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  • CEAS-Sahara dénonce que le Maroc se moque de la communauté internationale et réprime d’une forme « sanglante » les saharauis civils

    Madrid, .-La Coordonnatrice Étatique d’Associations espagnoles Solidaires avec le Sahara (CEAS-Sahara) a affirmé ce vendredi que même pas deux jours après le Sommet entre UE et le Maroc, et en coïncidence avec le Jour International de la Femme Travailleuse, l’armée et la police du Maroc ont attaqué avec fureur des manifestants pacifiques sahraouis, en causant vingt-cinq blessés parmi eux des défenseurs des droits de l’homme.

    Dans une note de presse, CEAS-Sahara rappelle que lors du Sommet et pedant que le mouvement solidaire avec le peuple sahraoui dénonçait dans les rues de Grenade la répression constante à laquelle était soumise la population sahraouie dans sa propre terre, le Président du Conseil Européen Herman Van Rompuy a demandé au royaume alaouite une plus grande attention au respect des droits de l’homme dans son propre pays et au Sahara Occidental en se rapportant, en particulier, aux défenseurs et défenseuses de ces droits.

    Dans ce contexte, la coordonnatrice souligne qu’au moment où des représentants marocains arrivaient pour participer à la XIIIe session du Conseil des Droits de l’homme de l’ONU, à Genève, « en essayant de vendre une image de modernité et de respect vers les droits et la liberté, les différents appareils marocains attaquaient des civils sahraouis, provoquant plus de vingt-cinq blessés et violaient l’intimité de ses demeures pour menacer et pour frapper sans discrimination des hommes, des femmes et des enfants ».

    « Ce sont les faits sonores et évidents que nous voulons dénoncer devant l’opinion publique espagnole et devant les autorités de l’Union Européenne et de l’Espagne, en commençant par la tiède Présidence espagnole qui regarde vers un autre côté avant tout type de dénonciations et d’évidences, devenant collaborateur nécessaire pour que son partenaire, le Maroc, continue impunément sa politique de répression », il(elle) agrège.

    De la même manière, CEAS-Sahara demande au gouvernement de Rodríguez Zapatero et à celui de l’Union Européenne « d’exiger au Royaume du Maroc la fin de la répression dans les territoires occupés du Sahara Occidental et la libération immédiate de tous les prisonniers politiques ».

    « Nous exigeons que pendant que le Maroc continue d’occuper et de spolier illégalement un pays voisin; refuse de respecter les résolutions de l’ONU sur le Sahara Occidental; viole quotidiennement les Droits de l’homme du peuple sahraoui; et ne libère pas d’urgence tous les prisonniers politiques, Le Statut de partenaire préférentiel avec l’Union Européenne ne doit pas avancer et l’Accord de pêche doit être suspendu, comme recommandé par le Rapport juridique du Parlement Européen », conclut-il.

    Source: SPS, 13 mars 2010

  • L’Alliance Évangélique lance une campagne d’emails pour demander liberté religieuse au Maroc

    Face à l’expulsion de chrétiens évangéliques du pays maghrébin

    L’Alliance Évangélique Espagnole a lancé une campagne d’envoi de courriers électroniques pour promouvoir la liberté religieuse et les droits de l’homme au Maroc, dirigés spécialement à son ambassade en Espagne. Elle prie tous les citoyens, et aux chrétiens spécialement de se joignent à cette campagne. Le but est d’arrêter l’expulsion injustifiée de chrétiens au Maroc, une attitude que l’Alliance qualifie d’atteinte aux droits de l’homme et à  la liberté de culte

    Source :  Info Catolica

  • Le Maroc : troisième producteur mondial de cannabis

    Le gouvernement d’Evo Morales admet que la Bolivie est le troisième producteur de marijuana

    Le Gouvernement a admis que la Bolivie est le troisième producteur du monde de marijuana selon l’Assemblée Internationale de Contrôle de Stupéfiants de l’ONU.

    La Bolivie se trouve après l’Afghanistan et le Maroc; et selon le Gouvernement, depuis l’an 2000 les saisies de marijuana ont augmenté de 3.7 tonnes à 1.937 tonnes l’année passée. Seulement en 2010 déjà 423 tonnes ont été saisies.

    Ainsi, la Bolivie se maintient comme le troisième producteur de coca du monde après la Colombie et le Pérou; avec 30.500 hectares, en majorité pour élaborer la cocaïne.

    Publimetro, EFE, Publicado 15:48 h. 15-03-2010

  • Front POLISARIO : « il est inconcevable qu’après 19 ans de présence, l’ONU n’a pas été capable de s’acquitter de sa promesse »

    Lima (Pérou) .- Le ministre sahraoui pour les relations avec l’Amérique Latine de la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD), Hach Ahmed, a affirmé ce mercredi, qu’il « est inconcevable qu’après 19 ans de présence, le déploiement des casques bleus et la dépense de presque 500 millions de dollars à l’année, l’ONU n’a pas été capable de s’acquitter de sa promesse de célébrer un référendum pour l’autodétermination du peuple sahraoui ».

    « Le problème du Sahara Occidental, comme l’ONU le reconnaît est de nature coloniale, non une guerre civile ou un projet séparatiste », a affirmé Hach, durant son intervention dans une Conférence sur le Conflit du Sahara Occidental célébrée dans le Collège d’Avocats de Lima au Pérou.

    Le ministre sahraoui a souligné que la « la seule revendication des sahraouis dans cette longue lutte de résistance, est que l’on respecte leur droit légitime à l’autodétermination reconnu par toutes les instances internationales. Nous n’avons aucune autre revendication politique, ni sociale, ni économique, ni religieuse, ni culturelle face au pouvoir colonial du Maroc ».

    Le responsable sahraoui a considéré que « la conduite non louable de l’ONU dans ce conflit et les maniements obscurs qui ont empêché la solution de ce conflit, des maniements dans lesquels d’une manière significative la France a toujours eu un rôle fondamental ».

    En ce qui concerne le sujet des droits de l’homme, Hach a indiqué qu’ »une répression inhumaine s’abat aujourd’hui contre notre population civile dans les zones occupées, spécialement contre les activistes des droits de l’homme qui sont comptés aujourd’hui par dizaines dans les prisons marocaines ».

    Par rapport aux relations officielles avec le Gouvernement du Pérou, le pays qui « a reconnu la RASD dans les années quatre-vingts du siècle passé » le ministre sahraoui a réitéré l’intérêt de son gouvernement de reétablir tôt ses liens diplomatiques et a demandé à toutes les forces politiques et à l’ensemble de la société qu’ils contribuent à la normalisation désirée « .

    Le dirigeant sahraoui qui est arrivé accompagné par l’ambassadeur sahraoui, Ali Salem Zein  souligne l’importance de l’évènement, qui « s’engage dans un effort que nous réalisons depuis des années, nous et les amis péruviens de la cause sahraouie, pour faire connaître la lutte du peuple sahraoui pour son indépendance ».

    Un public considérable a assisté à la Conférence, quelques parlementaires, diplomates et journalistes, l’exposition a été introduite par le Vice-doyen du Collège, Dr. Albert Vásquez Ríos qui a salué l’ »initiative comme un grand apport à la connaissance de la problématique internationale ».

    Ont été aussi présents le producteur de cinéma, Javier Corchera, le Président du Comité de Solidarité avec le Peuple Sahraoui, Javier Diez Consejo et le Député Raphaël Vazquez, du groupe parlementaire d’amitié avec le peuple sahraoui, « les deux ont réaffirmé leur solidarité avec le peuple sahraoui et ont annoncé des initiatives multiples pour fortifier les liens entre le Pérou et la RASD ».

    Source : SPS, 11 mars 2010

  • Trouvée nouvelle fosse commune dans la zone de Boukraa, ville à l’est d’El Aaiún occupé

    Boukraa (territoires occupés).- Une fosse commune a été découverte la semaine passée dans la zone de Boukraa, à l’est de la ville occupée d’El Aaiún, qui date du début de l’invasion marocaine du Sahara Occidental, a informé ce vendredi le Ministère Sahraoui des Territoires Occupés et de la Communauté Sahraouie à l’Etranger.

    Selon des sources consultées par le Ministère, elles assurent que les travailleurs de l’entreprise de Fosboukraa, « ont trouvé sept crânes humains de sahraouis, pendant qu’ils creusaient dans une mine au nord-est de Boucraa ».

    « Les crânes appartiennent aux nomades sahraouis », « ils sont probablement morts sous torture aux mains de l’armée ou la gendarmerie marocaine durant l’invasion marocaine du Sahara Occidental », a confirmé le ministère dans une note remise à SPS.

    L’institution sahraouie responsabilise les autorités du Maroc de « cacher des faits de génocide au Sahara Occidental ».


    Il convient de rappeler que d’autres fosses communes avaient été trouvées près de la « Prison noire » dans la ville occupée d’El Aaiún et à Smara, « les autorités marocaines n’ont pas donné d’explication à ce sujet, ils ont spécifié que des mesures vont être prises pour identifier les corps ». 

    Source : SPS, 12 mars 2010

  • Une délégation sahraouie participe au XIV Séminaire International sur les partis et la nouvelle société au Mexique

    Mexique, 13/03/2010.- Une délégation sahraouie présidée par le membre du Secrétariat National du Front Polisario, Bachir Mustafa Seyed a rendu visite aux États-Unis Mexicains le 10 mars 2010 pour assister au XIV Séminaire International sur les partis et la nouvelle société dans laquelle participent plus de 30 délégations des cinq continents, a informé samedi un communiqué de presse l’Ambassade sahraouie au Mexique.

    Le séminaire a commencé le 11 mars dernier. Dans son intervention le membre du SN, Bachir Mustafa Sayed a présenté une conférence magistrale dans le siège de l’Université Internationale de Cuernavaca, à l’aide d’étudiants universitaires du Mexique et de l’Amérique latine, sur l’actuelle lutte du peuple sahraouie, en mettant l’accent sur les violations des droits de l’homme et la situation que les citoyens sahraouis vivent dans les territoires occupés du Sahara Occidental.

    Durant la journée du samedi, la délégation sahraouie a réalisé quelques rencontres avec les délégations du Venezuela, du Pérou, du Salvador, de l’Argentine, de la Tanzanie, du Mozambique, du Puerto Rico, de l’Uruguay, du Brésil, du Mexique et de l’Équateur. L’après-midi, elle a organisé une réunion importante avec les plus hautes personnalités mexicaines chargées des Nations Unies, des Droits de l’homme et de l’Afrique.

    Dans toutes ces réunions, le dirigeant sahraouie a mis ses interlocuteurs au courant de la dernière réunion préliminaire avec le Royaume du Maroc sous les auspices des Nations Unies et, surtout, la nécessité d’utiliser tous les moyens possibles pour inciter le Conseil de Sécurité à élargir les prérogatives de la MINURSO pour la supervision et la protection des droits de l’homme au Sáhara Occidental occupé. (SPS)

  • Une délégation sahraouie reçue par le Maire de Lima et par de nombreux dirigeants politiques péruviens

    Lime ( Pérou), 13/03/2010 .-Une délégation sahraouie intégrée du Ministre pour l’Amérique latine, Hach Ahmed et l’Ambassadeur Ali Salem Sidi Zein, qui réalise une visite de travail à la République du Pérou, a été reçue jeudi dernier dans la Municipalité de Lime par son Maire, Luis Castañeda Lossio, selon le Ministère des Affaires étrangères.

    Selon la même source, la délégation sahraouie a organisé des rencontres avec de nombreux leaders politiques péruviens, parmi eux le Secrétaire général du Parti Oficialista (APRA), Jorge del Castillo, le député et dirigeant du même parti, Mauricio Mulder, la Présidente du Parti Populaire Chrétien, Lourdes Flores et avec le Secrétaire général du Parti Action Populaire, Yonhi Lescano.

    Pendant toutes les rencontres la situation au Sahara Occidental a été abordée, la répression dans les zones occupées et les relations bilatérales entre la République Sahraouie et le Pérou, signale le Ministère sahraoui.

    La même fontaine souligne que la vague de répression pratiquée ces derniers jours par les forces d’occupation du Maroc, dans les villes d’El Aaiun et Dakhla a été aussi examinée par la délégation sahraouie dans les rencontres avec de nombreux leaders des groupes parlementaires, parmi eux Marisol Espinoza, du Parti Nationaliste et Edgar Reymundo, leader et porte-parole du groupe parlementaire du Parti Action Populaire.

    Des nombreux congressistes ont assisté à ces réunions dans la représentation des différents partis politiques péruviens qui ont dénoncé la cruauté et la violence des autorités marocaines dans les villes occupées du Sahara Occidental, spécialement contre les activistes de droits humains.

    Cette position a été reprise dans une motion d’ordre signé par treize congressistes et présentée à la réunion plénière du Parlement par Raphaël Vasques, du Parti Nationaliste. (SPS)

  • Conference à l’Université Centrale de Venezuela sur le conflit sahraoui et les graves violations des droits humains

    Caracas, 14/03/2010 .- L’ambassadeur de la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD), Emboirik Ahmed, a organisé ce vendredi une conférence sur le conflit du Sahara Occidental et les graves violations des droits de l’homme dans les territoires occupés, à l’Ecole d’Études Internationales de l’Université Centrale de la Venezuela, selon une note de l’Ambassade sahraouie à Caracas.

    Dans sa note, l’Ambassade assure que les assistants à l’acte étaient nombreux, à charge du professeur Ernesto Wong, qui a fait une « introduction sur le processus de libération du peuple sahraoui et ses répercussions sur le domaine international ».

    La Conférence a débuté avec la projection du documentaire « Sahraoui », du directeur vénézuélien Charles Aizpúrua, suivi d’une « présentation sur la campagne de »répression »qui subit la population sahraouie sans défense, dans les zones occupées du Sahara Occidental », ajoute la note.

    L’ambassadeur saharaui, a signalé les événements les plus « significatifs » de la lutte du peuple sahraoui, « définis » dans le processus de la « lutte héroïque », pour construire et pour préserver l’état sahraoui, et le travail accompli dans tous les « domaines » de la femme sahraouie dans ce processus.

    Emboirik Ahmed, a fait un appel a tous les assistants et à l’opinion nationale vénézuélienne, pour condamner la grave violation des droits de l’homme de la part des autorités marocaines, et pour la libération de tous les activistes sahraouis emprisonnés injustement au Maroc. (SPS)

  • L’appel de l’UE au Maroc pour le respect des droits humains au Sahara Occidental « demeure insuffisant » (Conseil des ministres)

    Chahid ElHafed.- Le Conseil des Ministres a estimé que l’appel de l’Union européenne (UE) pour le Royaume du Maroc à respecter les droits de l’homme au Sahara Occidental, « demeure suffisant », regrettant « profondément » l’accord par l’UE du statut avancé au Maroc « sans conditions claires et fermes » en vue de mettre fins à ses violations flagrantes des droits de l’homme qu’il continue de commettre dans les territoires occupés du Sahara Occidental.

    Réuni samedi, sous la présidence du Chef de l’Etat, Mohamed Abdelaziz, le conseil des ministres a indiqué que le gouvernement marocain n’a pas tardé à exprimer son rejet de cet appel à travers la répression des manifestations pacifiques dans les villes de Dakhla et El Aaiun, selon un communiqué parvenu à SPS.

    Ces violations flagrantes du Maroc des droits sahraouis « sont documentées dans des dizaines de rapports d’instances et organisations internationales, dont le Parlement européen, le Haut Commissariat aux droits de l’homme, Amnesty International et Human Rights Watch.

    « Cette position européenne constitue un encouragement à la partie marocaine dans son intransigeance et un soutien au pillage massif des ressources naturelles sahraouies, devant menacer la sécurité et la stabilité en Afrique du Nord et au sud de la Méditerranée ».

    Elle est également une « implication regrettable des pays et peuples européens dans une ‘illégale, inhumaine et immorale action visant à priver tout in peuple de jouir de ses droits légitimes », a conclu le communiqué.(SPS)

  • Sommes-nous des sujets de sa Majesté ?

    Il y a cinq jours, le premier ministre Moulaye Ould Mohamed Lagdhaf et le ministre de la santé Cheikh Ould Horma inauguraient un scanner d’imagerie par résonance magnétique (IRM), à l’hôpital de Nouakchott. Tout le gouvernement était là, y compris des ministres dont le rapport à l’évènement n’est pas évidement, comme celui de la défense ou celle des affaires étrangères.

    Le premier ministre présente l’appareil : l’outil va permettre, à la Mauritanie, de ne plus dépendre de l’étranger pour effectuer des diagnostics ; déjà, le pays disposait, auparavant, de compétences humaines et lui manquait surtout les moyens matériels.

    Ould Horma abonde dans le même sens ; s’ensuit la présentation d’une vingtaine de médecins mauritaniens, « les meilleurs » de leurs catégorie ; grâce à eux, la machine va permettre, aux malades, d’obtenir l’optimum de soins, sans recourir aux praticiens et hôpitaux de l’étranger.

    L’assistance se disperse en supputant l’identité du futur responsable de la gestion du scanner. Si personne ne pouvait prédire de nom de l’heureux élu, tous s’accordaient à la conclusion qu’après les discours des autorités sur la compétence de nos médecins, le poste reviendrait à mauritanien.

    Deux jours après l’évènement, le ministère de la santé annonce le nom de l’heureuse élue, une marocaine spécialement embauchée pour ce poste. Son salaire atteint 1 million 500 mille ouguiyas par mois, pratiquement le double des émoluments d’un ministre.

    Le contrat prévoit, également, le payement, par la Mauritanie, d’un billet aller retour Nouakchott-Casablanca, au moins une fois tous les deux mois en plus d’une série d’avantages en nature : maison et véhicule de fonction, charges afférentes (eau, électricité, carburant, téléphone… etc).

    Lors d’un appel lancé il y a de cela quelques semaines, le ministre Ould Horma demandait, aux médecins mauritaniens établis à l’étranger, de revenir exercer chez eux ; il leur promettait des salaires intéressants.

    Après la sujétion affichée par le Président Ould Abdel Aziz envers le Maroc et l’amalgame de Ould Horma entre les médecins des deux pays, il convient de rappeler, à l’un et l’autre, que la Mauritanie n’est pas (pas encore?) la 17ème Wilaya du Royaume Chérifien, un voisin, de poids, auquel nous lie une histoire féconde mais de qui notre raison de vivre nous dicte de se distinguer, toujours. La leçon vaut, à titre préventif, pour notre ministre des affaires étrangères, Naha Mint Moknass.

    En diplomatie, la confusion des préférences privées et de la doctrine d’un État mène sûrement à la fusion ; les mauritaniens ne se sont pas encore prononcés sur le rattachement à la Couronne Alaouite, laquelle, d’ailleurs, se passerait bien d’un tel boulet.

    Sourcce : Taqadoumy