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  • Cinq étudiants sahraouis reçoivent des bourses pour un master à l’UPV

    Le Gouvernement basque a accordé une bourse à cinq étudiants sahraouis pour suivre un cours du master de coopération au développement de l’Université du Pays basque (UPV) avec les aides approuvées dans le dernier Conseil du Gouvernement.

    Les étudiants participeront au master de Coopération Internationale Décentralisée : Paix et le Développement. Analyse et gestion de l’agenda global dans le cadre du système des Nations Unies après la mise en place d’une convention de collaboration entre le Département d’Education, l’UPV et le Ministère de Coopération de la République Arabe Sahraouie Démocratique.

    Les bourses, qui s’ajoutent aux différentes initiatives basques pour aider les réfugiés du Sahara Occidental, couvriront les nécessités économiques de ces étudiants durant l’actuel cours pour « pousser la coopération humanitaire et le développement du peuple sahroaui dans le domaine éducatif ». Le master complétera le Programme Universitaire du Troisième Cycle de ces étudiants dans leur pays, l’équivalent des programmes de doctorat. Cet accord sera valide pendant l’actuel cours.

    Pour rappel, Le Sahara Occidental a été annexé par le Maroc en 1975 après le retrait de l’Espagne de ce territoire.
    Source: El Pais
  • Spécial Sahara : CNN + et Cuatro se rendent aux camps des réfugiés sahraouis.

    CNN+ et Cuatro se rendent aux camps des réfugiés sahraouis. Ils suivent de près la manifestation de la « Colonne 2010 »

    Une équipe de journalistes de la rédaction de Noticias Cuatro et CNN+ voyagent aux camps de réfugiés sahraouis en Algérie et plus concrètement au mur connu par « mur de la honte du Maroc » : une frontière artificielle de plus de deux mille kilomètres, la plus longue du monde.

    Le vendredi 9 mars, une chaîne humaine encadrera le mur qui divise le Sahara Occidental pour exiger sa destruction et élimination.

    Celle-ci sera la troisième édition de cet acte revendicatif, organisé par La Colonne 2010, un groupe de personnes qui exigent la destrucion du mur.

    D’après ce qu’ils signalent sur leur page Web « quelques jours de vie en commun avec les familles sahraouies dans les camps de réfugiés, à côté de différents actes réalisés par le Front Polisario, sont plus que suffisants pour se faire une idée du quotidien de ce peuple ».

    Cuatro et CNN+ ont voulu se joindre à la colonne humaine qui entourera ces barbelés d’épines qui constitue, avec presque 2500 kilomètres, la plus grande frontière artificielle de la planète.
    Source : Cuatro.com

  • Leur état de santé est jugé alarmant : Le comité de suivi des détenus sahraouis lance un SOS

    Le comité de suivi de l’état des détenus sahraouis en grève de la faim dans les geôles marocaines s’est dit « préoccupé » de leur état de santé, a rapporté hier l’agence de presse sahraouie SPS.
    L’état de santé des sept détenus en grève de la faim depuis 15 jours dans la prison de Sale ainsi que ceux de la prison de Tiznit est « alarmant et critique », a souligné la même source, qui a enregistré des cas d’évanouissement et d’hypertension du fait de la grève. L’état de santé des détenus grévistes de la faim « qui s’est beaucoup détérioré est entré dans une phase critique, notamment pour le groupe des sept », a relevé la même source. Les autres prisonniers en grève de la faim dans la prison de Tiznit poursuivent leur action pour le 12e jour consécutif, a ajouté la même source, tout en soulignant « la dégradation » de leur état de santé.
    Familles désunies
    Mais cela ne semble pas inquiéter outre mesure l’administration pénitentiaire marocaine qui reste « indifférente à l’égard de la grève des prisonniers sahraouis malgré le diagnostic médical attestant l’état critique de certains d’entre eux ». Toujours au chapitre de la répression marocaine, le Croissant-Rouge sahraoui (CRS) a dénoncé le blocage par les autorités marocaines d’une initiative du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), devant permettre à des milliers de familles sahraouies de se retrouver après plus de trente-cinq ans de séparation, a rapporté hier l’agence sahraouie SPS. Le président du CRS, Mouhoubeini Yahia, a dénoncé « l’intransigeance marocaine à vouloir imposer de nouveaux critères non inclus dans les accords signés entre les deux parties en 2004 », considérant ces agissements de tentatives tendant à « priver des milliers de familles sahraouies d’une opportunité de retrouver les leurs après plus de 35 années de séparation », indique SPS.
    M. Bouhoubeini a réclamé la reprise immédiate de ces visites et appelé les autorités marocaines à « lever les obstacles et permettre au HCR d’accomplir sa noble mission humanitaire sans interférence et sans chantage », ajoute l’agence de presse sahraouie. Piloté par le HCR, ce programme a permis depuis en 2004, à 10 500 personnes de retrouver les leurs, alors que 31 000 autres sont toujours sur la liste d’attente, souligne l’agence.

    El Watan

  • Mme Haidar appelle la communauté internationale à protéger les droits de l’homme au Sahara occidental

    Palma de Mallorca (Espagne), 05/04/2010 (SPS) L’activiste sahraouie Aminetou Haidar a appelé la communauté internationale à mettre en un place un « mécanisme de protection des droits de l’homme » dans les territoires occupés du Sahara occidental, jusqu’à l’aboutissement à « un règlement juste et définitif du conflit », rapporte lundi l’agence de press espagnole, EFE.

    Aminetou Haidar a lancé cet appel lors d’une conférence de presse à Palma de Majorque, où elle doit recevoir dans l’après-midi le prix International « Jovellanos », intitulé, « Résistance et liberté », auquel elle a été présentée par les gouvernements régionaux des Asturies et les îles Baléares, a indiqué la même source.

    La Gandhi sahraouie a déclaré qu’elle sentait une « immense satisfaction » pour parler du prix dans ce lieu symbolique (Castillo de Bellver), où feu Jovellanos, « un brave homme, a passé sept ans en prison sans procès et sans aucun argument juridique pour justifier son emprisonnement » .

    « Il me ramène à une série de souvenirs très douloureux des quatre années que j’ai passées séquestré dans une prison secrète marocaine, les yeux bandés, complètement isolée de l’extérieur, un endroit où j’ai souffert à la fois physiquement, psychologiquement et de la torture et d’avoir demeurée là sans jugement et sans même être entendu par un juge », a-t-elle dit.

    Aminetou Haidar a également évoqué le « triste » sort de plus de 500 disparus sahraouis. « Depuis 1976 desquels nous ne savons rien, ainsi que celui des 59 prisonniers sahraouis dans les prisons marocaines, dont plus de 30 observent une grève la faim illimitée depuis 18 jours ».

    Mme Haidar reçois le Prix international de Jovellanos cinq mois après avoir mené une grève de la faim de 32 jours à l’aéroport de Lanzarote, après son expulsion d’El Aaiun vers l’Espagne par le Maroc, pour avoir a écrit sur sa fiche d’entrée que sa nationalité était sahraouie et non marocaine.

    En outre, l’activiste a été détenu dans une prison pendant quatre ans sans inculpation ni jugement, après avoir pris part, en 1987, à ses 21 ans, à une manifestation pacifique de 700 participants qui appelaient à l’indépendance du peuple sahraoui.

    Par la suite, en 2005, les autorités d’occupation marocaines devaient la condamner à sept mois de prison ferme, à la « Carcel negra » (prison noire) à El Aaiun, d’où elle a été libéré en 2006 à la faveur de pressions internationales. (SPS)

  • Après 18 jours de grève de la faim, les six détenus politiques sahraouis incapables de bouger ou de marcher

    Salé (Maroc) 05/04/2010 (SPS) L’état de santé des six militants sahraouis des droits de l’Homme en grève de la faim dans la prison du marocaine de Salé s’est « dangereusement détériorée », ont affirmé des défenseurs des droits de l’homme .

    Incapables de bouger, de marcher ou de parler, les grévistes n’ont pas quitté leurs cellules depuis vendredi dernier, a indiqué la même source, qui souligne que l’administration pénitentiaire du Maroc ignore leurs revendications légitimes d’un procès équitable ou de leur libération.

    Selon les mêmes sources, les souffrances de Ali Salem Tamek s’accentuent avec les difficultés respiratoires, l’asthme et les vomissements alors que Brahim Dahan est encore incapable de bouger son bras droit et souffre de douleurs aiguës à l’estomac.

    Le détenu politique Hamadi Naciri souffre de douleurs cardiaques et de tachycardies, Yahdih Tarouzi de douleurs cardiaques et abdominales et Rachid Seghair de douleurs articulaires.

    Les six détenus politiques observent depuis le 18 mars une grève de la faim illimitée pour revendiquer un procès équitable ou leur libération inconditionnelle. (SPS)

  • Stage de formation d’animateurs de jeunes sahraouis à Tindouf

    Tindouf, 05/04/2010 (SPS) Soixante seize (76) jeunes sahraouis bénéficient à partir de dimanche d’une session de formation d’animateurs de camps d’été, à l’initiative de la direction de la jeunesse et des sports de la wilaya de Tindouf.

    L’opération a été lancée en présence des autorités locales et du secrétaire d’Etat chargé de la jeunesse et des sports de la RASD, M. Mohamed Mouloud Mohamed Fadel.

    « Cette initiative, dont les jeunes animateurs sahraouis ont besoin, permettra à ces derniers d’accomplir leur devoir dans les meilleures conditions possibles et de prendre en charge efficacement des enfants bénéficiaires des camps d’été », a indiqué M. Mohamed Mouloud Mohamed Fadel.

    Appelant les stagiaires à tirer profit de l’expérience algérienne dans le domaine, M. Mohamed Fadel a précisé que « cette session devrait permettre aux animateurs sahraouis de bénéficier d’une formation nécessaire pour l’encadrement des camps d’été, sachant que plus de 2.000 enfants sahraouis sont accueillis annuellement par l’Algérie ».

    Cette session de 10 jours est encadrée par 15 spécialistes, dont des médecins, des agents de la protection civile, des éducateurs, des spécialistes, des administrateurs, entre autres, a précisé la DJS de Tindouf.

    Cette initiative sera suivie d’un autre cycle de formation, avant l’organisation d’un stage pratique sanctionné par un diplôme d’Etat d’animateurs de camps d’été, selon la même source. (SPS)

  • Les silences du Palais

    Vous avez pu constater que le roi n’avait aucun porte-parole. Personne pour répondre au téléphone. Renseigner. Dire oui, non, pardon, merci, au revoir. Répondre placidement: “Ici, palais royal”. Ou alors, plus classiquement: “Euh.. Mmm.. Monsieur n’est pas là”. Vous savez bien. Hassan II, non plus, n’avait pas de porte-parole. Mais c’était Hassan II. Une autre époque, beaucoup moins rieuse que ce que peuvent imaginer les 22 000 membres criants et chantants de “Sa Majesté Hassan II, roi du Maroc” sur Facebook. Les Hassanistes de 20 ans de moyenne d’âge ont au moins compris une chose: quand le consensus, ou simplement le silence, n’est plus possible, il faut employer la manière forte. Frapper dans le tas, sans discernement si possible. Le modérateur du Fan’s club le dit le plus fièrement du monde: “Maintenant que vous n’êtes pas d’accord, chuuuut, j’impose la dictature”. Il y a comme ça des petits jeux de boutonneux et de militants du Net à la face enfarinée qui méritent au moins une pause café pour essayer de comprendre. Hassan II, on l’a dit, c’était une autre époque. Besoin simplement d’un Driss Basri, un Moulay Hafid Alaoui, et autres illustres serviteurs zélés pour faire le ménage et balayer devant sa porte. Un porte-parole, pourquoi faire? Maintenant, depuis qu’Hassan Aourid, l’intello du Collège Royal, coule des jours heureux à Meknès, la maison de Mohammed VI n’a plus de porte-parole. Et il faut bien qu’il y en ait un. Ne serait-ce que pour jouer au standardiste qui ne renseigne jamais sur rien. Mais qui déroche au moins le téléphone. C’est important parce que, comme disaient nos grand-mères et toute personne qui a mis les pieds au moins une fois à La Mecque: “Aujourd’hui n’est pas hier”. Aujourd’hui, on a forcément besoin d’avoir quelqu’un au téléphone.

    Tel Quel, 26/01/09

  • Non à la campagne médiatique anti-Front Polisario

    Conférence de presse de militants sahraouis des droits de l’homme

    Les militants des droits de l’homme, venus des territoires occupés pour la célébration du 34e anniversaire de la RASD, ont laissé entendre qu’ils s’attendent à être arrêtés par les autorités marocaines dès leur descente d’avion à Casablanca.


    C’est l’aveu fait hier par le co-président de l’association France-RASD Enâama Asfari, lors d’une conférence de presse tenue à Alger. En abordant leur retour aux territoires du Sahara occidental via Casablanca prévu pour aujourd’hui, les activistes sahraouis ont souligné qu’ils s’attendent néanmoins à deux scénarios. Le premier est que le Maroc commette «l’imprudence» de les arrêter comme ce fut le cas pour les sept militants aujourd’hui emprisonnés et en grève de la faim. Le second est que les autorités marocaines les laissent entrer sans restrictions vu que le dossier sahraoui sera sur la table du Conseil de sécurité de l’ONU ce mois d’avril.
    En tout cas, la délégation a remis une lettre sous forme de testament au président du CNASPS, Mahrez Lamari. Ce dernier devra la rendre publique dans le cas où ces derniers seraient arrêtés à leur retour.
    Par ailleurs, la délégation a salué le courage des milliers de réfugiés sahraouis dans les camps de Tindouf qui mènent une dure résistance malgré l’hostilité des conditions de vie qu’ils endurent depuis 34 ans.
    Et c’est à ce sujet que cette délégation, la troisième, a affiché sa désapprobation quant à la campagne médiatique menée contre le Front Polisario par certains grands médias arabes. «Les chaînes arabes se sont malheureusement alignées sur les positions marocaines. Elles sont allées jusqu’à dire qu’une minorité de réfugiés reste fidèle aux dirigeants du Front Polisario», a déclaré dans ce sens Sid M’hamed Dadache, l’homme aux 25 années d’incarcération en citant notamment la chaîne qatarienne Al Jazeera.
    De ce fait, les militants sahraouis lancent un appel aux pays arabes pour reconnaître la République arabe sahraouie démocratique (RASD) ainsi que pour œuvrer en faveur de l’autodétermination du peuple du Sahara occidental, et de se conformer ainsi à la légalité internationale.

    Y. M.
    Le Jeune Indépendant



  • Tiens, tiens…El Aaiun: d’un scénario culotté à l’israélienne mais de qualité inférieure

    Des gens qui devraient rendre grâce à Dieu que le Maroc n’a pas encore engendré de Georges Frêche, ce politique français qui en 2006 traita cette catégorie de « sous-hommes (…) sans honneur » qui « ont vocation à être cocus jusqu’à la fin des temps ».
    La mission parlementaire européenne chargée d’enquêter sur les violations marocaines des droits humains au Sahara occidental a enfin pris pied à El-Ayoun, la capitale occupée du Sahara occidental. Cependant, la grâce du makhzen l’y avait précédée et les comptes rendus de presse nous gratifièrent alors d’un scénario culotté à l’israélienne mais de qualité inférieure. On nous assura qu’à El-Ayoun, ce sont les occupants marocains qui sont des victimes. Tout comme on nous assure sur leurs collègues israéliens à Gaza. Les Sahraouis? Ils sont sur la mauvaise pente, ils ont, comme les Palestiniens choisi, l’intifada! La délégation européenne eut droit à une diabolisation en règle du POLISARIO et de son hôte, l’hospitalière Algérie. Pour ce faire, on lui ramena les plus beaux témoins du coin, et elle devait même souffrir auparavant les témoignages du CORCAS, un conseil composé de notables sahraouis, dans la plus pure tradition coloniale. Des gens qui sont l’équivalent de ce qu’étaient les goumiers et les harkis chez nous durant la guerre de libération. Des gens qui devraient rendre grâce à Dieu que le Maroc n’a pas encore engendré de Georges Frêche, ce politique français qui en 2006 traita cette catégorie de « sous-hommes (…) sans honneur » qui « ont vocation à être cocus jusqu’à la fin des temps ». Lundi soir, c’est-à-dire à quelques heures de l’arrivée de la délégation du PE, les Marocains en bons colonialistes verrouillèrent les accès du lieu de sa résidence. On s’arrangea pour prévenir les contacts et les manifestations. On arrêta des gens et on en terrifia d’autres. La cupide Europe saura bien détourner le regard, l’histoire a démontré qu’elle en avait le don. Car il ne faut perdre de vue qu’Israël, cette minuscule échoppe qui met au garde-à-vous l’Europe et l’Occident, se trouve être l’un des alliés les plus sûrs du Maroc, y compris au plan militaire. Et comme Tel-Aviv, Rabat ne semble malheureusement comprendre que le langage de la force puisque les engagements sont reniés et que les « feuilles de route » favorisent le fait accompli et ne mènent qu’à l’impasse.


  • La publication mensuelle du quotidien Horizons consacre un numéro spécial au Sahara occidental

    Alger, 04/04/2010 (SPS) La publication mensuelle « Horizons Géostratégie » du quotidien Horizons a consacré son dernier numéro du mois d’avril au Sahara occidental, dernière colonie d’Afrique.

    A travers des reportages illustrés, des analyses et une rétrospective des évènements, la publication a mis en lumière la question du Sahara occidental depuis son occupation par l’Espagne en 1885 jusqu’à son invasion militaire par le Maroc en 1975.

    Le journal est revenu également sur les différentes étapes qui ont marqué l’histoire de ce conflit, mettant particulièrement en avant la lutte du peuple sahraoui pour son autodétermination et son indépendance.

    « D’une colonisation à une autre, où le premier colonisateur avait défié les Nations Unies en ne s’inscrivant pas dans la logique du processus historique de décolonisation, tout un territoire est passé instantanément de l’autorité espagnole à celle contestée du royaume du Maroc », souligne la publication dans son éditorial.

    Et d’ajouter que « le scénario mis au point consistait à déculpabiliser les autorités espagnoles politiques et militaires en faisant intervenir non pas les moyens de force, mais les populations (du Maroc) pour donner le cachet populaire à l’occupation du territoire du Sahara occidental ».

    La publication a, en outre, mis en évidence la responsabilité des Nations unies dans la persistance de ce conflit, estimant que le « risque sera grand », du fait que « le droit international et la charte de l’Onu continuent à être ignorés » par le Maroc.

    Dans un article intitulé « Les missions non accomplies de l’Onu », la publication note que « si le Maroc persiste à ignorer les résolutions des Nations unies, on discerne, au bout du compte, que la véritable raison de l’échec de l’organisation onusienne ne tient pas à des obstacles juridiques, (…) mais elle est due à l’absence d’adhésion réelle au principe de décision collective qui veut que la sécurité soit assurée par l’instance créée pour cette tâche, en l’occurrence le Conseil de sécurité ».

    Le journal aborde, par ailleurs, les négociations directes entamées entre le Maroc et le Front Polisario sous l’égide des Nations unies, estimant que désormais « l’espoir est permis ». (SPS)