamment violés et font donc partie des pays ayant le pire bilan en matière de droits de l’homme au monde.
Voici le texte de la lettre :
ONG – Groupe d’appui à Genève pour la protection et
la promotion des droits de l’homme au Sahara occidentalLettre ouverte au Président de l’Assemblée générale
S.E. M. Tijjani Muhammad-BandeSon Excellence,
Les 210 organisations signataires expriment leur profonde préoccupation face à la nomination du Représentant permanent du Maroc auprès des Nations Unies, M. Omar Hilale, comme l’un des deux cofacilitateurs du processus de «Renforcement et amélioration du fonctionnement efficace du système d’organes créé en en vertu des traités relatifs aux droits de l’homme ».
Malgré tous les efforts législatifs et de communication déployés par ses autorités, le Royaume du Maroc reste un lieu où les libertés et libertés fondamentales sont constamment bafouées, y compris la liberté d’expression et la liberté de réunion pacifique et, par Par conséquent, il fait partie des pays ayant le pire bilan en matière de droits de l’homme au monde.
En outre, le Royaume du Maroc occupe illégalement et militairement le territoire non autonome du Sahara occidental depuis 1975 et viole systématiquement le droit international humanitaire, ainsi que tous les droits fondamentaux du peuple sahraoui, y compris sa souveraineté sur les ressources naturelles et son droit inaliénable à l’autodétermination et à l’indépendance, consacrées dans la résolution 1514 (XV) de l’Assemblée générale des Nations Unies.
Ces dernières années, le Comité des droits de l’homme et le Comité des droits économiques, sociaux et culturels se sont déclarés préoccupés par le fait qu’aucune solution à la question du droit à l’autodétermination du territoire non autonome du Sahara n’ait été trouvée. Occidental et l’exploitation illégale des ressources naturelles du territoire.
Vu la communication présentée par Ennaâma Asfari (l’un des dirigeants de la manifestation de masse de 2010 à Gdeim Izik), condamné à 30 ans de prison sans aucune preuve matérielle, le Comité contre la torture et autres traitements cruels, châtiments, inhumains ou La dégradation a jugé que le Royaume du Maroc avait violé les articles 1 et 12 à 16 de la Convention. Dans une lettre datée du 9 février 2017, le Royaume du Maroc a fermement rejeté la décision.
Dans le passé, le Rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants a déterminé que «la torture et les mauvais traitements étaient utilisés pour obtenir des aveux et que les manifestants étaient soumis à un usage excessif de la force par Officiers marocains chargés de l’application des lois. » Il a également déterminé que « une force excessive avait été utilisée pendant les manifestations pour l’indépendance du Sahara occidental, y compris des enlèvements et des désertions, afin d’intimider les manifestants présumés ».
Ces dernières années, lors de l’examen de différentes plaintes déposées par des défenseurs des droits humains ou des journalistes sahraouis, le Groupe de travail sur la détention arbitraire a souligné à plusieurs reprises les violations de la Déclaration universelle des droits de l’homme et du Pacte international relatif aux droits civils et politiques par une partie des autorités marocaines. Le Royaume du Maroc rejette systématiquement ces conclusions.
Dans son avis le plus récent (n ° 67/2019), publié le 31 mars dernier, dans lequel la communication présentée par un groupe de 14 étudiants a été examinée, le groupe de travail a considéré que l’arrestation du groupe d’étudiants était et est arbitraire. , car il viole les articles 9, 10, 19 et 23 de la Déclaration universelle des droits de l’homme et les articles 1, 2, 3, 7, 9, 14, 18, 19, 26 et 27 de la Convention internationale des droits civils et politiques .
En outre, le Groupe d’appui aux ONG – Genève pour la protection et la promotion des droits de l’homme au Sahara occidental exprime sa plus profonde préoccupation de voir que les Nations Unies confient la tâche de co-faciliter un diplomate qui a été personnellement accusé et Recours généralisé à des actes de corruption et d’espionnage contre le personnel des Nations Unies alors qu’il était Représentant permanent du Royaume du Maroc à Genève.
Il convient de rappeler ici que pendant la période de Mme Navy Pillay en tant que Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, M. Hilale a été inculpé, sur la base de plusieurs documents officiels divulgués par un plaignant marocain (https: // bit.ly/2x1OzA9), pour corrompre certains hauts fonctionnaires des Nations Unies, principalement le Suédois Anders Kompass et le Sénégalais Bacre Waly Ndiaye, en plus d’utiliser le Pakistanais Athar Sultan Khan, comme source d’information dans le bureau de M. Antonio António Guterres, ancien Haut Commissaire du HCR.
Selon ces documents officiels, M. Hilale utilisait ces trois fonctionnaires des Nations Unies pour servir les intérêts de son pays, manipulant les mécanismes des Nations Unies et compromettant les efforts déployés à l’époque par l’Envoyé. Le personnel du Secrétaire général des Nations Unies, l’hon. M. Christopher Ross. En fait, une telle action a sapé des années d’efforts de l’ONU pour trouver une solution au processus de décolonisation au Sahara occidental.
Les membres de l’ONG – Groupe d’appui à Genève pour la protection et la promotion des droits de l’homme au Sahara occidental soulignent que la réputation et la neutralité de l’ONU sont déjà gravement endommagées au Sahara occidental, où sa mission est un témoin impuissant de les graves violations du droit international humanitaire et des droits de l’homme par l’occupant marocain.
Les membres de l’ONG – Groupe d’appui à Genève pour la protection et la promotion des droits de l’homme au Sahara occidental saisissent cette occasion pour réitérer leur appel aux membres du Conseil de sécurité des Nations unies et, en particulier, à la France ( la patrie des droits de l’homme) pour inclure un chapitre sur les droits de l’homme dans le mandat de la MINURSO et permettre sincèrement à la Mission de s’acquitter de son mandat fondamental, qui devait être rempli en 1992: l’organisation et la supervision d’un référendum d’autodétermination du peuple du Sahara occidental.
Cordialement,
Bir Lehlu / Genève, 16 avril 2020
c.c. : MA Guterres, Secrétaire général de l’ONU
Mme M. Bachelet, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme MF Grandi, Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés.Comité des proches des 15 jeunes kidnappés, Comité des proches des martyrs et des disparus, Comité des proches des prisonniers politiques sahraouis, Comité de Jumelage et d’échange international / Gonfreville l’Orcher, Comité de protection des défenseurs sahraouis – Freedom Sun , Comité pour la protection des ressources naturelles, Comité sahraoui pour la défense des droits de l’homme (Glaimim), Comité sahraoui pour la défense des droits de l’homme (Smara), Comité sahraoui pour la défense des droits de l’homme (Zag), Comité sahraoui pour le suivi des droits Humains (Assa), Comité de solidarité Oscar Romero, Comité suisse de soutien au peuple sahraoui, Comité des victimes d’Agdaz et de Magouna, Communauté sahraouie d’Aragon, Communauté sahraouie de Castilla y León, Communauté sahraouie de Castilla la Mancha, Communauté sahraouie de Catalogne , Communauté sahraouie de Grenade, Communauté sahraouie de Las Palmas, Communauté sahraouie de Murcie, Coordonnateur d’État des associations Sol idarias avec le Sahara (CEAS – Sahara), coordinateur de Gdeim Izik pour un mouvement pacifique, coordinateur des diplômés sahraouis sans emploi, coordinateur des organisations non gouvernementales de coopération au développement (CONGDIB), coordinateur des ONG à Aaiún, coordinateur sahraoui des droits de l’homme de Tantan, DISABI Bizkaia, Emmaüs Åland, Emmaüs Stockholm, Equipe Média, Federació ACAPS de Catalunya, Federació d’Associacions de Solidaritat amb el Poble Sahrauí del País Valencià, Fédération andalouse des associations de solidarité avec le Sahara (FANDAS), Fédération des associations des amis du peuple sahraoui d’Estrémadure (FEDESAEX), la Fédération de la Communauté de Madrid des associations de solidarité avec le Sahara (FEMAS Sahara), la Fédération nationale des institutions de solidarité avec le peuple sahraoui (FEDISSAH), Fondation Frantz Fanon, Forum Future of Saharawi Women, Freiheit für die Westsahara eV, Fundación Constituyente XXI, Fundación Mundubat, Fundación Sahara Libre-Venezuela, Fundación Sahara occidental, Fondation latino-américaine pour les droits de l’homme et le développement social (Fundalatin), Giuristi Democratici , Global Aktion – People & Planet before profit, Groupe Non Violence Active (NOVA SAHARA OCCIDENTAL), Groupe pour la démission de la nationalité marocaine, Habitat International Coalition, Housing and Land Rights Network, Ibsar Al Khair Association for the Disabled in Western Sahara, Conseil indien d’Amérique du Sud (CISA), Association internationale des avocats démocrates (IADL), International Educational Development, Inc., International Fellowship of Reconciliation (IFOR), Libération, Ligue de défense des prisonniers politiques sahraouis, Ligue des sportifs sahraouis d’Espagne , Ligue des étudiants sahraouis en Espagne, Ligue des femmes sahraouies en Espagne, Liga Nacional dos D Droits de l’homme, Ligue des journalistes sahraouis en Espagne, Ligue sahraouie pour la défense des droits de l’homme et la protection de RW-Bojador, Ligue des jeunes et des étudiants sahraouis en France, Ligue pour la protection des prisonniers Sahraouis dans les prisons marocaines (LPPS), Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), Équipe nationale de télévision, Mouvement nigérian pour la libération du Sahara occidental, Comité norvégien de soutien au Sahara occidental, Observatoire des Médias Saharaouis pour documenter les violations des droits de l’homme, Observatoire aragonais du Sahara occidental, Observatoire asturien des droits de l’homme pour le Sahara occidental (OAPSO), Observatoire sahraoui des enfants et des femmes, Observatoire sahraoui de la protection de l’enfance, Observatoire sahraoui des ressources naturelles, 1514 Oltre il muro, Organisation contre la torture à Dakhla, Organisation sahraouie pour la défense des libertés et de la dignité, Pallasos dans la rébellion et Festiclown, Paz y Cooperación, Platform of Organizations Chile Mejor Sin TLC, Por un Sahara Libre, Right Livelihood Foundation, Sahara Euskadi Vitoria, Sahara Gasteiz Vitoria, Saharawi Advocacy Campaign, Association sahraouie pour les personnes handicapées du Sahara occidental, Association sahraouie aux États-Unis (SAUSA), Campagne sahraouie contre le pillage (SCAP), Centre sahraoui des médias et de la communication, Équipe des médias sahraouis, Saharawi Voice, Sandblast Arts, Schweizerishe Unterstützungskomitee für die Sahraouis, Sindacato Español Comisiones Obrearas (CCOO), Solidariedade Galega col SOGAPS), Stichting Zelfbeschikking West-Sahara, Tayuch Amurio, Tawasol Lludio, l’Islandais nous Association du Sahara occidental, Comité suédois du Sahara occidental, TIRIS – Associazione di Solidarietà con il Popolo Saharawi, Unión de Asociaciones Solidarias con el Sahara de Castilla y León, Union des Ingénieurs Sahraouis, Union de Juristas Saharauis (UJS), Union nationale des avocats sahraouis , Union nationale des étudiants de Saguia El Hamra et Rio de Oro (UESARIO), Union nationale des jeunes de Saguia El Hamra et Rio de Oro (UJSARIO), Union nationale des femmes sahraouies (UNMS), Union nationale des travailleurs de Saguia El Hamra et Rio de Oro (UGTSARIO), Union des journalistes et écrivains sahraouis (UPES), US Western Sahara Foundation, VZW de Vereniging van de Sahrawi Gemeenschap in Belgie, Werken Rojo – Digital Media, Western Sahara Resource Watch Spain (WSRW Spain ), Western Sahara Times, Organisation mondiale de Barua (WBO), Conseil mondial de la paix.
Source : Por un Sahara Libre, 17 avr 2020
Tags : Sahara Occidental, Omar Hilale, ONU, -
Le Sahara Occidental reçoit des équipements médicaux de l’Union africaine
Les Centres africains de contrôle et de prévention des maladies , dépendants de l’Union africaine (UA), ont envoyé, hier mardi, des équipements médicaux à la République Arabe Sahraouie Démocratique, membre fondateur à part entière de l’organisation continentale.Selon le ministère de la Santé publique de la RASD, le matériel envoyé par les Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (Africa CDC), a été reçu par la ministre sahraouie de la Santé, Khira Boulahi Bad.
La Sra Bad a remercié l’organisation continentale pour son aide sanitaire envoyée pour faire face à la crise pandémique du Covid-19. SPS
Tags : Sahara Occidental, Union Africaine, UA, coronavirus, Covid-19, Africa CDC,