Catégorie : Tunisie

  • Tunisie : Fakhfakh a proposé une nouvelle offre à Ennahdha (Source à Anadolu)

    AA/Tunis/Adel Thebti

    Le chef du gouvernement tunisien désigné, Elyes Fakhfakh, aurait présenté une nouvelle offre au mouvement d’Ennahdha pour une mise à jour de la formation gouvernementale annoncée il y a peu, selon la déclaration d’une source proche des négociations à Anadolu.

    La source, ayant requis l’anonymat, a indiqué que « Fakhfakh a présenté une nouvelle offre au Mouvement d’Ennahdha concernant la formation du gouvernement », sans donner de détails.

    La même source a ajouté que « des négociations sont en cours, mardi entre Fakhfakh et des représentants d’Ennahdha afin de parvenir à un accord permettant de contourner la crise de la formation du gouvernement ».

    Toujours selon cette source, « Ennahdha s’était opposée à la formation proposée par Fakhfakh pour plusieurs raisons, dont l’exclusion du parti Au Cœur de la Tunisie (Qalb Tounes, 38 députés/217), en plus de certaines réserves sur quelques noms proposés dans la liste (qu’elle n’a pas identifiés) et qui ont été présentés comme étant des personnalités indépendantes alors que, soit elles ne l’étaient pas, soit il y avaient des soupçons de corruption ou de conflit d’intérêt en rapport avec elles », sans donner plus d’éclaircissement.

    Samedi, Fakhfakh avait annoncé avoir décidé avec Kaïs Saïed la possibilité de remanier la formation gouvernementale proposée, à la lumière de la décision d’Ennahdha (54/217 députés) de se retirer et de ne pas voter en sa faveur au parlement.

    La liste de Fakhfakh est composée de 30 portefeuilles ministériels convenus avant le retrait d’Ennahdha.

    Ennahdha avait annoncé, peu avant que Fakhfakh ne dévoile sa liste, qu’elle n’accordera pas sa confiance au gouvernement, à cause de l’obstination de Fakhfakh de rejeter la demande du mouvement portant formation d’un « gouvernement d’union qui n’exclut personne », dans une allusion à la non-participation du parti « Qalb Tounes » (Au Cœur de la Tunisie, 38 députés) au gouvernement.

    Le délai légal accordé à Fakhfakh pour achever la formation de la liste gouvernementale et la soumettre au président de la République prendra fin jeudi. Le président de la République soumettra la liste au parlement pour approbation.

    Pour recueillir la confiance du parlement, le nouveau gouvernement a besoin d’une majorité absolue (50+1), soit 109 voix sur un total de 217.

    Anadolou

    Tags : Tunisie, Fakhfakh, gouvernement, Ennahdha,

  • Tunisie, vers un gouvernement d’union nationale ou quasiment

    Le Premier ministre tunisien désigné par le président Saïed, Elyes Fakhfakh, n’est pas encore à un jour près du délai imparti pour former un gouvernement. N’empêche, il ne dispose pas de beaucoup de temps pour ce faire, la date limite étant fixée pour le 20 du mois courant. Or sa tâche ne consiste pas seulement à faire tenir ensemble des membres venus de partis rivaux, mais encore à leur faire obtenir la confiance de l’Assemblée. Ce qui, compte tenu du morcellement de cette chambre, est le principal obstacle à passer, celui-là même du reste sur lequel son prédécesseur, Habib Jamli, avait buté.

    A première vue, il lui suffirait de s’y prendre autrement que lui pour réussir. Jamli avait restreint à quatre le nombre des partis devant composer la nécessaire coalition gouvernementale ? Il n’aurait pour sa part qu’à élargir le spectre des parties prenantes pour qu’à l’heure de vérité, c’est-à-dire au moment du vote de confiance, le rapport de force du strict point de vue de l’arithmétique lui soit favorable.

    Contrairement à son prédécesseur, ni lui ni les partis dans leur diversité n’ont le droit à l’erreur, du moment qu’on ne voit aucun d’eux réclamer la tenue de nouvelles élections législatives. Son échec, si échec il y a, pourrait même rejaillir sur celui qui l’a désigné, c’est-à-dire sur le président Saïed en personne. Ce qui ne pouvait pas advenir avec Jamli, qui lui était l’homme d’Ennahda.

    Reste que dans cette hypothèse, ce n’est quand même pas lui qui serait obligé de demander aux électeurs de lui renouveler leur confiance mais la classe politique dans sa totalité, même si lui-même n’en sortirait pas grandi. Fakhfakh n’a donc pas le choix, ce n’est pas à un gouvernement de coalition qu’il doit tendre ou prétendre, mais à un gouvernement d’union nationale, ou quasiment, puisqu’il est un ou deux partis à qui n’agréent pas la perspective de devoir gouverner avec Ennahda. Car, en effet, avec Jamli comme avec Fakhfakh, c’est Ennahda qui se trouve au cœur de l’exécutif en formation, quand bien même elle ne détiendrait pas le plus grand nombre de postes ministériels, ni même les plus importants.

    Qalb Tounes, par exemple, le deuxième parti par le nombre de députés, ne veut pas gouverner avec elle, sans doute par crainte de perdre son âme. Mais supposons que Fakhfakh compose son équipe, et que celle-ci soit approuvée par une confortable majorité de députés. De qui relèverait-elle en premier lieu, est-ce de celui qui a choisi son chef, en l’occurrence le président de la République, ou du parti disposant à l’Assemblée du plus grand nombre de députés, c’est-à-dire d’Ennahda ?

    On peut se poser la question différemment : à qui appartiendrait le programme qu’elle voudrait mettre en œuvre, au président ou à Ennahda ? Logiquement, un président qui a le pouvoir de désigner un Premier ministre doit avoir celui de le renvoyer. Ce n’est pas ce que stipule la Constitution tunisienne.

    Le gouvernement Fakhfakh, dont des médias croient déjà connaître l’exacte composition, ressemblera à certains égards à celui qui n’a pas pu sortir de ses limbes, celui dont le chef avait été choisi par Ennahda. Là où celle-ci avait échoué, faute d’une majorité à l’Assemblée, elle pourrait bien le réussir, pour avoir soutenu la candidature de Saïed au deuxième tour de la présidentielle.

    Le Jour d’Algérie, 13 fév 2020

    Tags : Tunisie, Ennahdha, Qalb Tounes, Kaïes Saïed, Fakhfakh,

  • Libye : Macron dit comprendre pourquoi la Tunisie n’a pas participé à la conférence de Berlin

    Lors d’un entretien téléphonique entre Macron et Saïed, le président français a souligné la nécessité pour la Tunisie de participer à toute initiative à venir.

    Mourad Belhaj | 20.01.2020

    AA / Tunisie / Adel Thabti

    Le président français, Emmanuel Macron, a déclaré comprendre pourquoi son homologue tunisien, Kaïs Saïed, n’a pas participé à la conférence de Berlin sur la Libye.

    C’est ce qui ressort de l’entretien téléphonique qu’ont eu, lundi, les deux chefs d’Etat, selon un communiqué de la présidence tunisienne, dont Anadolu a reçu copie.

    Le communiqué a souligné que « le président français a informé le président de la République (Tunisienne) de sa compréhension des raisons qui ont fait que la Tunisie n’a pas participé à la conférence de Berlin, tenue dimanche, et l’a informé de ce qui avait été discuté et conclu lors de la conférence ».

    Dans un contexte connexe, l’entretien a porté sur « la nécessité de la participation de la Tunisie à toute initiative à venir ».

    Saïed a, pour sa part, rappelé l’initiative qu’il avait prise dans ce contexte, lorsqu’il a réuni un certain nombre de représentants tribaux et de la société civile libyenne pour parvenir à une solution Libo-libyenne, selon le communiqué.

    Saïed a déclaré que « la Tunisie est le pays le plus touché par la situation qui règne en Libye, car elle supporte plus que tout autre pays, en raison de sa situation géographique, les effets de cette guerre, notamment sur le plan de la sécurité, ainsi que sur tous les autres plans ».

    La Tunisie avait annoncé, samedi, qu’elle ne participerait pas à la conférence de Berlin sur la crise libyenne, arguant qu’elle n’avait reçu l’invitation à y assister que tardivement.

    La conférence de Berlin sur la Libye s’est tenue dimanche, avec la participation de 12 pays: les États-Unis, la Russie, la France, le Royaume Uni, la Chine, l’Allemagne, la Turquie, l’Italie, l’Égypte, les Émirats, l’Algérie et le Congo, ainsi que 4 organisations internationales et régionales: les Nations Unies, l’Union européenne, l’Union africaine et la Ligue arabe.

    Les forces de Haftar ont lancé, depuis le 4 avril, une offensive pour contrôler la capitale, Tripoli, siège du gouvernement d’entente nationale internationalement reconnu, ce qui a fait échouer les efforts des Nations Unies pour organiser une conférence de dialogue entre les Libyens.

    Anadolou

    Tags : Libye, Tunisie, France, Macron, conférence de Berlin,

  • Tunisie : L’UGTT appelle à former un gouvernement de sauvetage en urgence

    Dans une allocution prononcée par le Secrétaire général de l’UGTT (Centrale syndicale), Noureddine Tabboubi, devant un rassemblement de syndicalistes, à l’occasion du 9ème anniversaire de la Révolution tunisienne
    Mona Saanounı |
    14.01.2020

    AA/Tunis/Yemna Selmi

    Le Secrétaire général de l’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT- Centrale syndicale), Noureddine Tabboubi, a appelé, mardi, à former en urgence un gouvernement de sauvetage, qui adopte un programme social.

    C’est ce qui ressort du discours prononcé par Tabboubi, lors d’un rassemblement de syndicalistes devant le siège de l’UGTT à Tunis, à l’occasion du 9ème anniversaire de la Révolution tunisienne, qui avait abouti à la chute de l’ancien président tunisien défunt Zinelabidine Ben Ali.

    Tabboubi a appelé le président de la République, Kaïs Saïed, à « désigner une personnalité consensuelle pour la présidence du gouvernement, qui soit compétente et intègre et œuvre à la formation d’un gouvernement de sauvetage sur la base d’un programme social répondant aux attentes de notre peuple avec ses différentes classes sociales ».

    Le Secrétaire général de l’UGTT a également considéré que « le prochain gouvernement doit renfermer un nombre limité de ministres et que ses membres doivent être compétents et intègres ».

    Il a, entre autres, mis l’accent sur « la nécessité de tenir des concertations élargies entre toutes les parties autour de la formation du gouvernement, le plus rapidement possible ».

    Plus tôt dans la journée, le Président tunisien, Kais Saïed, avait envoyé une correspondance aux blocs parlementaires, leur demandant de présenter des noms de candidats compétents pour présider le prochain gouvernement, après le rejet du gouvernement de Habib Jemli.

    Vendredi dernier, le Parlement tunisien avait voté à une majorité de 134 députés contre le gouvernement de Habib Jomli, tandis que 72 députés avaient voté pour et 3 autres s’étaient abstenu.

    Tabboubi a considéré, d’autre part, que « l’UGTT est l’abri de tous les Tunisiens et avait eu un rôle crucial dans la destitution de l’ancien régime lors de la révolution, à travers l’organisation de manifestations de protestation et de grèves notamment à Sidi Bouzid (centre), Kasserine (ouest) avant que les manifestations ne s’étendent vers d’autres régions dont la capitale Tunis ».

    Le Secrétaire général de l’UGTT a souligné, dans ce contexte, que « sans l’UGTT, la révolution n’aurait pas réussi et le régime d’oppression n’aurait pas été destitué ».

    Et d’ajouter que « la célébration de l’anniversaire de la révolution reflète le refus de la dictature et de la corruption par la Tunisiens ».

    Les Tunisiens célèbrent, mardi, le 9ème anniversaire de la révolution (17 décembre 2010-14 janvier 2011) et la destitution du régime du président défunt Zinelabidine Ben Ali.

    Des centaines de syndicalistes ont scandé, lors du rassemblement devant l’UGTT, des slogans relatifs à la révolution tunisiennes dont « fidèles au sang des martyrs » et « Travail, liberté, dignité ! ».

    Anadolou

    Tags : Tunisie, UGTT, syndicats, travail,

  • Tunisie / Commémoration de la révolution dans un climat de morosité: la démocratie, c’est dur

    Pendant 8 ans, on avait commémoré la révolution du 14 janvier 2011 sur fond de désenchantement face à une crise multiforme qui ne fait que s’aggraver Ce sera malheureusement le cas cette année aussi.

    A mesure que les années passent, on prend de plus en plus conscience du prix à payer pour passer de la dictature à la démocratie. On s’aperçoit que celle-ci n’est pas la panacée.

    Au surplus, cette liberté que nous chérissons tant ne se décrète pas. Elle nécessite un long apprentissage, une nouvelle mentalité, des sacrifices et surtout elle n’a pas que des avantages, puisq’elle peut devenir une véritable malédiction si on en abuse.

    C’est ce à quoi Churchill voulait attirer notre attention quand il a défini la démocratie comme le pire de systèmes à l’exception de tous les autres.

    La démocratie, c’est la maîtrise de soi, c’est la rationalité, c’est la modération, c’est la tolérance, c’est le rejet de la violence, c’est le patriotisme, c’est toute une culture que nous n’avons pas encore. Ce qui ne veut pas dire qu’elle est hors de notre portée.

    Au contraire, de par notre histoire, notre homogénéité, notre tempérament pacifique qui privilégie les solutions pacifiques et les compromis, nous sommes peut-être le peuple arabe le mieux qualifié pour y accéder. Il suffit de faire les efforts qu’elle requiert.

    Leaders, 13 jan 2020

    Tags: Tunisie, printemps arabe, démocratie,

  • Tunisie : Fausse polémique au sujet du vol présidentiel pour se rendre au Sultanat d’Oman

    La polémique s’est emparé des réseaux sociaux. Son principal sujet ? Les frais de la participation du président tunisien Kaïes Saïed aux obsèques du Sultan d’Oman auxquels il s’est rendu en avion particulier à l’instar de la majorité des Chefs d’Etats venus dire un dernier adieu au Sultan d’État pacifique et stable.

    Selon des observateurs, dans tous les pays du monde les frais de transport du chef d’État sont payés par l’Etat-même. Par conséquent, le leader tunisien n’a rien à se reprocher, puisqu’il n’a fait qu’emboîter le pas aux autres dirigeants de la planète.

    Tags : Tunisie, Kaïes Saïed, polémique, transport, Sultanat d’Oman, vol présidentiel,

  • Tunisie : Le PDL appelle au retrait de confiance au Président de l’Assemblée Rached Ghannouchi

    Le premier ministre tunisien Habib Jemli a été reçu samedi par le président tunisien, Kais Saied au palais de Carthage. Ce dernier n’a pas réussi à obtenir le vote de confiance de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP)

    Habib Jemli a été chargé de former le gouvernement le 15 novembre 2019. Vendredi dernier, le parlement tunisien a voté contre. Ce même parlement très divisé encore suite aux velléités du Parti Destourien Libre (PDL) qui a appelé au retrait de confiance au Président de l’Assemblée Rached Ghannouchi

    Pour le parti d’Abir Moussi, il s’agit de “corriger la grave erreur commise contre cette institution constitutionnelle fondée par les leaders du mouvement national et pour laquelle plusieurs martyrs sont tombés le 9 avril 1938”.

    Dans une déclaration publiée samedi, le PDL précise que les 17 signatures des députés de son bloc parlementaire seront un point de départ pour rassembler les 73 signatures requises pour valider la pétition.

    Tags : Tunisie, Habib Jemli, gouvernement, Kaïes Saïed, Abir Moussi, El Ghannouchi, Ennahdha,

  • Tunisie : Un front parlementaire de 90 députés pour négocier avec le président

    Constitution d’un FRONT PARLEMENTAIRE de plus de 90 députés pour mener des consultations avec le Président de la République

    Tout de suite après l’annonce des résultats du vote de confiance qui a fait entrer le gouvernement de Mohamed Habib Jemli dans les annales négatives de l’histoire, grâce à un vote de 134 voix « contre » – 72 voix « pour » et 3 abstentions, les blocs parlementaires de Qalb Tounes, Mouvement Echaab, la Réforme nationale, l’Avenir, et Tahya Tounes, ont tenu une conférence de presse commune, sous la coupole du Parlement, lors de laquelle ils ont annoncé la constitution d’un FRONT PARLEMENTAIRE composé de plus de 90 députés, pour présenter une initiative nationale dont l’objectif est de mener des consultations avec le Président de la République, Kais Saïed, autour de la prochaine période.

    Ce front a été annoncé par Nabil Karoui, Président du parti Qalb Tounes et les présidents des autres blocs concernés.

    Source

    Tags : Tunisie, parlement, Ennahdha, Qalb Tounes, Tahya Tounes, Kaïes Saïed, El Ghannouchi,

  • Tunisie : Ennahdha optimiste pour le sort du gouvernement Jemli

    Dans une déclaration à la presse, le président de Majless el Choura, Abdelkarim Harouni s’est dit optimiste quant au passage du gouvernement Jemli.

    Le mouvement a finalement opter pour le choix de soutenir le gouvernement proposé par Habib Jemli contre tous les autres courants ayant déclaré s’y opposer.

    Pour les membres d’Ennadha, le gouvernement de Habib Jemli réussira à réunir les 109 voix nécessaire lors du votre de confiance.

    Tuniscope, 9 jan 2020

    Tags : Tunisie, Jemli, gouvernement, Ennahdha,

  • Libye : La Tunisie dit non à la Turquie

    Action militaire contre la Libye: le Non de la Tunisie à la Turquie

    Selon le journal en ligne libanais, al-Masdar News, la Tunisie n’autorisera pas la Turquie à utiliser son territoire pour intervenir en Libye.

    La porte-parole de la présidence tunisienne, Rachida Ennaifer a confirmé ce mardi que son pays refusait « catégoriquement » l’utilisation de son territoire dans le conflit libyen.

    « La Tunisie rejette catégoriquement toute ingérence étrangère en Libye, y compris l’intervention turque, qui est la position de principe de la Tunisie dès le début. Cette démarche n’a pas changé et ne changera pas », a-t-elle réitéré.

    À la question de savoir si la Turquie est autorisée d’utiliser le territoire tunisien pour intervenir militairement en Libye, Rachida Ennaifer s’est exprimée en ces termes :

    « Tunis ne pourra permettre à Ankara d’utiliser le territoire tunisien et la réponse du président tunisien Kaïs Saïed, à l’adresse de son homologue turc Recep Tayyip Erdogan a été explicite à ce sujet ».

    Elle a ajouté que « la souveraineté de n’importe quel pouce du sol tunisien n’est pas soumise à négociation », notant que des consultations sont toujours en cours concernant la possibilité de la participation de la Tunisie à la Conférence de Berlin sur la Libye. Lundi,6 janvier, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlüt Cavusoglu a déclaré que la Turquie enverrait des « experts militaires et des équipements techniques » pour soutenir le gouvernement internationalement reconnu en Libye.

    PressTV

    Tags : Libye, Tunisie, Turquie, Erdogan, Haftar, Tripoli,