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  • Faux démantèlements et instrumentalisation de la lutte anti-drogue

    Voici un intéressant document rédigé par Karim Bouzida qui prouve l’instrumentalisation des communiqués sur des faux démantèlements de réseaux de drogue et de terrorisme.
    Bouzida se plaint du manque d’écho à l’échelle internationale de cette fausse opération et suggère de faire recours aux réseaux médiatique de la DGED qu’il cite nommément.
    Le document prouve aussi combien le Makhzen a du mal à cacher une réalité que le Maroc tente de cacher avec un tamis : les vastes terrains de cultive du cannabis qui font du royaume le premier producteur et exportateur de cette drogue.
    L’opération médiatique vise, entre autres, acheter les faveurs de la Lybie, pays où l’Algérie jour un rôle médiateur important.
    TEXTE INTEGRAL DE LA NOTE
    Note a.s  médiatisation du démantèlement réseau de trafic de drogue ( a composante Lybienne  )
    Les services de sécurité Marocains ont annoncé le démantèlement d’un important réseau de trafic de drogue animé par des Lybiens, cette annonce s’est accompagnée d’un importantes retombées a l’échelle nationale (journaux télévisés, presse écrite et électronique )
    Toutefois nous relevons qu’il n’y a eu aucune visibilité de ce succès sur les médias internationaux.
    Aussi, cette opération de très grande envergure gagnerait a être valorisée et relayée dans un cadre médiatique puissant et adéquat, axé sur des cibles a l’international.
    CONTRAINTES A ANTICIPER :
    Nous recommandons, dans le cadre du traitement international, d’anticiper les contraintes suivantes :
    Ketama : lieu de production et de conditionnement principal tel qu’en atteste l’enquête .
    Ce constat doit être médiatiquement traité avec attention pour ne pas en faire un retour négatif ( du style « tolérance des autorités face a une réalité terrain connue de tous » )
    En contrepartie nous suggérons de mettre en avant les avancées réalisées en terme d’éradication de surfaces plantées telles qu’en témoigne le dernier rapport de l’Onudi , et le satisfecit américain récemment délivré au Maroc pour avoir réduit les surfaces cultivées de cannabis de 65%
    Le transfert de drogue vers l’Algérie : c’est une thématique chère a la machine de propagande Algérienne qui affirme régulièrement, par presse algérienne interposée que le Maroc inonde les villes algériennes de drogue et affecte la jeunesse ( ils vont jusqu’à en faire un motif de maintien du statu quo en ce qui concerne les frontières terrestres )
  • Le cyberactiviste Chris Coleman s’attaque au Ministère marocain des Finances

    La presse du Makhzen et celle qui a acheté la paix du Makhzen en déclarant la guerre aux sahraouis ont voulu minimiser l’impact de la nouvelle apparition du cyber-activiste Chris Coleman en criant à qui veut l’entendre qu’il n’apporte rien de nouveau.
    Mais la réalité est là. Il est revenu et il frappe fort. Après avoir fait des ravages au bâtiment de la diplomatie marocaine, le voilà en train de s’attaquer au ministère de l’économie.
    Le Makhzen tremble. Il faut pas s’attendre à ce qu’il avoue sa défaite. Il s’est habitué á vendre au peuple marocain des fausses victoire… et des faux chiffres.
    Avec la mythomanie comme arme de destruction massive des esprits citoyens, les services de propagande de Mohammed VI, la DGED à leur tête, tissent des statistiques des plus belles, la France fait semblant de les croire et elle fait écho des faux progrès du Maroc et ainsi tout va bien.
    Mais Chris Coleman est là pour leur rappeler qu’ils sont des menteurs, que le Maroc survit à coups de perfusions du Fonds Monétaire International qui a imposé des mesures d’austérité dont les conséquences ne seront pas payés par le palais ni par ses nervis, Fouad Ali El Himma, El Majidi, Yassine Mansouri ou par les semblants de partis politiques, mais par la couche la plus déshéritée du Maroc, la population la plus simple, le pauvre citoyen marocain.
    Parmi les faux semblants qui nourrissent l’espoir au Maroc et jouent le rôle de carburant pour faire rouler la machine coulée du Makhzen, les statistiques concernant le tourisme.
  • L’idée du PJD de créer une chaîne parlementaire ne plaît pas au Makhzen

    AVANT PROJET DE NOTE
     Le projet de Chaîne parlementaire
    • Cadrage
    2          Etat de lieux
    2.1      L’idée
    2.2      Le projet
    3          Benchmark
    4          Portée politique
    • Recommandations générales
    1          Cadrage
    Depuis quelques années, la question de la création d’une chaîne parlementaire est posée par différents acteurs politiques, médiatiques et associatifs. Elle est soulevée dans un double cadre :
    • La nécessité d’accompagner l’évolution démocratique et la mise en application de la nouvelle constitution
    • La nécessité de mise à niveau du secteur audiovisuel pour qu’il devienne un espace de débat public et pour rapprocher les citoyens des débats politiques.
    • La nécessité de mise à niveau de l’institution parlementaire en l’ouvrant à son environnement et en développant son interaction avec l’opinion publique
    2          Etat des lieux
    2.1      L’idée
    Le débat sur la création d’une chaîne parlementaire a pris forme durant la huitième législature (2007-2011).
    Cette idée a été portée par plusieurs personnalités et groupes parlementaires notamment le PJD qui y voyait une tribune politique pour atteindre l’opinion publique.
    Les deux chambres du parlement se sont appropriées cet objectif notamment à l’occasion de la discussion des budgets du parlement et celui du ministère de la communication.
    De ce fait, la Chambre des Conseillers a organisé une conférence en avril 2009 sur les perspectives de création de cette chaîne, ce qui a permis de médiatiser, de conférer à cette question une certaine visibilité au niveau de l’espace médiatique.
    Ainsi, sur le plan politique, cette question ne soulevait pas une polémique. Cependant, les questions liées à la viabilité technique et financière  de ce projet ont amené à un report constant.
    2.2      Le projet
     Les changements politiques survenus au Maroc durant l’année 2011 ont permis de redonner à cette question une certaine actualité.
    Ainsi, Dans sa déclaration générale, le gouvernement présidé par Abdelilah Benkirane s’est engagé à procéder au lancement de la Chaîne parlementaire.
    Le gouvernement s’est ainsi approprié ce projet. Deux ministres se sont prononcés à ce propos : Mustapha Khalfi, ministre de la communication et Habib Choubani ministre délégué chargé des relations avec le Parlement.
    Plus concrètement, le ministre de la communication, lors de son intervention devant la commission de la culture et de la communication de la Chambre des Représentants à l’occasion de la discussion du budget de son département, a notamment annoncé la création de la Chaîne Parlementaire vers le mois de septembre 2012.
    Sans exposer beaucoup de détails, Le ministre a précisé que la Chaîne sera gérée par le Parlement et placée sous sa responsabilité. Le rôle de l’Etat à travers la SNRT va se limiter à l’assistance technique. Géré par le parlement, la Chaîne parlementaire ne serait pas soumise aux dispositions des textes juridiques régissant le secteur de l’audiovisuel mais par une loi spéciale.
    A ce titre, le budget d’investissement accordé à la Chambre des Représentants qui a été de l’ordre de 0 Dh en 2011 atteint dans le projet de loi de finances 65 millions de Dirhams, dont une grande partie est consacré au financement de ce projet.
    Du point de vue juridique, à l’heure actuelle, il n y a aucun texte qui permet d’encadrer ce projet. D’ailleurs, le président de la Chambre des Représentants a affirmé lors d’une conférence de presse début février 2012 qu’il n y a rien de concret par rapport à ce projet
    كريم غلاب : وفيما يتعلق بمشروع القناة البرلمانية أشار إلى انه وجد مشروعا في رفوف البرلمان ، ولكنه ضعيف جدا  وهو مشروع مشكل من 15  صفحة لا يعطي إلا نظرة إجمالية ولا يوضح فيه جانب التمويل و الاستغلال و العلاقة مع الإذاعة والتلفزة بينما قيل له فيما قبل  أن المشروع جاهز وقد أكد السيد غلاب أن البرلمان  سيشتغل عليه
    3          Benchmark


  • Le Maroc envisage de construire un nouveau port à Dakhla

    Chriscoleman vient de créer la surprise en publiant un document récent, daté du 03 mars 2017, intitulé « Fiche sur l’état d’avancement de l’étude du nouveau port de Dakhla Atlantique ».
    Ce document émane de la Direction des ports et du domaine public maritime, relévant du Ministére de l’Equipement, du Transport et de la logistique. De sa lecture il ressort que le Maroc envisage de construire un nouveau port de pêche et de commerce à proximité de la ville de Dakhla au Sahara Occidental dans le but de doper l’exploitation illégale des resssources halieutiques du territoire et améliorer les conditions de son transport vers le Maroc qui, jusqu’à présent se faisait par voie terrestre.
    Le lancement des travaux de construction du port en question est prévu pour juillet 2019 et prendront fin en avril 2024.
    Ce document renseignement sur la stratégie du makhzen au Sahara Occidental, à savoir:
  • Gueguerre entre le Makhzen et le PJD sur fond de la cause palestinienne

    Le Maroc a abrité en 2009 le Forum de l’Avenir, une entité fondée dans le but d’imposer, d’une manière souple, la normalisation avec l’Etat d’Israel.
    Le PJD, conscient de cela, n’a pas caché son mécontentement envers ce forum créé par la France et les monarchies arabes. Il critique même l’inertie du roi Mohammed VI en tant que président du Comité Al-Qods face à la « judéïsation » de cette ville sainte.
    Karim Bouzida alerte son supérieus de la DGED, Mourad El Rhoul, sur le danger de voir la politique de normalisation du Maroc avec Israel critiquée par le PJD, à l’opposition à l’époque.
    Voici le contenu d’un document qu’il a envoyé par mail :
    3 nov 09
    Note d’alerte
    Communiqué PJD/Forum de l’avenir
     ANALYSE
    • La stratégie d’évitement
    En effet le secrétariat général évite de critiquer frontalement l’accueil par le Maroc du  forum de l’avenir, et de facto ce qui est désigné par « politique de normalisation », ainsi et pour semble t il éviter de se retrouver de front avec l’Etat, particulièrement suite au communiqué tranchant de la primature qui avait dénoncé la position du parti en ce qui concerne le fonds d’appui a El Qods.
    Aussi et dans le cadre de l’habituel distribution des rôles c’est au groupe parlementaire Pjd que ce rôle a été dévolu, s’appuyant nous semble t il sur principe de l’immunité et se prévalant de la position de représentants de la Nation.
    • La volonté de banalisation
    La position contre le forum de l’avenir est dilué dans une somme de positions « banales« (conseil de la concurrence, non participation au hajj…) qui auraient été discutées par le groupe, évitant d’y consacrer une déclaration spécifique.
    • L’argumentaire
    La position contre le forum de l’avenir est construite a partir de « « …الانتهاكات الصهيونية الممنهجة لحرمة المسجد الأقصى وتهديد سلامته وكدا مساعي الكيان الصهوني الحثيثة لتهويد مدينة القدس عبر اعتماد سياسات إرهابية وعنصرية، ضد المقدسيين ترمي إلى تفريغها من ساكنتها المرابطة… »
    Faisant ainsi de la question d’Al Qods et de la logique de “normalisation” l’épicentre supposée des travaux du forum.
    • La « sacralisation » de la position du PJD
    La dernière formule employée en signature du communiqué est un louange « والله الموفق  
    والهادي إلى سواء السبيل »
  • Les espions de Sa Majesté le roi Mohammed VI

    Si les services de Sa Majesté la Reine Elisabeth II ont toujours été fascinants, ceux du roi du Maroc Mohammed VI ont été plutôt pitoyables. En raison de leur manque de professionnalisme, les espions de Mohammed VI sont vite reconnus, dénoncés et expulsés.
    Sous couvert de diplomates, ils agissent au sein de la communauté marocaine résidente en Europe en vue de guêtter tout mouvement ou activité d’opposition au régime autocrate de la monarchie alaouite. Ce qui est vu par les autorités du pays qui les accueille comme une immixtion dans leurs affaires internes.
    Ainsi, le gouvernement hollandais a procédé en 2008 à l’expulsion de deux fonctionnaires de l’ambassade du Maroc aux Pays Bas. Selon une dépêche publiée par Le Monde du 20/09/2008, « un fonctionnaire de police a été suspendu de ses fonctions à Rotterdam après avoir, apparemment, livré des informations confidentielles sur des personnes d’origine marocaine domiciliées aux Pays-Bas ».
    Selon des médias locaux néerlandais, d’autres fonctionnaires de police ont affirmé avoir été également approchés par les “services” marocains. C’est le cas de Fouad El Haji, ancien député et conseiller municipal à Rotterdam. Ce dernier a déclaré que « des parlementaires et des élus locaux sont régulièrement contactés dans le même sens et que certains auraient même accepté l’offre”.
    En Allemagne, Mohamed Baghdad, un germano-marocain de 56 ans a été arrêté et jugé à Berlin en février 2012 pour des actes d’espionnage contre la communauté sahraouie en Allemagne.
    En Espagne, les activités des agents de la DGED sont connues. En 2013, le CNI, le service de renseignement espagnol a expulsé Noureddin Ziani, un ressortissant marocain qui était utilisée par le parti nationaliste catalan CDC pour mobiliser la communauté marocaine en faveur de la cause indépendantiste de la région de Catalogne. Selon des déclarations du chef du CNI, Felix Roldan, Ziani est « un collaborateur important d’un service de renseignement étranger depuis 2000 » en allusion à la DGED marocaine.
    Dans le but de contrôler les mouvements des opposiants marocains, la DGED a acquéri chez la société italienne Hacking Team et la néo-zélandaise Endace ainsi que de la française Amesys des logiciels d’espionnage qu’elle utilisera aussi pour espionner le Secrétariat de l’ONU, notamment dans la question du Sahara Occidental.
    L’accusation émane de l’ancien SG de l’ONU, Ban Ki-moon. Dans son rapport d’avril 2012, accuse le Maroc de compliquer la tâche de la MINURSO et de l’espionner. « Il semble également que la confidentialité des communications entre le quartier général de la Minurso et New York ait été compromise occasionnellement », signale le rapport.
    Maroc, Sahara Occidental, MINURSO, ONU, Polisario
  • Un document secret révèle les pratiques de barbouzes du Makhzen à l’ONU

    Omar Hilale et son ancienne taupe au HCDH, Anders Kompass
    Khider Cherif
    Le hacker marocain Chris Coleman vient de poster sur son site un document explosif qui prouve que le Makhzen continue à utiliser des méthodes de barbouzes pour infléchir à son profit les positions de l’ONU à l’égard du conflit du Sahara Occidental. Chris Coleman révèle ainsi qu’en 2014, l’ambassadeur du Maroc à l’ONU, Omar Hilale, a exercé des pressions sur Susana Malcorra et Kim Bolduc, respectivement chef de cabinet du secrétaire général de l’ONU et représentante spéciale du secrétaire général pour le Sahara Occidental et cheffe de la Minurso, pour les amener à accepter les «règles» du Maroc concernant les activités de la mission de l’ONU pour l’organisation du référendum au Sahara Occidental. A l’époque, Rabat avait notamment paniqué à l’idée que les Etats-Unis, très offensifs sur le dossier sahraoui, parviennent à faire passer leur projet d’élargir le mandat de la mission au monitoring des droits de l’Homme, à l’instar des autres missions de paix onusiennes.
    L’ambassadeur du Maroc à l’ONU avait justement reçu pour ordre de Mohammed VI de faire bien comprendre, par quelque manière que ce soit, à Mme Bolduc – qui venait d’être nommée à la tête de la Minurso – de «ne pas compliquer sa mission en essayant de s’ingérer dans les questions des droits de l’Homme qui ne relèvent pas de son mandat». Dans le cas contraire, rapporte Chris Coleman, le Maroc s’était promis de lui mettre des bâtons dans les roues «jusqu’à compromettre sa mission».
    «Le Maroc est prêt à travailler, la main dans la main, avec Mme Bolduc et développer un partenariat fructueux avec elle pour la mise en œuvre du mandat de la Minurso, qui se limite strictement à la surveillance du cessez-le-feu, au déminage et à l’assistance logistique aux mesures de confiance», avait ajouté sur un ton menaçant le diplomate marocain dans le but de limiter le mandat de la Minurso.
    Omar Hilale a insisté également pour que «la question des droits de l’Homme reste dans les mains du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’Homme (HCDH) où Anders Kompass, directeur des opérations et de la coopération technique, veille à ce que les rapports de cette instance soient favorables au Maroc et où le soutien de Mme Navi Pillat a été acheté moyennant le versement annuel d’un million de dollars comme contribution au budget du Haut Conseil au droit de l’homme de l’ONU».
    Comble des combles, le diplomate était allé même jusqu’à obliger la responsable de la Minurso pour que les réunions des missions des procédures spéciales aient lieu dans des bâtiments désignés par les autorités marocaines où ces dernières ont implanté des installations techniques pour l’écoute des conversations tenues entre les militants sahraouis et les envoyés onusiens. Omar Hilale avait notamment «déploré» que «des instructions aient été données de New York pour que les réunions des Procédures spéciales se tiennent désormais au siège de la Minurso». «Le Maroc s’oppose à une telle décision», avait-il martelé.
    Fort heureusement, et grâce à la mobilisation de la communauté internationale, ni l’ONU et ni la cheffe de la Minurso n’ont accepté l’ignoble chantage marocain. C’est ce qui conduira d’ailleurs par la suite Mohammed VI à expulser du Sahara Occidental occupé les composantes civile et politique de la Minurso.
  • Susana Díaz, la socialista que prohíbe viajar a los campamentos saharauis

    Alfonso Lafarga.-
    Susana Díaz, candidata a liderar el PSOE, quiere recuperar para su partido el Gobierno de España, reconciliarse con la mayoría social y luchar contra la desigualdad, el populismo y el nacionalismo, pero no ha dicho nada sobre qué postura mantendrá sobre un conflicto en el que tanta responsabilidad tiene España, el Sáhara Occidental, aunque sus antecedentes no son precisamente alentadores para la causa saharaui.
    En su crónica sobre la presentación de la candidatura de Díaz, el pasado 26 de marzo, Leonor Mayor Ortega describió en La Vanguardia: “Pero más que su cercanía, al público le gustó su humanidad. Hubo grandes aplausos cuando la candidata recordó a los refugiados, a “los niños que han huido de la guerra y que sufren” y contó que en los últimos tiempos ha tenido relación con varias ONG’s, dada su preocupación por este asunto.
    Se desconoce si en ese recuerdo la aspirante a dirigir el PSOE incluye a unos refugiados que hace mas de 41 años tuvieron que salir de su tierra, el Sáhara Occidental, y huir al desierto argelino mientras eran perseguidos y bombardeados por Marruecos con napalm y fósforo blanco, tras ser abandonados por España.
    Victoria Luna, por su parte, reseñó en 20minutos que Rosa Díaz “en un amago de autocrítica, señaló que era consciente de sus ‘errores’ y de que hay cosas que tiene que ‘mejorar’, aunque no citó ningún ejemplo”. No sabemos si entre estos errores se encuentra prohibir viajar a los campamentos de refugiados saharauis en Tinduf.
    Ni un “desaire” a Marruecos
    Ocurrió en el primer trimestre de 2015: El entonces vicepresidente del ejecutivo andaluz, Diego Valderas, de IULV-CA, pretendía viajar a los campamentos saharauis para comprobar sobre el terreno los logros de la cooperación andaluza, pero Susana Díaz se lo prohibió con el argumento de que el Gobierno de la Junta de Andalucía no debía “intervenir en conflictos internacionales” y tenía que respetar la posición del Gobierno de España. “Cualquier relación con terceros países que suponga un conflicto internacional debe estar al margen de la acción de este Gobierno”, llegó a decir.
    Además de considerar que visitar a unos refugiados era intervenir en un conflicto internacional, Díaz estaba preocupada por no causar lo que pensaba podía ser un “desaire” a Marruecos, aunque los campamentos se encuentren en la hamada argelina. Se trata de un “desaire” que vienen haciendo desde hace años -desde que los saharauis están allí refugiados en duras condiciones- parlamentarios nacionales, alcaldes y cargos autonómicos. En noviembre de 1976 lo hizo Felipe González, cuando era un joven dirigente socialista comprometido con la causa saharaui, y, entre otros, también fueron el entonces lehendakari Juan José Ibarretxe (PNV), en 2002; Ramón Luis Valcárcel (PP), en 2010, cuando era presidente de Murcia y el vicepresidente de la Xunta de Galicia, Alfonso Rueda Valenzuela (PP), en 2014.
    Las visitas internacionales a los campamentos de refugiados saharauis son frecuentes, como la protagonizada en febrero pasado por una delegación del Senado de Estados Unidos, viajes que también se producen a los territorios del Sáhara Occidental ocupados por Marruecos: Representantes de las embajadas en Rabat de Estados Unidos, Gran Bretaña, Alemania, Finlandia, Suecia, Noruega y Dinamarca, entre otras, se han desplazo en diferentes ocasiones a El Aaiún para interesarse por la situación de los Derechos Humanos, cuya violación han denunciado Amnistía Internacional (AI), Human Rights Watch (HRW), el Centro Robert F. Kennedy (RFKC) y la Red Euromediterránea de Derechos Humanos (REMDH).
    Por el contrario, el Ministerio de Asuntos Exteriores de España no manda enviados ni presenta queja alguna cuando algún español es expulsado del Sáhara Occidental, o como ocurrió a mediados de marzo pasado cuando se impidió al magistrado del Tribunal Superior de Justicia de Asturias Jesús María Martín Morillo entrar en Rabat, a donde acudió para asistir como observador internacional al juicio a los 24 saharauis de Gdeim Izik.
    Casualmente la negativa de Susana Díaz a que un cargo de la Junta viajase a los campamentos de refugiados se produjo después de que el embajador de Marruecos en España, Mohammed Fadel Benyaich, se reuniese con representantes de la Confederación de Empresarios de Andalucía y de la Cámara de Comercio de Sevilla. El embajador hizo entonces un llamamiento a la comunidad marroquí en Andalucía para que se movilizase en defensa del “Sáhara marroquí”.
    También ocurrió después de visitar ella misma Marruecos los días 11 y 12 de septiembre de 2014, ser recibida por Mohamed VI y entrevistarse con el jefe del Gobierno marroquí, Abdelilah Benkirane, y con el ministro de Asuntos Exteriores y Cooperación, Salaheddine Mezouar. Esta visita indignó al movimiento solidario con el pueblo saharaui por la falta de referencia de Susana Díaz a los Derechos Humanos en el Sáhara Occidental.
    En el acto de presentación en Madrid la aspirante a liderar el PSOE estuvo flaqueada por los expresidentes socialistas Felipe González y José Luis Rodríguez Zapatero, defensores de la postura del régimen marroquí sobre el Sáhara Occidental.

    https://contramutis.wordpress.com/2017/03/27/susana-diaz-la-socialista-que-prohibe-viajar-a-los-campamentos-saharauis/

  • Encore une fois, les torchons du Makhzen puisent dans le mensonge

    Un journal de la DGED a récemment publié un article sur un prétendu communiqué de l’Ambassadeur de Russie à Rabat au sujet de la visite d’une délégation du Front Polisario à Moscou.
    Ce journal nous a habitué à ses sorties médiatiques sulfureuses et haineuses qui reflétent le désaroi du Makhzen à chaque fois que le Polisario enregistre des victoires sur la scéne diplomatique.
    Il n’y a pas si lontemps, ce même canard a publié un article mensongére au sujet de l’adhésion de la RASD à l’International Socialiste en temps que membres à part entiére. Maintenant, il récidive encore une fois pour semer le doute et la confusion dans l’esprit de ses lecteurs en faisant croire que la Russie est favorable aux théses du Makhzen. Bien que nulle trace de ce communiqué n’a été trouvé sur Internet, nous répondons à ce torchon que la position de la Russie concernant la question du sahara Occidental est claire et ne prête aucun équivoque, à savoir « mise en œuvre de l’objectif initial d’assurer les conditions de base pour l’autodétermination du peuple du Sahara occidental, conformément à la résolution du Conseil de sécurité de l’ONU (la dernière sur ce sujet a été adoptée en avril de l’année courante) ». Ces propos sont ceux du Ministre des Affaires Etrangéres de Russie, Monsieur lavrov, qu’il a tenus lors d’une conférence de presse avec son homologue algérien, le 25 juin 2013 à Moscou et publié par dans son site officiel:
    Voici la réponse intégrale de Monsieur Lavrov:
  • De hauts responsables marocains s’intéressent à la fortune de Mme Assia Bensalah Alaoui

    Mme Assia Bensalah Alaoui, Ambassadeur itinérant du Roi Mohamed VI du Maroc est la petite fille du grand mouchard de la France colonialiste, le Caïd Bachir Ben salah Zemrani. Elle est la mère d’Abdemalek Alaoui, le fils du détenteur du Groupe Maroc Soir, agent de la DGED et directeur du Huffington Post Maroc.
    De hauts responsables au ministère marocain des affaires étrangères semblent s’intéresser à sa fortune. Le 15 novembre 2011, ils ont reçu un mail de la part de Chelbat Lotfi, expert-comptable et conseiller fiscal à Bruxelles où il apporte des détails très précis sur les compte en banque d’Assia.
    Voici le texte intégral de ce mail:
    LIRE LA SUITE DEPUIS LA SOURCE

    Maroc, MAEC, Assia Bensalah Alaoui