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  • L’armée sahraouie reprend le contrôle de Guergarate sans tirer une balle

    Une source sécuritaire sahraouie qui a préféré garder l’anonymat a déclaré que l’armée sahraouie s’est déployé ce midi dans la zone de Guergarate, au sud du Sahara Occidental.
    La même source a annoncé que des véhicules de la Première Région Militaire sahraouie dont dépend ce secteur qui a connu une tension ascendante dans les derniers jours, sont arrivés ce midi avec des troupes sahraouies à leur bord et des armements de calibre lourd, moyen et léger.
    Les forces sahraouies sont arrivées aux points des travaux de bitume initiées par le Maroc en violation des termes du cessez-le-feu.
    Des témoins visuels ont affirmé que les unités de l’armée sahraouie sont arrivés dans la zone qui sépare le mur marocain et la frontière mauritanienne. Des patrouilles de la MINURSO ont été observées surplace.

    SOURCE : ADDAMIR

  • Moroccoleaks : Un rapport conjoint HCR/PAM rappelle au Maroc son statut de « occupant de la terre du Sahara Occidental »

    Dans une note du 02 mai 2014, Mohammed Amine Belhaj, Directeur des Questions Globales au ministère marocain des affaires étrangères, rappelle à l’ambassadeur du Maroc à Genève que « le rapport intitulé « nutrition Survey / Western Sahara Refugee Camps, Tindouf, Algeria / Report on Nutrition and Anaemia Intervention Impact Analysis » n’a pas été retiré du site Internet du Polisario (http://www.arso.org/index.htm) ni du site « Norvegia support committee for Western Sahara  » (http://vest-sahara.no/a49x2018)). De même les emblêmes du HCR eet du PAM figurent toujours sur la page de couverture du rapport ».
    « Il sied de rappeler que le rapport en question contient des informations tendanncieuses sur la question nationale, dont notamment le fait que le Maroc est qualifié « d’occupant de la terre du Sahara Occidental », ajoute la note.

    Donc, le Maroc a demandé au HCR de retirer ce rapport!

    Suite aux plaintes marocaines, une nouvelle  version a été publiée, Elle contient 27 modifictions para rapport à l’ancienne version. Tous les changements ont effacé le mot « Western Sahara » du rapport. Le mot « Morocco » a aussi été supprimé de la version finale. Dans la plupart des cas, le mot « Western Sahara » a été remplacé par « Saharawi » ou a été tout simplement effacé.

    Selon le Comité Norvégien de soutien au Sahara Occidental, il s’agit de la première fois où l’étude du HCR sur la nutrition des réfugiés évite de citer le nom du territoire d’origine des réfugiés.
    Suite aux modifications, le nouveau titre du rapport est devenu : «  »Nutrition Survey Saharawi Refugee Camps, Tindouf, Algeria ».

    Depuis, le HCR ne cesse de céder face aux pressions du gouvernement marocain. Ce dernier décrit le Haut Commissaire pour les Réfugiés, Antonio Guterress comme un « ami du Maroc ». Guterress n’a pris aucune mesure contre son chef de Cabinet suite aux déclarations qu’il a faites à l’ambassadeur marocain à Genève. Des déclaration qui ont été révélées par le cyber-activiste Chris Coleman24.

    Lien pour télécharger la note marocaine

  • Le haschich marocain arrive en Mauritanie à travers le Mali

    Alors que le monde entier se met en quatre pour pacifier le Sahel, le Maroc semble aller en direction opposée en continuant à exporter le cannabis vers cette région où les organisations terroristes en ont fait leur principale source d’approvisionnement.
    Selon des informations rapportées par Sahara Media, un organe très proche de la DGED marocains, « les éléments de la police au niveau du point de passage au niveau de Gogui Zemal, à la frontière avec le Mali ont intercepté mercredi 50 kg de Haschich et des bouteilles d’alcool qu’un passager malien, à bord d’un mini bus tentait d’introduire en Mauritanie ». 
    « Des sources de Sahara Media ont confirmé l’arrestation d’un ressortissant malien, natif de Bamako, qui tentait par ailleurs d’introduire des sachets plastiques interdits dans le pays », ajoute la même source. 
    « Le point de passage où cette saisie a été faite, relève de la moughata de Kobeny, wilaya du Hodh El Gharbi », conclue Sahara Media. 
    http://fr.saharamedias.net/De-la-drogue-et-de-l-alcool-saisis-a-la-frontiere-avec-le-Mali_a7170.html
  • ‘El Gobierno español debe contribuir a devolver al pueblo saharaui libertad y territorio’

    Enrique López/Podemos
    El diputado de Podemos Asturies tomó parte en la Manifestación por los Derechos del Pueblo Saharaui este mediodía en Xixón
    Gijón/Xixón.-El Estado español debe asumir un mayor protagonismo para la resolución del conflicto saharaui, recalcó este mediodía Enrique López durante su participación en la Manifestación por los Derechos del Pueblo Saharaui, que discurrió por el Muro, entre el Puente del Piles y las inmediaciones de la Pescadería Municipal de Xixón. El diputado del Grupo Parlamentario dePodemos Asturies en la Junta General aseguró que «el Gobierno español debe contribuir a devolverle al pueblo saharaui la libertad y su territorio».
    El parlamentario autonómico lamentó la «absoluta pasividad de la comunidad internacional ante la anexión violenta por parte de Marruecos del territorio saharaui tras la Marcha Verde». El partido morado considera que puesto que «fue otro Gobierno español el que con su pasividad permitió aquella ocupación militar del Sáhara Occidental», el Ejecutivo español tiene una deuda moral contraída con el pueblo saharaui. Enrique López señaló que con movilizaciones como la de hoy se exige «que se solucione de una vez el conflicto y que la República Árabe Saharaui Democrática (RASD) se convierta en un estado libre de pleno derecho donde se respeten los derechos del pueblo saharaui y los derechos humanos». Denunció que «desde hace ya más de cuarenta años hay cerca de 160.000 personas viviendo en campamentos de refugiados en Tinduf, en el desierto argelino, en unas condiciones muy duras».
    En la manifestación también participó el concejal Mario Suárez, portavoz municipal de Xixón Sí Puede. El acto, en el que tomaron parte varios cientos de personas (entre ellos, las niñas y niños saharauis que estos días apuran sus vacaciones de verano con familias asturianas antes de regresar a los campamentos de Tinduf), estaba convocado por la Asociación Asturiana de Solidaridad con el Pueblo Saharaui, la Delegación de la RASD en nuestra comunidad autónoma y la Comunidad Saharaui Residente en Asturias (COSARA).
    FOTO: Podemos Asturies
  • Les médias marocains s’acharnent contre Ramtane Lamamra et s’en prennent à sa fille

    Les médias marocains s’en sont pris à la fille du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, dans une série d’articles haineux. La cause de ce énième emportement du Makhzen : la soutenance par la fille du ministre d’une thèse sur la cause sahraouie à l’université de Cambridge. Handicapé par l’efficacité, la probité et l’influence de Ramtane Lamamra sur la scène internationale, le régime marocain a longtemps cherché la «faille» pour tenter de le discréditer aux yeux de ses partenaires et homologues étrangers auprès desquels il jouit d’un grand respect, mais sans succès. Devant cette impuissance face à celui que Rabat décrit comme son «ennemi juré», les médias de propagande de Mohammed VI ont cru trouver la brèche en taclant le ministre algérien à travers un membre de sa famille.
    En commettant cette série d’articles honteux, les journalistes à la solde du roi et de sa clientèle qui prennent en otage tout un peuple réduit à la privation la plus absolue – le Maroc profond, ce n’est pas le Marrakech du rire, les festival cache-misère et les clips imitation Hollywood d’un chanteur contrefacteur en vogue en ce moment –, avouent, en définitive, ce que tout le monde sait déjà. Mohammed VI et ses dévoués souffrent de douleurs stomacales depuis que des bruits insistants courent sur une fort probable élection du ministre des Affaires étrangères algérien à la tête de la Commission de l’Union africaine. Ramtane Lamamra part favori dans cette course à la présidence de cette instance exécutive de l’organisation panafricaine.
    Désavoué dans le dossier du Sahara Occidental, isolé sur la scène internationale depuis son comportement puéril à l’égard du secrétaire général de l’ONU, affaibli intérieurement par une situation économique désastreuse, menacé par une montée de l’extrémisme religieux que ses alliés européens tentent vainement de celer, le Maroc est conscient que la tribune de l’Union africaine, qu’il cherche à réintégrer pour y répandre ses thèses boiteuses, serait immunisée pour plusieurs années encore contre ses turpitudes.
    «Des attaques contre Ramtane Lamamra, il y en aura encore», affirment des sources informées à Algeriepatriotique. «Le Maroc est sur le fil du rasoir et il ne lui reste que la gesticulation pour tenter de sauver ce qui peut l’être dans le dossier du Sahara Occidental», notent nos sources qui soulignent que «Rabat n’a d’autre choix que de jouer au trouble-fête pour se faire entendre, maintenant qu’il a perdu toute crédibilité aux yeux de la communauté internationale». Pour ce faire, le Makhzen s’appuie sur une brochette de lobbyistes qui ont prouvé leur superfluité.
    «Nous ne pratiquons pas la diplomatie du mégaphone», avait subtilement répliqué Ramtane Lamamra, en novembre 2015, suite à une des nombreuses provocations du Maroc à l’égard de l’Algérie. Sa réponse à cette nouvelle agression est déjà toute faite.
    Karim Bouali

  • Moroccoleaks : Actividad del representante saharaui en Croacia provoca delirios del embajador marroquí

    El encuentro de Malainin Bacada con Frano Matusic, adjunto de Milorad Pupovac, presidente de la Comisión de Asuntos Exteriores del Parlamento Croata no le cayó nada bien al embajador marroquí en Zagreb.
    Este último inventa toda una serie de embustes para desmentir la recepción conseguida por el representante saharaui y que ha sido reportada por SPS. « Las acciones cíclicas (aproximadamente dos al año) del representante del Polisario, destinadas a cender su discuros en total ruptura con la mímica pizca de simpatía por parte de las autoridades croatas, tienden más a justificar a los ojos de su jerarquía ses fastuosos gastos, de ahí ses recurrentes afabulaciones y falaces declaraciones », dice el embajador marroquí.
  • Mohammed VI, el buen alumno de Kim Jong-un

    En su conflicto con la ONU, el rey de Marruecos parece haber asimilado y aprendido perfectamente la política de provocación del líder norcoreano, Kim Jong-un. Cuanto más aumenta la presión de la ONU, más multiplica las provocaciones contra el organismo internacional. 
    Ambos regímenes están protegidos por una potencia mundial. Corea del Norte, por China, Marruecos por Francia. Las condenas internacionales y las resoluciones del Consejo de Seguridad de la ONU o las presiones ejercidas, respectivamente, por París y Pekín, no dieron ningún resultado. A pesar de ello, tanto dirigentes chinos como franceses, incluso muy molestos por estas continua bravuconadas, no tienen la intención de abandonar a sus respectivos aliados. Sobre todo porque son conscientes de que los riesgos de aumentar la escalada hasta la confrontación militar directa entre, por una parte, Corea del Norte y Estados Unidos, y Marruecos y el Frente Polisario, por la otra, son, hay que reconocerlo, pocos.
    Si Kim Jong-un responde a las advertencias de la comunidad internacional con nuevos lanzamientos de misiles, el último de ellos tuvo lugar hace a penas una semana, Mohammed VI afirma su testarudez prohibiendo al Secretario General de la ONU visitar El Aaiún, capital del Sahara occidental, para inspeccionar la misión de la ONU que se encuentra ahí desde hace 25 años. Más todavía, Rabat procedió, pocos días después, a la expulsión de gran parte del contingente de la MINURSO en respuesta a la decisión de Ban Ki.moon de visitar a los campamentos de refugiados saharauis y la base onusina de Bir Lahlu.
    Haciendo caso omiso de las advertencias de la ONU, Kim encadena los tiros de provocación. Mohammed VI, siguiendo los pasos de su homólogo coreano, sigue desafiando a la comunidad internacional. Ambos dictadores son conscientes de que el precio a pagar por estas repetidas provocaciones es inexistente, lo que les da una casi impunidad gracias al veto de sus aliados en el Consejo de Seguridad.
    Esta declarada voluntad de confrontación con Naciones Unidas puede ser una simple retórica con objetivos domésticos para mostrar que los dos regímenes van bien y tienen la iniciativa en esta confrontación.
    En Corea del Norte, Kim Jung-un agita la amenaza de un ataque nuclear contra Estados Unidos. En Marruecos, Mohamed VI, al no tener el suficiente valor para invadir los territorios liberados del Sáhara Occidental, recurre a pequeñas artimañas para proyectar una imagen de fuerza al pueblo marroquí y ocultar su debilidad y los efectos de la presión de la ONU contra el régimen marroquí. Esta presión se encuentra en los continuos llamamientos de la ONU que recuerdan el estatuto legal del Sahara Occidental como territorio no autónomo y el derecho inalienable del pueblo saharaui a la autodeterminación.
    De entre estos gestos qui parecen gestos de desesperación se halla la última decisión de Marruecos de asfaltar la ruta entre el muro defensivo marroquí y el puesto fronterizo mauritano de El Gargarat. Una decisión que podría ser la última locura del régimen de Mohamed VI que mantiene, desde hace 40 años, a la población saharaui en una gran prisión cerrada a periodistas y políticos extranjeros que no tienen la costumbre de beneficiarse de las privilegios de la hospitalidad de La Mamounia.
    Esta salida marroquí, que viola las términos del alto el fuego de 1991, suena como un nuevo desaire a la ONU. Sobre todo porque va acompañado por el anuncio de la próxima apertura de una fábrica de municiones.
    Por lo tanto, en un declarado « estado de guerra », el conflicto con el embajador Christopher Ross, seguido de otro con el propio Secretario General Ban Ki-moon, el despliegue de su ejército en la zona de Gargarat, las amenazas con expulsar a toda el contingente de la MINURSO, el régimen empuja la barra de las provocaciones hasta el máwimo con el fin de consolidar su posición en las negociaciones sobre el estatuto definitivo del territorio saharaui.
  • Mohammed VI, le bon élève de Kim jong-un

    Dans son conflit avec l’ONU, le roi du Maroc semble avoir assimilé et appris la politique de provocation du leader nord-coréen Kim jong-un. Plus la pression de l’ONU augmente, plus il multiplie les provocations contre l’instance internationale.
    Les deux régimes sont protégés par une puissance mondiale. La Corée du Nord, par la Chine, le Maroc par la France. Les condamnations internationales et les résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU ou les pressions exercées respectivement par Pékin et Paris n’ont donné aucun résultat. En dépit de cela, autant les dirigeants chinois que les français, même fortement agacés par ces bravades continuelles, n’ont pas l’intention de laisser tomber leurs alliés respectifs. D’autant plus qu’ils sont conscients que les risques d’une escalade allant jusqu’à la confrontation militaire directe entre, d’un côté, la Corée du Nord et les Etats-Unis, et le Maroc et le Front Polisario, de l’autre sont, il faut le reconnaître, faibles.
    Si Kim jong-un répond aux avertissements de la communauté internationale par des nouveaux tirs de missiles, le dernier a eu lieu il y a à peine une semaine, Mohammed VI, manifeste son entêtement en interdisant au Secrétaire Général de l’ONU de se rendre à El Aaiun, capitale du Sahara Occidental, pour inspecter la mission onusienne qui s’y trouve depuis 25 ans. Pis encore, Rabat procède, quelques jours plus tard, à l’expulsion d’une grande partie du contingent de la MINURSO en réaction à la décision de Ban Ki.moon de se rendre aux camps des réfugiés sahraouis et à la base onusienne de Bir Lehlou.
    Faisant fi des mises en garde l’ONU, Kin enchaîne les tirs de provocation. Mohammed VI, suivant les pas de son homologue coréen, continue à défier la communauté internationale. Les deux dictateurs sont conscients que le prix à payer pour ces provocations répétées est nul, ce qui leur confère une quasi-impunité grâce au veto de leurs alliés au Conseil de Sécurité.
    Cette volonté déclarée de confrontation avec l’ONU peut être une symple réthorique avec des visées domestiques pour montrer que les deux régimes se portent bien et ménent l’initiative dans cette confrontation.
    En Corée du Nord, Kim jung-un brandit la menace d’une attaque nucléaire contre les Etats-Unis. Au Maroc, Mohammed VI, n’ayant pas le courage d’envahir les territoires libérés du Sahara Occidental, fait recours à des petits gestes pour lancer un message de force au peuple marocain et cacher la faiblesse et les effets de la pression de l’ONU contre le régime marocain. Cette pression se trouve dans le rappel du statu légal du Sahara Occidental en tant que territoire non autonome et le droit incontournable du peuple sahraoui à l’autodétermination.
    Parmi ces gestes qui ressemblent à des gestes de désespoir la dernière décision marocaine de bitumer la route entre le mur de défense marocain et le poste frontalier mauritanien de Gargarat. Une décision qui pourrait être la dernière folie du régime de Mohammed VI qui maintient, depuis 40 ans, la population sahraouie dans une grande prison fermée aux journalistes et aux hommes politiques étrangers qui n’ont pas l’habitude de bénéficier des bienfaits de l’hospitalité de La Mamounia.
    Cette sortie marocaine, qui viole les termes du cessez-le-feu de 1991, sonne comme un nouveau pied de nez à l’ONU. D’autant plus qu’elle accompagnée de l’annonce de l’ouverture bientôt d’une usine de production de munitions.
    Ainsi donc, dans un « état de guerre » déclaré, le conflit avec l’ambassadeur Christopher Ross, ensuite avec le SG Ban Ki-moon, le déploiement de son armée dans la zone de Gargarat, les menaces d’expulser la totalité du contingent de la MINURSO, le régime pousse la barre des provocations au maximum dans le but de consolider sa position dans les négociations sur le statut définitif du territoire sahraoui.
  • Marruecos incita a la guerra en el norte de África

    El Consejo Peruano de Solidaridad con el Pueblo Saharaui (COPESA) ofreció un desayuno en honor del embajador saharui en México, Ahmed Mulay Alí, al que asistieron miembros de la institución, así como dos invitados excepcionales, el exministro Rodolfo Beltrán y el destacado analista Ricardo Escudero Vigil.
    Distinguió la reunión, asimismo, la presencia de Juan Suárez, presidente del Centro Federado de Periodistas de Lima, así como la hospitalidad del anfitrión Manuel Ruiz Huidobro. Estuvieron presentes Ricardo Sánchez Serra, Gary Ayala y Nathalie Mandujano, presidente, secretario general y secretaria de prensa de COPESA, respectivamente.
    El embajador Mulay explicó en forma didática la problemática del pueblo saharaui en el contexto internacional, el desacato de Marruecos a las resoluciones de las Naciones Unidas, sus provocaciones en la zona desmilitarizada y que incita a la guerra. Hizo un llamado a los países para que reconozcan a la República Árabe Saharaui Democrática. Asimismo explicó la situación apremiante en que viven los saharauis en los campamentos de refugiados desde hace 40 años, luego de la invasión de Marruecos a su territorio.
    El diplomático saharaui cumple una serie de actividades en Lima, como reunirse con parlamentarios y brindar conferencias magistrales como en la Universidad Mayor de San Marcos y universidades privadas
    http://rsanchezserra.blogspot.pe/2016/08/marruecos-incita-la-guerra-en-el-norte.html
  • Discours du roi Mohammed VI : un non-événement

    Rabat, Maroc, 25 août 2016.- Le dernier discours du roi Mohammed VI s’inscrit en droite ligne avec ses habitudes et sa caractéristique de personnalité faible entourée de mauvais conseillers. Nous sommes loin des discours des anciens leaders qui sont restées dans les annales de l’histoire comme guides de sagesse et de bonne gouvernance. 
    Celui-ci est un discours qui constitue un non-événement. Il est oublié aussi vite qu’il est prononcé. Son contenu est facilement identifiable. Ses jugement dénotent une tonalité enfantine et ne comportent aucune proposition de solution logique et définitive. Avec peu d’imagination et sans aucune profondeur à l’instar d’une flaque d’eau formée dans une superficie plane après une forte averse. Il est vide et chargé d’expressions menaçantes et sent l’arrogance. Il veut transmettre l’image de celui qui détient la vérité alors qu’il dégage un flagrant sentiment d’insécurité qui implore la pitié de ses mentors.
    En bon manipulateur, le roi Mohammed VI veut donner l’impression qu’il gouverne un pays ultra-avancé alors que le Maroc est ravagé par le sous-développement, la misère et l’analphabétisation. Il continue à surfer sur la vague du mensonge et de la tromperie tout en évitant de parler des sujets qui intéressent les marocains : l’argent du Panama Papers, les terrains luxueux vendus à prix dérisoire…
    Il n’a rien dit de ses interminables disputes avec les Nations Unies, l’Union Européenne et le continent africain. Il préfère vendre du faux à l’instar du nouveau costume qu’il essaie de porter et qui lui va très mal. Celui du Che Guevara l’anticolonialiste. Il s’attaque au colonialisme qui l’a intronisé et continue à protéger la dynastie alaouite au Conseil de Sécurité et grâce auquel le Maroc a obtenu des relations privilégiées avec l’Union Européenne. Ce qui prouve que son discours était spécialement dirigée à la consommation interne. Quitte à ne pas rattraper une sale indigestion.