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  • Les effets de l’épopée de El Guergarate

    Le 28 août 2016 restera dans les annales de l’histoire de la lutte du peuple du Sahara Occidental comme une nouvelle épopée de l’armée de libération populaire sahraouie.
    Comme dans toutes les histoires épiques, il y a toujours un point d’inflexion qui est le moment dans lequel, soudain, tout change. Cet instant historique marqué par un geste héroïque qui restera à jamais dans la mémoire collective et que rien ne pourra effacer.
    L’épopée de El Guergarate est l’histoire d’une bataille remportée sans tirer une seule balle. Elle constitue le point de départ d’une nouvelle étape marquante du processus de paix du Sahara Occidental. Désormais, il y a un avant et un après El Guergarate.
    Avec l’épisode de El Guergarate, les sahraouis ont fait retour au langage que les marocains comprennent et qu’ils croyaient disparu à jamais sous le brouillard d’un processus de paix qui bute depuis 25 ans sur leur arrogance, une arrogance cultivée et stimulée par le soutien de la France.
    La riposte de l’armée sahraouie était un message destiné au Maroc et à l’ONU. Il annonce la fin du temps de passivité face aux provocations marocaines en rappelant le statut du Front Polisario en tant qu’acteur principal et basique incontournable dont les capacités ne peuvent être ignorées et dont les décisions ne doivent pas être sous-estimées si l’on veut sauvegarder la paix et la stabilité dans la région.
    Au niveau intérieur, il a donné un nouveau souffle au sentiment patriotique d’une population sahraouie agacée par les provocations marocaines et la complaisance onusienne. 
    Pour l’opinion publique sahraouie, la riposte sahraouie constitue une étape charnière dans la ligne de conduite à suivre avec le Maroc et la communauté internationale qui aura ses répercussions positives sur la lutte du peuple sahraoie.
    Au niveau international, la riposte militaire sahraouie a poussé la question nationale dans le devant de l’actualité internationale forçant le Conseil de Sécurité à l’inscrire dans son agenda et à lui consacrer plusieurs sessions de débat et un communiqué du Secrétariat Général exprimant sa préoccupation par la situation. La MINURSO a été contrainte de reprendre son travail après une longue période d’inaction et de passivité et obligée de se déployer dans la zone del Guergarate. 
    Après 25 ans de patience, le message des sahraouis est crédible. La communauté internationale l’a bien reçu.
  • Nouveau rapport du SG de l’ONU, nouvelle déception pour le peuple sahraoui (CEAS-Sahara)

    Le Secrétaire Général des Nations Unies, qui est sur le point de terminer son mandat, vient de publier un nouveau rapport sur la question du Sahara occidental, qui couvre la période allant du 1er Juillet 2015 et le 30 Juin 2016.

    Ce rapport commence par rappeler quelque chose d’évident, même si cela dérange au plus haut point le Maroc et ses principaux alliés, l’Espagne et la France, c’est que le Conseil de sécurité estime que la question du Sahara occidental est une question qui rentre dans le cadre des questions relatives à la paix et à la sécurité, raison pour laquelle il a appellé dans des résolutions successives la réalisation d’une « solution politique mutuellement acceptable qui permette l’autodétermination du peuple du Sahara occidental », et que la quatrième Commission de l’Assemblée générale (Commission politique spéciale et de décolonisation) et le Comité spécial chargé d’examiner la situation en ce qui concerne l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux considéré comme «le Sahara occidental en tant que territoire non autonome l’examinent au titre des questions relatives aux territoires non autonomes et à la décolonisation ».
    Le Secrétaire général rappelle également dans son rapport que le statut définitif du Sahara occidental est le thème des négociations qui se déroule sous ses auspices, prévue dans les résolutions successives du Conseil de sécurité, tout en regrettant l’absence de négociations sérieuses « sans conditions préalables et de bonne foi afin de parvenir à une solution politique mutuellement acceptable qui permette l’autodétermination du peuple du Sahara occidental « .
    Le Secrétaire général du Front POLISARIO a salué ces déclarations qui malgré leur évidences ont provoqué une réaction de la part du Maroc dont la gravité empêche de la qualifier de puérile et grotesque, la tyranie alaouite étant habituée à essayer de prendre les Nations Unies comme cour pour leur recréation et jouer un petit numéro (si vous permettez l’expression) à chaque fois que les Nations Unies rappellent la situation d’occupation illégale du territoire.
    Dans ce rapport, le Secrétaire général des Nations Unies rend compte de la visite (du 29 Juillet au 4 Août 2015) dans les camps des réfugiés sahraouis effectuée par le Bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les droits de l’homme (HCDH), afin de « obtenir des informations de première main et de mieux comprendre la situation prévalant dans les camps en matière des droits de l’homme et des difficultés rencontrées dans ce domaine ». La visite a également permis au HCDH de réfléchir au tour que la coopération pourrait prendre à l’avenir pour assurer la protection effective des droits de l’homme.
    Face à la situation de blocage et de stagnation provoquée par l’attitude marocaine et la permissivité, voire la complicité, de l’Espagne et de la France, le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies rend compte également dans son rapport de sa première visite (dans la fin de son mandat en tant que chef de l’ONU) au camps de réfugiés de Smara, près de Tindouf et à la base des opérations de la MINURSO (Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara occidental).
    Le Secrétaire Général des Nations Unies voulait avec ce voyage, entre autres, « évaluer la situation sans intermédiaire et apporter ma contribution á la recherche d’un réglement et attirer l’attention sur le sort des réfugiés dans cette crise humanitaire qui dure depuis longtemps ». Suite á cela, le Gouvernement marocain violemment critiqué certaines de ses déclarations et de nouveau et de la manière puérile la plus inimaginable a envoyé une liste de 83 membres du personnel civil international de la MINURSO et l’Union africaine qui devraient quitter les territoires occupés du Sahara occidental dans un délai de trois jours. Au même temps, dans un geste insolite et inhabituel dans les relations internationales, le Maroc a dit qu’il ne voulait pas recevoir l’Envoyé personnel du Secrétaire général ni reprendre le processus de négociation.
    M. Ban Ki-moon achève son rapport avec un paragraphe qui sonne comme un adieu et dans lequel il rappelle que, malgré les efforts renouvelés de l’ensemble du système des Nations Unies, y compris son action personnelle, persiste l’absence de progrès sur le terrain, la frustration et les dramatiques conditions de vie de la population réfugiée après l’occupation illégale de son territoire, tout en réitérant aux parties, aux États voisins et à la communauté internationale, les responsabilités qui sont les leurs en ce qui concerne trouver une solution au conflit et d’en favoriser la mise en oeuvre. « J’invite donc les partues à s’acheminer sans plus attendre, avec l’aide des pays voisins, vers une solution, et à cette fin, je les exhorte à engager des négociations de bonne foi avec le concours de mon Envoyé personnel ».
    L’État espagnol ne peut pas encore faire la sourde oreille alors que c’est le plus haut représentant dedes Nations Unies qui rappelle avec préoccupation la frustration et les difficiles conditions de vie imposées au peuple sahraoui depuis plus de 40 ans. L’Espagne devrait prendre note et savoir à quel point nous pouvons être près d’un nouveau conflit armé avec des conséquences imprévisibles pour toute la région et dont les conséquences pourraient arriver à l’ensemble de l’Europe.
    Nous avons en face une nouvelle occasion. Au mois de Décembre proche, où l’Espagne préside le Conseil de sécurité et y met fin à son mandat en tant que membre non permanent, l’État espagnol peut et doit, compte tenu de son statut de puissance administrante de jure du territoire du Sahara occidental, travailler au sein des organisations internationales auxquelles elle appartient – Union européenne, Nations Unies, OCDE, OTAN – en faveur de la réalisation d’un référendum d’autodétermination qui assure l’expression libre et authentique de la volonté du peuple sahraoui conformément aux décisions pertinentes de l’Union africaine (UA) et des résolutions des Nations Unies.
    L’année prochaine, 2017, une nouvelle personne assumera les responsabilités en tant que Secrétaire général de l’ONU. Serions-nous en train de dire au peuple sahraoui que le processus recommence de nouveau? Jusqu’à quand peut-on prévoir qu’un peuple assume de voir comment l’ONU et l’Espagne piétinent ses droits légitimes? Le conflit restera-t il dans ses paramètres actuels? Face à tout changement, personne ne peut montrer du doigt un peuple et des dirigeants qui pendant des décennies ont parié pour la voie pacifique, également promue par les Nations Unies, alors qu’ils regardent non seulement comment on bafoue ses droit légitime à l’autodétermination, mais aussi comment ses droits humains sont violés.
    Nous ne pouvons pas terminer ces lignes sans réitérer notre douleur à cause de la perte au cours de la période couverte par ce dernier rapport du Secrétaire général des Nations Unies, du Secrétaire général du Front POLISARIO et Président de la République arabe sahraouie démocratique, Mohamed Abdelaziz.
    Nous avons perdu un homme de paix, un exemple de volonté, engagement et lutte, dont le témoignage a déjà été repris par le nouveau Secrétaire général, par le Frente POLISARIO et par tout le peuple sahraoui.
    Abdelaziz vit encore et notre combat continue!!!
    CEAS-Sahara

    Traduction : Diaspora Saharaui

  • Un nuevo Informe del Secretario General de las Naciones Unidas, una nueva decepción para el Pueblo Saharaui

    El Secretario General de las Naciones Unidas, a punto ya de terminar su mandato, acaba de publicar un nuevo informe relativo a la cuestión del Sáhara Occidental que abarca el período comprendido entre el 1 de julio de 2015 y el 30 de junio de 2016.
    Dicho informe comienza recordando algo obvio, por más que le pese a Marruecos y sus principales aliados España y Francia y es que el Consejo de Seguridad considera que la cuestión del Sáhara Occidental es una de las cuestiones relativas a la paz y seguridad, por lo que en sucesivas resoluciones ha pedido que se alcance una “solución política mutuamente aceptable que prevea la libre determinación del pueblo del Sáhara Occidental”, y que la Cuarta Comisión de la Asamblea General (Comisión Política Especial y de Descolonización) y el Comité Especial Encargado de Examinar la Situación con respecto a la Aplicación de la Declaración sobre la Concesión de la Independencia a los Países y Pueblos Coloniales consideran “el Sáhara Occidental como un Territorio No Autónomo y examinan la cuestión entre las relativas a la descolonización”.
    El Secretario General recuerda también en su Informe que el estatuto definitivo del Sáhara Occidental es objeto de un proceso de negociación que se desarrolla bajo sus auspicios, previsto en sucesivas resoluciones del Consejo de Seguridad, al tiempo que lamenta la ausencia de unas verdaderas negociaciones “sin condiciones previas y de buena fe para lograr una solución política mutuamente aceptable que prevea la libre determinación del pueblo del Sáhara Occidental”.
    El Secretario General del Frente POLISARIO acogió con agrado estas declaraciones que por más obvias que nos puedan parecer produjeron una reacción por parte de Marruecos que si no fuera por su gravedad, podríamos calificar de infantil y grotesca, acostumbrada como está la tiranía alauí a tratar de convertir a las Naciones Unidas en su patio de recreo y montar el numerito (si se nos permite la expresión) cada vez que las Naciones Unidas recuerdan la situación de ocupación ilegal del territorio.
    En dicho Informe el Secretario General de las Naciones Unidas da cuenta de la visita (entre el 29 de julio y el 4 de agosto de 2015) a los campamentos de población refugiada saharaui por parte de la Oficina del Alto Comisionado de las Naciones Unidas para los Derechos Humanos (ACNUDH) con el fin de “recabar información de primera mano y entender mejor la situación de los derechos humanos y los problemas en los campamentos de refugiados”. La visita también permitió que el ACNUDH pudiera examinar modalidades para la cooperación en el futuro, a fin de velar por una protección eficaz de los derechos humanos.
    Ante la situación de bloqueo y estancamiento provocado por la actitud marroquí y la permisividad, cuando no complicidad, de España y Francia, el Secretario General de las Naciones Unidas da cuenta también en su Informe de su primera visita (terminando ya su mandato como máximo representante de las Naciones Unidas) al campamento de refugiados de Smara, cerca de Tinduf y a la base de operaciones de la MINURSO (Misión de las Naciones Unidas para el Referéndum en el Sáhara Occidental).
    El Secretario General de las Naciones Unidas quería con dicho viaje, y entre otros objetivos, “dar fe de la situación penosa y prolongada de los refugiados desde el punto de vista humanitario”. Tras la misma, el Gobierno de Marruecos objetó enérgicamente algunas de sus declaraciones y nuevamente del modo más infantil imaginable la Misión Permanente de Marruecos envió una lista de 83 miembros del personal civil de contratación internacional de la MINURSO y la Unión Africana que debían abandonar los territorios ocupados del Sahara Occidental en el plazo de tres días. Al mismo tiempo, en un gesto insólito y desconocido en las relaciones internacionales, Marruecos indicó que no deseaba recibir al Enviado Personal del Secretario General ni reanudar el proceso de negociación.
    El Señor Ban Ki-moon, termina su informe con un párrafo que suena ya a despedida y en el que recuerda que a pesar de los renovados esfuerzos de todo el sistema de las Naciones Unidas, incluida su actuación personal, persiste la falta de progresos sobre el terreno, la frustración y terribles condiciones de vida de la población refugiada tras la ilegal ocupación de su territorio, al tiempo que reitera a las partes, los Estados vecinos y la comunidad internacional, las responsabilidades que les incumben de hallar una solución al conflicto y promoverla, “por tanto, reitero mi llamamiento a las partes para que avancen hacia una solución sin más demora y, con ese fin, las insto a que entablen negociaciones genuinas con el apoyo y la facilitación de mi Enviado Personal”.
    El Estado Español no puede otra vez hacer oídos sordos, cuando es el máximo representante de las Naciones Unidas quien recuerda con preocupación la frustración y las terribles condiciones de vida a las que se ha sometido al Pueblo Saharaui durante más de 40 años. España debería tomar nota y ser consciente de lo cerca que podemos estar de un nuevo conflicto armado con consecuencias imprevisibles para toda la región y que directamente salpicaría al conjunto de Europa.
    Estamos ante una nueva oportunidad. El próximo mes de diciembre en el que España presidirá el Consejo de Seguridad y en el que termina su pertenencia al mismo, el Estado Español puede y debe, atendiendo a su condición de potencia administradora de iure del territorio del Sáhara Occidental, trabajar en el marco de las organizaciones internacionales a las que pertenece – Unión Europea, Organización de las Naciones Unidas, OCDE, OTAN, – a favor de la realización de un referéndum de autodeterminación que asegure la expresión libre y auténtica de la voluntad del Pueblo Saharaui, en aplicación de las decisiones pertinentes de la Unión Africana (UA) y de las resoluciones de las Naciones Unidas.
    El próximo año 2017 una nueva persona asumirá las responsabilidades como Secretario General de las Naciones Unidas. ¿Le estamos diciendo al Pueblo Saharaui que el proceso empieza de nuevo? ¿Hasta cuándo es previsible que un Pueblo asuma como las Naciones Unidas y España niegan sus legítimos derechos? ¿Permanecerá siempre el conflicto en sus actuales parámetros? Ante cualquier cambio, nadie podrá desde luego hacer responsable a un pueblo y unos dirigentes que durante décadas han apostado por la vía pacífica, promovida también desde las Naciones Unidas, mientras no solo ven negado su legítimo derecho de autodeterminación sino como son vulnerados el conjunto de sus derechos humanos.
    No podemos terminar estas líneas sin reiterar nuestro dolor ante la pérdida, durante el periodo que abarca este último Informe del Secretario General de las Naciones Unidas, del Secretario General del Frente POLISARIO y Presidente de la República Árabe Saharaui Democrática, Mohamed Abdelaziz.
    Se nos fue un hombre de paz, un ejemplo de voluntad, entrega y lucha, cuyo testigo ya ha sido recogido por el nuevo Secretario General, por el Frente POLISARIO y por todo el Pueblo Saharaui. 
    ¡¡¡Abdelaziz vive y nuestra lucha sigue!!! 
    CEAS-Sahara
  • Paz e independencia piden partidos de izquierda para pueblo saharaui

    Una cita de partidos de izquierda latinoamericanos exigió aquí al Consejo de Seguridad y la Asamblea General de Naciones Unidas la pronta ejecución del Plan de Paz para el Sahara Occidental y pidió la independencia de ese territorio.
    Una moción de la recién terminada reunión de Partidos Comunistas de América Latina y el Caribe se refiere al plan de paz firmado por el Reino de Marruecos, que ocupa de facto el mencionado territorio, y el Frente Polisario que lucha por la independencia de la República Saharaui.
    Al demandar la ejecución del plan, exige también el cumplimiento de las resoluciones internacionales que plasman el derecho del pueblo saharaui a la independencia y la autodeterminación.
    También reclama al Reino de Marruecos que permita las visitas, sin restricciones, a los territorios saharauis ocupados, de delegaciones parlamentaria, medios de prensa y organizaciones no gubernamentales, para hacer más visible la situación en esos territorios.
    La moción condena las graves violaciones de derechos humanos perpetrados por las autoridades marroquíes contra la población civil saharaui y exige la libertad de los presos políticos, encarcelados por ejercer sus derechos y libertades fundamentales.
    Los partidos comunistas y revolucionarios latinoamericanos llamaron a todos los países de la región que todavía no han reconocido a la República Saharaui, que lo hagan como forma de presión a Marruecos a avanzar a la paz en la zona, que atraviesa una situación bélica.

    http://www.wanafrica.com/destacados/paz-e-independencia-piden-partidos-de-izquierda-para-pueblo-saharaui/

  • La RASD se convierte en el primer Estado del Norte de África en ratificar el nuevo Protocolo del Parlamento Panafricano

    Sáhara Occidental/África
    espacioseuropeos (27/8/2016)
    La República Árabe Saharaui Democrática (RASD) ratificó el pasado viernes el nuevo Protocolo relativo al Acta Constitutivo de la Unión Africana (UA), que establece el Parlamento Panafricano (PAP),tras haber sido firmado por el Consejo Nacional (Parlamento) Saharaui.
    El Representado permanente de la RASD en la Unión Africana, Laman Baali, fue recibido, junto al agregado cultural en la embajada saharaui en Addis Abeba, Wadadi SAlek, por el Consejero Legal de la Unión Africana a fin de culminar los procedimientos relativos a la ratificación del protocolo.
    Mediante ese Protocolo – aprobado por la Cumbre de Jefes de Estado y de Gobierno de la UA celebrada en Malabo, en 2014-, se transformará el mandato del Parlamento Panafricano de consultivo a jurídico.
    Con esta ratificación, afirma la Agencia de Noticias Saharaui (SPS), “la República Saharaui se convierte en el primer país de la región norte de África y el cuarto del continente en ratificar el Protocolo de Malabo sobre la reestructuración y transformación del mandato del Parlamento Panafricano como un órgano de la Unión Africana, con el fin de garantizar una mayor participación de los pueblos africanos en la toma de decisiones relativas a los retos y dificultades que afronta el continente”.
    En relación con la fuerte presencia diplomática de la RASD en la Unión Africana, es importante el que la Presidenta de la Comisión de la Unión Africana (UA), Nkosazana Dlamini-Zuma, mantiene su apoyo al pueblo saharaui, dentro del marco del respeto al derecho del pueblo saharaui a su autodeterminación.
  • Un ressortissant italien tué à Kénitra : Daech frappe au Maroc et le Makhzen nie

    «Un individu a attaqué, aujourd’hui mercredi à Kénitra, quatre ressortissants italiens tuant l’un d’entre eux et blessant trois autres, ont indiqué les autorités locales de la province de Kénitra.» L’information ainsi donnée par les médias marocains laisse penser qu’il s’agit d’un banal fait divers. Cette thèse est soutenue par les détails qui sont fournis par les mêmes sources et qui accréditent l’idée que les motivations de l’assassin (qui court toujours) sont purement personnelles : les victimes font partie d’un cirque en tournée au Maroc et l’assassin lui aussi travaillait dans ce cirque. Le site de la DGED, le 360ma, explique l’attaque de Kénitra par un différend financier. C’est la deuxième fois que des étrangers sont tués au Maroc, après Tétouan, et les médias avaient prétendu que l’auteur de l’attaque était un malade mental.
    Comme en Allemagne ou aux Etats-Unis, à chaque attaque, les responsables et les médias s’empressent de parler d’un acte commis par un déséquilibré mental ou qui n’a rien à voir avec le terrorisme. Le Maroc procède de la même manière. Difficile de croire à cette version. Le Makhzen ne veut pas reconnaître le lien entre ces crimes commis contre des étrangers et le groupe terroriste Daech qui a entrepris depuis quelques mois de s’installer au Maroc, à la suite des coups qu’il reçoit en Libye et aussi en Syrie et en Irak. Pourtant, en mai dernier, c’est le directeur du Bureau central d’investigation judiciaire (BCIJ), Abdelhak Khiame, qui révélait dans une interview au journal marocain Al-Massae que le groupe terroriste Daech a exhorté ses combattants à créer des cellules dormantes au Maroc pour préparer des attentats, particulièrement contre les étrangers.
    En juin, des médias marocains ont cité un rapport issu des renseignements britanniques qui a fait savoir que Daech a «placé le Maroc à la tête des cibles auxquelles ses cellules terroristes comptent s’attaquer prochainement». Toujours selon les médias marocains, le rapport britannique a été publié quelques semaines seulement après l’annonce, par l’Institut espagnol des études sécuritaires, d’un document de propagande publié par Daech et plaçant le Maroc à la tête de vingt-huit pays «ennemis». A Kénitra, le mode opératoire basé sur l’usage de l’arme blanche est celui mis en application de plus en plus par les terroristes de Daech. Hier soir, dans une auberge pour «backpackers» de Home Hill, localité rurale au sud de Townsville, dans le nord de l’Etat du Queensland, en Australie, un Français âgé de 29 ans a tué une Britannique à coups de couteau et a blessé deux autres personnes. S’il n’avait pas crié «Allah Akbar», il serait passé pour un déséquilibré, mais en prononçant cette phrase quand il a été arrêté, il a signé son acte, il est donc terroriste de Daech ou d’un autre groupe semblable, qu’importe le nom.
    Mais les policiers australiens osent douter encore. Pour le directeur adjoint de la police, Steve Gollschewsk, qui s’est confié aux journalistes à Brisbane, les propos tenus par le suspect «peuvent être interprétés comme extrémistes», mais, a-t-il poursuivi, «nous n’écartons aucune piste à ce stade, qu’elle soit politique ou criminelle». Ceci dit, les sources qui donnent l’information rappellent que l’Australie a relevé en septembre 2014 son niveau d’alerte à la menace terroriste et qu’au moins six attentats ont été déjoués sur le territoire australien au cours des 18 derniers mois.
    La menace est encore plus forte au Maroc où, au mois de mai dernier, le BCIJ a annoncé être parvenu à «mettre en échec un dangereux plan terroriste» consistant en «des attentats de grande envergure contre des missions diplomatiques occidentales et des sites touristiques, conformément à l’agenda de Daech».
    Houari Achouri
    http://www.algeriepatriotique.com/fr/article/un-ressortissant-italien-tu%C3%A9-%C3%A0-k%C3%A9nitra-daech-frappe-au-maroc-et-le-makhzen-nie
  • La tensa situación en Gergarat, al detalle

    Omar Slama

    La evolución de la situación en la zona de Gergarat (extremo sur del Sahara Occidental) deja en evidencia la capacidad de la MINURSO para hacer cumplir no sólo el principal de sus objetivos como es el referéndum de autodeterminación, sino lo elemental; el cumplimento del alto el fuego. La primera denuncia por parte del Frente Polisario por la violación del alto el fuego por parte de Marruecos ya criticaba los tres aspectos más controvertidos: Socava el acuerdo militar nº1 acordado entre ambos que regula el proceso del cese del alto el fuego por el que prohíbe cualquier acción militar o crear instalaciones en la zona de amortiguamiento, (que se extiende a lo largo de cinco kilómetros del muro de la vergüenza marroquí), también da a Marruecos la posibilidad de anexión de un área fuera del cinturón y crea una grave situación de tensión en una zona delicada e impide el funcionamiento pleno en la frontera saharaui mauritana.
    Después de esta primera queja formal del Frente Polisario a las Naciones Unidas, tanto por escrito, el secretario de estado de seguridad, Brahim Ahmed Mahmud, ha llamado a consultas al jefe de la Misión de las Naciones Unidas por un Referéndum en el Sahara Occidental MINURSO en Tinduf, al Dr. Yussef Djedyan, para trasladarle su fuerte protesta por una flagrante violación marroquí al acuerdo del alto el fuego firmado en 1991 entre las partes en el conflicto.
    Ante tal situación, la MINURSO intentó llegar al lugar de los hechos por vía terrestre (como es habitual), cosa que Marruecos impidió a la misión. Cabe destacar que este último acto no se refleja en ninguna de las últimas declaraciones que el máximo órgano internacional ha hecho en lo referente al Sáhara Occidental, un acto que es aún más grave porque restringe la libre circulación de la misión que supervisa la situación exclusivamente para el Consejo de Seguridad y no ha sido reflejada en acta. Esta negativa ha obligado a la MINURSO a recurrir a los helicópteros para la vista preliminar de lo que está sucediendo en la región y los efectivos aéreos de la misión sobrevolaron Guergarat, el mismo día Marruecos se movilizó para la evacuación de las fuerzas militares y mantuvo a los componentes de la gendarmería e ingeniería civil del ejército, así como vehículos pesados y elementos para la pavimentación de la vía de siete kilómetros que une Gargarat y la frontera del Sahara Occidental con Mauritania.
    El portavoz de las Naciones Unidas declaró que la misión no había observado presencia militar en la zona, algo que animó a Marruecos para proceder al levantamiento de la carretera.
    Ambos días, el Frente Polisario hizo llegar al enviado especial del Secretario General, el Sr. Christopher Ross, su protesta ante esta grave situación.
    En la noche del viernes, y a petición de Venezuela, el Consejo de Seguridad celebró una reunión con el enviado especial Ross para analizar la situación, dicha reunión sólo ha mostrado lo perjudicialmente pasivo que está siendo el Consejo de Seguridad de la ONU con esta cuestión, ya que no hubo consenso en el seno del máximo órgano para actuar ante la grave situación.
    Unas horas antes, Frente Polisario había hecho unas demandas al Consejo para velar por la estabilidad de la región, ofrecía así el Polisario dos principales puntos como partida hacia la solución de la situación creada por el reino de Marruecos; 
    1- Detener la ilegal construcción de la carretera en territorio saharaui liberado 
    2- Crear un Centro de Vigilancia de las Naciones Unidas en esta zona
    Ante la falta de progreso del Consejo de Seguridad, el Frente Polisario decide convocar el pasado viernes una reunión de urgencia del Secretariado Nacional de Frente Polisario; ordena tomar medidas ante una grave agresión a a la soberanía saharaui.
    La primera de las medidas no se hizo esperar, a primera hora de la mañana del domingo una unidad del ejército saharaui acompañada por la unidad de intervención y apoyo de la Gendarmería, llega a la zona del Gergarat, para ser preciso a 200 metros de las obras. En ningún momento la unidad saharaui impidió el tráfico de vehículos hacia Mauritania, su actuación fue la de impedir el avance de las obras, lo que hizo que los funcionarios de la ingeniería civil del ejército marroquí se retirasen de la zona ante la presencia del ejército saharaui.
    Sobre las 14h del medio día es cuando llegan a la zona los efectivos de la MINURSO. 
    El Consejo de Seguridad ha convocado una nueva reunión para analizar la situación; fuentes saharauis aseguran que el Frente Polisario no va a permitir ninguna incursión marroquí en el territorio saharaui liberado y denuncian el empeño de Marruecos de llevar a la región a una guerra sin cuartel.
    Ahora el Consejo de Seguridad se ve ante una caótica situación que le obliga a actuar ante un nuevo desafío marroquí.
    No obstante, hoy el secretario general de la ONU, Ban Ki-Moon, ha llamado en un comunicado ( https://www.un.org/sg/en/content/sg/statement/2016-08-28/statement-attributable-spokesman-secretary-general-western-sahara ) a « ambas partes a respetar el acuerdo de él alto el fuego », así como ha mostrado su « preocupación ante la grave situación que se ha creado en la zona ». Ha reconocido asimismo y por primera vez la presencia militar marroquí sobre el terreno.
    Una situación que ha sido fruto del pulso constante y repentino del reino de Marruecos a la comunidad internacional.

    http://www.unmundoenconflicto.com/index.php/articulos/sahara/46-la-situacion-en-gergarat-al-detalles

  • Yassine Mansouri & Cie sous le choc

    Selon le site Soumoud, ce lundi matin, ce qui s’appelle presse électronique au Maroc a choisi le silence des cimetières prouvant ainsi à ceux qui ont encore un petit doute, sa dépendance des services secrets du Makhzen.
    La situation dans la zone de El Guergarate risque d’exploser d’un moment à l’autre. Cependant, c’est le silence radio chez cette presse, toujours prête á chanter les fanfarrinades du régime marocain, ajoute le site sahraoui. Elle attend peut-être que Yassine Mansouri et ses copains se réveillent du choc provoqué par l’audacité de la décision du Front Polisario de remettre le Makhzen à sa place dans la région de El Gargarate.
    Le silence de la presse marocaine reflète le degré de confusion qui a envahi les cercles de décision au Maroc suite à la décision des autorités sahraouies de d’envoyer des unités de l’armée sahraouie pour mettre fin aux travaux d’asphaltage menées par l’occupation marocaine pour en faire un passage sécurisée vers la frontière mauritanienne à travers la zone tampon.
    La confusion de ceux qui dictent au roi malade ses sorties, habitués à ne pas compter sur la présence de l’armée sahraouie sur sa terre et qu’elle a le droit de riposter à toute violation du cessez-le-feu si la MINURSO ne remplit pas dûment sa mission.
    Reconforté par l’idée erronée qui veut que la guerre a été abandonnée á jamais et que le bras de fer sur le Sahara Occidental s’est déplacé vers les coulisses du Conseil de Sécurité où la France s’est érigé contre toute résolution condamnant les pratiques marocaines qui menacent la paix et la sécurité dans la région, et non pas sur le territoire sahraoui.
    Le Maroc a limité la capacité de travail de la MINURSO, persisté dans l’obstruction des efforts du Secrétaire Général de l’ONU et de ses deux envoyés Personnel et Spécial, continue de violer les droits de l’homme dans les zones occupées du Sahara Occidental et de spolier ses ressources naturelles. L’arrogance et le soutien de la France lui ont fait croire qu’il pouvait changer le statu quo dans la région de El Gargarate dont il voulait faire un passage vers la localité de La Güera, comme s’il était le seul acteur sur le terrain.
  • Marruecos, un niño mimado al que hay que parar los pies

    La bandera saharaui ondeando
    en El Gargarat
    Generalmente, un niño mimado es insoportable porque es indisciplinado, manipulador y no es agradable estar con él. Además, los niños mimados siempre están dispuestos a:
    – no seguir las normas
    – no cooperar
    – no hacen caso de un « no » o no obedecen
    – protestar por todo
    – no distinguir entre lo que necesitan y lo que desean
    – insistir en hacer lo que ellos quieren
    – ser injustos con los demás y abusar de ellos
    – no respetan los derechos de los demás
    – intentar dominar a todos
    – tolerar mal las frustraciones
    – lloriquear o tiene rabietas/enfados frecuentes
    – quejarse constantemente de estar aburridos
    Se diría que estamos hablando del comportamiento de Marruecos en la cuestión del Sahara Occidental.
    – Es indisciplinado. Lleva 40 años rechazando cumplir las órdenes de la ONU que exigen la organización de un referendum de autodeterminación para el pueblo saharaui.
    – Es manipulador : Recurre a tramas como el soborno, el engaño y la mentira para hacer perdurar su ocupación del territorio saharaui.
    – No es agradable estar con los marroquíes. La MINURSO y el personal de la ONU conocen los métodos groseros y agresivos de los responsables marroquíes.
    – Marruecos no sigue las normas ni obedece ni coopera con las instancias internacionales en todo lo relativo al Sáhara Occidental.
    – Protesta por la mínima resolución o decisión de la ONU o de cualquier organismo internacional. Responde a las críticas diciendo que « Marruecos no está dispuesto a tolerar que se dude de su buena voluntad y de los esfuerzos que está haciendo… « .
    – Los marroquíes son injustos con los saharauis y no dudan en violar los más mínimos derechos fundamentales del ciudadano saharaui.
    – Insisten en que la única solución es la que ellos proponen : la pseudo-proposición de autonomía e interpretan el derecho a la autodeterminación a la manera que les conviene.
    – Están continuament enfadados con el Enviado Personal y el Secretario General de Naciones Unidas y si no es con éstos, es con los ayudantes de Ban Ki-moon a quienes suelen culpar de estar detrás de las decisiones y los informes del SG de la ONU.
    Pero al igual que los niños mimados no nacen así, sino que es obra del comportamiento permisivo de los padres, Marruecos se convirtió en un niño mimado gracias a la protección de Francia y a la tendencia del SG de la ONU a ceder ante las presiones francesas hasta el punto de incluir en cada informe anual frases de alabanza y halago al régimen marroquí.
    Como a todo niño mimado, el Frente Polisario adoptó la respuesta idónea con Marruecos : parándole los pies con la intervención de tropas saharauis en el Gargarat, Ante la audacia de la decisión saharaui, Marruecos se hizo invisible en esa zona, No se esperaba tal respuesta por parte de las autoridades saharauis. Con el tiempo, los marroquíes cultivaron la idea de que son invulnerables. Ahora, la prensa marroquí cultiva el silencio total ante el choque de la intervención saharaui. Los jefes de la DGED que ayer allardeaban el corage del ejército marroquí, hoy se hacen muy discretos.
  • On ne tolerera aucune nouvelle progression des marocains dans la zone de Guergaratt, dit le Polisario

    Alakhbar – Un haut officier de l’armée sahraouie, en l’occurrence Youcef Ahmed, a affirmé que le Polisario ne tolérera pas une nouvelle avancée marocaine dans le secteur de Guergaratt, qualifiant les dernières manœuvres marocaines dans la zone, de violation flagrante du cessez-le feu signé par les deux parties.
    Le Front Polisario a mobilisé dimanche, 28 août courant, ses forces dans la zone et établi des barrages, pour parer à toute éventuelle progression marocaine, a-t-il dit, déplorant par ailleurs, ce qu’il a appelé, l’absence de tout rôle de la Minurso alertée de la violation marocaine de l’accord précité.
    Le Polisario étudie actuellement ses stratégies d’avenir, selon les rebondissements sur le terrain, a-t-il poursuivi, qualifiant désormais, la présence militaire de l’armée sahraouie de « fait concret ».
    La zone restera ouverte par notre armée devant la circulation des voyageurs mauritaniens a-t-il conclu.
    Traduit de l’Arabe par Cridem