Catégorie : Non classé

  • Hoceima : « On dirait qu’on est au Sahara »

    Une armée de 25.000 policiers et agents des Forces Auxiliaires a envahi la ville d’Al Hoceima. La population de la ville est sous le choc. Elle n’a jamais vu un déploiement si fort des forces de sécurité. « On dirait qu’on est au Sahara », dixit un jeune qui filmait l’entrée des forces de répression dans la ville. C’est une allusion au Sahara Occidental, ancienne colonie espagnole envahie par le Maroc en 1075 et qu’il continue d’occuper avec une main de fer.
    Ce déploiement vise à réprimer la manifestation prévue ce soir dans la ville d’Al Hoceima, où le peuple du Rif s’apprête aujourd’hui à sceller une journée historique. Un grand rassemblement est prévu à 18 heureus à la Grand Place de la ville d’Al Hoceima. Les commerces et les cafés seront fermés en guise de solidarité avec le Harak Ach-chaabi. Le tout sous une présence des forces de sécurité « jamais vue » selon des témoins. La ville est carrément encerclée de véhicules de la police et des Forces Auxiliaires.
    Le Makhzen a fait recours à ses vieilles méthodes de tromperie : rumeurs sur la annulation de la manifestation, posent la condition de stopper la dynamique du peuple rifain pendant le dialogue. 
    Les activistes du « Hirak » disent ne pas rejeter les propositions de dialogue avec les autorités, mais ils ont quelques conditions. Parmi celles-ci, la libération des 10 activistes emprisonnés. 
  • Hoceima : "On dirait qu’on est au Sahara"

    Une armée de 25.000 policiers et agents des Forces Auxiliaires a envahi la ville d’Al Hoceima. La population de la ville est sous le choc. Elle n’a jamais vu un déploiement si fort des forces de sécurité. « On dirait qu’on est au Sahara », dixit un jeune qui filmait l’entrée des forces de répression dans la ville. C’est une allusion au Sahara Occidental, ancienne colonie espagnole envahie par le Maroc en 1075 et qu’il continue d’occuper avec une main de fer.
    Ce déploiement vise à réprimer la manifestation prévue ce soir dans la ville d’Al Hoceima, où le peuple du Rif s’apprête aujourd’hui à sceller une journée historique. Un grand rassemblement est prévu à 18 heureus à la Grand Place de la ville d’Al Hoceima. Les commerces et les cafés seront fermés en guise de solidarité avec le Harak Ach-chaabi. Le tout sous une présence des forces de sécurité « jamais vue » selon des témoins. La ville est carrément encerclée de véhicules de la police et des Forces Auxiliaires.
    Le Makhzen a fait recours à ses vieilles méthodes de tromperie : rumeurs sur la annulation de la manifestation, posent la condition de stopper la dynamique du peuple rifain pendant le dialogue. 
    Les activistes du « Hirak » disent ne pas rejeter les propositions de dialogue avec les autorités, mais ils ont quelques conditions. Parmi celles-ci, la libération des 10 activistes emprisonnés. 
  • PROCÈS DE GDEIM IZIK : LA DÉFENSE SE RETIRE DU PROCÈS, DEUX AVOCATES FRANÇAISES EXPULSÉES DU TRIBUNAL

    Deux avocates françaises de la défense dans le procès de Gdeim Izik, Maître Olfa Ouled et Maître Ingrid Metton, ont été violemment expulsées de la Cour d’appel de Rabat lundi 16 mai dans l’après-midi.

    Selon Hélène Legeay, responsable Maghreb/Moyen-Orient à l’ACAT, « cet épisode choquant n’est que le climax d’un procès que les magistrats n’essaient même plus de faire passer pour équitable. Entre la comparution de faux témoins, la partialité manifeste de la Cour, les interrogatoires sur la base d’aveux signés sous la torture et la réalisation d’expertises médico-légales truquées pour écarter les allégations de torture des accusés, il ne se trouve plus personne d’un tant soit peu honnête pour louer la qualité de la justice dans ce procès »

    Le 16 mai, lassés par de longs mois d’un procès marqué par une iniquité manifeste, les accusés et leurs avocats marocains et Sahraouis ont annoncé leur volonté de ne plus participer à ce qu’ils estiment être un simulacre de procès. Les avocates françaises représentant les accusés ont demandé d’adresser un mot à la cour, comme venaient de le faire leurs confrères, avant de donner leur décision sur leur retrait. Le président a refusé, ordonnant aux avocates de répondre uniquement par oui ou par non. Devant le refus des avocates françaises de répondre de cette manière, le président a annoncé qu’il faisait acter d’office leur retrait et a ordonné leur expulsion de la salle d’audience.

    Les avocates françaises ont voulu contester cette décision inique ; les policiers ont saisi Me Olfa Ouled par le bras pour la trainer jusqu’à la porte et ont poussé violemment Me Ingrid Metton jusqu’à la sortie de la salle. Me Ouled souffre d’une élongation et d’un hématome au bras.

    Les accusés ont été l’objet de nombreuses atteintes au droit à un procès équitable depuis la première audience du procès en appel, le 26 décembre 2016. Parmi les dernières en date, des témoins de l’accusation apparus mystérieusement sept ans après les faits et qui ont formellement identifié des accusés sur commande dans la salle d’audience après avoir été pourtant incapables de les décrire physiquement lors de leur interrogatoire précédent l’identification. Certains témoins ont assuré avoir vécu une vingtaine de jours dans le camp de Gdeim Izik mais ont été incapables de citer les noms des personnes avec qui ils ont vécu. L’un d’eux a même assuré avoir vu Naâma Asfari dans le camp le 8 novembre 2010, alors que ce dernier avait été arrêté la veille…

    En outre, les avocats des accusés ont reçu les rapports d’expertises médico-légales réalisées sur 16 des 24 accusés qui allèguent avoir été torturés pendant leur garde à vue. Ces expertises, prétendument menées conformément aux standards internationaux définis par le Protocole d’Istanbul, ont été analysées par des experts internationaux qui ont relevé des erreurs essentielles flagrantes, entachant totalement la crédibilité et donc la validité desdits rapports.

    Pour rappel, les 24 accusés ont été arrêtés, torturés et condamnés à de lourdes peines sur la base d’aveux signés sous la torture en raison de leur participation au camp de protestation sahraoui de Gdeim Izik en 2010. Les condamnations ont été prononcées le 16 février 2013 par le tribunal militaire à l’issue d’un procès inique marqué notamment par le refus d’entendre les témoins cités par la défense et d’ordonner une expertise médico-légale concernant les allégations de torture des accusés. Les noms des victimes que les accusés sont présumés avoir tuées n’ont même pas été mentionnés lors du procès. Le 27 juillet 2016, la cour de cassation a cassé le jugement et renvoyé les accusés devant la cour d’appel de Rabat.

    Contact presse :

    Pierre Motin, 01 40 40 40 24 / 06 12 12 63 94 pierre.motin@acatfrance.fr

    ACATFRANCE

  • MAROC – Le « Makhzen » ouvertement contesté ?

    Les manifestations qui dénoncent la corruption de l’État marocain et les collusions entre le pouvoir et le monde des affaires s’amplifient dans la région du Rif.
    L’élément déclencheur a été, il y a six mois, la mort accidentelle d’un vendeur de poissons à al-Hoceima, port de pêche du Rif. Depuis lors, le mouvement de protestation a fait tache d’huile et a embrasé tous les villages de cette région défavorisée.
    À présent, les autorités marocaines redoutent que le mouvement se généralise à travers tout le pays et prenne une forme plus politique.
    Le gouvernement a dès lors accusé les émeutiers de velléités séparatistes, « financées par l’étranger », et, appuyé par les médias aux ordres qui ont lancé une campagne de discréditation des manifestants, il a prétexté de cette accusation pour déployer des troupes et tenter de réprimer la contestation.
    Contre toute attente, cependant, les manifestations ont redoublé face à la répression.
    Certains observateurs s’interrogent : est-ce l’heure du « Printemps marocain » ?
  • Le Maroc derrière l’Institut Ibn Khaldoun, en Pologne?

    L’Institut informe le ministre marocain des affaires étrtangères Saadeddine El Othmani de l’exposition tenue par l’Institut à Alger.
     
    Expositions
    ■ “Les Manuscrits de la Bibliothèque l’Institut Ibn Khaldun en Pologne”, au musée national des Antiquités (177, boulevard Krim Belkacem, Parc de la Liberté, Alger).
  • Protection de la dignité de la femme marocaine voilée au consulat de France à Casablanca

    Le consulat de France à Casablanca impose à la femme marocaine voilée, lors de la procédure d’obtention de visa, au moment de la prise de la photo, de dévoiler une bonne partie de sa tête (les oreilles entre autre).
    Selon cette citoyenne marocaine, il s’agit d’un « acte indigne et inacceptable vis-à-vis nos spécificités religieuses et identitaires et qui touche directement le droit de la femme à la liberté, à la mobilité, à la formation, à la coopération, aux soins médicaux… »
    Dans ce cadre, elle a créé une pétition sur le Site de Pétitions Citoyennes d’Avaaz — qui s’intitule « Stop à l’atteinte à la dignité de la femme marocaine voilée au consulat de France à Casablanca ».
    Maroc, consulat de France à Casablanca
  • Dissidence à l’intérieur du MAE marocain

    Protestation au sein du ministère marocain des affaires étrangères
    Le ministère marocain des affaires étrangères a reçu au mois de juillet 2013 une lettre d’un groupe qui se fait appeler « Le Groupe des 21 diplomates marocains ». Ils disent appartenir aux administrations centrales, missions diplomatiques et consulaires du Maroc à l’étranger.
    Le sujet de la lettre a trait aux dernières nominations des consuls généraux. Le groupe proteste contre, entre autres, la désignation de certains consuls basée sur des critères qui n’ont rien à voir avec la compétence et l’exprérience professionnelle. Parmi eux, les consuls du Maroc à Dusseldorf, Rotterdam, Tarragona et Bruxelles.
    Le MAE El Othmani en a reçu l’analyse suivante faite par Nasser Bourita, secrétaire général du ministère à l’époque.
    Maroc, diplomatie, consulats
  • Los territoritos ocupados del Sáhara Occidental, quedan excluido de todo tipo de financiación de la UE para proyectos marroquíes de energías renovables

    Sáhara Occidental
    Espacios Europeos
    (16/5/2017)
    Poco a poco, con tenacidad, el pueblo saharaui va consiguiendo que sus peticiones sean escuchadas. Ahora ha sido la Comisión Europea, la que lo ha hecho, excluyendo los territorios ocupados del Sáhara Occidental de cualquier financiación europea para “proyectos marroquíes de energía renovable en, y ha informado a las empresas europeas y a los ciudadanos de la Unión sobre la situación legal de este territorio, cada vez que lo solicitan”, informa la Agencia Saharaui de Noticias (SPS).
    La Jefe de la Diplomacia Europea (La Alta Representante de la UE para Asuntos Exteriores y Política de Seguridad), Federica Mogherini, respondió así, en nombre de la UE, al eurodiputado Miguel Viegas, que le preguntó sobre la explotación ilegal de los recursos naturales del Sáhara Occidental: “En cuanto a los proyectos de energía renovable en el Sáhara Occidental, la UE no financiar este tipo de proyectos y, cuando es contactada por las empresas y los ciudadanos europeos, la UE les informa sobre la situación jurídica del Sáhara occidental y en particular la explotación de sus recursos naturales”.
    Mogherini subrayó en su respuesta que la explotación de los recursos naturales del Sáhara Occidental “fue aclarada en una opinión legal de un Secretario General Adjunto de Asuntos Jurídicos de las Naciones Unidas (Hans Corell)”. En febrero de 2002 se informó que la explotación de los recursos naturales del Sáhara Occidental debe ser a favor del pueblo saharaui y con su consentimiento.
    Hace unos días, Federica Mogherini declaró que el estatuto del Sáhara Occidental sigue siendo el de un territorio no autónomo, tal como fue decidido en el año 1963, por el Comité de Descolonización de la ONU:
    La respuesta que dio Mogherini a los eurodiputados que le preguntaron por la ocupación militar marroquí del Sáhara Occidental, fue la siguiente: “El Sáhara Occidental está en la lista de las Naciones Unidas de los territorios no autónomos”.
    Asimismo, reiteró, el apoyo de la UE a los esfuerzos del Secretario General de la ONU, con el fin de lograr “una solución política justa, duradera y mutuamente aceptable, que permita la libre determinación del pueblo del Sahara Occidental conformes a los principios y objetivos de la Carta de la ONU”; añadiendo que “En el futuro, la Comisión tendrá debidamente en cuenta la sentencia del 21 de diciembre 2016, para cualquier proceso de negociación con Marruecos”.
    La declaración (sobre el intercambio de electricidad renovable) se llevará a cabo –según informa SPS– “con la debida consideración del estatuto separado y distinto reconocido al territorio del Sáhara Occidental bajo la ley internacional“, dijo Mogherini en su respuesta a los eurodiputados Florent Marcellesi, Josep-Maria Terricabras y Jill Evans, “quienes exhortaron excluir la energía producida en el Sahara occidental de estos intercambios”.
    En relación con esta postura de la UE, hay que recordar que en el mes de abril de este año, la comisaria europea de Comercio, Cecilia Malmstrom, afirmó que cualquier proceso de negociación con Marruecos, se tendrá en cuenta la sentencia del Tribunal de Justicia Europeo de 21 de diciembre de 2016. En esa fecha, el Tribunal de Justicia Europeo dictaminó que, “de acuerdo con la Carta de la ONU, el Sáhara Occidental no es parte del territorio soberano de Marruecos y que todos los tratados, acuerdos de asociación y la liberalización entre la UE y Marruecos no son aplicables a Sáhara Occidental sin el consentimiento del pueblo del Sáhara Occidental”, nos recuerda SPS.
    ¿A qué se espera, entonces, para devolver a sus legítimos dueños, el pueblo saharaui, sus tierras?, nos preguntamos nosotros.
  • Les plans foireux du Makhzen : la CEN-SAD

    La Communauté des États sahélo-sahariens (CEN-SAD)  a été créée par le défunt leader de la Jamahiriya Libyenne. La  CEN-SAD est une organisation internationale regroupant 23 États africains. Elle a été créée le 4 février 1998 à Tripoli (Libye).
    Sous la direction de Kadhafi, la Libye représentait le maillon fort de l’Organisation notamment à travers une prise de participation très forte au sein de la BSIC (jusqu’à 45% du capital social de la banque). La fin de l’ère Kadhafi marque un tournant important dans le financement et la gouvernance de la CEN-SAD à travers le retrait de ce pays des instances de gouvernance.
    Mohammed VI y a vu une opportunité pour remplacer Kadhafi. Ainsi, il a proposé d’organiser à Rabat le sommet de la CEN-SAD en 2014. Ensuite, il a fait marche arrière sans donner des explications.
    Il s’était pourtant payé les services du cabinet Capital Consulting. En vain
    Maroc, Sahara Occidental, CEN-SAD, Union Africaine
  • Comment un site «algérien» associé au Desk marocain sabote la diplomatie algérienne

    D’aucuns auront remarqué une campagne enragée sur un site «algérien» associé au journal électronique marocain proche du Makhzen, Le Desk, contre le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali-Cherif. Ces attaques perfides coïncident avec une autre série d’articles haineux parus dans les médias marocains, à l’égard du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, du ministre des Affaires maghrébines, Abdelkader Messahel, et de notre ambassadeur d’Algérie à Bruxelles, Amar Belani. Ces deux actions sont clairement liées et télécommandées à partir de Rabat.
    Dans une série d’articles publiés sur ledit site, ce dernier s’en prend au porte-parole du ministère des Affaires étrangères, présenté comme un haut responsable de l’Etat qui foulerait aux pieds les lois en abusant de sa fonction. Les articles traitent d’un litige tout à fait banal entre deux voisins, dont l’un n’est autre que M. Benali-Cherif et dont le seul tort est d’occuper un poste de responsabilité au ministère des Affaires étrangères. Dès lors, le site pro-marocain le jette en pâture à une opinion publique dont il sait qu’elle répugne à accepter l’abus d’autorité. «C’est une campagne orchestrée contre ma personne et, par extrapolation pernicieuse, contre l’institution à laquelle j’appartiens et les cadres de l’Etat en général», a confié Abdelaziz Benali-Cherif à Algeriepatriotique, qui a voulu connaître sa réaction.
    «Ce site a commis à trois reprises des pseudo-articles attentant à ma personne et me présentant à l’opinion publique comme un haggar abusant de ma qualité de cadre supérieur de l’Etat pour « écraser ma pauvre voisine », faisant fi ainsi des règles les plus élémentaires de déontologie journalistique et inscrivant ces forfaits dans la logique de celui qui cherche à nuire par tous les moyen», s’indigne M. Benali-Cherif. «L’affaire qui m’oppose à ma voisine est un litige somme toute ordinaire de voisinage entre deux citoyens», explique-t-il, en invitant les journalistes à vérifier sur place, s’ils le souhaitent, «pour faire le constat par eux-mêmes de la nature de ce différend».
    «Ce litige n’oppose pas le porte-parole du ministère des Affaires étrangères et une professeure universitaire, mais deux citoyens tout à fait égaux devant la loi», précise M. Benali-Cherif, qui note que la cabale a été enclenchée contre sa personne pour des raisons que «la décence lui interdit de rendre publiques». Il dénonce un «parti pris flagrant» de cette publication «qui n’a jamais pris la peine d’essayer de vérifier les élucubrations et les accusations infondées» contre lui. «Ce site avance sans pudeur et surtout sans aucune précaution d’usage, des informations controuvées mais néanmoins attentant à mon honneur et ma probité morale, allant jusqu’à affirmer que j’aurais refusé d’exécuter une décision de la justice».
    Une décision de justice qui n’a jamais existé, précise M. Benali-Cherif, qui affirme avoir décidé, en sa qualité de «citoyen qui refuse que son honneur soit sali par des gens sans scrupules», de charger son avocat de sommer la direction de ladite publication «de produire les preuves étayant ses allégations». «Si ces preuves ne sont pas présentées, je recourrai aux voies légales pour exiger réparation».
    Notre interlocuteur s’étonne, par ailleurs, que bien que diffamé, il est mis dans la position du bourreau alors qu’il est la victime d’un acharnement médiatique qui cache quelque velléité. «Le site en question m’accuse d’avoir proféré des menaces alors que c’est moi qui ai été menacé», s’insurge M. Benali-Cherif, qui dit souhaiter que ce problème personnel ne soit pas étalé sur la place publique et laisser la justice faire son travail. «Mais ces intimidations sont obsolètes», a-t-il soutenu.
    Par-delà la simple affaire qui concerne un litige ordinaire entre voisins, l’intention malveillante de nuire au porte-parole du ministère des Affaires étrangères – qui constitue une des pierres angulaires dans l’édifice de défense des droits du peuple sahraoui à l’autodétermination – est flagrante.
    Affaire à suivre.
    Karim B.