Étiquette : Gabón

  • Gabon: Communiqué “d’Appel à Agir”

    Communiqué de presse

    En première réaction à l’arrivée de Monsieur Ali Bongo

    Nous n’avons jamais demandé une preuve de vie. Nous avons demandé la constatation de la vacance du pouvoir. Nous avons affirmé qu’Ali Bongo n’est plus en capacité d’assumer les charges inhérentes à la fonction de président de la République.

    Les images de son arrivée renforcent notre conviction. Chacun a pu constater qu’il ne s’est pas exprimé. Or, après une si longue absence, sa prise de parole est fortement attendue. Le peuple gabonais est en droit d’exiger des clarifications. Ce mutisme entretenu pose la question de ses réelles capacités cognitives.

    Ceux qui ont déćidé du retour d’Ali Bongo voulaient éteindre la projection du 31 mars. Mal leur en a pris parce que, à l’évidence, Ali Bongo est sérieusement diminué. Il n’est donc plus le maître du jeu institutionnel.

    En conséquence, nous réitérons notre demande de constatation de la vacation du pouvoir. Parce que nous sommes légalistes et républicains, nous saisissons les instances compétentes pour exiger une expertise médicale. Dès lundi, nous déposeront une demande en référé devant le président du tribunal. Nous saisissons aussi la Cour Constitutionnelle pour exiger la mise en oeuvre de l’article 92 de sa loi organique.

    Pour le Gabon, agissons !

    Source

    Tags : Gabon, Ali Bongo, françafrique,

  • Gabon : Ali Bongo, rentrera-t-il en catimini comme la fois précédente ?

    Il paraît que le président gabonais rentre au Gabon après une absence de plusieurs mois suite à un AVC qui fut d’abord présenté comme une insignifiante fatigue légère.

    Ali Bongo, qui pour beaucoup de gabonais fait désormais partie du passé peu glorieux du pays, selon la presse internationale, semble être en forme pour prendre à nouveau les gouvernails de ce bateau en dérive.

    La question d’or est : rentrera-t-il en cachette comme la dernière fois sans les procédures protocolaires dues à un chef d’État ?

    En tout cas, il devra traverser avec succès une dure épreuve. Celle de faire croire en sa capacité de continuer à diriger le pays.

    A l’Elysée, on retient le souffle pendant qu’on suit les événements dans un des derniers vestiges de la françafrique.

    Tags : Gabon, Ali Bongo, Ondimba, AVC, retour,

  • Le Gabon dans moins de 30 ans

    D’après les rapports d’experts, en maintenant le niveau de production actuel et en l’absence de découvertes majeures, il n’y aura plus de pétrole au #Gabon dans moins de 30 ans.

    À ce jour, aucune tentative d’exploration en offshore n’a trouvé de la réserve commerciale de pétrole (Total, Shell, Eni, Petronas et Rapsol)

    Or, à ce jour, la survie du Gabon dépend à 40% du pétrole.

    Nous étions condamnés à réussir la diversification de l’économie.

    On était déjà en retard, mais depuis 2009 c’est la chute libre sans parachute.
    Non seulement la diversification est un échec, mais en plus le régime en place a accéléré la mort du Gabon en multipliant les détournements de fonds et autres crimes de toutes sortes. A cela s’ajoute une dette exorbitante qui renforce notre condamnation à mort.

    Le plan de ce régime en place depuis 2009 semble donc clairement être la destruction totale du Gabon.

    Quels troubles psychiatriques peuvent expliquer une telle ingéniosité à détruire un pays ?

    De quoi ces personnes veulent-elles se venger ?

    Honte aux opportunistes de tous bords qui jouent avec la vie de 2 millions de personnes. Honte à ces pères et mères de familles qui participent à détruire l’avenir de leurs propres enfants juste pour satisfaire leurs complexes et leurs petits plaisirs personnels.

    Honte à ceux qui regardent ailleurs pendant qu’on les mène à l’abbatoir. Honte à ceux qui croient tromper les autres en jouant double jeu.

    Heureusement il y a toujours eu et il y aura toujours des gens qui s’opposent à vos plans machiavéliques. Nous serons de plus en plus nombreux et de mieux en mieux organisés. Nous ne vous laisserons pas faire, quoiqu’il en coûte…

    Références :

    – Woodmackenzie

    – Energy Information Admninistration

    S. ZENG

    Source : Gabon Voice

    Tags : Gabon, Ali Bongo Ondimba, ABO, Pétrole,

  • Gabon : C’est le même procédé qu’avec AMO…

    Souvenez vous qu’on avait annoncé plusieurs fois le retour d’AMO au Gabon quand il était rongé par un mal terrible qui avait finalement eu raison de lui.

    N’espérez même plus voir Ali Bongo au pouvoir et il ne sert à rien d’ annoncer à chaque fois son retour imminent aux commandes du pays.

    Tous ceux qui ont comploté contre lui subirons coup pour coup ce qu’il a lui-meme enduré.Il est resté longtemps absent du pays et c’est le même processus qui rattrape Maixent Accrombessi et maintenant Ali Bongo.

    Il y aura une vacance de pouvoir que vous le voulez ou non car la fin de règne d’Ali Bongo est déjà acté.

    Pierre Ntoum

    Source : Gabon Voice

    Tags : Gabon, Ali Bongo Ondimba,

  • Gabon : Nous ne sommes pas des sujets

    J’aimerais rappeler ici ce qui reste ma conviction, à savoir qu’ Ali Bongo Ondimba est bel et bien parti à Riyad. La confusion, l’opacité autour de sa personne a été engendrée par vous-mêmes, les perfides menteurs et sorciers pour mieux détourner l’argent du contribuable gabonais. Pour placer vos amis aux positions les plus juteuses de la république afin de faire de cette nation nantie votre vache à lait personnelle, et de s’assurer de contrôler tous les leviers du pouvoir.

    Maintenant que tout est bloqué financièrement pour le Gabon dû à une absence prolongée de l’homme parti à Riyad, l’ argent se fait rare. À quoi cela sert-il d’être un pouvoir sans l’afflux des capitaux? On veut nous faire avaler l’un des plus grands mensonges du siècle qu’il reviendrait définitivement samedi au Gabon.

    Peuple gabonais, soyons vigilants! Un régime qui tue des centaines de Gabonais pour se maintenir, qui tripatouille les élections pour les remporter, qui change la population du G2 en une nuit en la multipliant par 5, un régime truffé de gens qui pillent un pays de nuit comme de jour notre or et notre diamant pour des raisons personnelles; pensez-vous que ces gens-là vous diront la vérité si cette vérité ébranlerait leur pouvoir usurpé?

    Source : Gabon Voice

    Tags : Gabon, Ali Bongo Ondimba, dictature, pillage, répression,

  • L’ami d’Ali Bongo, Mohammed VI, Roi du Maroc, « mourra bientôt »

    L’image de Mohamed VI, entrain de dormir en pleine cérémonie de la célébration du centième anniversaire de la fin de la guerre mondiale en France , a fait le tour du monde. Le Président Donald Trump, assis non loin de lui, affichait une mine triste laissant beaucoup d’interrogations. À trois reprises, le roi s’était endormi comme s’il avait avalé des cachets de somnifères en overdose. Le malaise était visible: le roi du Maroc ne se porte pas bien.

    Hier jeudi, le quotidien espagnol El-Mundo a carrément titré: ” le roi du Maroc mourra bientôt “. Selon les informations recueillies par le journal , Mohamed VI souffrirait d’une rare maladie identifiée sous le nom scientifique de sarcoïdose qui toucherait à la fois ses poumons, ses reins, ses yeux, et même son coeur. Cette maladie nécessiterait un traitement à base de cortisone. Conséquences, le roi dormirait très peu la nuit et serait accablé de fatigue et un mal de poitrine .

    Des investigations menées par le journal en France révèleraient que le roi du Maroc aurait subi une ” ablation par radio-fréquence ” à l’hôpital Ambroise Paré à Paris. Ayant constaté une modification de son rythme cardiaque, le médecin français lui aurait prescrit le repos. Mais la situation semble se dégrader.

    ” À 55 ans, il est convaincu qu’il mourra prématurément”, révèle une source diplomatique au journal espagnol. Ainsi, le roi aurait commencé à préparer sa succession, d’où la présence de son fils à toutes les cérémonies officielles. C’est un autre journaliste espagnol, Pedro Canales, qui avait déjà révélé les problèmes de santé de Mohamed VI en 2008. Après l’intervention chirurgicale, le roi aurait passé sa convalescence dans son château à Betz en France. Les autorités françaises et son médecin auraient gardé le secret.

    Mais d’après les sources introduites dans le palais royal , “le roi se porte bien et ne se soigne pas en France, mais plutôt en Arabie saoudite ou en Afrique du Sud” . Pas plus de précisions. Cependant, selon les confidences qui nous ont été faites, le sommeil du roi en pleine cérémonie serait lié à son hygiène de vie. “Mohamed VI boit et mange à l’excès”, nous confie une source souvent présente aux soirées gastronomiques arrosées du bon vin. Aurait-il donc trop levé le coude avant de se rendre à la célébration du centenaire ?

    Toutefois, d’après nos investigations, le roi du Maroc s’est fait opérer du coeur en France en février dernier. Il s’était d’ailleurs filmé avec les membres de sa famille au chevet de son lit.

    La fatigue de Mohamed VI inquiète en même temps que celle de son ami Ali Bongo Ondimba. Après plus d’un mois de maladie où tout a été verrouillé par la garde dépêchée par le roi du Maroc en Arabie saoudite , “Ali Bongo s’est réveillé et commence à parler. Il a même regardé la télé”, nous jure un membre de la famille. Toutefois, il n’y a aucune photo pour le prouver. Ali Bongo si présent dans les réseaux sociaux, pourrait- il refuser de poster la preuve qu’il est toujours en vie? La seule photo postée par sa femme était un bras. Pourquoi annoncer tantôt qu’il va en Angleterre, puis au Maroc?

    Victime d’un AVC à la suite d’un caillot de sang dans son coeur, Ali Bongo est longtemps resté dans une situation critique. Les médecins saoudiens redoutaient que le deuxième caillot qui s’était formé au niveau de son cou ne monte jusqu’au cerveau. Diabétique, Ali Bongo ne pouvait pas recevoir d’anti-coagulants. Mohamed VI s’est rendu à trois reprises à son chevet en Arabie saoudite sans pouvoir lui parler. Maintenant que le chef d’État gabonais est jugé ” transportable ” , son épouse a programmé qu’il aille poursuivre ses soins en Angleterre. Mais Mohamed VI a appelé cette dernière pour que ” son frère et ami ” aille plutôt suivre son protocole dans son royaume. Mais jusque-là, rien ne prouve qu’il est toujours vivant. Et pourquoi Ali Bongo n’a-t-il pas signé le document pour déléguer le pouvoir comme l’exige la loi?

    Pour bon nombre d’observateurs, le régime au Gabon est entrain de jouer à la montre et veut manipuler l’opinion avec l’aide de Mohamed VI. En fait, une forte amitié lie le roi Mohammed VI au président gabonais Ali Bongo Ondimba depuis de nombreuses années. Dans les années 80, le prince héritier Mohammed VI, était déjà ami d’Ali Bongo. Ils passaient même les vacances ensemble, soit au Gabon, soit au Maroc. C’est une amitié qui s’est transmise de père en fils, puisque Omar Bongo, père de l’actuel président gabonais était également l’ami du défunt roi Hassan II.

    Depuis que les deux enfants ont succédé à leur père, ils ont consolidé leur amitié. Mohamed VI vient passer ses vacances au Gabon avec son avion qui reste à l’aéroport durant plus d’un mois. Comme des gosses, les deux dirigeants vont s’amuser à jouer au ballon.

    Après sa dernière élection contestée par Jean Ping, Ali Bongo s’est retrouvé dans une situation intenable avec les caisses de l’État complètement vides. C’est Mohamed VI qui lui est venu en aide en payant les salaires des fonctionnaires durant trois mois. Ali Bongo est toujours invité par le souverain à prendre part aux différentes festivités au Maroc. Il y a environ trois mois, Mohamed VI et Ali Bongo se baladaient pieds nus, en forme comme des lapins au palais présidentiel du Gabon. Les voilà accusant en même temps un état de fatigue qui inquiète. Destins liés.

    Coups Francs, 23 nov 2018

    Tags : Maroc, Mohammed VI, sarcoïdose, maladie, Ali Bongo, Gabon,

  • Gabon : Ali Bongo Ondimba comparé à Fantômas

    Selon Richard Moulomba, président du parti politique d’opposition Alliance pour la Renaissance Nationale  (ARENA ), ce qui se passe au Gabon ressemble à un film de Fantômas. À cause des « apparitions furtives du président Ali Bongo ».

    Les gabonais sont habitués à voir un président qui aime les médias, a-t-il déclaré à la chaîne RTN, rappelant que « le président de la République est une institution de la République. Quand il arrive au Gabon, il a droit à un ensemble des honneurs. Il faut un protocole particulier et ce protocole n’existe pas du tout. On a l’impression d’assister à un film de Fantômas où on revient et on repart furtivement ».

    « On fait des apparitions comme s’il y avait quelque chose à cacher. Il s’agit du président de la République d’un pays et c’est une institution. Nous aimerions et nous aurions aimé voir que tout le protocole dû à son rang soit déployé pour qu’on voit bien le président de la république qu’on a l’habitude de voir », a-t-il ajouté.

    Pour M. Moulomba, « personne ne croit au montage qui a été fait. Parce que, en plus, aucun journaliste n’a été admis à le filmer ». « Il s’agit d’un chef d’État et non d’un bonhomme qu’on pourrait cacher à volonté et en faire apparaître comme s’il s’agissait de réaliser le film de Fantômas », a-t-il martelé.

    « S’il peut désormais venir ici, semble-t-il, s’il tient sur ses deux pieds, a  pleinement la motricité à ses deux mains alors que fait-il encore à l’extérieur du Gabon ? Pourquoi des apparitions furtives ? Pourquoi des apparitions à la Fantômas ? Pourquoi une existence à la Fantômas ? Le président de la République doit venir pour clore le débat sur la vacance du pouvoir et accepter que la presse ait accès à lui comme cela a toujours été, ce qui n’est pas le cas pour le moment » a-t-il souligné.

  • Gabon : Du beau monde au salon marocain pour accueillir Ali Bongo

    Présent à Libreville depuis dimanche, le président de la République a rencontré au salon marocain du palais Rénovation certains présidents d’institutions ainsi que le Premier ministre et ses collègues du gouvernement. Ali Bongo a également sillonné quelques grandes artères de Libreville à bord de sa voiture.

    Les communicants de la présidence de la République ont sorti le grand jeu ce lundi 25 février, comme pour célébrer le retour au Gabon d’Ali Bongo. Si le programme officiel complet du président de la République reste inconnu, au même titre que le nombre de temps qu’il passera à Libreville, il ne s’est pas moins livré à un exercice de pure communication pour son premier jour passé dans la capitale, quatre mois après son AVC survenu en Arabie saoudite.

    Ali Bongo a, en effet, reçu au salon marocain du palais Rénovation les présidents d’institutions, Marie Madeleine Mborantsuo (Cour constitutionnelle), Lucie Milebou-Mboussou (Sénat) et Faustin Boukoubi, le président de l’Assemblée nationale, qui dit avoir été «agréablement surpris» de ce que le chef de l’État l’a félicité pour son élection en janvier dernier avant de l’interroger sur la rentrée du 21 février. Pour Faustin Boukoubi, deux mois après le début de sa convalescence à Rabat au Maroc, Ali Bongo fait preuve de «lucidité» et parvient à «garder le souvenir» sur certaines choses. La preuve, selon le patron du palais Léon Mba, que le président «est vraiment très alerte».

    Si certains assuraient que les audiences accordées par le président de la République, y compris aux sept membres du gouvernement, dont le Premier ministre, étaient en réalité «une séance de shooting photo» pour tenter de rassurer les Gabonais sur le fait qu’Ali Bongo a bel et bien recouvré son poste, la presse présidentielle rapporte quant à elle que ces audiences ont été l’occasion pour les autorités d’aborder les «sujets qui minent la vie de la Nation et le bon fonctionnement des institutions».

    «Au terme de la rencontre, informe la même presse présidentielle, le chef de l’État […] a assuré qu’il restait déterminé à accélérer la mise en œuvre des chantiers, pour améliorer le quotidien de ses compatriotes». Compatriotes vers lesquels Ali Bongo est d’ailleurs allé rencontrer à la suite de ses entretiens, en sillonnant en voiture certaines artères principales de Libreville. Une première vidéo diffusée sur la page Facebook de la présidence de la République le montre, ce lundi, au quartier Louis dans le 1er arrondissement, vitre baissée, souriant et saluant de la main gauche les passants visiblement ravis de le revoir physiquement.

    Source: alibreville.com

  • La oposición gabonesa critica al rey de Marruecos

    El 24 de diciembre, el rey Mohammed VI de Marruecos llegó a la capital de Gabón, Libreville. El aterrizaje de su jet privado a las 5 de la mañana fue percibido como un acto de discreción por temor a una reacción negativa de la población gabonesa.

    Esta visita se produce en un momento en que el líder gabonés Ali Bongo prosigue su convalescencia en Marruecos, tras un accidente cerebrovascular del que fue víctima el 24 de octubre en Riad, la capital de Arabia Saudí.

    Según la prensa local, « Mohammed VI está acusado de interferir en los asuntos internos de Gabón » porque « es en Marruecos donde los partidarios del gobierno gabonés acuden recientemente para recibir instrucciones de su mentor convaleciente ». « Un acto mal percibido por la oposición gabonesa que denuncia la gestión de Gabón desde un país extranjero », según Matin d’Afrique, quien informa que en la red de Facebook los activistas gaboneses recordaban que « Gabón no es una provincia de Marruecos ».

    Según fuentes gabonesas, Mohammed VI tiene la intención de ponerse en contacto con las diferentes corrientes políticas del Gabón para iniciar un proceso de sucesión del presidente Ali Bongo, del que el rey de Marruecos « se ha convertido en el pater familias de los Bongo y regente del Gabón ».

    Sin embargo, otras opiniones afirman que lo que quiere Mohammed VI es « seguir apoderándose de la economía gabonesa ». « Su país, añaden, a través de sus empresas, está presente en todos los sectores de la economía: banca, telecomunicaciones, transporte, minería, etc. El oro extraído en Minkebe, Ndjolé o Mimongo, por ejemplo, beneficia a la familia real ».

    Marruecos, que adquirió Gabon Telecom, se está convirtiendo en el mayor proveedor de Internet y el segundo mayor proveedor de telefonía móvil en este país. El grupo Attijari Wwafa Bank ha adquirido la Unión Bancaria Gabonesa, el tercer banco más grande de Gabón. Los marroquíes explotan el oro y la madera y dentro de poco pondrán en marcha una fábrica de cemento que producirá un millón de toneladas de cemento al año. También operan en el transporte marítimo y aéreo a través de Royal Air Maroc.

    La inversión extranjera directa marroquí acumulada en Gabón ha llegado a casi 400 millones de dólares, lo que convierte a Gabón en el mayor receptor de inversión marroquí en África Central, según la Embajada de Marruecos en Gabón. Estas estadísticas podrían mejorarse aún más, ya que ambos países han abolido el visado de entrada para sus respectivos ciudadanos. Esto explica el temor de Marruecos a perder este mercado si el actual Presidente, amenazado por una operación de destitución, pierde el poder. La oposición, que llevaEl 24 de di esperando este momento desde hace màs de treinta años, podría, si fuera necesario, cuestionar estas ventajas adquiridas a través de operaciones de soborno y corrupción.