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  • Les étudiants universitaires de Nouakchott se mobilisent pour le Sahara Occidental

    Un groupe d’étudiants mauritaniens de l’Université de Nouakchott et des écoles d’enseignement supérieur a annoncé la formation d’une entité étudiantine sous le nom de « Intitiative étudiantine de soutien au peuple sahraoui ». Le but de sa création, selon ses fondateurs, est de créer une opinion publique parmi les étudiants qui soutienne le droit du peuple sahraoui à l’autodeétermination et à la création d’un Etat sahraoui indépendant » et « éduquer les étudiants universitaires sur les problèmes de leur environnement et mettre la lumière sur la réalité de la question sahraouie et le conflit qui en découle ».

    D’après le site « Aqlam Hourra », cette fondation vise également à « pousser les autorités mauritaniennes à l’adoption d’une attitude positive à l’égard de la question du Sahara Occidental en faveur des droits du peuple sahraoui, selon la déclaration fondatrice de cette intitiative.

    Les étudiants signataires se sont engagés « publiquement avec le peuple sahraoui dans son épreuve jusqu’à ce qu’il arrache ses droits et décide de son sort sans aucune ingérence externe ».

    Source : UPES

  • Des colons marocains soutenus par la police attaquent les activistes sahraouis des droits humains à El Aaiun

    El Aaiun (territoires occupés), 07/04/2010 (SPS) Plus de vingt personnes ont été grièvement blessées mardi dans deux attaques de la part de miliciens marocains déguisés en civils contre la délégation des activistes sahraouis qui revenait d’une visite familiale aux camps de réfugiés, ont indiqué des témoins oculaires.
    La première agression a fait dix blessés à l’aéroport de la ville d’El Aaiun occupée, dans l’aérogard même devant la police qui les encourageait, a précisé la même source.

    Sidi Mohamed Dadech, Mahjoub Oulad Cheikh, Hassana Elouali, Soukeina Jidehlou, Hamada Ismaili, Sultana Khaya, Vekka Bdadi, Ijina Bouhan, Moueilimnine Soueih et Veddah Aghlamenhoum, ont tous été blessés par des bâtons et autres objets contondants des miliciens marocains.
    La deuxième agression s’est déroulée devant le domicile de Sidi Mohamed Dadech. Une vingtaine de citoyens sahraouis venus recevoir les membres de la délégation seront blessés en plus de quatre autres membres de la même délégation, selon un premier bilan cité par le ministère sahraoui des territoires occupés et de la communauté.

    Mme Djimi Elghalia, vice présidente de l’association des victimes des graves violations des droits humains commises par le Maroc au Sahara occidental, a précisé que « les colons marocains portaient des outils tranchants et des bâtons ».

    Les autorités marocaines ont lancé récemment une campagne de recrutement de « milices de colons armés à la ville de Tan Tan (sud du Maroc) et à El Aaiun, afin de mener des agressions contre les défenseurs des droits de l’homme, qui se rendent dans les camps de réfugiés sahraouis.

    La seconde délégation de militants qui avait visité les camps de réfugiés sahraouis et les territoires libérés en février dernier, avait été victime d’une attaque similaire à El Aaiun occupée et à Tan tan (sud du Maroc) , rappelle-t-on. (SPS )
  • 29 prisonniers sahraouis en grève de la faim : Les droits de l’homme au cœur de toute solution

    Par Mohamed Chaabouni
    Depuis le 18 mars, un mouvement de grève de la faim est entrepris par des détenus sahraouis pour protester contre les violations répétées du droit à la défense et revendiquer un procès juste et équitable. 
    Dès le 8 octobre, les 7 militants sahraouis (Ali Salem Tamek, Brahim Dahane, Ahmed Naceri, Idagja Laghgare, Salah loubbihi, Yahdith Ettarouzi, Rachid Seghayer) ont été illégalement arrêtés à l’aéroport de Casablanca, à leur retour d’une visite des camps de réfugiés, sous l’accusation fallacieuse de « trahison, de complot et de menace contre la sécurité de l’Etat ». Dans l’attente de leur traduction devant un tribunal militaire, ils ont été incarcérés à la prison de Salé et subi les pires sévices. Dans le régime tortionnaire de sa Majesté, les prisons de Tiznit, Taroundat, Aït Melloul, Boulamaharez, Inzegane et Kenitra, sont peuplées de détenus sahraouis dont le seul tort est de rendre visite à leurs familles déracinées et vivant l’enfer de la séparation imposée par le « mur de la honte ». Tel est présentement le cas de la délégation, conduite par l’ancien prisonnier politique, Naâma Asfari, pour dénoncer la « répression féroce » malgré « le risque » d’incarcération qui pèse sur leurs épaules. Le mouvement de grève généralisé a dangereusement entamé l’état de santé précaire des 7 détenus qui ont refusé, depuis vendredi passé, de quitter leurs cellules. Des signes de détérioration se font sentir en raison des difficultés respiratoires de Salem Tamek en proie aux crises d’asthme et de vomissements, de la paralysie du bras droit et des douleurs aiguës à l’estomac de Brahim Dahane, des problèmes cardiaques et de tachycardies d’Ahmed Naceri et abdominales de Rachi Seghayer. La détérioration vertigineuse de l’état de santé des grévistes de la faim, mise « sous embargo médiatique et militaire» par le Maroc, a amené le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, à saisir encore une fois le président du conseil de sécurité, le délégué permanent du Japon, Yokyo Tokaso, pour assumer la responsabilité de l’ONU déjà informée, le 16 novembre de l’arrestation arbitraire des 7 détenus. Placée en « priorités » absolues, lors de la prochaine rencontre informelle, prévue en avril, la question des droits de l’homme est, pour le président sahraoui, « une condition essentielle » de toute solution politique qui consacre le principe d’autodétermination, conformément à la résolution du conseil de sécurité.
    Horizons

  • Les militants des DH sahraouis agressés par les colons

    Bilan de l’attaque au premier jour du retour des 12 activistes Sahraouis des droits de l’homme dés leurs arrivés à la ville de El Aiun / Sahara Occidental:

    Ce soir mardi le 06 Avril 2010 vers 19 Heure Locle de la ville de El Aiun / Sahara Occidental. Les 12 défenseurs des droits de l’homme Sahraouis, qui ont étaient dans une visite humaine dans les camps des réfugies Sahraouis dans le sud de l’Algérie depuis Mars dernier.
    A leur arrivée dans l’aéroport de la ville de El Aiun vers 19h, ils ont trouvé un rassemblement de plus de 700 colons marocains à leurs réception, organisé comme dirigé par les autorités marocaines, qui ont préparé cette ironie, qui était accompagnée par des insultes, des craches, des agressions verbales inimaginables, même ils ont agressé ces défenseurs des droits de l’homme Sahraouis dans le hall de l’aéroport devant les yeux des forces de sécurité marocaines, qui n’ont pas réagi avec le moindre des gestes ni humain, ni de galentrie pour sauver ces activistes, par contre ils ont encouragé les agresseurs de persister leurs torture contre les innocents activistes.
    Les membres de la délégation ont indiqué que dès leurs arrivée à l’aéroport, ont été attaqués par une masse de colons avec la bénédiction des forces de sécurité marocaines, qui ne sont pas intervenus pour faire cesser cette attaque qui a était faite par des centaines de colons, une attaque qui ne peut être jamais spontanée, et qui était encadrée par les fameux bourreaux marocains officiers: Aziz Anouche, et Khaled Baraka. Surtout que l’aéroport de El Aiun est connu internationalement par ses lourdes mesures sécuritaires. Et selon les témoins les activistes ont été brutalement torturés, comme ces colons l’ont déshabillaient.
    Comme nous vous informons que les défenseurs des droits humains sahraouis, Mme Djimi Lghalya, Mme Fatimatou Ismaili, Mr Bachir Khfaoni, Mr Hmaida Rahmouni et Mme Yehdiha Balali, ont été tous victimes d’une agression par une foule de colons, simplement parce qu’ils étaient dans la réception de leurs amis activistes, en signalant que le parebrise de sa voiture a été complètement cassé et celui de la voiture du Mme Djimi, ainsi que la blessure du militant Rahmouni au niveau de son œil.
    Et après s’être débarrassé des agresseurs grâce a l’aide de citoyens sahraouis, les activistes ont essayé de s’introduire dans leurs domiciles, qui ont étaient sous un contrôle rigide des force sécuritaires marocaines, afin qu’il n’y auras aucune signe de joie des sahraouis, ces forces ont intervenus brutalement devant la maison de Mr Sidi Mohamed Dadach dans le quartier Irak dont ont ignorent encore la liste des victimes.
    En outre, selon l’activiste sahraoui des droits humains Mr Asfari Naama, qui était parmi la délégation que les autorités marocaines ont préparés l’attaque contre eux, il a indiquer que des observateurs internationaux ont été empêché de prendre le même vole afin de voir la réalité dans la ville de El Aiun, le faite que tous le monde soit prêt pour le plus pire des grave violations des droits de l’homme dans la zone sous contrôle marocain du territoire du Sahara Occidental , ce qui prouve que c’est une politique systématique d’agression et de violation des droits de l’homme marocaine au Sahara Occidental, et qui est inchangeable.
    Et voici une liste préliminaire des victimes de cette attaque féroce :
    -Nguiya Daddach (4 ans): Blessures au niveau de sa main.
    -Sultana Jaya: militante: Blessures au niveau de la tête et du visage.
    -Fakka Abdadi: militante: Blessures au niveau de son deux épaules.
    -Mariam Borhimi: Blessures au niveau du pied.
    -Marmada Mohamed salem boujari: Blessures au niveau de son avant bras.
    Ainsi qu’un grand nombre qu’ont n’a pas pus détecter le niveau de leurs blessures tel:
    Hayat Knibila (enfant de 4 ans), les militants: Djimi Lghalya, Bachir Khfaoni, Dafa Sidi Moulod, Mahyoub Oulad cheikh, Hassana Lwali, Mailimnin Swayeh, et les citoynes Sahraouis: Hmaida Rahmouni, Yehdiha Haimouda, Fatimatou Ismaili. CODAPSO

  • Trois prisonniers politiques sahraouis adhèrent au mouvement de grève observé dans les prisons marocaines

    Marrakech (Maroc), 07/04/2010 (SPS) Trois prisonniers politiques sahraouis dans la prison de Marrakech ont adhéré depuis mardi au mouvement de grève de la faim illimitée, observé depuis le 18 mars dernier, par leurs concitoyens détenus dans les prisons marocaines.

    Les prisonniers politiques sahraouis Ali Salem Ablagh, Brahim Berriaz et Said Ouebane annoncent leur adhésion au mouvement de grève observé dans les prisons marocaines, en guise de solidarité avec leurs concitoyens également détenus et pour protester contre « la dégradation de la situation des droits de l’Homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental par le Maroc, appelant à la libération de tous les prisonniers politiques sahraouis dans les geôles marocaines ».

    Par ailleurs, un communiqué du rassemblement des défenseurs sahraouis des droits de l’Homme a indiqué que l’administration pénitentiaire de la prison de Salé avait transféré le militant sahraoui Ali Salem Tamek, en grève de la faim, à l’hôpital Ibn Sina après la détérioration de son état de santé.

    Ali Salem Tamek souffre depuis 10 jours « d’hypotension, d’asthme et d’épuisement avec l’incapacité de parler ni de bouger », selon sa famille qui s’est dite très préoccupée par le sort de son fils d’autant plus qu’il souffre de plusieurs maladies chroniques ».

    C’est la première fois qu’un détenu sahraoui en grève de la faim est transféré à un hôpital local depuis le début de la grève, ce qui démontre la gravité de l’état de santé des autres sahraouis détenus dans la même prison, en l’occurrence Brahim Dahan, Ahmed Naciri, Yahdih Etterouzi et Rachid Seghir qui entament leur 20ème jour de grève de la faim face à la sourde oreille de l’administration pénitentiaire.

    Le nombre des détenus sahraouis en grève de la faim s’élève à 32 parmi 56 prisonniers sahraouis répartis dans 10 prisons marocaines. (SPS)

  • Une ONG allemande demande au MAE d’intervenir pour la libération des sept prisonniers sahraouis

    Bruxelles,07/04/2010 (SPS) Une organisation allemande de défense des droits de l’homme, « Société pour les peuples menacés » (SPM), a adressé un « message urgent » au ministre des Affaires étrangères allemand, Guido Westerwelle, pour qu’il intervienne auprès des autorités marocaines afin de libérer les sept militants des droits humains sahraouis, en grève de la faim.

    L’organisation a adressé le même appel au ministre des Affaires étrangères espagnol, Miguel Moratinos, dont le pays assure actuellement la présidence tournante de l’Union européenne.

    Dans le message adressé au ministre allemand, intitulé « sauvons la vie des prisonniers politiques sahraouis », l’organisation exprime sa préoccupation quant à la situation de ces prisonniers et demande « instamment » à ce dernier « prendre des initiatives concrètes pour permettre aux observateurs internationaux et des représentants des médias internationaux à se rendre dans les territoires occupés du Sahara occidenta par le Maroc ».

    « Inutile de rappeler que l’Etat marocain n’a pas cessé à ce jour d’entraver, et avec tous les moyens, l’application du projet de l’ONU pour la paix au Sahara occidental, et l’organisation d’un référendum libre et équitable pour permettre au peuple sahraoui de profiter de son droit à l’autodétermination en conformité avec les exigences du Conseil de sécurité », a constaté l’organisation. (SPS)

  • Le Maroc dans une mauvaise passe

    A la veille de la réunion du Conseil de Sécurité sur le Sahara Occidental et face au blocage marocain aux efforts de l’envoyé spécial de l’ONU, Christopher Ross, Rabat se trouve dans une situation qui n’est pas enviable.

    La conférence de presse de Emhammed Khadad, hier à Bruxelles, a mis dans l’embarras les autorités marocaines et leur position contre l’élargissement du mandat de la MINURSO. En invitant l’ONU à surveiller les droits de l’homme dans les zones contrôlées par le Front Polisario, il a mis à nu les déclarations des responsables marocains et les dépêches de la MAP qui dénoncent la « séquestration » des sahraouis à Tindouf. A présent, la balle se trouve dans le camp marocain.

    A chaque fois qu’il sent la pression, le Makhzen appelle quelqu’un à son secours. Lors de la dernière visite de Ross, le lobby juif pro-marocain des Etats-Unis a été prié de bouger en sa faveur. Aujourd’hui, c’est un dénommé think tank, sous le nom d’Institut Thomas More qui vient à la rescousse. Un énième think tank qui demande le soutien de la proposition d’autonomie et c’est une certaine Agence de Presse Africaine (APA) qui l’annonce, une agence créée par le Maroc dans un pays ami et allié, le Sénégal, tout comme Afrik.com, Africa Guinée, etc…

    Le Maroc se trouve tellement en manque de soutien dans l’affaire du Sahara Occidental qu’il ne trouve plus que des petites entités, souvent fictives, pour soutenir son agression contre le peuple sahraoui.

  • Mohamed El-Yazhgi vient à la rescousse du Makhzen

    Le Ministre d’Etat marocain et dirigeant du parti USFP, vient de déclarer que les gouvernements américains et français refusent de publier les documents sur l’assassinat du célèbre opposant marocain et figure internationale Mehdi ben Barka.

    L’ancien « ministre de l’injustice » n’hésite pas à mentir pour protéger ses mentors, le roi Mohamed VI, ses conseillers et ses pions du gouvernement de Rabat.

    Comme d’habitude, au Maroc le ridicule ne tue pas. Les mensonges sont les seules armes des courtisans marocains pour couvrir leurs crimes.

    Pourquoi ne dit-il pas que le roi Mohamed VI et ses complices ont demandé à l’Élysée de garder ce dossier comme un secret de polichinelle pour éviter de condamner les assassins qui sont toujours en vie et profitent de leur gains soustraits de l’Etat marocain.

    Pourquoi ne dit-il pas que le roi du Maroc et le président français veulent cacher la complicité du Mossad israélien dans l’assassinat de Ben Barka? 

     
    Décidément, ces gens prennent les marocains pour des imbéciles. 
  • Des parlementaires britanniques appellent l’ONU à protéger les droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés

    Londres, 07 avril 2010 (SPS).- A la veille de la réunion du Conseil de Sécurité et la publication du rapport du Secrétaire Général de l’ONU sur le Sahara Occidental, plus de 100 parlementaires, célébrités et ONG’s ont ajouté leurs noms à une lettre adressé a M. Ban Ki-moon appelant les Nations Unies à surveiller les droits de l’homme dans le Sahara Occidental occupé par le Maroc, selon l’édition du mercredi dernier du journal britannique The Guardian


    Jeremy Corbyn, député du Groupe Parlementaire des Droits de l’homme, David Drew , député du Groupe Parlementaire pour le Sahara Occidental de tous les partis, Mark Williams du Groupe Parlementaire pour le Sahara Occidental de tous les partis, John Hilary, de War on Want, John Gurr de Campagne Sahara Occidental, Stefan Simanowitz du Réseau pour un Sahara Occidental Libre, se trouvent parmi les signateurs.

    La lettre a indiqué que la mission de L’ONU pour le Sahara Occidental (MINURSO) a la différence douteuse d’être la seule mission contemporaine de maintien de la paix sans un mandat pour contrôler des droits de l’homme.

    « Les défenseurs des Droits de l’homme dans le territoire disputé sont des victimes régulières d’arrestation arbitraire, violence sexuelle, torture et « disparition « , rappelle la lettre, ajoutant que le renouvellement du mandat de la Minurso, le 30 avril, « donne l’occasion que le Conseil de Sécurité doit utiliser pour rectifier cela » « Seulement quand les droits de l’homme sont garantis, l’ONU peut mettre en oeuvre le référendum d’autodétermination attendu depuis longtemps et résoudre finalement le conflit de 35 ans », signale la lettre.(SPS)


  • La Jeunesse algérienne organise une caravane de solidarité avec le peuple sahraoui.

    Dans une conférence organisée, hier, au centre de presse d’El Moujahid, l’Association Nationale de la Jeunesse algérienne (ANJ) a condamné la répression exercée par le Maroc au Sahara Occidental et inclut dans son programme d’action solidaire avec le peuple sahraoui l’organisation d’une caravane de soutien au peuple sahraoui dans laquelle un groupe d’étudiants partira de Hassi-Messaoud pour une visite aux camps de réfugiés sahraouis de Tindouf.