Inside Over, 12 mars 2020
Catégorie : presse
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Bin Salman montre la faiblesse de la monarchie saoudienne, pas sa force
Francesca SalvatoreMala tempora currunt pour la monarchie saoudienne. La maison royale, point de référence de la pétromonarchie, ne semble pas aussi forte qu’elle le souhaite. Enquêtes, excellentes arrestations, initiatives majeures et défis pour l’avenir: en regardant Riad de l’extérieur, on dirait une monarchie d’acier absolue et Mohammed bin Salman semblerait être son prophète, interprète et leader incontesté. Cependant, ces manifestations frappantes, souvent schizophrènes, sont le symptôme d’une crise de légitimité qui se traduit souvent par un syndrome de conspiration persistant qui conduit bin Salman à faire souvent des nettoyages drastiques de son entourage.L’architecture de Saoud s’effondreBin Salman est très différent de ses ancêtres, c’était clair dès le départ. Son grand-père, le roi Abdelaziz Ibn Al Saud, le deus ex machina de l’Arabie moderne, a fondé l’État saoudien sur trois piliers: la redistribution de la richesse pétrolière entre les sujets du royaume en échange de la loyauté royale, un lien fort avec l’establishment Wahabite et, chef-d’œuvre de sa politique étrangère, ont scellé une alliance stratégique avec les États-Unis.Cependant, malgré tous les efforts, ce système s’effrite. Avec une population croissante et une économie tributaire du pétrole, l’Arabie saoudite fait face à une crise que les paillettes et les néons Vision 2030 ne peuvent pas résoudre. L’héritier du trône n’a pas vraiment tenté de démanteler les structures oligarchiques qui étouffent l’économie saoudienne, il a simplement remplacé les anciens potentats par de nouveaux, très fidèles à lui. Jusqu’à la prochaine purge. Sans parler du peuple saoudien, à qui il demande de subir l’austérité sans essayer de faire face à une pauvreté généralisée.Tags : Arabie Saoudite, MBS, Mohamed Bin Salman, wahabite, -
« Les colonisés ont payé leur propre colonisation » (Ahmed Henni)
Retour sur le financement de la colonisation où il apparaît que les colonisés ont payé leur propre colonisation27 février 2017.Par Ahmed Henni, ancien professeur agrégé des universités.Emmanuel Macron vient de relancer le débat sur les bienfaits de la colonisation. « Je ne veux pas chanter le passé aux dépens de mon présent et de mon avenir », disait Frantz Fanon en 1952 (Peau noire, masques blancs). Mais il est utile que l’on connaisse les faits historiques. Une idée a couru et court encore, par exemple, que les colonies ont « profité » de financements venus de métropole (dénoncés par exemple par Raymond Cartier). Sans compter les apports scientifiques et culturels et les infrastructures matérielles.Aimé Césaire ou Joseph Ki-Zerbo ont amplement démontré que ce furent plutôt des actions d’éradication des cultures indigènes qui furent menées, et dont les dégâts sont incommensurables (pas mesurables). Montaigne écrivait déjà : « Bien crains-je, que nous aurons très fort hâté sa déclinaison et sa ruine, par notre contagion : et que nous lui aurons bien cher vendu nos opinions et nos arts » (Essais, III, 6). Quant aux routes, ports, écoles, hôpitaux, etc., ils furent d’abord l’œuvre de la force de travail indigène (lire sur la construction du chemin de fer Congo-Océan). C’est aussi la main d’œuvre locale qui a produit minerais et produits agricoles. Tout ceci couronné par un système de financement public et une fiscalité assis sur les indigènes. Bref, comme je l’ai démontré pour l’Algérie, les indigènes ont payé leur propre colonisation. Ce sont les occupants européens qui ont profité des impôts payés par les les indigènes. Avant 1954, la métropole n’y était pas pour grand chose.Financement de la colonisation de l’Algérie1. La conquêteÉvalué par le gouvernement de Paris dans un document budgétaire de 1845, le coût total de l’expédition militaire d’Alger de 1830 et des opérations militaires qui ont suivi est de 48.500.000 francs-or. Cette somme équivaut pratiquement au montant estimé du Trésor confisqué au dey d’Alger. Ce qui veut dire que l’expédition n’a rien coûté à la métropole.L’évaluation effectuée par les autorités militaires indique que le Trésor du dey comprenait 7.212 kg d’or, soit 24.768.000 francs-or, et 108.704 kg d’argent, soit 23.915.000 francs-or – à titre indicatif, en 2016, le kg d’or coûte 40.000 euros environ et le kg d’argent 550 euros. Une fois confisqué, ce Trésor est expédié en France. On n’en garde que 5 millions pour les besoins militaires locaux. Ces chiffres officiels sont contestés par Marcel Emerit qui estime que le Trésor du dey pourrait avoir approché 150 millions de francs-or. Il s’appuie sur le rapport rédigé en 1827 à l’intention de Charles X par Clermont-Tonnerre et où celui-ci écrit : -
Quand Bokassa accusait la France de voler l’uranium et le diamant de la Centrafrique
L’EMPEREUR BOKASSA EXPLIQUE COMMENT LA FRANCE ET LA SUISSE ONT VOLÉ L’URANIUM ET LE DIAMANT DE LA CENTRAFRIQUEDans une interview explosive qui fera date dans l’histoire des relations entre la France et l’Afrique, L’ancien Empereur de la Centrafrique Jean Bedel Bokassa, dénonçait déjà les pratiques coloniales dont la France infligeait à son pays.L’exploitation abusive des ressources naturelles de la Centrafrique par la France coloniale sans versé une seule pièce de monnaie au gouvernement Centrafricain de l’époque avait suscitée et animée déjà un sentiment anti-français.La récente intervention militaire française en Centrafrique, est motivée par les mêmes raisons qu’hier.Lire la suite depuis la source
Tags : France, françafrique, RCA, République Centrafricaine, pillage, Bokassa, colonialisme, -
L’Algérie et la Zone de libre-échange continentale africaine : la panacée ?
Par Mostefa Zeghlache(*)Du 3 juin 1991, date de l’adoption à Abuja (Nigeria), par l’Organisation de l’Unité africaine (OUA), du Traité instituant la Communauté économique africaine (entré en vigueur en 1994), dans le cadre du Plan d’action et de l’Acte final de Lagos, au 7 juillet 2019, date de la mise en œuvre de l’accord sur la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), à l’issue du Sommet de l’Union africaine (UA) de Niamey (7 et 8 juillet) , l’Afrique aura mis près de 30 années avant de s’engager , enfin, sur un projet d’intégration régionale longtemps galvaudé par le discours unioniste africain mais qui attend toujours de voir le jour.En ratifiant l’accord de la ZLECAf le 15 décembre 2019, l’Algérie a indiqué clairement sa volonté de ne pas rester en marge du processus enclenché en juillet 2019. Cette adhésion est justifiée par le discours officiel algérien qui présente la Zone africaine de libre-échange comme une voie pouvant soutenir la volonté du pays de diversifier l’économie nationale pour sortir de l’impasse de la dépendance aux hydrocarbures comme principale source de financement extérieur.La création de la ZLECAf est le résultat d’un long processus intégrationniste africain qui a débuté à Abuja en 1991, du temps de l’OUA.La stratégie établie par le Traité d’Abuja visait la mise en place de la Communauté économique africaine (CEA) sur la base d’un processus d’intégration sous-régional impliquant cinq communautés économiques régionales (CER), devenue, plus tard, huit, dont l’Union du Maghreb arabe (UMA). Parmi les nombreux objectifs fixés par le Traité, l’article 4 dispose notamment que la CEA vise à « promouvoir le développement économique, social et culturel ainsi que l’intégration des économies africaines… ».La première étape du processus devait s’achever en 1999 et la 6e et dernière en 2028 par la création d’une union économique et monétaire. La mise en œuvre intégrale du Traité ne devait pas excéder l’année 2034. En cours de chemin, les dirigeants africains ont décidé, en janvier 2012, lors de la 18e session de l’UA de créer une Zone de libre-échange. Le processus de négociations a été initié en juin 2015, lors de la 25ème session ordinaire de l’UA à Johannesburg.Tags : Algérie, ZLECA, Afrique, Union Africaine, libre échange, -
Coronavirus: Le bilan en France s’élève à 11 morts pour 716 cas, dit la DGS
PARIS (Reuters) – La France compte 716 cas de contaminations au coronavirus et les autorités déplorent deux décès supplémentaires qui portent à 11 le nombre de morts enregistrées dans le pays, a annoncé samedi la Direction générale de la Santé (DGS) dans un communiqué.
Les deux victimes sont décédées dans les Hauts-de-France et en Normandie, a précisé l’agence qui confirme que le pays reste “au stade 2 de la gestion de l’infection au coronavirus covid-19”.
Le total annoncé samedi représente 103 cas supplémentaires par rapport au bilan communiqué la veille lorsque la DGS avait annoncé avoir identifié 190 contaminations supplémentaires.
Reuters
Tags : France, coronavirus,pandémie, infection, covid-19,
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Ghannouchi: « La Tunisie regorge de compétences féminines »
Un discours du Président du Parlement tunisien lors d’une cérémonie organisée par le mouvement Ennahdha dans le centre de la capitale à l’occasion de la Journée internationale de la femme
Mourad Belhaj | 07.03.2020
AA / Tunisie / Marwa Sahli
Le président du Parlement tunisien, Rached Ghannouchi, a salué, samedi, la place des femmes tunisiennes, notant que son pays regorgeait de grandes compétences féminines.
C’est ce qui ressort d’un discours prononcé par le chef du mouvement Ennahda en Tunisie lors d’une cérémonie organisée par le mouvement dans le centre de la capitale, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, célébrée le 8 mars de chaque année.
Ghannouchi a tenu à féliciter la femme tunisienne à l’occasion de cet événement annuel, soulignant sa valeur et son rôle important à travers le monde.
Au cours de la cérémonie, Ghannouchi a rendu hommage aux femmes chefs d’entreprise, parmi lesquelles Sarah Nour El-Din (propriétaire d’un projet dans le domaine des industries traditionnelles), Najat Al-Saidi Hamed (projet agricole) et Bakhtah Al-Za’louli (projet pour les patients autistes) et d’autres.
Pour sa part, la maire de Tunis, Souad Abdel-Rahim, a appelé à la nécessité de donner davantage de pouvoir aux femmes dans les postes de décision.
Elle a également appelé à la nécessité de lutter contre la violence à l’égard des femmes dans tous les domaines.
À son tour, Hayat Omri, membre du mouvement, a déclaré que son parti soutient les droits des femmes et leur fournit un environnement de travail pour se mettre en valeur.
Omri estime que les femmes sont la base du développement et de l’avancement des peuples.
ANAdolou
Tags : Tunisie, femmes, El Ghannouchi, Ennahdha,
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Qui est derrière l’exploitation des imams et des mosquées musulmanes en Belgique ?
Il a été constaté que des imams et des mosquées de Belgique ont été instrumentalisés de manière illégitime dans le traitement de questions ne concernant en rien les musulmans comme la propagande en faveur de la constitution marocaine soumise au recensement à la date du 1er juillet prochain.
Beaucoup d’intéressés parmi les musulmans de Belgique et autres se demandent pourquoi le gouvernement belge et le ministère de la justice, en charge des affaires confessionnelles et des lieux de culte, restent muets. La Belgique ne défend-elle pas les valeurs de la laïcité et la séparation entre la religion et la politique ainsi que la non intervention des religieux dans les affaires politiques.
Ces derniers jours, les musulmans de Belgique sont en colère après les sermons du vendredi passé tenus dans certaines mosquées; il a été traité de la question du référendum au Maroc et même plus que cela puisque certains imams ont lancé une propagande en faveur du gouvernement marocain avec un appel clair à voter « oui ». La majorité des Musulmans ont refusé que leurs mosquées soient instrumentalisées pour la propagande de l’Etat du Maroc dans les mosquées bâties avec leur argent privé pour le culte et la culture et non à des fins de servir un Etat, un parti politique ou un quelconque projet politique. Le fait d’instrumentaliser les imams et les mosquées en vue d’une propagande politique pour ces projets étrangers est en opposition avec les us et coutumes connus pour éloigner le rôle du culte pour un profit politique.
Le fait que l’ambassade marocaine à Bruxelles incite les imams en faveur d’une propagande pour le référendum marocain durant les sermons du vendredi et l’exposition des urnes de vote dans les mosquées le jour du vendredi directement après le sermon nous pousse à nous interroger sur le rôle de la mosquée, la relation de l’imam de la mosquée avec la société belge et les limites de ses compétences. Ces sermons et conférences propagandistes se font en Belgique au profit de l’Etat marocain afin d’imposer une large participation des Marocains résidents en Belgique après qu’une majorité de Marocains du Maroc aient refusé le vote en faveur de la nouvelle constitution qu’ils considèrent comme une constitution octroyée par le Roi du Maroc.
Les consultas marocains, à Bruxelles, Anvers et Liège, ont distribué des tracts et des dépliants dans de nombreuses mosquées et commerces afin de sensibiliser et d’inciter à la participation au référendum en faveur de la constitution. La plupart des Marocains résidents en Belgique ignorent son contenu; sans parler que ces RME portent la nationalité belge et la majorité d’entre eux n’ont pas de relation avec le Maroc si ce n’est la relation familiale. La politique du bâton que l’Etat marocain adopte à l’égard des imams des mosquées ainsi que certains élus d’origine marocaine, et l’instrumentalisation de la radio « Al manar » (radio pour tous les Arabes de Belgique), nous pousse à nous interroger sur les raisons de ce silence et la complicité du gouvernement belge et des ministères en charge du rôle du culte et de la radio « al manar ».
Mohamed Said
Bruxelles
Source : Akhbarona, 28 juin 2011
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Maroc: Ducarme proteste contre la tenue du référendum dans des mosquées belges
BELGA, 30 juin 2011.- Le député fédéral Denis Ducarme (MR) a protesté jeudi contre l’installation de bureaux de vote dans certaines mosquées belges, à l’occasion du référendum constitutionnel marocain.
Selon M. Ducarme, « les activités politiques sont à proscrire » dans les mosquées, d’autant plus que certaines d’entre elles sont en voie de reconnaissance par l’Etat et qu’elles bénéficieront d’un financement public.
L’organisation du vote dans les mosquées confirme par ailleurs « l’ingérence persistante des Etats étrangers dans l’organisation du culte islamique en Belgique », a ajouté M. Ducarme, évoquant au passage les tensions autour de l’exécutif des Musulmans.
La communauté marocaine de Belgique, forte de plus de 300.000 membres, pourra voter vendredi, samedi et dimanche, de 08h00 à 20h00, dans l’un des 23 bureaux ouverts pour l’occasion. Dix bureaux sont prévus à Bruxelles, notamment au sein des deux ambassades (auprès de la Belgique et auprès de l’Union européenne) et au consulat général, mais plusieurs mosquées et associations marocaines ont également accepté de mettre une salle à disposition.
Tags : Maroc, Belgique, mosquées, imames, RME, Al Manar,
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Tunisie : Ghannouchi accuse le Parti destourien libre d’entraver le travail du Parlement
– Le président du Parlement tunisien a expliqué que certains membres du bloc du Parti destourien libre cherchent à entraver le travail de l’Assemblée du peuple
Mourad Belhaj | 06.03.2020
AA – Tunisie – Chaïma Mannai
Le président du Parlement tunisien, Rached Ghannouchi, a accusé certains députés du bloc du « Parti destourien libre » (libéral / opposition) d’exploiter intentionnellement des failles dans le règlement interne du Parlement pour bloquer son activité.
C’est ce qui ressort d’un communiqué de presse de Ghannouchi, vendredi, en marge de sa participation à un forum organisé par l’Instance nationale de lutte contre la corruption (INLUCC), à l’occasion de la Journée Nationale du lanceur d’alerte.
Ghannouchi a déclaré aux journalistes qu’il « existe des lacunes dont certains députés ont profité pour entraver le travail de l’Assemblée du peuple (Parlement) et que la présidence est donc tenue d’assurer le travail du Parlement dans les meilleures conditions ».
Le président du Parlement tunisien a expliqué que certains membres du bloc du Parti destourien libre (16 sièges sur 217), dirigé par Abir Moussi, cherchent à entraver le travail de l’Assemblée du peuple.
Il convient de noter que la députée Moussi a toujours annoncé, dans des déclarations précédentes, qu’elle s’opposait à la révolution de 2011 qui avait renversé le régime de Zine El Abidine Ben Ali et qu’elle faisait preuve d’hostilité constante envers Ennahdha, dirigé par Ghannouchi.
« Nous avons mandaté une nouvelle commission pour développer le règlement interne du Parlement afin qu’il jouisse de toutes les conditions pour accomplir son travail », a ajouté Ghannouchi.
Et de poursuivre : « Le règlement interne sera modifié afin de resserrer et de renforcer les contrôles et les pouvoirs de la présidence du Parlement, afin d’assurer son travail dans les meilleures conditions. »
Jusqu’à présent, la députée Abir Moussi ou son bloc n’ont fait aucun commentaire sur les accusations de Ghannouchi.
Les sessions du Parlement tunisien ont souvent été suspendues, au cours de la période récente, suite à des accrochages entre députés.
Anadolou
Tags : Tunisie, Ennahdha, Parti Destourien, Abir Moussi, El Ghannouchi,
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Algérie – France : Consultations politiques entre les Secrétaires Généraux des Ministères des Affaires Etrangères
Consultations politiques entre les Secrétaires Généraux des Ministères des Affaires Etrangères algérien et français
La sixième session des Consultations politiques algéro-françaises au niveau des Secrétaires Généraux des Ministères des Affaires Etrangères s’est tenue, ce jour 5 mars 2020 à Alger, sous la co-présidence de Monsieur Chakib Rachid KAID, Secrétaire Général du Ministère des Affaires Etrangères, et de Monsieur François DELATTRE, Secrétaire Général du Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères.
Cette échéance, qui s’inscrit dans le cadre de la concertation régulière entre l’Algérie et la France, a donné lieu à un examen d’ensemble des relations et de la coopération liant les deux pays ainsi qu’à la mise en perspective des moyens à même de les renforcer, conformément à l’agenda politique convenu pour le premier semestre de l’année en cours.
Ces Consultations ont également été l’occasion de faire le point sur les préparatifs de la tenue à Alger, le 12 mars prochain, des travaux de la sixième session du Comité Mixte algéro-français de coopération économique (COMEFA) et d’échanger sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun, particulièrement le dossier libyen, la question du Sahara Occidental, la situation au Sahel et au Mali ainsi que d’autres questions globales liées à la lutte anti- terroriste et les changements climatiques.
A l’occasion de son séjour à Alger, Monsieur François DELATTRE a été reçu par le Ministre des Affaires Etrangères, Monsieur Sabri BOUKADOUM.
Tags : Algérie, France, consultations, MAE,
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Mauritanie : Retour de Mohamed Ould Debbagh
RETOUR AU PAYS DE MOHAMED OULD DEBBAGH L’UN DES HOMMES D’AFFAIRES EXILÉS PAR OULD ABDEL AZIZ
Des sources médiatiques, citant des sources familiales, ont indiqué que le directeur technique de Ould Bouamataou, Mohamed Ould Debbagh arrivera à Nouakchott, ce vendredi , via le vol de la Royal Moroccan Airlines. La source a expliqué que l’homme d’affaires Mohamed Ould Al-Dabbagh a décidé de rentrer dans le pays, après l’annulation du mandat d’arrêt émis contre lui, soulignant que le retour d’Ould Dabbagh pourrait être un prélude au retour de son manager, Mohamed Ould Bouamatou.
Mohamed Ould Dabbagh, directeur des institutions de Bou Amatou, a récemment bénéficié de la décision du pouvoir judiciaire mauritanien d’annuler le mandat d’arrêt international émis contre lui sous le règne de l’ancien président Mohamed Ould Aziz, dans le contexte du conflit qui sévissait à l’époque entre Ould Abdel Aziz et Ould Bouamatou
El Horra (Traduit par adrar.info)
Tags : Mauritanie, Mohamed Ould Debbagh, Mohamed Ould Bouamatou,