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  • Traitement « privilégié » donné aux marocains en France

    La France est un allié du Maroc dans le conflit du Sahara Occidental. Le roi Mohamed VI offre chaque années ses nombreux palais pour l’accueil de ses maîtres français lors de leurs vacances. Ils ont tous des villas au bord des plages du Maroc. Les patrons français sont maîtres de l’économie marocaine. Mais la France traite les marocains et les marocaines comme des chiens. Cet article publié sur le blog Solidarité avec les peuples du Maroc, du Sahara Occidental et d’ailleurs en est un exemple.

    La veuve marocaine d’un ancien combattant français enfermée au CRA de Geispolsheim!
    Par « la feuille de chou »,15/4/2010
    Mme N. Q. a 63 ans. Elle est la veuve d’un ancien combattant qui a fait trois campagnes en 1939/40, au Maghreb, en mer puis en métropole. Elle souffre de diabète et de problèmes dentaires, non soignés, car au pays, elle allait voir le marabout au lieu du dentiste.
    Elle était venue en France pour voir ses enfants, certains sont Français, d’autres marocains avec des cartes de séjour de 10 ans. Ils vivent à Belfort, Carcassonne et Nîmes. La dame était venue en France avec un permis de deux mois. Elle a fait des démarches pour percevoir la pension militaire de son mari et ces démarches sont prêts d’aboutir.
    Lorsqu’elle a demandé à la préfecture du Territoire de Belfort une prolongation de séjour, pour vivre auprès de sa famille en France, et toucher la pension de réversion, la seule réponse du Préfet a été une Obligation de Quitter le Territoire Français, reçue il y a un mois!
    Hier, 14 avril, à 6 heures du matin, les agents de la PAF sont venus l’arrêter au domicile de son fils.
    Elle a été conduite au CRA de Geispolsheim après entrevue avec le JLD qui l’a fait interner. Son passeport se trouve dans le midi de la France.
    Le fils que nous avons rencontré devant les grilles du CRA est bien entendu scandalisé par ce traitement inhumain pour une personne de cet âge et malade.
    Au Maroc, nous a-t-il expliqué cela ne pourrait pas arriver. mais la France est un pays civilisé, n’est-ce pas!
    Contact a été pris avec une avocate, et l’information a été transmise aussitôt à l’Agence France Presse puisqu’il ressort du cas de l’étudiante russe Eléna Ten que le gouvernement craint la médiatisation.
    Décidément, la France ne recule devant aucune ignominie!
    Mettre en rétention une dame âgée, malade et qui doit toucher la pension militaire de son mari qui a combattu pendant la seconde guerre mondiale!
    Rien n’arrêtera donc le ministre des expulsions?
    Nous lançons un appel à tous ceux qui veulent se joindre aux actions de solidarité régulière de Vigilance CRA 67400 Geispolsheim à entrer en contact.
    Tous les jours, il y a des cas de ce genre, que nous pouvons soutenir et médiatiser. Plus on sera nombreux, plus on pourra intervenir chaque jour de la semaine par demi-journée.

  • Conséquence du satu quo imposé par le Maroc et l’ONU

    Conséquence du satu quo imposé par le Maroc et l’ONU : Le gouvernement sahraoui décide de réviser ses relations avec la MinursoPar Tarek Hafid
    Le gouvernement de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) a annoncé, jeudi, sa volonté de «réviser» ses relations avec la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso). La réaction des responsables de la RASD ne s’est pas fait attendre. Quelques jours après la présentation du rapport du secrétaire général de l’ONU devant le Conseil de sécurité, le gouvernement sahraoui a décidé de revoir ses relations avec la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara Occidental.
    Cette décision a été annoncée officiellement par le ministre sahraoui des Affaires étrangères, Mohamed Salem Ould Salek. «Le peuple sahraoui, qui pendant vingt années a mis toute sa confiance dans les Nations unies, a coopéré avec la Minurso loyalement, patiemment et avec générosité et souplesse en dépit de l’injustice subie, des reniements par l’agresseur de tous ses engagements et de l’indifférence de la Minurso, est profondément déçu et trouve inacceptable et injustifiable la continuation d’un tel état des choses. Pour toutes ces raisons indéniables et ces vérités incontournables, le gouvernement de la RASD et le Front Polisario, tout en réaffirment leur engagement en faveur d’une solution pacifique, démocratique, au moyen d’un référendum d’autodétermination libre et régulier, ont décidé de réviser la relation avec la Minurso», précise un communiqué rendu public jeudi dernier. Le communiqué n’indique pas les mesures qui seront prises par la RASD. Ces dernières devraient être rendues publiques prochainement. Le gouvernement sahraoui estime, à ce titre, que la Minurso a failli à sa mission qui consistait, comme son nom l’indique, d’assurer l’organisation d’un référendum au Sahara occidental. «Depuis l’acceptation par les deux parties au conflit, le Front Polisario et le royaume du Maroc, du Plan de règlement de 1991 prévoyant l’organisation d’un référendum d’autodétermination au Sahara occidental et la création de la Minurso en vue de sa réalisation l’année suivante, la partie sahraouie n’a ménagé aucun effort pour soutenir la mission onusienne afin de s’acquitter de sa noble mission de décolonisation de la dernière colonie d’Afrique. En effet, le gouvernement de la RASD et le Front Polisario ont accepté, sur demande des secrétaires généraux de l’ONU et leurs envoyés personnels, de consentir des concessions supplémentaires pour aider la Minurso à remplir son mandat afin de permettre au peuple sahraoui de choisir librement entre l’indépendance et l’intégration au Maroc. Nous constatons aujourd’hui que la Minurso, vingt années après, n’a pas tenu son engagement alors que le Maroc tente, à l’abri du cessez-le-feu, de pérenniser son occupation avec ses corollaires de répression et de pillage des ressources naturelles du territoire. Ceci, avec l’appui d’un membre permanent du Conseil de sécurité qui s’attelle, par tous les moyens à sa portée, à dévoyer le processus de décolonisation du Sahara occidental et à piétiner et bafouer les principes universels du droit international pour couvrir les crimes du Maroc au Sahara occidental.» Rappelons que dans son dernier rapport, Ban Ki-moon s’était contenté de reconduire pour une année le mandat de la Minurso. Une procédure «copiée-collée» depuis deux décennies par l’ensemble des secrétaires généraux des Nations unies.
    Le Soir d’Algérie
  • Un sportif de haut niveau en grève de la faim solidaire

    En stage intensif à Font Romeu dans les Pyrénées, avec les équipes nationales françaises et algériennes, Salah Eddine Amaidan, sportif Sahraoui de haut niveau fait aujourd’hui grève de la faim.
    Malgré le programme intensif et l’altitude, il lutte par ce geste pour la cause qui est la sienne, la liberté de son peuple et de son pays, le Sahara occidental.
    Il est depuis 6 ans réfugié politique en France, après avoir fui le Maroc où il subissait tous le jours discriminations et mépris de son identité, interdiction de parler sa langue et d’exprimer sa culture, marqué jusque sur sa carte d’identité, des deux lettres SH.
    Il « a l’habitude » des rudes conditions. Qu’est ce qu’un jour de jeun quand on a connu emprisonnement abusif, torture, l’exil forcé loin de la famille. Fier et libre homme du désert, son pays est la dernière colonie d’Afrique, en situation de « ni paix ni guerre », et en attente de décolonisation selon le processus du droit international Onusien.
    Mais Salah Eddine Amaidan est aujourd’hui un homme parmi les Sahraouis du monde entier, qui mènent un jour de grève de la faim de solidarité dans l’indifférence internationale mais dans la dignité.
    Dans les campements de réfugiés, en territoire libéré, de l’autre côté du mur en territoire occupé du Sahara Occidental, en diaspora dans le monde entier, ils sont solidaires avec leurs prisonniers politiques, abusivement incarcérés pour leurs opinions, maltraités, torturés, jugés sans réels procès, à l’encontre de toutes les conventions marocaines et internationales.
    Un demi million de sahraouis peut être sont en grève de la faim pour soutenir leurs 59 prisonniers et demander leur libération immédiate et sans condition. 40 d’entre eux sont en grève de la faim illimitée et pour certains depuis 30 jours.
    Parmi eux des noms illustres, Ali Salem Tamek, Brahim Dahan, Hammadi Nasiri, Yahdih Ettarrouzi, Rachid Sghayar et Saleh Lebaihi, emprisonnés pour avoir rendu visite à leurs familles et en attente de jugement depuis plus de six mois.
    Les Nations Unies, à travers le rapport de son secrétaire général, ont esquivé l’évidence de la nécessité impérieuse de l’octroi à la MINURSO, leur mission sur place, de la compétence de surveillance des atteintes aux droits de l’homme.
    Le conseil de sécurité fera-t-il encore une fois fi de la « mission sacrée » de protection des peuples autochtones sous colonisation ? Sera-t-il sourd à tous les appels nationaux et internationaux demandant qu’il respecte sa charge ?
    Aujourd’hui, les amis des Sahraouis, APSO, Solidarité Maroc 05, APSO Avignon, Enfants de la méditerranée Toulon, Solensahr, OF2PS Marseille, « Les optimistes avec Catherine et Eva », APSO Togo sont symboliquement solidaires de l’action de tous les sahraouis du monde et ajoutent à cette vigilance le rappel des 520 Sahraouis hommes et femmes toujours « disparus » du fait du colonisateur marocain.
    APSO
  • Le silence de Rabat sur les débats au Conseil de Sécurité de l’ONU

    Une dépêche de l’agence EFE rapporte la déclaration du président japonais du Conseil de Sécurité, Yukio Takasu. Une déclaration qui ne manque pas d’importance puisqu’il indique que le CS de l’ONU est « déçu » par les résultats nuls des négociations entre le Maroc et le Front Polisario, qu’il trouve que « seulement des négociations de bonne foi peuvent aboutir à une solution ».
    La nouvelle a été omise par la presse marocaine qui ne s’abreuve que des dépêches mensongères de la MAP. Celle-ci a omis une grande partie de la déclaration du M. Takasu. Certains passages dérangent, paraît-il : « Nous demandons aux parties d’être innovatrices et créatrices… », « Il y a quelques idées pour essayer de sortir du point mort dans lequel se trouve le processus de négociations initié par l’ONU en 2007, même s’il a signalé qu’ils n’ont « encore aucune conclusion », « le Conseil de Sécurité est déçu par le résultat des négociations… »

    La MAP, toujours fidèle à sa mythomanie, a attribué à M. Takasu des déclarations qu’il n’a pas faites : « Le Conseil a exprimé à M. Ross sa forte appréciation et son soutien pour ses efforts en vue de parvenir à une solution politique, juste, définitive et mutuellement acceptable », « les membres du Conseil de sécurité, a-t-il ajouté, ont, également, «encouragé à l’unanimité les parties à poursuivre de bonne foi et sans conditions préalables, le processus de négociations sous les auspices de l’Onu en vue de parvenir à cette solution politique, juste, définitive et mutuellement acceptable ».

    Quel mystère se cache derrière l’omission de ces déclarations?

    Sans aucun doute, le Maroc se trouve sous pression de la communauté internationale fatiguée d’un conflit qui dure depuis 35 ans et que le Maroc ne veut pas résoudre conforté par le statu quo, la répression des sahraouis et le pillage des richesses naturelles du Sahara Occidental.

    Les « idées » dont parle M. Takasu font trembler le roi Mohamed VI et ses acolytes.  Les grèves de la faim des militants sahraouis font écho dans les couloirs de l’ONU. Il est fort probable que la MINURSO soit chargée de la surveillance des droits de l’homme. L’étau se resserre peu à peu sur la politique de banditisme et de chantage de Rabat. La cause sahraouie marque des points. La persévérance du peuple sahraoui s’est avéré payante.
  • Image du jour : La couverture de l’hebdomadaire "Al Michâal"

    Dans le royaume de Mohamed VI, le Maroc, où la propagande véhiculée par la MAP et consorts sur les avancées du pays font rêver beaucoup d’âmes innocentes, où le Commandeur des Croyants ne rate pas une prière de vendredi, les femmes et jeunes filles marocaines sont de plus en plus jetées dans les emprises de la prostitution. Pour cause, la situation sociale et économique qui ne cesse de se dégrader au moment où la fortune du roi et ses acolytes ne cesse de augmenter.

    L’hebdomadaire Al Michâal dans ce numéro apporte des éclaircissements sur l’implication de grandes personnalités marocaines dans des sales affaires à travers les relations avec les prostituées.

  • Image du jour : La couverture de l’hebdomadaire « Al Michâal »

    Dans le royaume de Mohamed VI, le Maroc, où la propagande véhiculée par la MAP et consorts sur les avancées du pays font rêver beaucoup d’âmes innocentes, où le Commandeur des Croyants ne rate pas une prière de vendredi, les femmes et jeunes filles marocaines sont de plus en plus jetées dans les emprises de la prostitution. Pour cause, la situation sociale et économique qui ne cesse de se dégrader au moment où la fortune du roi et ses acolytes ne cesse de augmenter.

    L’hebdomadaire Al Michâal dans ce numéro apporte des éclaircissements sur l’implication de grandes personnalités marocaines dans des sales affaires à travers les relations avec les prostituées.

  • Le gouvernement local ourense donne 35.000 euros pour l’accueil d’enfants

    Le Conseil Municipal d’Ourense, région de Galice, maintient cet été le programme d’accueil d’enfants sahraouis, russes et sénégalais avec une inversion d’environ 35.000 euros. Ce chiffre sera destiné fondamentalement aux soins de santé des enfants qu’ils ne trouvent pas chez eux, surout la santé bucodentale.

    La plus grande partie est dédiés aux enfants sahraouis avec la collaboration de l’Association Gallègue de Solidarité avec le Peuple Sahraoui. Vingt-six enfants des camps de réfugiés du Sahara Occidental arriveront au mois de juillet pour passer leurs vacances de deux mois chez des familles d’accueil.

    Le Sahara Occidental est une ancienne colonie espagnole qui a été envahie par le Maroc en 1975. 
    Près de 10000 enfants sahraouis sont reçus chaque année dans toutes les régions espagnoles.

  • Quelle architecture pour le Maghreb ?

    La réalité du terrain dit qu’il existe des gens dans la région qui ont pris les armes, dans un premier temps contre le colonialisme espagnol puis pour refuser qu’on les fasse marocains ou mauritaniens.
    Par M. Z.(mohamed_zaaf@yahoo.fr)
    «La construction d’un Maghreb arabe fondé sur la solidarité et la complémentarité constitue un atout essentiel pour l’instauration d’un développement solidaire dans l’espace méditerranéen», considérait M. Kamel Morjane, le chef de la diplomatie tunisienne, jeudi dernier, à l’occasion de la réunion des ministres des Affaires étrangères du groupe des 5+5 tenue à Tunis. Des paroles justes qu’aucun Maghrébin ne viendrait à nier. Sauf que pour pouvoir envisager sérieusement l’instauration de ce «développement solidaire dans l’espace méditerranéen», il faut qu’il y ait une normalisation du Maghreb permettant aux Sahraouis de se mettre au diapason des autres peuples maghrébins. Donc, à son tour, le Sahara occidental devrait pouvoir en finir, comme ses voisins, avec le processus de décolonisation. Prétendre un instant qu’il est possible de construire l’ensemble maghrébin alors que l’un des peuples qui le composent, et qui de plus se trouve être républicain, est maintenu contre sa volonté sous le joug colonial d’un trône, c’est prétendre que Ben Laden est prêt à raser sa barbe pour satisfaire les besoins biométriques de ses anciens alliés. La réalité du terrain dit qu’il existe des gens dans la région qui ont pris les armes, dans un premier temps contre le colonialisme espagnol puis pour refuser qu’on les fasse marocains ou mauritaniens. Et rien n’encourage à penser qu’ils vont ramollir et changer d’attitude parce qu’on se conduit avec eux en tyrans. Et, de ce fait, ils sont incontournables dans l’équation maghrébine. D’autant que rien n’encourage non plus à penser que l’Algérie pourrait un jour larguer ses principes pour construire le Maghreb sur le cadavre sahraoui. Car, pour l’Algérie, «il ne s’agit pas de construire un Maghreb où les uns gagnent et les autres perdent. Le Maroc ne se limite pas seulement au Maroc et à l’Algérie. Il faut que tous les peuples qui sont dans cet ensemble trouvent leur place», disait Yazid Zerhouni, il y a deux ans, en réponse aux habituelles réflexions marocaines sur la réouverture de la frontière. Récemment, Abdelaziz Belkhadem n’en disait pas moins lorsqu’il affirmait qu’il ne pouvait y avoir de Maghreb avec la question du Sahara occidental en suspens. Une question qui empoisonne l’atmosphère maghrébine quand qu’Israël empoisonne celle méditerranéenne.
  • Une ONG danoise appelle à la libération des prisonniers politiques sahraouis et au respect des droits humains au Sahara Occidental

    Copenhague (Danemark), 16/04/2010 (SPS) L’organisation danoise, Afrika Kontakt (AK) a exhorté le Conseil de sécurité des Nations unies et le gouvernement danois à « exercer des pressions sur le Maroc pour qu’il libère les prisonniers politiques sahraouis et garantisse le respect et la protection des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara occidental.
    Dans une lettre adressée au président du Conseil de sécurité, l’ambassadeur du Japon, M. Yukio Takasu, et la ministre danois des Affaires étrangères, Mme Lene Espersen, AK a appelé à libérer « immédiatement et sans condition » tous les militants sahraouis des droits humains dans les prisons marocaines et « prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir leur intégrité physique et psychologique ».

    L’ONG a également exigé la garantie, « en toutes circonstances », que les défenseurs des droits humains au Sahara Occidental et au Maroc « soient en mesure de mener à bien leurs activités relatives aux droits de l’homme légitimes sans crainte de représailles et libre de toutes restrictions ».

    Enfin, l’Organisation joint sa voix à la campagne internationale, appelant à l’arrêt du pillage et d’exploitation des ressources naturelles du Sahara occidental par le Maroc. (SPS)
  • L’Université de Leipzig accueille un séminaire sur les droits de l’homme au Sahara Occidental

    L’Université de Leipzig a accueilli, jeudi, un séminaire public sur l’état des droits de l’homme au Sahara Occidental avec la participation de nombreux étudiants et animé par des médecins en présence du représentant du Front Polisario dans la région de Saxe, Mohamed Abba Dkhil.
    Parmi les médecins assistant au colloque prganisé par l’Association de droits de l’homme de la ville, le docteur Cutter Thomas, de l’Université de Leipzig, le docteur D.Hikakreker de l’Université de Berlinn Sand Kilro de l’Université de Brême et de Paris.
    Les discussions ont été également suivies par de nombreux étudiants et représentants de la société civile d’Allemagne.
    Après les interventions des conférenciers, la parole a été donnée au diplomate sahraoui qui a apporté des informations sur les derniers développements dans les territoires sahraouis occupés par le Maroc, en insistant sur la gravité de la situation des prisonniers politiques sahraouis en grève de la faim.
    A la fin du séminaire, l’association a déclaré son intention de suivre la situation des droits de l’homme au Sahara Occidental et d’organiser une journée d’étude sur le sujet.