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  • Le roi du Maroc, aurait-il quitté le pays pour échapper au coronavirus?

    La disparition du roi du Maroc des radars est source de nombreuses rumeurs dans les réseaux sociaux.

    Alors que tous les dirigeants se trouvent à l’avant-garde de la lutte contre le covid19, Mohammed VI a choisi la discrétion et le silence. C’est la raison pour laquelle, la population marocaine est convaincue qu’il a quitté le pays, notamment depuis que son ami intime, Abou Zaitar a publié une vidéo de l’étranger dans laquelle il prétend acheter des médicaments pour ses compatriotes.

    Selon les mêmes rumeurs, Mohammed VI aurait paniqué après avoir lu le dernier rapport sur la situation de la pandémie au Maroc dont les victimes dépassent les 6000, parmi eux des conseillers du roi et des ministres qui ont été contaminés lors de leur séjours en Espagne. 

    La même source précise que le souverain marocain se cache aux Iles Canaries en attendant la fin de la pandémie.
    Tags : Maroc, Mohammed VI, pandémie, coronavirus, covid19, 
  • Sahara Occidental : Le confinement n’est pas respecté à El Aaiun

    Une vidéo viral sur les réseaux sociaux dénonce les violations des mesures de confinement visant à contenir l’expansion de la pandémie du coronavirus.

    Dans la vidéo, on peut constater la présence de marchés ambulants ainsi qu’un mouvement fluide des taxis et autres voitures.

    D’autre part, une ligne de transport clandestin a été inauguré entre la ville de Tan-Tan et El Aaiun moyennant le paiement de 500 DH.

    La population commence à se poser des questions sur les raisons qui ont poussé les autorités d’occupation marocaines à tolérer ce type d’agissements qui risquent de provoquer un drame sanitaire parmi la population du Sahara Occidental qui accuse un manque flagrant d’équipements sanitaires.

    Tags : Maroc, Sahara Occidental, pandémie, coronavirus, El Aaiun,
  • Le Maroc, le Mali et la région sahélo-saharienne

    Le Maroc s’efforce depuis des années à mettre en garde la communauté internationale contre les risques qui pèsent de plus en plus sur la région du Sahel et du Sahara.

    Ces risques se sont davantage aggravés suite à la chute du régime libyen et la dispersion des groupes armés, favorisant, ainsi la multiplication des foyers de terrorisme international qui diffusent dans un espace de plus en plus vaste et incontrôlable, forts de leur alliance les mouvements séparatistes et les réseaux de criminalité transnationale organisée (trafic de drogues, trafic illégal des armes, blanchiment d’argent, traite des personnes et trafic de migrants…).

    Les enlèvements perpétrés par le groupement armé Boko-harame au Nigeria viennent rappeler que la menace terroriste est aussi en expansion au sud du Sahel.

    C’est dans le cadre de l’engagement constant du Maroc en faveur du rétablissement de la paix au Mali et de la consolidation des processus démocratiques dans les pays de région que Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste, a pris part en septembre 2013, à la cérémonie d’investiture du nouveau président malien, M. Ibrahim Boubacar Keita.

    Lors de sa visite, et conformément à la volonté de SM le Roi Mohammed VI, Amir Al-Mouminine, et de M. Ibrahim Boubacar Keita, le Maroc formera 500 imams maliens sur plusieurs années, selon un accord qui porte sur la coopération en matière religieuse souscrit par le ministre des Habous et des Affaires islamiques M. Ahmed Toufik et le ministre malien de l’Administration territoriale et de la décentralisation, M. Moussa Sinko Coulibaly. La signature de cet accord entre dans le cadre de la contribution du Maroc pour faire face aux menaces de l’extrémisme.

     
    Tags : Maroc, Mali, Sahel, Sahara, terrorisme, Barkhane,
  • Stratégie de la CEDEAO au Sahel

    Résumé de la stratégie Sahel de la CEDEAO intitulée « Le programme de cohérence et d’action régionale pour la stabilité et le développement des espaces saharo-sahéliens ».

    Avant-propos :

    La région du Sahel préoccupe l’ensemble de la communauté internationale, de par la nature transfrontalière de ses défis et menaces. A cet effet, de nombreuses initiatives ont été prises à fin de remédier aux problèmes qui frappent cette région. A l’image de la Stratégie Intégrée des Nations Unies pour le Sahel et la Stratégie pour le Développement au Sahel de l’Union Européenne, la CEDEAO est en train de formuler sa stratégie pour la région du Sahel, sous forme d’un Programme de Cohérence et d’Action Régionales, pour la stabilisation et le développement (PCAR).

    Cette stratégie Sahel de la CEDEAO est élaborée en collaboration avec l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) et le Comité Permanent Inter-États pour la Lutte Contre la Sécheresse dans le Sahel. L’objectif principal de cette stratégie, qui se propose de constituer une plateforme de coordination incluant les pays sahéliens, Ouest-Africains, ainsi que les pays du Maghreb à travers leur organisation régionale (UMA), est la mise en place de programmes transnationaux de sécurité et de développement, notamment dans les domaines prioritaires des infrastructures de connexion, de la résilience et de l’éducation.

    Cette stratégie vise, à horizon de trente ans, à apporter des solutions régionales aux problèmes régionaux, en assurant la synergie développement et sécurité, par le biais d’un dialogue constant avec les partenaires régionaux, y compris les pays de l’Afrique du Nord.

     
     
    Tags : CEDEAO, Sahel, UEMOA, UMA, terrorisme, Sahara,
  • Convention de Partenariat République de Guinée – Groupe Attijariwafa bank

    ENTRE les soussignés

    Attijariwafa bank, Société anonyme de droit marocain, au capital de 2 035 272 000 dirhams, ayant son siège social sis au 2 Boulevard Moulay Youssef, Casablanca Maroc, ci-après le « Groupe Attijariwafa bank », représentée par Monsieur Mohamed EL KETTANI en sa qualité de Président Directeur Général,

    D’une part,

    ET :

    La Banque Centrale de la République de Guinée, ci-après désigné la « BCRG », représentée par Monsieur LOUNCENY NABE, agissant en sa qualité de Gouverneur.

    D’autre part,

    Conjointement appelés les « parties »

    Il a été convenu et arrêté ce qui suit :

    A. Objet de la convention :

    Depuis plus plusieurs années, la République de Guinée a entrepris des réformes structurelles ambitieuses et d’envergure, inscrites dans le cadre d’une vision stratégique prospective à moyen long terme. Cette démarche, dont la mise en œuvre est déjà bien engagée, prend en compte l’ensemble des forces et opportunités dont dispose le pays, que ce soient le grand potentiel en ressources hydriques et agricoles, la dotation d’exception en ressources minières ou la situation géostratégique de premier plan. Elle est conforme à l’axe d’intégration stratégique de l’Afrique de l’Ouest, se proposant comme pilier la facilitation de l’investissement et du commerce afin de relier les marchés de la région. Elle adresse enfin les défis qui restent à surmonter afin d’atteindre les objectifs de croissance, de stabilité économique et de rayonnement régional.

     
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    Tags : Maroc, Guinée Conakry, attijariwafa bank,
  • Conseil de sécurité : Stratégie intégrée de l’ONU pour le Sahel.

    Le Secrétaire Général des Nations Unies vient de soumettre au Conseil de Sécurité son rapport sur la situation dans la région du Sahel incluant la stratégie intégrée onusienne pour le Sahel.
    Ce document, tant attendu par les membres du Conseil de Sécurité, a pris près de 12 mois pour être élaboré.
    Dans son rapport, le Secrétaire-Général dresse un tableau de la situation au Sahel, les difficultés auxquelles se heurtent les Etats sur le plan sécuritaire, humanitaire et de développement ainsi que sur le plan de la gouvernance avant de présenter les différentes initiatives établies à ce jour, ainsi que l’action menée par l’Envoyé Spécial, M. Romano Prodi.
    L’action de l’ONU au Sahel vise :
    – à développer une approche globale dans la lutte contre l’extrémisme et la criminalité.
    – à soutenir les pays de la région à combattre ces fléaux dans le cadre d’une approche régionale tout en veillant à une appropriation nationale de ce processus.

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    Tags : ONU, Sahel, Sahara, terrorisme, Mali, Niger, Burkina Faso, Barkhane,

  • Maroc-Espagne: une relation gelée par la pandémie

    Selon Haizam Amirah Fernández, chercheur à l’Institut Elcano Royal, « les relations entre l’Espagne et le Maroc sont très étroites à plusieurs niveaux », mais ont été mise en veille par les mesures de prévention contre la pandémie du coronavirus.

    Dans une déclaration relayée par le media El Independiente, Fernandez affirme que la collaboration entre les deux pays est permanente et s’étend aux domaines social, économique, politique et diplomatique, et ces derniers temps la relation «s’est stabilisée et une communication plus directe et fluide a été établie, comparée à un passé tumultueux caractérisée par la tension, les malentendus et les désaccords ».

    La décision de fermer les frontières avec Ceuta et Melilla a laissé environ 200 citoyens marocains en dehors de leurs limites géographiques. Ils sont arrivés de l’Italie et se sont retrouvés bloqués dans les deux enclaves africains de l’Espagne. le 15 mars, sont restés dans les rues de la ville andalouse sans aide et sans pouvoir rentrer au Maroc. D’après les responsables du consulat marocain à Algésiras, ils ont pu rentrer dans leur pays, bien qu’ils ne précise comment.

     
    Tags : Espagne, Maroc, coopération, pandémie, coronavirus, covid19,
  • Maroc : Cri d’un médecin marocain

    Ayour Anoual 27/3/2020

    Je suis médecin, ce matin je me prépare à assurer une garde, avec mon avant dernier masque… Je vous fait part de la situation des médecins au Maroc et surtout de leurs craintes :

    A ce jour 11 médecins atteints au Maroc, sans compter ceux qui ne sont pas testés ! Contrairement aux policiers, nous n’avons pas de masques mis à notre disposition. Nous sommes peut être infectés et l’examen clinique nous oblige à être tout prêt du malade. On en prend le risque, c’est notre métier, d’accord, mais qu’en est il de tous les patients que nous risquons de contaminer ? Pourquoi n’avons nous pas droit à des tests lorsque nous avons des symptômes ???

    Il est temps de réagir!!!

    Certains médecins et paramédicaux ont demandé des hôtels, pas pour le luxe mais pour que le personnel soignant ne contamine pas leurs familles. Sans compter que la plupart des aides soignants et infirmier n’ont pas de véhicules pour rentrer chez eux.

    Plusieurs médecins présentant des symptômes inquiétants se sont vus refuser le test alors qu’un ministre a été testé et mis sous tous les traitements sans signe de gravité!!! Pas le médecin qui s’est occupé de lui !
    Que les ministres mettent des blouses et aillent soigner les patients lorsque les médecins seront décimés…

    Dans l’intérêt de tous, demandons à avoir de quoi nous protéger et à être dépistés et isolés si nous sommes positifs !

    Trop c’est trop!!!

    Source

    Tags : Maroc, covid19, coronavirus, pandémie,

  • Maroc : Des questions sur l’avenir du pays (journal italien)

    Jamais auparavant le Maroc n’a montré un double profil. Mohammed VI apparaît comme un monarque constitutionnel et depuis environ deux ans a confié le gouvernement à Saadeddine El Othmani du Parti Justice et Développement, vainqueur des dernières élections. Ces dernières années, le pays a poursuivi sa marche vers l’Europe, atteignant également la demande d’adhésion évidemment rejetée pour les règles d’entrée en vigueur mais obtenant des consultations périodiques avec Bruxelles qui en font le pays voisin le plus proche des valeurs sur laquelle est fondée l’Union européenne. De grands progrès en termes de droits civils et d’égalité religieuse si l’on pense que le Maroc est le seul pays arabe (récemment approché par la Tunisie avec sa nouvelle Constitution) dans lequel la religion juive compte les mêmes droits que les autres et est librement pratiquée . Le seul bémol, si cet épisode très grave peut être appelé ainsi, a été la projection, il y a quelques années, par une importante chaîne de télévision nationale, d’un programme dans lequel les femmes marocaines ont été enseignées comment maquiller les coups et les mauvais traitements subis par les hommes. Programme interrompu et retiré dans le deuxième épisode avec les excuses du diffuseur.

    Le Maroc a connu une croissance économique de 2,3% en 2019, un peu moins que l’année précédente qui était de 3%. Descente principalement due à une production agricole insatisfaisante due à des conditions climatiques défavorables, mais avec de bons résultats dans le secteur de la pêche et dans le secteur du tourisme, véritable force motrice de l’économie. En outre, ces dernières années, d’importantes réformes ont été menées, comme celle de la régionalisation qui a contribué à donner une impulsion et une vitalité aux institutions locales. Mais tout ce qui brille n’est pas or.

    Outre la propagation du coronavirus qui en fait l’un des pays les plus exposés du continent africain, c’est d’un point de vue social que l’état actuel des choses présente des aspects inquiétants et désormais non épisodiques. Ce ne sont pas tant les opposants politiques et les journalistes que les jeunes gens ordinaires qui remplissent les médias sociaux de vidéos contenant des critiques des institutions et un monarque qui a perdu une grande partie de la popularité du passé et qui est accusé d’avoir trahi les promesses faites. Et comme au Maroc il existe une loi qui interdit toute critique de la monarchie, les plaintes en ce sens ont afflué depuis longtemps et les premières peines importantes ont été enregistrées. Bien que des tentatives soient faites pour imposer le silence et que de nombreux jeunes ne soient pas annoncés, ils ont été poursuivis et certains sont emprisonnés pour des délits purement idéologiques. Le Maroc est sorti pratiquement exempt des « printemps arabes » mais ce mécontentement exprimé par les jeunes et soutenu par la société civile laisse ouverte un point d’interrogation sur l’avenir du pays qui ne laisse pas indifférent l’Union européenne.

    Alessandro Perelli

    Source : Avanti online, 27 mars 2020

    Tags : Maroc, covid19, coronavirus,

  • Le tourisme sexuel, un autre phénomène social marocain

    Le Maroc est depuis plus d’une dizaine d’années déjà, une terre d’élection pour le tourisme sexuel. Certaines villes comme Marrakech, Casablanca, Tanger ou Agadir sont un eldorado pour les touristes sexuels et pédophiles. Mais l’ampleur de ce fléau est bien plus grande : beaucoup de marocaines prostituées s’envolent vers les riches pays du Golf pour exercer leur métier. Quelle est l’histoire du tourisme sexuel marocain ? Quels sont les principaux bénéficiaires ? Quelles en sont les causes et les conséquences ? Découvrons le Maroc de l’ombre.

    L’Afrique du Nord en général, mais en particulier le Maroc, est une destination incontournable pour quiconque désire passer une nuit à l’orientale, en compagnie d’une de ses nombreuses prostituées. Le tourisme sexuel est né à l’époque coloniale. En effet dans les années 1930 et 40, lorsqu’elle avait le statut de ville internationale, Tanger était connue pour être une destination très prisée par les français et les espagnoles. Au lendemain de l’indépendance du Maroc, et à partir des années 60, ce sont surtout les touristes sexuels espagnols qui continuent de fréquenter Tanger. Ces touristes traversaient le Détroit pour venir s’offrir les charmes d’une population parfois très jeune (certaines filles ont à peine 10 ans !). Mais, à l’époque, ce phénomène restait marginal, et était perçu comme un véritable tabou. Il faudra attendre les années 70 et surtout, les années 80 pour qu’il prenne de l’ampleur. Marrakech, Casablanca et Agadir deviennent les pôles d’attraction préférés des allemands, français et scandinaves.

    Il est vrai que c’est pendant les années 1980 que la mauvaise réputation des Marocaines s’est établie. Mais la réputation des Marocaines ne se répand pas qu’en Europe. Les Moyen-orientaux, qui avaient pour coutume de faire débauche au Liban et en Egypte, se sont détournés de ces régions secouées par la guerre civile libanaise et celle d’octobre 1973 pour se diriger vers le Maroc, au climat politique relativement stable, mais en pleine crise économique et à la veille du Plan d’ajustement structurel. Dans ce contexte rigide, les pétrodollars ont représenté une « bouée de sauvetage » pour le royaume, qui a donc gracieusement ouvert ses portes aux Saoudiens et aux koweïtiens les plus vicelards. “Le tapis rouge a été déroulé pour ces Moyen-orientaux qui payaient nos fonctionnaires. Des pères se sont transformés en maquereaux et certaines femmes ont offert leur ‘savoir-faire’. C’est ainsi que de nombreuses familles pauvres se sont enrichies avec ‘Flouss Sa3oud’”, témoigne Harakat.

    Le temps a fait que beaucoup parmi ces touristes du Golfe, s’installent de façon définitive au Maroc, où ils fondent des familles avec femmes et enfants. Au début des années 90, après l’ouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie, des jeunes Algériens débarquent par milliers pour épancher leurs frustrations dans les bordels miteux de certaines villes du moyen Atlas comme Azrou, Imouzzar, El Hajeb et Khénifra.

    Les Algériens cessent de venir au Maroc à partir 1994, mais une autre forme de tourisme sexuel né. Malgré le fait que Marrakech, Casablanca et Agadir restent de véritables paradis sexuels, beaucoup de prostituées marocaines migrent vers les pays du Golf pour exercer leur métier, le plus souvent dans le luxe.

    Meriem a 27 ans et est consultante dans le secteur des télécoms à Dubaï, elle a souvent dû faire face aux préjugés, liés à son origine. « Ah, vous êtes Marocaine ? Vous savez ce que l’on dit sur vos femmes, elles sont belles mais très légères » . Malheureusement une remarque pareille reste assez polie par rapport à ce qu’elle entend quotidiennement depuis qu’elle vit aux Emirats arabes unis. Un nombre impressionnant de Khalijis ne se barricadent pas d’autant de politesses: pour certains, les Marocaines sont toutes des prostituées… alors que ce sont bien souvent les premiers clients.

    Hélas confrontées à un choix crucial, les autorités marocaines hésitent entre un verrouillage sécuritaire qui peut avoir pour conséquence la déroute des touristes, ou une attitude passive avec le risque de laisser la situation s’envenimer et se dégrader. Néanmoins, plusieurs associations ont vu le jour pour lutter contre le tourisme sexuel et la pédophilie. Parmi elles, l’association Touche pas à mon enfant, dirigée par Najat Anwar, est l’une des plus actives en matière de lutte contre la pédophilie. Il y’a quelques années, elle a été rejointe par l’Association marocaine des Droits de l’Homme (AMDH). Cependant, malgré les efforts de l’administration, la création en 1994 d’une police touristique, le jugement depuis 2001 pour des affaires de pédophilie et de prostitution de plus d’une centaine de touristes vacanciers ou de retraités occidentaux installés au Maroc, nous avons encore un long chemin à parcourir pour pouvoir désherber ce phénomène.

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    Tags : Maroc, tourisme sexuel, prostitution, pédophilie,